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Père fille...et moi

Chapitre 1

Inceste
Père fille…et moiLa chambre de ses parents était assez spacieuse un peu dans un style zen. Le lit était d’une largeur peu commune de un mètre soixante. La couette légère jaune pâle était découverte laissant voir le drap du dessous bleu azur. Sylvie s’était déjà déshabillée. Son père, Vincent, un bel homme assez athlétique de plus de cinquante ans, portait une sorte de kimono japonais en soie. J’arrivais de la douche une serviette me ceignant les reins. Je me sentais un peu gauche quand Vincent nous invita :-Allongez vous donc sur le lit !  Je regardais Sylvie qui n’avait pas l’air trop troublée. Elle s’exécuta de bonne grâce, mettant d’abord un genou sur le drap puis se laissant aller à s’allonger sur le dos. Je m’asseyais d’abord sur le bord du lit puis m’étendais à ses cotés. Je fus tenté de tirer la couette pour nous couvrir un peu, mais Vincent fit « tst, tst, » en la retirant doucement. Sylvie se blottis contre moi, puis d’un geste habile défit ma serviette. En se penchant légèrement au-dessus de moi pour la faire retomber au sol, elle appuya ses seins contre ma poitrine et m’embrassa goulûment. Son père, se tenant pratiquement au pied du lit, nous regardait tranquillement, la veste du kimono ouverte sur sa poitrine assez velue, et une main glissée dans le pantalon.-Elle est jolie ma fille, hein, Louis ! Une belle nana bien foutue et attirante… Je comprends qu’on la désire. Et je constate avec plaisir qu’elle a choisi un garçon pas mal non plus. Comme père j’en suis très fier, et j’avoue avoir eu moi aussi, ces dernières années, des idées pas tout à fait de père…— Oh arrête Papa ! dit SylvieJ’étais très déconcerté, mais je me devais de répondre, j’avalais ma salive et j’avouais :-Moi je dois bien avouer avoir été très surpris, abasourdi même, lorsqu’elle m’a avoué que vous, son père, étiez l’archétype de l’homme attirant, désirable. Et je… peux même vous dire qu’un jour, en confidence dans nos jeux, elle m’a avoué qu’après avoir surpris vos ébats avec vos amis, s’être caressée avec des fantasmes de…de…— Ah ah ! Tu peux me dire « tu », Louis. Nous savions depuis longtemps, Odile, ma femme et moi qu’elle nous avions été « surpris » mais nous n’en avions pas parlé. C’était un secret de famille. Mais je peux bien l’avouer, moi aussi j’en ai eu, je l’admets, et il n’y a pas si longtemps encore des idées de…disons de drôles d’idées.
Sylvie tout en blottissant son visage dans mon aisselle, s’était allongée sur le dos, les jambes légèrement écartée, exhibant sa délicate toison et sa fente au regard de son père qui, j’en suis sûr, se caressait le sexe. Je massais un peu ses seins qui avaient bien durci, puis descendais une main sur son ventre, marquant un temps d’arrêt, n’osant aller plus loin. Devant le regard brillant de Vincent qui m’intima : « Continue ! » je repris la descente, j’atteignais son sexe. Ses grandes lèvres étaient bien gonflées et à peine effleurées, s’écartaient. Elle poussa un léger râle serrant encore plus son visage contre moi. Son sillon souvent humide était là trempé. L’improbable de la situation avait terriblement accentué son excitation, d’où sa mouille abondante. J’écartais délicatement et habilement ses petites lèvres et glissais doucement deux doigts dans son vagin. Elle se cabra un petit peu. Je les ressortais trempés et les frottais un peu son clitoris. Elle eut alors plusieurs soupirs qui ressemblaient à des petites plaintes…J’avais une érection démentielle que Vincent pouvait apprécier, mais ses yeux semblaient hypnotisés par mes doigts visitant la chatte de sa fille qui écartait désormais largement les cuisses…***Une situation inédite ! Nous étions bien loin du scénario d’origine qui n’était pas du tout celui-là !Lorsque je lui avais parlé de nous exhiber en faisant l’amour dans un lieu public, elle m’avait répondu que son père était très libertin, ainsi que sa mère. Elle avait plus d’une fois surpris les ébats de ses parents avec un couple d’amis, les mêmes, j’ai cru comprendre. A ces occasions, elle avait remarqué que Vincent, son père, était particulièrement voyeur, regardant sa femme se faire prendre par l’homme et même par la femme du couple avec une sorte de godemiché.
