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De père en fils ....

Chapitre 2

Avec le fringuant skipper ...

Avec plusieurs hommes
Alors qu’à Paris j’ai souvent du mal à me lever tôt pour aller au travail, ici dans cette villa méditerranéenne, je saute du lit dès que les premiers rayons du soleil percent la ramure des oliviers et des chênes-lièges. J’ouvre un œil, je regarde la lumière filtrée entre les planches des volets en bois et j’écoute les cigales commencer leur concert, bien cachées dans les taillis et les parterres.Je me lève et j’enfile une légère chemise de nuit par-dessus ma nuisette. Je descends les marches pieds nus et je sors dans le jardin. Quel bonheur de sentir la pelouse de kikuyu me chatouiller la plante des pieds. Je fais le tour de la villa pour profiter des fleurs avant que la chaleur ne fasse disparaître leurs senteurs. Alors que j’arrive au niveau de la pergola, je tombe sur le jeune Pierre-Henri en tenue de sport. Nous nous faisons la bise et il me dit— Je pars faire mon footing matinal. Rien de tel qu’une petite dizaine de kilomètres pour se mettre en forme. J’emprunte les chemins pour m’échauffer puis je reviens par la plage. C’est un super parcours qui permet d’admirer tout le golfe, depuis le phare du cap Camarat jusqu’à Saint-Tropez.Je lui réponds— A Paris j’ai l’habitude de courir au parc Monceau et j’ai même amené mes affaires de sport ici. Si vous n’allez pas trop vite, il faudra que j’aille avec vous un matin.Il me rétorque d’un grand sourire— Avec plaisir Hélène ! Ce sera un véritable plaisir de vous faire découvrir mon parcours.Il avale son verre de jus de fruit puis s’élance en courrant. Quelle vitalité ! Alors que je suis dans la cuisine à faire chauffer du café, je sens que l’on se plaque contre moi et on m’enserre. Tiens, François serait-il déjà levé ? me dis-je.Mais une vois grave me montre que je me trompe— Bonjour Hélène, vous êtes tombée du lit ? Si j’étais François, je vous garderais sous les draps avec moi !Non, ce n’est donc pas François mais Aurélien le fils de la maison arrivé hier soir. Je lui réponds— Mon mari est plutôt un lève-tard en vacances, contrairement à moi.Il me tient toujours contre lui et je devine une énorme bosse dans son pantalon. Je poursuis— François, ne me collez pas trop près s’il vous plait. Je ne voudrais pas que votre vieux père s’imagine des choses. Bien évidemment, ce beau quadragénaire ne me laisse pas insensible, d’autant plus qu’il semble avoir des arguments convaincants. Je prends ma tasse et je vais m’installer sous la pergola. Aurélien me rejoint vite et, ayant compris que je n’étais pas farouche mais seulement discrète, il s’installe près de moi. Tandis que j’enduis mes tartines de beurre puis de confiture de citron, Aurélien me caresse délicatement les jambes sous la table comme si rien n’était. Il me dit alors— Oui vous avez raison, mon père est d’une autre époque et il ne comprendrait pas que je désire la femme de mon meilleur ami.Je lui rétorque— Pourtant, aujourd’hui comme autrefois, les vrais amis partagent le meilleur comme le pire !S’il savait que son coquin de père est un excellent amant, le fils n’en reviendrait pas !De sa main droite, il porte sa tasse à ses lèvres et savoure son café. Sous la table, sa main gauche est déjà remontée jusqu’à mon entrejambes et il caresse délicatement la fente de mon sexe. Il me demande, curieux— Vous ne portez jamais de culotte ?Sa question me fait sourire et je lui réponds— Voyez-vous cher Aurélien, je viens de terminer ma nuit et je sors juste du lit. Je dors en nuisette, sans rien dessous. C’est donc pour cela que vous pouvez si bien en profiter.
