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De père en fils ....

Chapitre 4

Avec les trois, c'est mieux !

Avec plusieurs hommes
Nous voici presque au terme de notre séjour chez les de Sailly puisque demain samedi, dès l’aube, nous reprenons la route pour rentrer à Paris. Toutes les bonnes choses ont une fin et le travail nous appelle ! Mais nous ne sommes que vendredi matin et j’espère bien faire de ce dernier jour dans le golfe de Saint-Tropez une journée inoubliable.Aussi, dès le réveil au lit, je me colle contre François et glisse ma main dans son pantalon de pyjama. Je lui caresse délicatement les bourses puis ma main s’empare de sa queue qui grossit lentement au fur et à mesure que je la branle. Le coquin ne dit rien et fait semblant de dormir. J’accentue le mouvement pour bien décalotter son gland à chaque fois que je suis en bas de sa hampe.J’approche ma bouche de son oreille et je lui susurre— C’est notre dernière journée, il va falloir penser à remercier nos hôtes pour la chaleur de leur accueil.Il ne répond toujours pas mais il ondule lentement du bassin en se calant sur le rythme de ma main. Je poursuis d’une voix suave— Si cela ne t’ennuie pas, c’est moi qui les remercierai ce soir après dîner. J’ai envie de leur laisser à tous les trois un souvenir mémorable.François ondule un peu plus vite, j’accélère mes mouvements de poignet. J’ajoute — Ce serait bien que tu trouves un prétexte pour nous laisser seuls, histoire de ne pas les gêner par ta présence.avant de conclure d’un— Qui ne dit mot consent !Il ne me dit toujours rien mais il se crispe sous le drap et de longs jets de foutre fusent. Je comprends que c’est sa façon de valider et signer le programme de la soirée. Après le petit-déjeuner, je vais marcher seule sur la plage pour profiter du calme. C’est un vrai bonheur de marcher au bord de l’eau avec les vagues qui viennent mourir contre mes jambes. Dire qu’il va falloir la semaine prochaine reprendre ma vie de parisienne et troquer le sable de la plage contre le bitume des trottoirs.De retour à la villa, je suis sous la pergola à prendre un café avec tout le monde lorsque François annonce qu’il nous invite tous au restaurant ce soir afin de fêter la fin de ce magnifique séjour provençal et remercier nos hôtes. Le reste de la journée se poursuit normalement entre une rapide sortie à Ramatuelle pour acheter quelques souvenirs, le rangement de nos affaires et la préparation des valises, le déjeuner, une petite sieste puis une ultime sortie à la plage.Il est 19h00, tandis que les quatre hommes se lancent dans une longue conversation politique, je décide d’aller prendre une bonne douche avant de me préparer pour le dîner. J’ai bien l’intention de sortir le grand jeu !Il est près de 19h45 lorsque je descends les retrouver. J’ai mis une longue robe d’été rose fuschia bien décolletée et largement fendue sur le côté. Comme il est impossible de mettre un soutien-gorge, je ne porte qu’un petit string blanc en dessous. Je prends tout de même un petit gilet rose framboise dans mon sac pour me couvrir s’il fait trop frais en fin de soirée. Bien évidemment, les quatre mâles cessent leur conversation et me regardent avec attention. Je lis dans les yeux du patriarche combien le feu qui couve sous les cendres est prêt à se ranimer, dans ceux du fils combien les flammes sont prêtes à se transformer en un gigantesque brasier et dans ceux du petit fils combien une simple petite étincelle suffirait à mettre le feu aux poudres. Mais j’ai bien l’intention de profiter du dîner pour les provoquer un peu plus afin de m’embraser avec eux plus tard. Nous voici donc au restaurant Le Girelier avec vue sur le port de Saint-Tropez. Dès l’apéritif, nous bavardons à bâtons rompus du prix exorbitant des villas sur la Côte d’azur, des études du jeune Pierre-Henri, de la diplomatie européenne et de mille autres choses toutes aussi variées les unes que les autres.Installée entre Marc Antoine et son