Par la suite, elle m’avait avoué l’avoir surpris plus d’une fois à la mater lorsque, nue, elle prenait sa douche et quelque fois son bain. Comme elle le trouvait pas mal, plutôt bel homme même, elle en tirait une certaine fierté et même admit elle, une excitation assez trouble. Elle l’avait même surpris en train de se masturber, elle avait fait semblant de ne s’apercevoir de rien mais ça l’avait terriblement excitée. Je lui ai alors dit que ce n’était pas pour me surprendre. Après tout son père est un homme aimant les femmes. Et que moi-même comme voyeur, j’étais également un peu exhibitionniste. L’idée de faire l’amour avec elle devant des inconnus était une idée qui m’excitait particulièrement. Le problème était : comment créer les circonstances. Et frein majeur, comment tenir à distance ces inconnus qui materaient mais ne devaient pas intervenir dans nos jeux érotiques.Je ne sais plus trop comment, après quels délires érotiques, nous en étions arrivés à l’idée de faire l’amour dans des circonstances où son père pourrait nous voir, une porte entrebâillée, ou derrière un miroir sans tain ou tout autre scénario improbable. Cette idée suggérée, pimentée parce que je lui soufflais à l’oreille lorsque nous faisions l’amour, l’avait amenée à avoir un orgasme démentiel et moi de même. Mais j’étais loin d’imaginer que ce délire, elle essaierait de le mettre en en pratique. Et pourtant…
Ce jour là, après quelques verres et une conversation très « débridée » où Vincent avait évoqué, par euphémismes quand même, devant moi et sa fille quelques-uns de ses libertinages avec sa femme, Sylvie avait découvert qu’elle ne connaissait en fait que certains amis, et « la partie émergée de l’iceberg » ! Après avoir quitté le salon sous l’invitation de Vincent à me faire visiter, nous nous trouvions donc dans cette chambre parentale, avec ce lit un peu découvert. Odile, la mère de Sylvie avait du s’absenter pour je ne sais quoi. Vincent, tout à trac proposa crument :-Vous ne voudriez pas faire l’amour ici, devant moi ? J’aimerai bien voir deux jeunes gens, deux jeunes corps s’emmêler. Je dois dire que suis très, très voyeur…je vous choque ?J’étais interloqué :— Ben…heu…Vincent, vous ne… enfin, Sylvie est votre fille, et…— Et quoi ? C’est désormais une femme, une belle femme, même, et elle a sa vie…et sa sexualité… Vous baisez ensemble, non ? Alors ce serait comme si je surprenais les ébats d’un couple inconnu…
C’était choquant mais j’éprouvais une excitation très trouble et très forte à cette idée. Nos fantasmes, nos délires et de la puissance de notre plaisir me revenaient en fulgurance. La décision revenait bien sûr à Sylvie et j’imaginais qu’elle allait rabrouer son père. Que la proposition la choquait quand même. Le délire c’est bien, l’imaginaire ça va, mais elle allait être rebelle au passage à l’acte. Pourtant, sans dire un mot, juste avec une sorte de soupir, comme si elle avait attendu cette proposition, elle avait haussé les épaules et commencé à ôter son pull, dévoilant ses seins gonflés pris dans un fin soutien gorge. Puis avait fait tomber sa jupe découvrant sa fine culotte blanche. Je compris immédiatement le message. Je tombais à mon tour chemise et pantalon. Toutefois, encore en slip, j’avais demandé à passer à la douche, pour être plus sur de mon hygiène. Je ne m’étais pas attardé sous le jet brûlant. En revenant Sylvie était entièrement nue, debout… Vincent était resté debout, spectateur, attendant que nous commencions, mais il n’était pas que voyeur, il s’improvisait directeur! Nous en étions là…***Vincent demanda alors à Sylvie :-Ma chérie, je pense que vous l’avez déjà fait souvent. Je voudrais te voir sucer la verge de Louis ! Ce ne sera pas la première fois, je pense. Sauf que vous le faites « intimes ». Alors pour une fois avec un voyeur… Suce sa… queue ! Montre-moi ; j’aimerai voir comment tu pompes…Sylvie sortit son visage du creux de mon épaule et me regarda. Je lui répondis :— ben…Elle murmura alors à l’adresse de son père :-Vraiment, Papa ? Tu veux voir ? …Bon…Mais sans attendre de réponse à sa question quasi inaudible, elle se redressa sur un coude, s’empara doucement d’une main de ma verge raide, puis se penchant sur elle, commençât à lécher le gland qui perlait franchement, titillant habilement la fente de la langue. Un regard sur son père qui, les yeux brillants, la matait, elle l’absorbât enfin dans sa bouche, ramenant d’elle-même ses cheveux en arrière, pour que Vincent puisse bien voir l’action de son visage et de sa bouche engloutissant le bâton de chair.Vincent avait fait tomber son kimono et nous présentait sa queue qu’il astiquait doucement en regardant sa fille me pomper. Je regardais sa main aller et venir sur sa verge sensiblement de même taille que la mienne très raide, le gland violacé bien découvert.Il commenta :-Sylvie, j’apprécie que tu me regardes tout en suçant ! J’avoue que tu suces super bien ! C’est très excitant à voir ! C’est plus que de la technique ma fille, visiblement t’aimes ça, hein ! Louis n’a pas eu à te convaincre, je pense.Puis, immédiatement exigeât :— Mais toi, tu es négligée ma pauvre. Sylvie. Mets-toi au dessus de Louis, à califourchon au dessus de son visage, qu’il puisse contempler ta chatte et la lécher en même temps ! Allez, les tourtereaux, faites-moi voir un vrai 69 !
