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Pérégrinations publiques

Chapitre 1

Sentier de forêt.

Hétéro
Avant toute entrée en matière, nous tenons à nous présenter au lecteur curieux voulant découvrir nos aventures quelque peu extraordinaires. Tout du moins, cette aventure en particulier. Nous sommes un jeune couple marié depuis deux ans maintenant. Connus lors de nos études, dans deux branches complètement différentes. J’étais en lettres. Elle s’intéressait plus à la finance. Une soirée étudiante. Je l’ai abordée et une sorte de connexion nous a directement arrimés. Elle vient de fêter ses vingt-cinq ans. Elle, c’est Géraldine. Un petit bout de femme d’un mètre soixante. De longs cheveux bruns. Des yeux noisette terriblement brillants. Des petits seins aux magnifiques tétons rosés. Elle a des hanches assez bien formées, juste ce qu’il faut, lui dessinant un petit cul que j’aime regarder. Moi, le grand mari qui lui permet d’ouvrir les bocaux en verre trop serrés, aide durant les courses pour prendre le paquet le plus haut de l’étagère.
Un bon mètre quatre-vingt pour la même nuance de cheveux. Coupés courts, parfois en pétards lorsque je retarde inexorablement le rendez-vous chez le coiffeur. Des yeux verts qu’elle trouve terriblement charmants. Je ne pense n’avoir rien oublié. Peut-être mon prénom. Appelez-moi Nathan.
Fort pris par notre travail durant la semaine, nous aimons nous retrouver le week-end. Et aimons, entre autres, nous balader en nature, insouciants des tâches ménagères, du temps qui passe. Je pense que tout a commencé par un week-end, transition entre les chaleurs de l’été et la fraîcheur de l’automne. Un soleil illuminait cette fin de journée. Nous avions décidé de nous promener autour de chez nous. Un gros village. Une petite ville. Quelle est donc la meilleure manière de décrire notre lieu de vie ? Soit. Cela n’a guère d’importance. La fraîcheur nous avait poussés à sortir nos vestes fines de saison. Vêtus de nos chaussures de marche, nous avions entrepris cette promenade, comme nous aimions le faire depuis un certain temps.
Aux abords de notre commune, il y avait un pont surplombant une ligne de chemin de fer. Un pont qui existe toujours. Si nous prenions les escaliers étroits qui s’y trouvaient, nous nous trouvions juste à côté de cette ligne, sur un sentier de forêt, en terre battue, qui faisait une boucle de quelques kilomètres parmi la petite forêt. C’était une partie boisée de quelques kilomètres carrés. Un vrai petit air de forêt. Nous aimions bien cette boucle. Arrivés au bas des escaliers, elle se cala contre le mur de pierres du pays et me regarda dans les yeux. Son regard étincelait.
— Je te veux, me dit-elle, d’une voix qui ne trompait pas. — Là ? Tout de suite ?
J’étais étonné de sa proposition. Nous avions une vie sexuelle prospère et qui continue de l’être jusqu’à présent. Je ne revenais pas qu’elle propose cela d’un coup, dans cet endroit ouvert à tout promeneur, ou curieux se promenant sur cedit pont. Elle portait sa veste d’un gris foncé, ouverte sur un petit pull de laine d’un gris clair, quant à lui. Un jeans slim clair que j’appréciais particulièrement, car il collait parfaitement à ses petites jambes et lui dessinait son cul à la perfection. Pour toute réponse, elle déboutonna son jeans, fit glisser la braguette de son pantalon, le glissant suffisamment pour me permettre d’avoir une vue sur son petit slip noir. Je regardai autour de moi. Gauche. Droite. Comme si je m’apprêtais à traverser. Personne. Je dois avouer que cette situation éveilla en moi un début d’envie. Peut-être plus qu’un début.
Lorsque mes yeux se posèrent à nouveau sur elle, elle avait baissé son jeans à mi-cuisses et faisait de même avec son sous-vêtement, me laissant apercevoir un sexe parfaitement épilé, aux lèvres des plus discrètes. Je m’approchai d’elle. Elle défit, un à un, les boutons de mon propre pantalon, baissant mon boxer pour prendre mon sexe légèrement éveillé au creux de sa paume. Elle commença de légers mouvements de va-et-vient, dans une branlette un peu maladroite de par nos positions, avant de glisser mon gland contre les lèvres de son sexe. Elle continua de me masturber alors que je pouvais sentir la chaleur et la moiteur de son propre désir. Je ne tardai pas, comme vous vous en doutez, à rapidement bander sous cet acte, laissant deviner mon empressement par quelques coups de reins contre son intimité.
Elle posa le haut de son dos contre le mur gris, se penchant légèrement. Je glissai en elle. Elle était humide. Je n’avais pas pris conscience de son désir brûlant jusqu’à ce moment. Si serrée et mouillée, de par cette position, je dois vous dire qu’il ne m’en fallut pas plus pour me sentir des plus chauffés. Je commençai un lent et court va-et-vient. Ses mains sur les pans de mon pantalon ouvert, elle appuyait mes mouvements, en tirant sur le jeans quand je venais elle. Je ne pus m’empêcher de regarder autour et au-dessus de nous si personne ne nous voyait, nous espionnait. À moins que cela soit l’envie que quelqu’un nous regarde. Peut-être, un peu des deux. Le petit chant des oiseaux avait laissé place à celui des gémissements de ma bien-aimée. Discrets. Mais profonds. Je m’enhardis, élevant ce chant dans sa superbe. Je voyais ses yeux fermés, savourant ce plaisir ; son sexe serré m’accepter jusqu’à la garde.
Je ressentais un plaisir de plus en plus présent, ayant un souffle de plus en plus coupé. Bientôt, mes propres gémissements accompagnèrent les siens.
J’allais et venais avec plus de puissance, moins de retenue. Je me sentais venir. Il ne fallut que quelques minutes pour que je vienne en elle. Je l’avais prise jusqu’à la garde et resta deux longues secondes, le souffle court, les mains appuyées contre la froideur de la pierre, avant de me retirer. Je vis ma semence couler de son sexe, toucher le fond de son slip. Elle le regarda, un instant, avant de remonter son slip, comme si de rien n’était, de se rhabiller après cette aventure.
Nous reprîmes notre balade. Deux minutes plus tard, nous croisions un couple de sexagénaires. Après un bref salut, nous n’avons pas pu nous empêcher de nous regarder et de rire légèrement, encore sous l’emprise de l’excitation.
Cela nourrit nos envies de pérégrinations publiques.
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