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Le père de mon petit ami

Chapitre 1

Gay
Cette histoire que je m’apprête à vous raconter peut sembler sortie tout droit d’un fantasme d’adolescent, mais elle m’est bel et bien arrivée, il y a presque vingt ans. Malgré le temps qui a passé, je m’en souviens encore dans les moindres détails. Aujourd’hui, à l’aube de mes quarante ans, je ne peux pas prétendre me souvenir de chacun de mes rapports sexuels, mais celui j’espère ne jamais l’oublier.
À cette époque, j’avais dix-neuf ans, je passais la soirée chez mon petit ami qui lui en avait vingt-deux ans. Nous sortions ensemble depuis environ trois mois. Même si nous avions l’habitude de souvent baiser ensemble ce soir, cela nous avait été impossible. Ses parents ainsi que ses trois sœurs étaient à la maison, ce qui limite l’intimité. Nous n’avions échangé que quelques baisers furtifs et tenu la main pendant que nous regardions des films. Une soirée plutôt platonique.
Le dernier film d’action que nous avons regardé était si captivant que nous en avions oublié l’heure. Nous n’habitions pas dans la même ville, du coup lorsque le film termina, je réalisai que j’avais manqué le dernier autobus pour rentrer chez moi. Il était passé minuit, mes parents étaient assez stricts, il était hors de question que je ne rentre pas. Mes options pour rentrer chez moi étaient plutôt limitées. Je n’avais pas assez d’argent pour me payer un taxi, donc mon petit ami me proposa de prendre son vélo et de rentrer chez moi à vélo.
Réveillé par nos murmures, son père se leva et vint voir ce qui se passait. Il s’opposa à notre plan, car c’était dangereux de circuler si tard dans les rues désertes. Il me proposa donc de venir me reconduire, soulagé de ne pas avoir à pédaler pendant plus d’une heure, j’acceptais son offre. Pendant qu’il retournait à l’étage enfiler son jeans et un t-shirt, mon copain et moi en profitions pour nous échanger quelques baisers langoureux avec la langue. Lorsqu’il revint, il nous surprit en plein baiser alors que mes mains s’agrippaient au petit cul bombé de mon amoureux. Gêné de me faire surprendre, je me dégageais de mon copain et le saluai timidement et je pris place dans la voiture.
Le père entra à son tour dans la voiture et me fit un petit sourire s’amusant de ma gêne et nous prîmes la route. Il brisa le silence le premier, me disant de ne pas m’en faire et de ne pas être gêné pour ça. Qu’il avait lui aussi eu 20 ans un jour et que n’avions rien fait de mal. Cela ne le gênait pas que son fils soit gay et acceptait très bien l’orientation sexuelle de son fils. Il me questionna sur mes parents et comment ceux-ci avaient réagi à l’annonce de mon homosexualité. Je lui expliquai que même si mes parents étaient au courant, le sujet était rarement abordé. Que j’avais l’impression que même s’ils l’acceptaient, ils préféraient faire comme si ça n’existait pas.
Nous avons continué à discuter, il me dit de ne pas m’en faire qu’au final, mes parents allaient finir par être plus à l’aise avec la situation. Puis il continua sur le sujet de l’homosexualité que même s’il n’avait aucun problème avec ça, il comprenait mal comment on puisse être attiré par quelqu’un du même sexe que soi. Je lui répondis que je pouvais mal lui expliquer que c’était ainsi et que ça s’imposait à nous naturellement comme pour un homme envers une femme. J’étais peu à l’aise d’échanger avec cet homme dans le début de la cinquantaine environ sur un tel sujet et dans ces situations, j’ai souvent tendance à dire la première chose qui me passe par la tête, intelligent ou pas. Dans ce cas-ci, je rajoutai à la blague :
— Et puis, y a personne qui ne suce mieux qu’un homme.
Il me regarda l’air surpris de ma réplique et moi je sentis la chaleur me monter aux joues, je ne me suis pas vu, mais probable que mon visage venait de passer au rouge. Après quelques secondes voire quelques minutes de silence inconfortable, il me dit :
— Je sais pas. J’ai jamais essayé ou même jamais pensé qu’un homme pouvait être meilleur à faire ça qu’une femme.— Vous êtes bel homme, je suis sûr que si un jour vous voulez essayer, vous allez trouver un volontaire.
Une voix dans ma tête me cria « FERME-LA » et je sentis la chaleur augmenter d’intensité à mes joues, je tournai la tête pour regarder vers l’extérieur. Il était temps que j’arrête de parler. Heureusement, on se rapprochait de chez moi et je pourrai sortir de cette situation inconfortable.
— Vraiment ? me dit-il en riant.
Je le regardai et vis qu’il avait posé sa main sur son entrejambe. De plus en plus mal à l’aise, ne sachant plus quoi dire, je décidai de tourner ça à la blague, je mis ma main sur sa cuisse et dis en riant :
— Sans aucun problème.
Il agrippa ma main et la glissa sur son entrejambe, il tourna dans le stationnement désert d’un centre commercial et gara la voiture.