Il intensifie ses caresses et il réussit à introduire deux ou trois doigts dans ma chatte. J’écarte un peu plus le compas de mes jambes, il me doigte un peu plus profondément. Je ferme les yeux, le coquin laisse ses doigts dans ma chatte mais réussit  me chatouiller le bourgeon de son pouce. Je fonds de plaisir et il s’en rend compte. Il jubile et me dit— J’adore les femmes qui réagissent aussi rapidement, ce sont souvent de vraies tigresses.Je lui rétorque avant de me lever— La tigresse va maintenant aller se calmer seule sous la douche ! Lorsque je repars, je devine son regard fixé sur mes fesses et je sais que le fauve qui sommeille en lui s’est réveillé. La chasse ne fait que commencer ! En remontant les escaliers, je tombe sur François qui les descend. Il me donne un baiser et me dit— Je vais prendre mon petit déjeuner. Et toi ?Je lui réponds— Je vais prendre une petite douche avant de m’habiller.Une fois dans notre chambre, j’ouvre la fenêtre puis le volet. François a rejoint Aurélien sous la pergola et ils sont en grande conversation. Ils en ont pour une bonne demi heure à se raconter leurs histoires. Je choisis un petit string rose et une petite robe d’été rouge et blanche dans la penderie et je ressors de la chambre en me dirigeant vers la salle de bain.Mais en passant devant la porte de la chambre du vieux maître de maison, j’ai comme une envie. Je frappe discrètement, j’entre et referme aussitôt la porte derrière moi. Marc Antoine est assis dans son lit, le dos bien calé contre un gros oreiller et il lit La Provence. Je m’approche et il me salut d’un— Bonjour délicieuse Hélène. Dans mon journal il n’y a que des atrocités. Heureusement que vous venez m’apporter l’éclat de votre beauté.Ma chemise de nuit puis ma nuisette glissent à mes pieds. Il me regarde comme s’il voyait La Madone en personne. Je me glisse sous les draps et il vient s’allonger entre mes jambes. Il me déguste la chatte quelques secondes puis me dit— Oh, vous êtes déjà toute trempée ! Seriez-vous excitée et en manque de si bon matin ?Bien évidemment, je ne vais pas lui avouer que c’est son coquin de fils qui m’a mise dans cet état. Je lui dis simplement— Pendant les vacances, je suis très gourmande de sexe !Il remonte sur moi et son énorme gland cogne contre ma chatte. Il me dit— Je serai ravi de vous honorer comme vous le méritez chaque fois que vous en avez envie.Avant de lui offrir ma bouche à dévorer, j’arrive à lui dire— Mais n’oubliez pas Marc Antoine, je veux la plus grande discrétion. Que diraient votre fils et votre petit-fils s’ils apprenaient la chose ?Il me répond— Oui vous avez raison. Cela doit rester notre secret.et sa langue se met à jouer avec la mienne.Son sexe long et épais, même s’il n’est pas des plus rigides, remplit complètement ma chatte. Je fais le vide dans ma tête, je ne pense à rien, je laisse le plaisir envahir mon bas-ventre puis remonter jusqu’à la pointe de mes seins qui se dressent de plaisir.Le vieil homme me besogne calmement mais sûrement, c’est bon ! Au bout d’une dizaine de minutes, il me mordille les seins, me serre plus fermement par la taille et pousse un long râle de bête sauvage. Son foutre coule en moi et cela me fait du bien. Cinq minutes plus tard, je suis sous la douche et dix minutes après je rejoins François et Aurélien qui sont toujours sous la pergola à discuter. Aurélien me lance un long regard de convoitise. Que penserait-il s’il savait que c’est son père qui a profité de la place qu’il avait si bien préparée de ses doigts agiles ? Après une matinée paisible passée sur la plage près du club 55, je remonte pour le déjeuner. Janine, l’employée de maison a préparé quelque chose de frais à base de légumes de saison, de poissons et d’herbes de Provence ; le tout bien arrosée d’huile d’olives. En dessert, même si ce n’est pas très bon