fils Aurélien, je suis bien évidemment à portée de main des deux. Dès que le patriarche pose sa main sur ma cuisse, je m’empresse de veiller à ce que Aurélien ne fasse pas de même. Tandis que la main un peu rugueuse du vieil homme se faufile par la fente de ma jupe et remonte vers mon string, je m’empresse de poser discrètement ma main au niveau de la braguette du fils de manière à éviter qu’il n’entreprenne quelque chose tant que la place entre mes cuisses n’est pas libre.Tout en participant activement à la conversation, je ne suis pas pour autant inactive sous la table ; j’écarte grand les jambes pour que Marc Antoine me caresse et je branle lentement Aurélien. Chacun des deux s’imagine certainement être le seul à bénéficier de mes charmes. Lorsque Marc Antoine retire enfin ses doigts trempés de ma chatte, je continue tout de même à branler mon voisin de gauche. En face de moi, Pierre-Henri ne cesse de plonger son regard au fond de mon décolleté. Je décide alors de retirer discrètement l’une de mes chaussures et j’allonge ma jambe sous la table pour venir la caler dans l’entrejambes du jeune homme. Lorsque mes orteils viennent au contact de sa braguette, le jeune homme a un léger sursaut mais se ressaisit bien vite lorsqu’il voit mon sourire complice. Branlant le père d’une main, excitant le fils du pied, je prends mon verre et le porte sensuellement à mes lèvres. Je savoure le vin qui s’écoule lentement dans ma gorge, je suis certaine que tous les deux imaginent un autre liquide empruntant la même voie.Je ne sais nullement si François a remarqué quelque chose mais, très stoïque, il continue à alimenter le cours de la conversation tandis que je continue à entretenir le feu sacré des trois autres hommes. 
Au dessert, je décide de reposer ma main gauche et c’est la droite qui prend la direction de la braguette de Marc Antoine. Ma paume se plaque sur le tissu et bien vite je sens sa queue qui se dresse. Aurélien a quant à lui décidé de partir à l’exploration de mes cuisses. J’imagine sa surprise quand, parvenant à mon entrejambes, il découvre combien je suis déjà toute moite et bien ouverte. Il doit penser que c’est son charme qui agit déjà ; il serait moins fier s’il savait que c’est son père qui a déjà bien visité les lieux.Quand à ce coquin de Pierre-Henri, sans se faire remarquer, il a réussi à ouvrir sa braguette et à sortir sa queue sur laquelle mes orteils agiles font le plus grand effet.Alors que le dîner se termine et que François se dirige vers le comptoir pour régler l’addition, je dis aux trois hommes— Que diriez-vous d’un dernier petit tour sur la plage lorsque nous arrivons à la villa ? J’ai très envie de profiter encore un peu de cette dernière soirée avec vous.Les trois hommes acquiescent ; mon plan se déroule comme convenu. François revient et nous repartons en voiture.  Alors que nous approchons de la villa, je dis à François qui est au volant— Chéri, tu vas jusqu’au bout du boulevard Patch et tu gares la voiture. Nos hôtes ont envie de marcher un peu sur la plage avant de rentrer se coucher.François, qui a compris que c’est maintenant qu’il doit honorer l’engagement pris ce matin au lit, me répond— Je suis fatigué et il faut que je sois en forme pour conduire demain matin. Je crois bien que je vous dépose et je remonte en voiture jusqu’à la villa pour me coucher.Aurélien souscrit à la proposition— Oui, remonte avec la voiture. Après notre balade, nous pourrons bien faire quelques mètres de plus et remonter à la villa à pied.Marc Antoine achève de le convaincre— Nous allons veiller sur Hélène comme il se doit !François nous dépose, Pierre-Henri s’empresse de descendre et m’ouvre la portière. En descendant de la voiture, la fente de ma robe s’entrouvre laissant voir le tissu de mon string. Je lui fais un long sourire tout en passant sensuellement la langue sur mes lèvres.Aussitôt sur le sable, je retire mes chaussures et m’avance vers le bord de l’eau. Les trois hommes