J’ai passé la semaine perdu dans mes pensées. Ma femme m’a reproché toute la semaine que je ne l’écoutais pas et que je passais tout mon temps dans la lune. Nous sommes vendredi, je ne sais toujours pas quoi faire. Je ne suis pas obligé d’y retourner, après tout même si j’aimais ce costume, j’en ai bien d’autres. Nous prenons le petit-déjeuner lorsqu’elle essaye de discuter avec moi. — Mon chéri, ce soir nous allons souper chez ma sœur et son nouveau petit copain, j’espère que tu seras plus sociable que tu l’as été cette semaine. Et demain matin, je nous ai prévu une journée au centre commercial, il y a un moment que j’ai envie d’aller magasiner. — Je peux pas, tu sais que j’ai du travail ce week-end. Je t’ai dit que mon patron me renvoie à Québec pour finaliser la vente d’un client qui hésite encore. — Mais de quoi tu parles ? Tu ne m’as jamais parlé de cela ! — Tu es sur ? Car il m’a rappelée hier pour m’en informer, je suis sûr de t’en avoir parlé. Tu devais pas m’écouter encore.— Tu as du culot de me dire cela, tu as passé la semaine dans ton petit monde. Tu sais quoi, vas-y. Ça va nous faire beaucoup de bien. Elle se lève alors de table, pour ensuite se diriger dans la salle de bain. Mais que m’a-t-il pris de lui dire cela. Je m’étais pourtant convaincu de ne pas y retourner, alors pourquoi est-ce que je lui ai dit ce mensonge ? Est-ce parce que je n’ai pas envie d’aller voir sa sœur et de rencontrer son sicième nouveau petit ami de l’année, ou bien je veux éviter d’aller la regarder magasiner durant une journée de temps ? Je crois bien que je suis dans le déni, car ce qui m’a fait lui mentir, c’est bien entendu le fait que j’ai très envie de revivre ce que j’ai vécu la semaine dernière. À peine je termine mon assiette, qu’elle sort des toilettes pour se diriger vers la porte d’entrée. Elle me dit qu’elle va faire un tour pour se calmer. Enfin seul, je vais à la salle de bain à mon tour, j’en profite pour me raser la barbe en plus de m’occuper des quelques poils que j’ai sur la poitrine. J’enfile ensuite un de mes costumes au cas où elle reviendrait avant que je parte et je me fais un sac de linges pour la fin de semaine. Prêt à partir, il est encore tôt, mais comme je n’ai pas envie de la recroiser et d’avoir à lui mentir encore plus, je saute dans ma voiture direction Québec. Une heure passe environ, je me rends compte que là où je dois aller ce soir n’est qu’à moitié chemin de Québec. Il n’est pas logique que j’aille à mon hôtel de Québec, c’est beaucoup trop loin. Je réfléchis donc à une autre solution, puis en roulant, je croise plusieurs motels sur le bord de l’autoroute. Je décide donc de me louer une chambre de motel à environ 30 minutes de l’arrêt que je dois aller ce soir. Une fois dans ma chambre de motel, je patiente tranquillement devant quelques vidéos pornos gay de Glory Hole, question de me mettre encore plus dans l’ambiance. 21 heures, le soleil s’est couché, je sais très bien qu’il n’est pas encore l’heure, mais je suis trop impatient. J’enfile alors des shorts de sport sans sous-vêtement en dessous, un débardeur et une paire de sandales. Je me rends à l’arrêt, je me stationne au fond, quelques camions de transport sont là, mais je ne vois pas les deux véhicules de la dernière fois. Il n’est pas encore l’heure, alors ils ne sont probablement simplement pas encore arrivés. J’attends quelques minutes tout en observant ce qui se passe. Deux des camionneurs sont assis dans leur camion, j’imagine qu’ils prennent une pause. Le dernier quant à lui, je le vois sortir des toilettes, pour ensuite entrer dans son camion, ensuite je le vois incliner son banc vers l’arrière. C’est le moment, sachant que les toilettes sont vides, je me rends au pas de course à l’intérieur. Je m’enferme ensuite dans la cabine du centre comme la semaine dernière. J’enlève ensuite tous mes vêtements question d’être totalement nue, portant désormais seulement que mes sandales, je nettoie la cuvette pour ensuite m’y asseoir. À peine 5 minutes passent, j’entends quelqu’un entrer. Il n’est pas l’heure encore, donc je doute qu’il s’agisse de mes camarades de la dernière fois. — Alors tu avais si hâte de remettre ça que tu es arrivé d’avance. Finalement, c’est bien eux, mais je n’ose pas répondre, je suis encore une fois figé. Toujours assis sur la cuvette, je fixe le trou du panneau de la semaine passée. Soudain, je peux voir que deux hommes entrent dans la cabine voisine. Comme la dernière fois, je ne peux voir au-delà de leurs ventres. Je peux voir qu’ils sont vêtus de shorts en jeans et une veste à carreaux toute sale, comme s’ils venaient de finir de travailler. Le plus grassouillet des deux, celui avec la queue plus épaisse et pas circoncise détache des culottes. Enfin, je vais pouvoir revivre cette magnifique expérience d’il y a 7 jours. Il laisse ensuite tomber ses shorts et ses caleçons jusqu’à ses chevilles. J’aperçois ensuite cette belle bite qui me donne de l’appétit, mais cette fois-ci, elle est toute molle. Il se retourne ensuite dos à moi, je peux alors voir ses grosses fesses bombées recouvertes de poils épais et noir. Il se penche ensuite en avant, écarte bien ses fesses pour ensuite bien se coller sur le trou. Je vois alors sa rondelle brune et poilue en gros plan. Je peux sentir la sueur qu’il a accumulée tout au long de la journée, certains poils sont même encore mouillés. — Qu’est-ce que tu attends, mon cul ne va pas se manger par lui-même.
