Je vais planter le décor de mon récit. L’histoire se déroule entre un père célibataire fraîchement divorcé, et sa fille. De son union, naquit une fille. Cette dernière s’appelle Marine. Elle a 19 ans. J’habite seul dans un duplex. Jusqu’à sa majorité, je gardais ma fille tous les week-end. A présent, la majorité arrivée, ma fille a gardé ce rituel. Elle partage ma vie chaque week-end. Nous sommes très proches. Nous faisons beaucoup d’activités ensemble. Cela dit, il lui arrive de venir dormir ou passer un moment la semaine avec moi... pour mon plus grand plaisir. A présent, il est temps de vous la décrire. Marine, comment vous dire ... est une belle créature. Elle mesure 1m66, possède de grands et beaux yeux, une poitrine ferme, ronde, des jambes fuselées et un cul magnifique. Un cul à faire retourner n’importe quel homme dans la rue. Je puis me rendre compte que ma fille ne laisse pas indifférent la gent masculine, dès que l’on sort quelque part. Elle a les cheveux longs et châtains. Pour résumer, on ne peut que la trouver belle et bonne. Malgré moi, elle m’a toujours fait fantasmer. Plus elle a grandi, plus je l’ai regardée comme une femme. Tout cela s’est accentué par le fait que je suis célibataire. A présent, ma seule main me soulage. Je m’en suis fait des séances dans la salle de bains à imaginer son bon petit cul. En outre, je la trouve assez à l’aise. Je l’ai déjà vue en petite tenue, je l’ai déjà espionnée. Je l’ai déjà vue nue, de dos dans sa chambre... J’habite dans un duplex. A vrai dire, il n’y a que la chambre de ma fille et une salle de bains à l’étage. Il est jeudi soir, un collègue est venu boire un verre, quand j’entends sonner à la porte. Curieux, je vais ouvrir... quel plaisir de découvrir ma sublime créature...
— Bonsoir papounet ! Excuse-moi de te déranger, mais j’ai oublié un livre le week-end dernier. Je souhaiterais le récupérer. — Mais ma chérie, tu n’as pas à t’excuser, cet appartement est tien. Tu viens quand tu le souhaites. Elle me sauta au cou en me faisant la bise. Elle sentait bon. Ses seins s’écrasaient contre mon torse. Elle portait un jeans bleu moulant, ainsi qu’un tee-shirt très décolleté qui lui arrivait au-dessus du nombril. — Je te présente ma fille Marine, dis-je à mon collègue. J’ai vu dans les yeux de mon collègue, qu’il avait envie, en parlant vulgairement, « de se la faire ». — Puis-je vous faire la bise ? dit-elle de manière innocente, tout en posant une main sur mon collègue.
Ensuite, elle prit la direction de l’escalier, afin de rejoindre sa chambre. Mon collègue et moi étions debout... nous restions bloqués vers la même direction... c’est-à-dire : elle, et plus précisément... son petit derrière compressé dans un jeans qui la moulait plus que de raison. Je sentais que mon « appareil » commençait à se réveiller. Son cul tortillait beaucoup. A croire qu’elle le faisait exprès. Elle devait sentir que deux mâles étaient en train de lui manger le cul du regard, de la désirer de vouloir la posséder... L’on voyait ses reins et ses belles hanches... Mon collègue et moi avons échangé un regard... Mon collègue me fit en sourire qui en disait long...
— C’est bon je l’ai trouvé !!
— Tu ne veux pas rester manger ou dormir ?— Non cela ira, je te remercie. N’oublie pas qu’on se retrouve samedi pour une après-midi shopping... !!! J’ai hâte d’y être.— Elle nous fit une base à chacun, ramassa son sac (belle vue sur son décolleté) et s’en alla. SAMEDI APRES-MIDI : Rendez-vous au centre-commercial pour une après-midi shopping. Je la vis arriver vers moi, vêtue d’un pantalon noir moulant, ainsi que d’un petit débardeur noir. — Tu dois t’ennuyer à faire tes achats avec moi !— Ah non, ta présence m’est tellement agréable, mon beau papa.— Tu es gentille— J’aurais besoin de ton avis pour le choix de tenues, et toutes sans exception, me fit-elle, accompagné d’un sourire très équivoque.— Avec tout mon plaisir. Tout te va, j’ai la plus jolie fille du monde. Et fais-toi plaisir... c’est pour moi...— Oh papa tu es adorable. Elle me sauta au cou et me fit un bisou. Son odeur, son parfum, son corps contre le mien... elle me fit commencer à bander instantanément.
— J’aimerais essayer des lingeries, si cela ne te dérange pas.— Bien sûr que non !Nous entrâmes dans la boutique. Les lingeries, les femmes autour, ma fille qui tortillait du cul m’excitaient comme un fou. — Je fouille et ensuite je vais essayer !!— Prends ton temps !