Sylvie me lâcha un court instant, le temps que je me mette en travers du lit, puis, toujours sans dire un mot, elle m’enjamba tête bêche, redescendant sa vulve sur mon visage, et aussitôt se remit à l’ouvrage sur ma queue raide. Je contemplais sa chatte ouverte et vraiment bien trempée au dessus de mon menton. J’ouvrais son vagin à deux mains et tentais de boire le maximum de jus qui ruisselait. Je ne me rappelais pas l’avoir vue tant mouiller, dégouliner plutôt. Son petit clitoris était également bien découvert. Le délire de cette situation l’excitait autant que moi au plus haut point.Vincent bougeait de coté pour nous voir agir simultanément et annonça :— Vous êtes trop excitants. J’ai très envie de prendre des photos. Rassurez-vous, elles ne sortiront pas d’ici. Je pense que je peux, non ? Je ne vais pas vous déranger…Attendez, j’ai l’appareil là.J’avais le visage enfouis dans la chatte de Sylvie et j’entendis Vincent bouger pas mal, sans doute pour prendre des photos sous différents angles. Je l’entendis me dire près du visage, en faisant un gros plan :-Elle est chouette cette moule, hein Louis ? Et sa liqueur ? Elle est bonne ? Elle a l’air ! Elle mouille bien, hein ? Un instant, écarte la bien pour la photo.Je grognais d’appréciation et léchais le clitoris tant que je pouvais, excitant Sylvie qui, toute à ses sensations, négligeait un peu sa fellation tout en gardant ma queue dans sa bouche.Vincent introduisit alors sous mon nez, deux doigts dans le vagin de Sylvie. Il les ressortit complètement trempés de liqueur vaginale. Je devinais qu’il les portait à sa bouche, car j’entendis :-Hum, délicieux ! Vraiment très stimulant ce jus, très aphrodisiaque! Elle te gâte, Louis !Quand soudain, une main de Vincent claqua sur une des fesses de Sylvie, nous l’entendîmes dire :-T’aimes ça, hein ma fille, te faire brouter ! Hein ! Je vois ça ! Offrir ta chatte ouverte comme ça ! T’as trouvé le bon amant.
Je voyais la fesse un peu rougie ; une autre main claqua sur l’autre fesse, je réalisais que Vincent avait posé l’appareil photos. Puis il posa ses mains sur les hanches de sa fille pour redresser sa croupe. Sentant ce qui se qui se tramait, soumise aux gestes de son père, Sylvie avait lâché ma queue. Mais moi, la tête redressée à faire mal je gardais encore le clitoris aspiré entre mes lèvres, sous ma langue. Perdant alors toute contenance, se laissant aller, elle poussa un râle puissant, hoquetant, et jouit violement, inondant encore plus ma bouche et mon visage. Ce fut tellement fort que moi, subjugué et inondé par sa liqueur, je jouis également pratiquement en même temps éjaculant puissamment sur son visage et sa bouche, en plusieurs giclées abondantes, râlant de plaisir dans mes spasmes. Je savais que maintenant il ne fallait plus agacer son clitoris désormais hyper sensible. Elle était effondrée sur moi, aussi frissonnante que moi. Nous restâmes un instant immobiles.La voix de Vincent nous rappela à la réalité :-Bravo les enfants, c’est super de vous voir prendre votre pied ! Un super pied, hein ! On voit que c’est sincère, c’est pas de la frime ! C’est bon, hein, de jouir comme ça ! Vous avez bien bu tous les deux… C’était un magnifique spectacle ! J’ai vraiment apprécié ! Mais… ce n’est pas fini mes tourtereaux, si vous le voulez bien, reprenez des forces…
Vincent, les deux mains toujours sur les hanches de sa fille, guida plus haut la croupe de Sylvie qui, encore un peu dans les vapeurs du plaisir, se laissa redresser au dessus de mon visage. Il la tira un peu en arrière. Encore un peu sonnée, elle n’opposait guère de résistance. J’étais moi-même encore en descente de mon plaisir et je contemplais sa vulve ouverte et bien mouillée. Je vis alors en gros plan, au dessus de mon visage, s’approcher la queue de Vincent : la verge de son père, bandée, tuméfiée même, les veines gonflées, qui s’avançait. Le gland mafflu frappa deux coups un peu imprécis, à coté du puits luisant de liqueur, ruisselant même, puis s’imposa doucement dans le vagin ouvert, offert plutôt, de