— J’avoue être impatient de remettre ce que nous avons fait sa semaine dernière, mais, je ne m’attendais pas à cela. — Tu n’avais pas envie de nous sucer la dernière fois et pourtant, une fois que tu l’avais fait, tu t’es rendu compte que tu aimais ça. Alors dis-toi que c’est la même chose aujourd’hui. — Oui, mais là je ne suis vraiment pas sûr !— Tu veux ravoir tes vêtements ? Alors, mets-toi au travail. Je me fous totalement de mon costume présentement, tout ce que je veux, c’est de ravoir ses deux queues en bouche. Je m’exécute alors, je commence en lui touchant la rondelle du bout du doigt, pour ensuite commencer à lui lécher timidement. — Allez, n’aie pas peur, crache bien dessus puis bouffe-moi le cul salope ! Je crache alors un filet de salive dessus pour ensuite bien lui lécher comme lorsque je m’occupe de la chatte à ma femme. Cela dure environ cinq minutes, ensuite il s’enlève et laisse la place à l’autre qui se positionne de la même façon que le premier. Contrairement à son ami, lui a le cul bien rasé, il a la peau très claire et douce, sans parler de sa rondelle qui est de couleur rosée et légèrement ouverte. Comme l’autre avant lui, je lui bouffe le cul comme une chienne, pour qu’il soit fier de moi et qu’il me récompense avec leurs queues. Soudain, il se retire, le poilu me dit alors de me mettre dans la même position qu’ils se sont mis. Surpris de sa demande, je me lève tranquillement et me place dans la position. Une fois les fesses écartées et collées sur le panneau, je ne suis pas étonné de l’entendre me dire que je devrais avoir le cul bien rasé, car c’est ce que la salope dans mon genre doive faire. J’aurais dû y avoir pensé, mais il est trop tard maintenant. Je viens alors pour me retirer, quand il me dit de me remettre en place immédiatement. Aussitôt réinstallé, je sens une langue chaude et très humide me lécher la rondelle, ensuite ce qui avait commencé doucement se transforme en bouffage de cul intégral. Ca devient très cochon très vite. Je ne croyais pas apprécier de me faire manger le cul autant, c’est presque aussi bon que me faire sucer par ma femme. Je profite de ma gâterie quand soudain, j’aperçois un ombrage passer par le trou face à moi sur le panneau de droite. Tout à coup, la belle queue longue, mince et bien bandée du deuxième homme traverse le trou. Je sais maintenant lequel de deux est en train de me manger l’anus. Je suis terriblement excité et je sais très bien ce qu’ils attendent de moi, car j’ai vu des tonnes de vidéos qui se déroulaient dans cette situation cette après-midi. Tout en laisse mon anus bien collé sur le trou, je me penche vers l’avant pour prendre cette douche bite en bouche. Il se met alors à gémir, mais encore plus fort que la dernière fois, je trouve cela un peu étrange, car je ne me suis pas plus amélioré. Quelques instants plus tard, celui qui me mange le cul s’arrête, je ne me rends pas compte tout de suite, mais lorsqu’il a crié, c’était en fait un signal indiquant à l’autre qu’il était temps. Je continue à lui sucer la queue espérant que l’autre va se remettre à me lécher la rondelle, quant au même moment, je le sens entrer en moi. Est-ce que c’est l’un de ses doigts ? Non impossible, c’est beaucoup trop gros pour cela. Je réalise alors qu’il est en train de me pénétrer avec sa bite épaisse. Je crois bien qu’il n’a entré que son gland pour l’instant, par réflexe je m’avance un peu, je sens son gland ressortir et mon trou se refermer aussitôt. — Hey ! Je n’ai pas fini avec toi, remets-toi en place.— Désolé monsieur !