me suivent ; j’accentue l’ondulation de ma coupe.Alors que les vagues m’effleurent les pieds, Marc Antoine lance à Aurélien et à Pierre-Henri— Allez les garçons, on se fait un petit bain de minuit comme au bon vieux temps ?Aurélien lui rétorque— Papa, tu crois que c’est encore de ton âge ?Le patriarche lui rétorque— Sache gamin que je me baigne ici tous les jours de l’année. Rien de tel pour maintenir la forme.Soudain Pierre-Henri leur lance— Eh les vieux ! Moi je serai dans l’eau avant vous.En moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire, il se met à poil en entre en courant dans l’eau. Le père et le fils se regardent alors que le petit-fils est déjà en train de s’ébattre dans les vagues avec de l’eau jusqu’à la ceinture. Je défais les bretelles de ma robe qui glisse à mes pieds, mon string suit le même chemin et je m’élance à mon tour dans l’eau en leur disant— Allons messieurs, de l’audace !Pour l’instant, Marc Antoine et Aurélien ne semblent pas vouloir réagir et restent là debout au bord de l’eau. Mais lorsqu’ils me voient me coller à Pierre-Henri et l’embrasser à pleine bouche, Aurélien crie à son père— Oh la garce ! Elle nous provoque.Marc Antoine lui rétorque aussitôt— Ou bien elle nous invite à les rejoindre !Les voici qui se déshabillent enfin et entrent dans l’eau. Quelques secondes plus tard, les trois hommes nus sont là autour de moi. Leurs mains parcourent mon corps, leurs bouches suivent le même chemin. Je leur dis alors— Messieurs, j’avais envie d’un bon bain de minuit en galante compagnie. Mais ne sachant pas lequel choisir, je crois que vous avez choisi pour moi !C’est finalement Aurélien qui libère le premier ses pulsions sexuelles en me répondant— Vous voulez de la queue Hélène. Eh bien vous allez voir de quel bois sont faits les de Sailly.Il se colle alors à mon dos, m’enserre solidement la taille et m’oblige ensuite à me pencher vers l’avant. Puis, s’adressant à Pierre-Henri, il lui dit— Allez fiston, à toi l’honneur ! Cette jolie salope va te sucer !Je commence par téter le gland du jeune homme ; il est salé mais gourmande comme je suis cela ne m’empêche pas de prendre ensuite toute la queue en bouche. Je le pompe avec délectation, il grossit rapidement pour prendre une dimension plus qu’intéressante. Aurélien a décidé de prendre les affaires en main, peut-être pour être certain de garder le meilleur pour lui. Le voici maintenant qui m’entraîne vers le rivage en disant— Venez tous. Cela va être plus confortable !Il fait asseoir Pierre-Henri sur le sable mouillé, les vagues viennent lui caresser les bourses. Il m’oblige ensuite à me mettre à quatre pattes devant son fils puis lance à son père— Papa, à toi de l’honorer en premier. Cette salope a l’air d’avoir envie de se payer toute la tribu.Marc Antoine lui répond— Il me semble difficile de résister à une telle invitation.Le patriarche se place derrière moi, prend sa queue d’une main et frotte son gland contre ma fente. Bien vite, ma chatte s’entrouvre et me voici avec la grosse bite du doyen bien plantée au fond de moi. En même temps, le sexe du jeunot coulisse entre mes lèvres. J’ai toujours adoré les étreintes avec plusieurs mâles mais là, avec trois hommes de la même famille, la situation est encore plus excitante, voire perverse.Aurélien conseille à son fils— Ne jouit pas dans sa bouche fiston ! Pense au plaisir que tu auras à la prendre après qu’elle ait été bien ouverte et lubrifiée par ton grand-père.Marc Antoine me maintient fermement par la taille et me besogne à grands coups. Il jubile— Oh que c’est bon Hélène ! Dès que vous êtes arrivée à la villa, je me suis douté que vous étiez une gourmande. Je ne me suis pas trompé !Oh le coquin ! Il n’ose pas avouer aux deux autres qu’il a déjà eu l’occasion de vérifier mon statut de salope. Soudain, il se crispe et se soude à moi. Ses jets de foutre se répandent en moi tandis qu’il crie— Oh mes enfants, que c’est bon ! J’ai l’impression de retrouver