— Tu veux bien me montrer ? dit-il.
Son entrejambe était chaud et me semblait bien rempli et je ne sentais pas d’érection au travers de son jeans. Moi, du haut de mes dix-neuf ans, rempli d’hormones, j’avais la queue plus qu’au garde-à-vous, je la sentais déjà couler.
À cet instant de mon histoire, je dois avouer que c’est un peu flou, je ne me souviens plus trop ce que j’ai répondu ou de ce qui s’est passé, mais on s’est retrouvé à l’arrière de sa mini-fourgonnette afin d’avoir plus d’espace. Je me souviens que j’étais aussi excité qu’effrayé, en plein milieu d’un stationnement, sur une espace publique, j’étais sûr que j’allais voir débarquer la police. Un adolescent et un homme d’âge mûr à l’arrière d’une fourgonnette, on allait clairement m’arrêter pour prostitution.
Il descendit son jeans et libéra une grosse queue épaisse, circoncise et parcourue de nombreuses veines prête à irriguer l’engin. Sa queue retomba lourdement sur ses couilles, elle semblait aussi lourde que grosse. Encore, à ce jour, je ne crois pas avoir vu de pénis plus gros donc encore moins à cet age. J’étais impressionné de ce que j’avais devant les yeux. Avec mon actuel petit ami, je n’avais été en contact qu’avec deux pénis auparavant. Mais aucun des deux n’égalait ce que je voyais et visiblement mon petit ami n’avait pas hérité des gênes de son père pour la queue. J’avais eu mon premier rapport sexuel il y avait un peu plus d’un an, j’étais somme toute assez inexpérimenté. Je ne savais même pas ce que je devais faire avec ça.
Instinctivement, j’approchais ma tête de sa queue et commençai par la lécher, je n’osais même pas la toucher. J’embrassai timidement son gland et ouvris ma bouche pour refermer mes lèvres sur le bout afin de me faire une idée de la grosseur.
— Sors ta langue.
Je me laissais guider et sortis ma langue, il souleva sa queue avec sa main et la déposa sur ma langue, elle était effectivement lourde, bien chaude et je pouvais sentir les veines avec ma langue. Il avança son bassin afin de faire rentrer sa queue dans ma bouche. J’avais la bouche pleine et je commençai à la sucer. Rapidement, sa queue prit de l’expansion, dans ma bouche, il bandait solidement. Je sentis son gland atteindre le fond de ma gorge. J’ai dû reculer la tête pour libérer de l’espace et un flot de salive coula en même temps de ma bouche. Je récupérai un peu de salive avec ma main et agrippai sa massue à la base afin d’imposer une limite à ce qui pouvait entrer dans ma bouche. Sa queue semblait encore plus grosse lorsque je l’ai prise avec mes petites mains. Et c’est ainsi que j’entrepris de le sucer de la même façon que je suçais son fils, car je ne savais pas m’y prendre autrement.
Je fis un mouvement de va-et-vient en suçant un peu plus à chaque fois, la salive continuait de me couler de la bouche.Je devais de temps à autre sortir son gros pénis de ma bouche pour prendre une ou deux bouffées d’air avant de me replonger à la tâche. Il semblait apprécier la pipe que je lui faisais, je l’entendais gémir et sentais son corps et ses muscles se relâcher. Je ne pourrai pas vous dire combien de temps ça a duré, cinq minutes ? Dix minutes ? Quinze minutes ? Plus/moins ? Je n’ai pas eu la notion du temps, je sais juste que plus je le suçais, plus facilement sa queue s’enfonçait dans ma gorge. À la fin, je pouvais presque la prendre tout entière sans difficulté.
Et soudainement, il se retira de ma bouche juste à temps pour éclabousser mon visage de cinq généreux jets de sperme bien chaud et bien épais. J’avais le côté du visage inondé de sperme, jusque dans les cheveux. J’avais beau être gay, adoré les bites comme un malade, me les prendre en pleine gueule ou en plein cul, le sperme me répugnait. Jamais je n’avais accepté que l’on me vienne au visage, je tolérais tout juste sur mon torse. Ce petit jus gluant qui sort du même trou que l’urine me dégoûtait. Mais ce soir-là, je reçus ma première faciale et ce ne fut pas le dernier, cet homme m’a appris à aimer le sperme. J’ai bien peu dormi la nuit suivante, je revivais cette pipe encore et encore en me masturbant à chaque fois. Oui, j’ai changé les draps le lendemain.
Je vous ai raconté ce récit le plus fidèlement possible, mais de nombreuses années se sont écoulées depuis, il est possible que ma mémoire et mes fantasmes aient altéré le récit des événements. Mais, jamais je n’oublierai ce gros pénis et l’odeur de ce sperme. Je n’ai jamais revu cet homme, mon petit ami m’a larguée une semaine après sans raison valable. Je ne crois pas que j’en sois la cause, j’imagine mal le père aller se vanter de ça. J’ai su également par des amis communs que les parents de mon ex-petit ami avaient divorcé. Encore une fois, aucune chance que j’en sois la cause, mais dans mes fantasmes, j’en suis la cause.
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