Je repositionne mon cul là où il devrait être, puis il recommence son ascension en direction de mes entrailles. Il doit à peine être revenu au même niveau que lorsque je me suis retiré qu’il me demande de bien garder une pression vers le panneau pour être sûr que mon cul ne se décolle pas. Il s’y prend doucement, mais cela dit il reste très ferme. Quant à moi je fais de mon mieux pour m’occuper de l’autre qui se trouve devant moi. Une main sur sa bite tout humide de ma salive, je le branle tout en criant de douleur. Mon autre main se trouve être à côté sur mon genou m’aidant à rester en équilibre. Une fois la rondelle bien dilatée, l’homme derrière moi commence à bien me baiser. J’ai très mal, cela dit lorsque je regarde vers ma queue, je remarque que j’apprécie ce qui m’arrive. Aussitôt que la douleur diminue de plus en plus, je reprends avec ma bouche ce que j’avais laissé de côté pendant quelques instants. Je suce l’un alors que l’autre me baise sans arrêt, à part quelques fois où il l’a retiré de mon trou pour cracher dessus puis me la remettre dedans. Tout à coup, celui de derrière va de plus en plus vite, il me dit de garder une bonne pression du panneau, car il va donner de solide coup pour éjaculer. Je lâche alors la queue de l’autre pour me relever un peu, avec mes bras je pousse dans le panneau face à moi question de garder une bonne pression vers le mûr comme il me l’a demandé. Il donne ensuite des coups de plus en plus vite et de plus en plus fort, jusqu’à se mettre à crier comme un grizzli, j’ai l’impression de me faire baiser par un animal. Je sens ensuite sa semence bouillante qui remplit mes entrailles juste avant de se retirer. Je m’effondre alors à genoux par terre, m’appuyant sur la cuvette avec mon bras gauche. J’ai l’anus en feu, je pousse un peu essayant de faire sortir tous son jus. Une fois terminé, je regarde par terre et je vois tout son sperme de couleur blanc mélangé avec quelques matières fécales. Je n’ai pas le temps d’être dégoûté que l’autre cogne dans son panneau et me prévient que je n’ai pas fini mon travail. Je la reprends alors en main, pour la diriger dans ma bouche quand il me dit. — Non, non, non ! Je suis presque prêt à jouir et toi salope, tu vas me finir avec ton petit cul.— Mais j’ai mal !— La mienne est moins épaisse, après ce qu’il vient de te faire, tu la sentiras même pas passer.
Je me relève alors debout pour ensuite me retourner les fesses vers le trou de l’autre côté. Je lui demande de se retirer que je puisse me placer comme il faut, mais il me dit non et qu’il veut que je la rentre par moi-même. Je me penche alors en avant et ensuite, je mets mon pied droit sur la cuvette. Je prends ensuite sa bite avec ma main droite et je la colle sur mon trou avant de pousser avec ma jambe gauche pour la rentrer et reculer mes fesses jusqu’à ce qu’elles soient collées au mur. Cela me brûle énormément, il me baise alors quelques minutes, pour ensuite me demander de me mettre à genoux face à lui. Une fois en place, il retire sa bite quelques secondes pour se masturber, puis ensuite il gémit, la refait traverser de mon côté et m’éjacule dessus. Environ cinq immenses giclées m’aspergent le corps, dont une atteint mon visage. Je me laisse ensuite tomber par terre, j’ai les fesses directement sur la céramique froide des toilettes. Je suis accoté sur le panneau derrière moi, le trou est juste à côté de ma tête. J’entends ensuite celui qui m’a éjaculé dans le cul, me parler au travers du trou et je reçois mes boxers de la semaine passée sur la gueule. — Tu es vraiment une bonne chienne ! On est fier de toi. Voilà ce qu’on t’avait promis !— Mais on est le reste ? — T’inquiète, tu vas avoir un morceau par semaine. Rendez-vous la semaine prochaine mon beau. Je les entends sortir de la toilette. Je souris, car j’ai eu la confirmation que cela n’allait pas être la dernière fois. Je me rhabille, ensuite je sors à mon tour. Je marche vers ma voiture et je remarque qu’il reste seulement le camion du mec que j’avais vu s’étendre tout à l’heure. Je retourne ensuite à mon motel.