sa fille, sans aucune résistance. Je le voyais de près, le gland à peine entré, tout le membre s’enfoncer en prenant sa place entre les petites lèvres dans le fourreau de Sylvie. Il y eut une secousse plus forte et tout le pieu de chair était entré vigoureusement jusqu’aux couilles de Vincent. Sylvie qui pouvait sembler se laisser guider passivement jusqu’à présent, eut alors un râle profond. Dans mon délire, je pensais au calembour de la chanson « l’ouverture des portes au pénis entier » ! Voyant sa chatte maintenant solidement emmanchée par cette verge raide, j’étais de nouveau excité comme un fou ! Je lui annonçais très distinctement ce qu’elle savait déjà. Mais les mots ajoutent beaucoup à l’excitation :— C’est ton père qui t’a enfilée, ma chérie ! Tu te rends compte, c’est Vincent ! Ce que tu sens dans ta chatte, c’est sa bite ? Il t’a enfilé, complètement, à fond ! Je le vois !Bien sûr qu’elle la sentait bien, et s’offrait même pour l’absorber au plus profond.— Oui… oui…je sais ! J’ai senti ! dit-elle dans un soupir en léchotant ma queue qui commençait à rebander sérieusement sous la vision improbable du géniteur baisant sa propre fille.Elle avait le visage contre mon pubis, toute ma queue pas encore complètement vaillante dans la bouche, mais elle ne me suçait pas. Elle me gardait simplement, toute à la disposition de son père qui commençait à la pistonner consciencieusement. Je regardais son mandrin luisant de son jus sortir puis entrer dans son tunnel à plaisir. Alors, il lui donna une claque sonore sur une fesse en disant :-Tu m’as déjà vu faire ça, hein chérie ! Tu m’as espionné, hein quand je baisais avec ta mère ou avec d’autres. Et ça t’a excitée, hein ! t’aimes ça, hein, ma fille ! Au fond de toi, t’en voulais, hein ! Dis-le, hein que tu en voulais ! Tu voulais que je te baise aussi, hein !
Sylvie, subjuguée par les paroles de son père et le martèlement de la verge qui s’activait en elle, grogna, ma bite encore en bouche, une sorte de « moooohh mmmmou » qui voulait probablement dire « oui », en cambrant encore plus sa croupe. Cela acheva de me remettre en forme ! Je me tortillais, échappais à sa bouche et me dégageais de son entre jambes. Je sortais du lit et, me mettant debout je regardais son père la prendre en levrette, les mains sur ses hanches, avec vigueur, excitation et joie manifestes. Ce plaisir était ostensiblement partagé ! Sylvie, agenouillée, penchée en appui sur les bras fléchis appréciait visiblement de se faire vigoureusement ramoner par son père. Vincent insista alors :-Dis-le que t’aimes ça, ma chérie ! Dis-le que tu aimes te faire fourrer par la queue de papa ! Dis-le ! Dis fort : j’aime ta queue Papa !Terriblement excité, je savais la valeur des mots crus, voire salaces dans l’excitation, j’en rajoutais : - Dis-lui Sylvie ! Dis-le lui !— Ouiiii ! J’ai-aime ça-a ! Hoqueta Sylvie. Oui, j’ai…me… sentir… tes coups…de queue aller… bien au fond ! Oui…Papa ! j’aime… ta bite !Je bandais à mort, maintenant. Les déclarations provocantes de Sylvie décuplaient l’atmosphère érotique. Je prenais l’appareil photos que Vincent avait posé sur le guéridon et mitraillais Sylvie entrain de se faire sauter ou plutôt tringler par son père. Il ralentit un peu, posant fièrement pour les photos, prenant des poses de biais pour que je vois nettement son mandrin entrer et sortir raide mais trempé de la chatte épanouie de Sylvie.-Tu as vraiment une chatte super ma chérie, dit-il. Elle serre ma queue avec fermeté, une étroitesse de jeune fille. Elle est bien chaude bouillante par ailleurs ! Elle est vraiment faite pour la baise, hein Louis !— Viens, Louis, m’intima alors Vincent. Viens ! Pendant que j’occupe sa chatte, sa bouche est libre, non ? Elle va te sucer pendant que je la ramone. Deux bites ne lui font sûrement pas peur, j’en suis sûr. Hein chérie ? Mets-lui ta queue dans la bouche Louis !...T’avais pas encore fait ça avec Louis, hein chérie, baiser avec deux mecs ? Vous n’avez pas encore eu l’occasion je pense. C’est votre jour de découverte, alors !