pour la ligne, nous avons droit  une tarte tropézienne maison. Etant la seule femme à table, je suis assise à la droite du vieux patriarche mais il reste bien sage et n’a aucun geste équivoque. Son fils n’arrête pas de me regarder avec une préférence pour mon profond décolleté. Alors que Janine nous sert le café, Aurélien lance à la cantonade— Cet après-midi, je vais faire un tour avec notre voilier qui n’a pas bougé depuis quelques mois. Qui m’accompagne ?Marc Antoine décline l’invitation car il ne supporte plus le soleil en tout début d’après-midi, François refuse car il n’a pas le pied marin et n’a pas envie de passer tout son temps plier en deux par-dessus le bastingage, Pierre-Henri a un rendez-vous avec des amis à Cogolin. Je réponds donc— Je ne pourrai pas vous aider à quoi que ce soit mais je veux bien vous accompagner.Un quart d’heure plus tard, alors que tous les autres vaquent à leurs occupations, Aurélien et moi, chargés de quelques paquets, descendons le boulevard Patch pour rejoindre la plage. Là, nous embarquons dans un petit canot et mon capitaine de vaisseau se met à ramer en direction d’un joli catamaran aux voiles bleu azur et aux deux coques bleu marine. Au-dessus de l’immatriculation TLF87523, je lis le nom du voilier « La Sirène ». Tout un programme !Aurélien s’approche de la poupe du catamaran, stabilise le canot, déplie l’échelle de coupée et me dit— Allez-y Hélène, montez à bord. Je vais attacher le canot à une ancre et il va tranquillement nous attendre.Quelques instants plus tard, nous voici tous les deux embarqués. Je m’allonge sur l’espace à la proue tandis qu’Aurélien hisse les voiles. Quelques instants plus tard, profitant d’une légère bise, nous voguons vers le large. Je ne porte sur moi qu’un léger short en drap mousse ainsi qu’une petite brassière assortie. Ce n’est pas une tenue provocante mais cela sculpte parfaitement mes fesses musclées et mon 85C de tour de poitrine. J’ai pris avec moi un sac de plage contenant lunette de soleil, crème solaire, le dernier numéro de Femme Actuelle et une petite bouteille thermos contenant du thé.Bien calée sur la plage avant, je lis ma revue féminine. Le vent souffle et le bateau file à vive allure. Du coin de l’œil, je vois Aurélien, torse nu en bermuda bleu, manœuvrer la barre avec professionnalisme. Il est déjà bien bronzé et je le soupçonne de s’être préparé à ces vacances en usant de séance d’UV dans un institut à Berlin. Il est bien bâti, musclé et doit certainement prendre un certain plaisir à s’afficher ainsi devant moi en grand skipper.Sans quitter son poste de pilotage, il me lance— Hélène, vous devriez profiter du soleil et de la tranquillité des lieux pour parfaire votre bronzage.Le coquin, il a envie d’en voir un peu plus. Je décide de jouer le jeu et je retire ma brassière. Je reste quelques instants assise sur la plage avant pour apprécier le souffle du vent sur mon ventre et sur mes seins. C’est un régal et instantanément mes tétons se dressent. Je m’allonge à plat ventre et savoure la chaleur du soleil sur mon dos. Soudain, je sens deux mains sur moi et j’entends Aurélien me dire— Attention ma belle ! En mer, le soleil est le pire ennemi de la peau. Laissez-moi vous passer un peu de crème solaire.Une fois enduite de crème, ses mains me massent les épaules et le dos pour bien étendre le produit protecteur. Mais bien évidement, ses doigts s’égarent sur mes flancs, caressent mes seins et effleurent mes tétons. Ils descendent aussi largement en bas de mon dos, s’insinuent sous l’élastique de mon short et me massent le haut des fesses. Je me laisse faire, le jeu m’excite. Quelques minutes plus tard, Aurélien a repris sa place à la barre mais j’imagine son regard osé sur moi et sa queue au garde-à-vous. Je crois bien m’être endormie car la voix puissante d’Aurélien me fait