mes vingt ans. Je n’ai pas le temps de refroidir que Aurélien dit à son fils— A toi Pierre-Henri. Allonge toi et laisse là s’empaler sur toi.Le fiston s’exécute et nous voici tous les deux bien emboîtés ; lui en dessous et moi au dessus. Sa bite est finalement aussi grosse que celle de son grand-père car elle me remplit entièrement. Heureusement, bien lubrifiée par le foutre du patriarche, je n’ai aucun mal à absorber cette seconde bite.Comme je m’en doutais, Aurélien s’est réservé mon petit cul. Compte tenu de notre expérience précédente, je pense qu’il adore enculer ses conquêtes. Peut-être est-ce sa façon d’affirmer sa suprématie sur la gent féminine ? Personnellement cela ne me gêne pas car j’avoue adorer ça !Mais avant d’en arriver là, le vicieux a décidé de se joindre à son fils pour me dilater la chatte. Il réussit à poser son gland contre ma fente et force un peu pour se frayer un passage dans l’orifice déjà investi. Après quelques allers-retours, sa queue est bien lubrifiée par ma mouille et le foutre de son père. Il se retire et vient se positionner contre mon petit œillet. Je tends la croupe, je me décontracte et d’un seul coup, me voici enculée bien profondément. Je suis éventrée tellement ils ont de grosses queues. J’ai l’impression que leurs glands frottent l’un contre l’autre en moi. Que c’est bon !Très certainement excité par la scène, Marc Antoine se place debout au dessus de Pierre-Henri face à moi. Il dit à sa progéniture— Cette salope me fait encore bander. Je vais me faire sucer pendant que vous la remplissez.La bite du patriarche dans la bouche, celle du fils dans le cul et celle du petit-fils dans la chatte, j’ai l’impression de participer à une partouze familiale. Je ne pensais pas que mon plan se déroulerait si bien ! Tout en coulissant entre mes reins, Aurélien me travaille les tétons qui durcissent. Pierre-Henri me tient solidement par les hanches et arrive à me pistonner malgré l’inconfort de sa position. Quant à Marc Antoine, d’une main passée derrière la nuque, il m’oblige à l’emboucher jusqu’à la garde. A chacun de ses coups de queue, j’ai l’impression d’étouffer.Soudain, Aurélien pousse un long râle et annonce à ses deux complices— Oh oui, je vais jouir ! Remplissez là vous aussi !Comme un seul homme, les trois larrons m’inondent en même temps. J’avale le foutre du doyen tandis que le foutre du père et du fils se répand dans mes entrailles. Pour un bain de minuit, c’est réussi !Une fois que nous sommes tous les quatre remis de nos émotions, faute de serviettes de bain, Aurélien décide que nous allons faire à poil les deux cents mètres nous séparent de la villa. Une fois parvenus à destination, les trois hommes me remercient pour cette belle soirée et me souhaitent une bonne nuit.Une fois ma douche prise, je rejoins François au lit. Il me demande— Alors, tu es parvenue à tes fins ?Je lui réponds— Oui, et les trois en même temps !Il me rétorque— Tu es une sacrée salope. Je t’adore ainsi !Je me glisse sous le drap et le suce. Dès qu’il bande bien, il me fait allonger sur le ventre, me baise quelques minutes avant de m’enculer.Il me lance— Tu es sacrément ouverte ! Ils y sont allés forts.Quelques instants plus tard, son foutre se mêle à celui de son copain Aurélien. Il est 8h00 le lendemain matin lorsque François et moi prenons place dans notre voiture. Il est temps de prendre la route pour remonter sur Paris. Les trois de Sailly sont autour la voiture pour un ultime « au revoir ». François les remercie pour leur hospitalité et souligne combien ce séjour a été agréable.Au moment d’ouvrir le portail pour nous laisser partir, le patriarche nous lance par la vitre ouverte— Nous espérons vous revoir tous les deux l’an prochain. Il y aura certainement mon autre fils ainsi que ses deux grands garçons. Mais il y aura bien de la place pour tous !Le coquin, il pense déjà à me faire baiser par le reste de la famille…..
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