Si tu savais comme je te regarde sans vergogne pendant que tu te baisses pour choisir une lingerie... quel bon petit cul bombé devant moi... hummm un régal... A ce moment-là, elle se retourna assez vite... Pris en flagrant délit... Elle me fit un petit sourire d’allumeuse, puis le tout suivi d’une tête d’ange... comme si de rien n’était. Elle me montra les deux lingeries qu’elle avait choisies. Une noire en dentelle, et l’autre rouge... un bon string... Je me suis dit qu’elle devait être ultra-bandante avec ces lingeries-là. Je regardais sa bouche pendant qu’elle me parlait... ses lèvres... je me mis à imaginer mon sexe entre ses lèvres... Bon, je reviens à la réalité. — Papa allons essayer !— C’est surtout toi ma chérie qui dois essayer. Je ne suis pas sûr que le string m’aille bien... Il t’ira mille fois mieux, j’en suis certain !— Alors viens me confirmer cela !— Je t’attends.— Attendre quoi ? Viens dans la cabine avec moi et tu me diras cela directement !— C’est un peu gênant... je suis ton père... et...— Et rien du tout, je suis ta fille justement ! Elle me prit par la main et me fit entrer dans la cabine. Il n’y avait pas de rideau mais une porte. Je n’en croyais pas mes yeux... La situation m’excitait beaucoup. Devant moi, se tenait mon fanstasme... La cabine était assez grande. Par terre, un pouf était installé. Ma fille ôta ses chaussures. — Je commence par le string rouge ou la lingerie noire ?— Essaie la lingerie noire.— Ne sois pas gêné papa. Je suis tellement bien avec toi. Je me sens en sécurité avec toi. C’est un plaisir que tu passes toute l’après-midi avec moi, alors que tu pourrais la passer avec d’autres personnes.— Je suis aux anges. Il n’y a pas meilleur programme. Marine enleva son débardeur tout doucement. Le fait qu’il y ait un miroir derrière était encore plus excitant... Puis elle retira son pantalon... doucement. Dans le miroir, je découvris une culotte. Ma fille était donc en petite tenue devant moi. Je l’avais déjà vue. Toutefois, dans ce contexte c’était très excitant. — Tout va bien ?— Oui, simplement je te trouve très belle... Marine tu es superbe...— Oh merci ! Elle me sauta de nouveau au cou. Je posai mes mains sur ses hanches dénudées. Je commençais à être excité. Sa peau était d’une douceur... — Bon je vais essayer la noire alors. Ferme les yeux, si tu as peur de me voir ainsi... et puis tu sais, tu m’as déjà vue nue... petite... Elle fit tomber sa culotte. Je vis sa belle petite chatte ... dans le miroir, son cul parfait... Mon érection commençait à être de plus en plus conséquente. Quelle petite allumeuse pensais-je ... ma fille est vraiment bien fichue et bonne... Puis, elle essaya sa lingerie noire transparente... — Comment tu me trouves ??— Elle te sied à ravir.— Sois franc !— je vais l’être... Sans savoir pourquoi je ne contrôlais plus mes mots... — Tu as un corps parfait... cela te met bien en valeur... tu as des courbes de rêve... et tes fesses sont vraiment parfaites. Elle s’approcha de moi. Ma main gauche se posa sur le bas de sa fesse droite. Elle me fixa intensément. — Je vais essayer l’autre ! Elle se mit dos à moi, nous étions assez proches. Elle fit tomber sa lingerie noire... son cul devant moi... son minou dans le miroir... Nos regards se croisèrent. Je me saisis de son bras, avant qu’elle ne puisse attraper le string. Je la plaquai à moi. Instantanément, nos lèvres se sont unies. J’embrassais ma fille doucement, puis à pleine bouche. Mes mains commencèrent à parcourir son corps... ses hanches, son ventre, le bas de son dos. Puis, je lui mangeais le cou. Ma fille commençait à vouloir enlever mon pantalon. Nous marquâmes une pause. Mon pantalon tomba à terre. Je descendis mes mains sur le cul de ma fille pendant qu’elle mangeait mon cou... Quel bonheur, un cul bombé et bien ferme !!! Je le malaxais, le caressais de bon cœur... Ensuite je la mis contre moi, de dos. Son cul ondulait contre mon boxer... Quel bonheur !! — Hum papa, c’est trop bon !— Depuis le temps que je te veux... tu m’excites tellement, tu es vraiment sublime... je sais que ce n’est pas bien, mais qu’y puis-je ?— Oublie... Je sentis la main de ma fille entrer dans mon boxer... Elle prit mon sexe en main, et alla de plus en plus vite. Je lui dis d’attendre un peu. Je lui dégrafai son soutien-gorge... Alors là, je lui ai mangé ses seins... bien ronds et fermes... un régal... elle semblait prendre son pied la gamine. Je plaquai de nouveau ma fille contre moi. Je l’embrassai. Je fis descendre ma main au niveau de son vagin. Je commençais à le caresser... Sa chatte était déjà trempée... J’ai joué avec son clitoris pendant un petit moment. Je l’entendais jouir de plaisir. En même temps, elle prit mon membre et me masturbait de plus en plus vite... quel pied ! Peu après, elle s’assit sur le pouf. J’eus la vison de ma fille, assise, cambrée, dans le miroir... et moi devant elle, debout... Elle prit mon sexe et le fit entrer doucement dans sa bouche. Elle le lécha, le suça doucement, puis de plus en plus vite, remonta, descendit. Elle me suçait et je sentais sa langue tourner en même temps... Une bonne suceuse... Elle me fixait par moments. Je n’en pouvais plus... Pendant qu’elle me suçait, je lui caressais un peu le cul. Ensuite je me redressais. Je sentais le point de non retour. Je pris la tête de ma fille et j’enfonçais bien mon sexe au fond de sa bouche. J’aimais entendre les bruits de succion. A un moment, une vague de chaleur monta en moi... j’éjaculai abondamment dans sa bouche... Elle avala tout... avec plaisir... — Hummm... A présent, papa, rentrons et mets-le-moi ailleurs... Quelle belle après-midi... !!! Dans ma chambre, j’ouvris les yeux... j’entendis le réveille-matin... Je me trouvais dans mon duplex... seul... Il n’était que huit heures du matin... Ce n’était qu’un rêve... Deviendra-t-il réalité ???