sursauter— Venez Hélène, nous allons nous baigner. Rien de tel qu’un bon bain de mer pour se rafraîchir un peu ! J’ai mis une ancre flottante et nous nagerons à proximité du bateau.Sachant très bien ce qu’il attend, je décide de le provoquer un peu— Mais Aurélien, je n’ai pas pris mon maillot de bain !Il me rétorque— Nous sommes à 5 miles nautiques de la côte, soit presque 10 kilomètres. Personne ne peut voir que vous vous baignez nue !J’opine d’un mouvement de tête, je me lève et je retire mon short en prenant bien mon temps. Lorsque je me retourne, je vois que mon skipper a fait de même et je constate qu’il a un sexe aussi bien proportionné que celui du vieux patriarche.Il se dirige vers l’échelle de coupée et descend pour se mettre à l’eau. Je fais de même et je ne doute pas qu’il a les yeux fixés sur mon entrejambes. En pénétrant dans l’eau, le contraste est si fort entre la température de mon corps et celui de la mer que cela me saisit. J’ai la chair de poule et je me mets vite à nager pour me revigorer avec Aurélien à mes côtés. Lorsque je sens que ça va mieux, je fais la planche et me maintiens à la surface de l’eau pas un simple petit battement des pieds. Aurélien s’approche, passe un bras derrière ma tête et m’embrasse à pleine bouche. Je me laisse faire !Il parvient ensuite à se caler entre mes jambes et son énorme sexe grossit entre mes cuisses. Oui, je dois bien le confesser, j’apprécie me savoir convoitée par ce beau mâle !Mon squale change une nouvelle fois de position et c’est maintenant lui qui fait la planche. Grâce à de petits battements de pieds, j’arrive à maintenir le buste hors de l’eau et je me penche vers la bitte d’amarrage qui se présente à moi. J’ouvre grand la bouche pour parvenir à l’avaler entièrement, mais j’ai tout de même la commissure des lèvres bien distendue. Sa bite a un léger goût salé mais ce n’est pas désagréable du tout. J’emprisonne dans ma main droite l’énorme hampe et je continue à téter le gros gland violacé. Aurélien a les yeux fermés et se laisse aller sous mes caresses et succions. J’ai envie de le faire jouir et je décalotte entièrement son gland, je le branle avec lenteur et je l’aspire avec avidité. Mais le coquin arrive à se contrôler. Soudain il ouvre les yeux et me dit— Remontons à bord Hélène, ce sera plus confortable !Je sais qu’il n’y a rien à répondre car il sait qu’il va parvenir à ses fins. J’arrive à l’échelle de coupée que j’escalade de nouveau. Tout en montant les quelques échelons qui permettent d’accéder à la plage arrière, je veille à bien écarter les jambes pour qu’Aurélien ne perde rien du spectacle. Les gouttelettes d’eau de mer perlent sur mes lèvres intimes déjà bien entrouvertes, glissent sur mes poils pubiens puis dégoulinent lentement le long de mes jambes. Je sens les yeux du requin fixé sur sa prochaine proie.Nous voici maintenant allongés tous les deux à l’avant du catamaran sur une épaisse serviette de plage. Je suis sur le dos, Aurélien se cale dans le compas de mes jambes qu’il écarte au maximum ; heureusement que je suis sportive ! Il soulève mes jambes encore humides et les place sur ses épaules de chaque côté de sa tête. Sa queue est raide comme le mat du bateau et il n’a pas besoin de l’empoigner pour me caresser la fente de son gland.Il m’enserre par la taille et poursuit ses mouvements en insistant un peu plus fort à chaque aller-retour. Je sens ma fente qui s’ouvre, mes chairs qui se distendent et absorbent centimètre après centimètre son énorme gourdin. J’ouvre grand la bouche, je recherche l’air comme si je me noyais mais c’est dans un océan de plaisir que je suis en train de sombrer.Ses bourses cognent maintenant contre mes fesses, son pubis se frotte au mien. Le boa a pris possession des lieux et sa tête gonflée de sang frappe le fond de ma matrice. Je suis au bord