Ça ne t’excite pas de sucer une bite pendant que ta chatte est fourrée par une autre, hein?Si j’en suis sûr ! Deux bonnes bites rien que pour toi, ça t’excite, hein ! Tu vas la sucer, hein. Allez Louis, mets-lui ta queue dans la bouche !
Je bandais comme un âne, j’étais excité à mort de voir Sylvie appuyée sur ses bras se faire emmancher vigoureusement en levrette par son père, de voir ses seins un peu lourds qui ballotaient à chaque coups de reins de Vincent, et de contempler son visage, ses yeux levés qui me regardait. Je m’approchais d’elle, présentant ma queue droite, raide sur gonflée. Immédiatement elle ouvrit la bouche. J’y plongeais alors ma verge bandée. Elle commença aussitôt un mouvement de va et vient, rythmé par les poussées de Vincent ; quand il poussait, elle m’absorbait, quand il se retirait un peu, elle me relâchait un peu. C’était super excitant.
Mais Vincent qui avant n’avait été que voyeur, malgré sa capacité de contrôle, était vraiment au bout de son excitation. Sauter ça fille devait d’ailleurs décupler son excitation.Il annonça alors :-Je ne te demande pas si tu continues à prendre la pilule, ma chérie, hein ! J’espère que oui. N’est-ce pas, Louis ?... Tu sais Sylvie, ton papa est endurant mais là, il est à cran et ta chatte est trop bonne ! Je ne vais pas me retirer ! Je suis trop bien dans ta chatte! Papa va bientôt… vider… ses couilles… dans ta jolie moule ! Il va se… répandre en toi ! Te remplir ! Je vais tapisser de mon foutre ta jolie cramouille ! Je vais… aAAAARRRGH…OOOOHHHH OOUII !
Le visage de Vincent s’était crispé, ses phalanges avaient blanchi sur les hanches de Sylvie, son corps s’était raidi, tétanisé. Il donna quatre forts coups de reins, de boutoir devrais-je dire, ponctués de « han » sonores, qui devaient correspondre à ses jets de sperme. Sylvie échappa un râle mi-plainte mi-plaisir tout en maintenant sa croupe exhibée, sa chatte offerte et maintenant certainement bien remplie. Je pense qu’elle jouit aussi en sentant l’orgasme de son père.
Après plus d’une minute, Vincent dégageât sa queue avec un « aaahhh » de satisfaction :— Oh que c’était bon Sylvie! C’est bon de te sauter ma chérie ! T’es une sacrée baiseuse ! Louis a de la chance ! Ramoner ta chatte à fond et jouir dedans, c’est un plaisir phénoménal ! J’avais les couilles pleines, mais je me suis vidé !Et il ajoutât :— T’as déjà vu ça, Louis ? Viens voir ce que j’ai fait à ma fille. Viens voir sa chatte bien remplie, dégoulinante de sperme ! J’avais de la réserve, ça fait quelques temps que je n’avais pas baisé. Et puis, elle m’a vraiment stimulé!Puis à Sylvie :— Bouge pas chérie, reste comme ça, que je lui montre. Il connaît, lui, ma chérie, le bonheur, de se vider dans ta jolie petite chatte si serrée et si chaude. Mais il n’a jamais vu un autre en profiter. J’en avais tant envie ! Je t’ai bien remplie à fond. Regarde, regarde Louis, regarde sa moule comme elle dégouline blanche !Effectivement, de la croupe encore un peu relevée, je voyais le sperme crémeux et blanc pâle de son père ruisseler lentement hors du vagin entre les petites lèvres bien ouvertes de Sylvie et goutter sur le lit. Je réalisais que Sylvie se contractait un peu exprès pour le faire sortir, pour nous exciter avec le spectacle. Vincent ma dit : Fait une photo, Louis : C’est la semence du Papa !
J’étais à cran, proche de gicler moi aussi, et j’envisageais de la pénétrer à mon tour pour mélanger nos fluides, mais un bruit nous surprit…
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