de l’évanouissement tellement j’ai l’impression d’être envahie par un énorme corps étranger. Mais voilà qu’Aurélien accélère lentement la cadence et sa bite coulisse maintenant avec la régularité d’un métronome dans ma chatte largement ouverte et généreusement lubrifiée. Après la queue du patriarche ce matin, je peux effectuer la comparaison avec celle de son fils. Je dirais qu’elles sont aussi grosses l’une que l’autre, que ma chatte s’adapte parfaitement à l’une comme à l’autre, cependant, je donnerais un léger bonus au fils. En effet, sa queue me semble bien plus dure que celle de son père, il faut dire qu’ils n’ont pas le même âge. Une vague de plaisir remonte de mon ventre jusqu’à mes seins en irradiant autour de mon nombril. Je sens venir un orgasme puissant et je me laisse aller à encourager mon skipper de la voix— Allez-y Aurélien, en avant toute !— Hissez la grand-voile et tenez bon la barre !A ses puissants coups de boutoir, je comprends vite que je n’ai pas affaire à un jeune mousse mais à un navigateur bien expérimenté. Les voiles claquent dans le vent, ses couilles claquent contre mes fesses, le catamaran prend de la vitesse, le mandrin coulisse plus vite en moi, le clapotis des vagues contre les deux coques se mélange aux bruits de frottement de nos sexes.Soudain Aurélien me dit— Allez moussaillon, virons de bord !et de ses bras puissants, il me fait pivoter sur moi-même, toujours empalée sur sa queue, et me voici maintenant en levrette le visage dans la serviette de bain. Il m’enserre de nouveau la taille, retire entièrement sa queue et la replonge au fond de ma chatte. Même si je suis déjà bien ouverte, chaque réintroduction me fait l’effet d’une dilatation vaginale tellement sa queue reste grosse et bien dure. Je savoure le fait d’être ainsi possédée, voire éventrée, tout en sentant la caresse du vent partout sur mon corps.Aurélien me crie— Oh belle Hélène, je sens la lame de fond qui monte en moi. Que dis-je, c’est un véritable tsunami !Je lui dis— Allez-y mon capitaine, arrosez moi bien ! C’est un peu comme si nous franchissions l’équateur du plaisir !Il me serre tellement que je ne peux plus bouger, il veut que je sois sa chose, la plage sur laquelle il va répandre son flot tumultueux.Le voici qui se crispe, qui se soude à moi et un geyser de foutre éclate en moi. Il me prend, je m’abandonne, il se répand et je l’absorbe. Alors que nous sommes encore emboîtés l’un dans l’autre, comme deux bois flottés gisant sur le rivage, je pense à cette chanson de Renaud « Ce n’est pas l’homme qui prend la mer, c’est la mer qui prend l’homme… » et je me dis « Ce n’est pas l’homme qui prend la sirène, c’est la sirène qui prend l’homme ». Ce matin, j’ai baisé avec le père et cet après-midi je voulais le fils. Je l’ai attiré dans les mailles de mon filet, il n’a rien vu venir et il croit m’avoir attrapée alors que c’est lui qui s’est fait piégé. Que les hommes sont faibles ! Une fois que nous avons repris nos esprits, je remets mon short et ma brassière tandis que lui renfile son bermuda. Il faut dire que nos corps ont eu le temps de sécher ! Aurélien se réinstalle derrière le gouvernail, je m’assoie près de lui sur un siège fixé sur la coque de bâbord. Soudain Aurélien me dit— Hélène, vous êtes vraiment une femme délicieuse ! J’adore votre tempérament de feu et j’espère avoir le plaisir de profiter encore un peu de vous avant votre départ.Je le regarde avec un grand sourire sans répondre. Il poursuit— Bien calé derrière vous tout à l’heure, j’ai eu tout loisir d’admirer le rivage et le paysage qui s’offrait à moi. J’aime naviguer en eaux calmes mais j’aime aussi m’aventurer dans des endroits plus dangereux. Prendre un aussi joli cul que le vôtre, c’est un peu comme franchir le cap Horn !Je lui réponds— Vous pourrez explorer avec moi tous les caps que vous souhaitez. Mais je vous demande la plus grande discrétion. Vous ne voudriez tout de même pas choquer votre père et votre fils par un comportant de goujat ! Et que penseraient-ils tous les deux de moi ? Que je suis la dernière des salopes !Il acquiesce— Oui Hélène, vous avez tout fait raison ! Soyons discrets pour mieux en profiter. Même si je ne doute pas que mon père vous trouve charmante, les jeux coquins ne sont plus de son âge ! Très fière d’avoir réussi à lui donner le change, je lui réponds— Merci beaucoup Aurélien. Gardons nos distances devant tout le monde, nous n’aurons que plus de plaisir à nous retrouver en cachette ! Une fois de retour à la villa, je me précipite sous la douche ; l’eau fraîche calme les morsures du soleil. Lorsque je rejoins notre chambre, nous avons encore près d’une heure avant le dîner. François est alangui dans un fauteuil devant la fenêtre grande ouverte et lit un roman. Une fois séchée, je lui dis d’une voix de chatte— Chéri, tu veux bien me passer de l’après-soleil sur le dos ? J’ai peur d’être toute rouge demain matin.Je suis allongée nue sur le lit, il s’approche, se met à califourchon au-dessus de mes jambes et m’enduit de crème. Il la répand bien, me malaxe pour la faire pénétrer et l’onctuosité du produit me fait le plus grand bien.Soudain il me dit— Je t’en mets aussi sur les fesses et l’arrière des cuisses. On dirait bien que tu as fait du bronzage intégral Je lui réponds— Oui, je n’ai pas pu résister. Je suis sûr que tu préfères me voir le corps tout hâlé !Il reste sans voix mais ses mains m’obligent à bien ouvrir les jambes. Il me masse les fesses, insinue bien ses doigts entre mes globes bien fermes. Je sais que dans cette position il a une vue plongeante sur ma chatte. Il me dit— Tu sembles bien ouverte chérie ! On dirait qu’il n’y a pas que le soleil qui a bien profité de ton corps !En guise de réponse, j’écarte un peu plus les jambes et décolle mon pubis du matelas. Il comprend aussitôt l’invitation. Deux secondes plus tard, il est planté dans ma chatte et me besogne à son tour. Bien évidemment, le passage ayant été ouvert auparavant par un mandrin de taille bien plus grosse, le sexe de François est plus qu’à l’aise. Il décide alors de se retirer et m’encule d’un coup sec. Satisfait de ce nouveau conduit bien serré autour son sexe, il me dit— Ah, il me semble que cet orifice n’a pas été exploré cet après-midi. Je suis ravi d’en profiter !Un bon quart d’heure plus tard, son foutre se répand dans mes reins. Je suis comblée ! Le temps de me refaire une beauté, réajuster ma tenue, nous descendons juste à l’heure pour le dîner. La conversation entre les quatre hommes est des plus sérieuses et je les écoute d’une oreille distraite. Je repense à cette belle journée qui m’a vue me faire prendre par le père le matin puis par le fils l’après-midi. Ce qui renforce mon plaisir, c’est que l’un comme l’autre pense être le seul à bénéficier de mes faveurs. Lorsque nous sommes tous ensemble, pas le moindre regard fripon, pas le moindre geste déplacé, pas la moindre parole grivoise.Mais dès qu’ils le peuvent, dans la cuisine devant l’évier, dans l’escalier coincée contre la rampe, derrière un bosquet dans le jardin, ils me volent une caresse ou un baiser en espérant que bientôt ils pourront avoir bien davantage.Plongée dans mes pensées, je regarde alors un peu mieux le jeune Pierre-Henri qui est en face de moi. Il est bien charpenté, le regard clair et je sais qu’il est sportif et musclé. Se pourrait-il qu’il soit aussi bien doté par mère nature que son père et son grand-père ? Se pourrait-il qu’il soit encore puceau ?Mon entrejambes devient moite, je serre les cuisses et cela m’émoustille. Oui, je crois que je vais m’intéresser de plus près à ce charmant jeune homme…..
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