Emely Byreden finit de mettre sa robe de bal bleue. Lilith ; la jeune femme de chambre lui passa son collier vert serti d’émeraudes autour du coup. Le collier allait parfaitement avec la robe et cachait un peu la naissance de sa poitrine ferme malgré ses 57 ans ; il faut dire qu’elle avait payé cher pour cela mais l’argent n’était pas ce qui lui faisait défaut.La robe en mousseline bleue mettait en valeur sa silhouette fine, c’était une des dernières créations de Giovanni Gaco le nouveau grand couturier en vogue donc parfaite pour cette soirée de bienfaisance où tout le gratin de la haute société locale allait venir défiler pour exposer ses richesses ; les femmes rivalisant les unes avec les autres pour être la plus chic et la plus enviée.Emily n’enviait aucune femme ; elle était de loin la plus riche de toutes et d’ailleurs aucune ne cherchait à rivaliser avec Madame Byreden ; la veuve du grand magnat de la finance et grand Banquier Alexandre Byreden. A sa mort Emily avait hérité de la majorité des actions de la banque et elle était aussi charger de gérer les avoirs laissés par son défunt mari à Alison la fille d’Alexandre et donc belle fille d’Emily. La famille Byreden très ancienne et très aristocratique n’avait pas beaucoup aimé cela et malgré les procès et autres recours Emily avait conservé tous les biens de la famille. Les Byreden avaient alors changé de stratégie et décidé d’organiser une réunion de conciliation où Emily s’était montrée conciliante et avait décidé de continuer à subvenir aux dépenses dispendieuses de la famille comme Alexandre le faisait.-Madame vous êtes magnifique dans cette robe monsieur Brown va être subjugué dit lilith.-Je l’espère ; je l’espère répondit Emely en se dirigeant vers la porte. La seule mention du nom d’Anthony suffisait pour la mettre dans tous ses états.Elle avait rencontré Anthony Brown dans une des nombreuses soirées où elle participait. Anthony avait 20 ans de moins qu’elle et malgré la différence d’âge et de milieux social ; elle avait été touchée par l’audace et la fougue de ce jeune homme qui avait été le seul à lui parler alors qu’elle était en conflit avec les Byreden.Il avait fait sa cour comme un véritable gentleman lui offrant des fleurs, des cadeaux et organisant des nombreux diners aux chandelles. Il avait attendu six mois le temps du deuil ; avant d’aller plus loin que les baisers échangés à la hâte devant la porte avant de se séparer.Emily avait vu un homme gentil, attentionné et à l’écoute lui faire patiemment la cour même s’il maquait selon elle de force et de poigne à première vue. Mais l’homme doux qu’elle connaissait, était autre en matière de sexe. Anthony se révéla être un amant exigeant et quasi sauvage.Bien sûr elle avait été attirée, par son physique de grand mannequin brun qui laissait entrevoir ses pectoraux fermes et durs aussi bien au toucher qu’à la vue ; mais elle n’avait pas imaginé qu’il était aussi bien doté ailleurs.
Un soir alors qu’ils revenaient d’une sortie au restaurant, elle avait accompagné Anthony dans son appartement et pour la première fois elle avait pu passer le seuil ce qu’Anthony refusait auparavant. Alors qu’il rangeait son manteau elle en avait profité pour rapidement jeté un coup d’œil sur le mobilier et la décoration au demeurant très sobres et impersonnels de l’appartement. Lorsqu’elle s’était retournée pour regarder dans la direction d’Anthony, elle avait un homme au regard d’acier, nu.En regardant entre ses cuisses, alors que le sang affluait dans son visage rougissant à cause de l’excitation et de la honte qu’elle ressentait, elle avait aperçu un long et trapu phallus qui lui avait coupé le souffle. Dressé et tendu ; l’engin pointait vers elle son gland énorme et turgescent.Elle avait reculé vers la porte les mains sur la bouche pour étouffer le OOOhhh de surprise qu’elle avait voulu pousser.-Qu’est ce que ça veut dire ? Quelle mouche t’a piqué Anthony ? Avait-elle demandé tout en continuant de reculer jusqu’à ce que la porte cogne contre son dos.Sans un mot Le jeune homme s’était approché, avec toujours ce regard dur de prédateur, qui inspirait la terreur à cet instant à Emily qui se sentit pour la première fois à la merci d’un homme qu’elle croyait doux mais qui ce soir là elle vit tout autre.Il avait alors pris les deux bras d’Emily, les avait levé et tenus dans une main au dessus de sa tête, Emily terrifiée et excitée n’avait pas osé bouger ni protester. L’autre était alors venu contre sa poitrine, l’avait caressée un instant à travers la robe et d’un coup cette main s’était agrippée sur la robe au niveau du décolleté et il avait tiré de toute ses forces réduisant en lambeaux une tenue qui valait des milliers de dollars.Le soutien gorges avait subi le même sort ainsi que son string. Elle s’était retrouvée nue ne gardant que ses talons en quelques secondes. Anthony avait alors écarté ses cuisses avec une de ses jambes et de sa main avait soulevée une des jambes d’une Emily surprise et hébétée par le comportement de son courtisant si doux d’habitude. Sans autre détour, il avait pris son élan et son phallus s’était frayé un chemin tant bien que mal entre les lèvres vaginales de sa conquête qui sentit une véritable foreuse l’envahir et distendre l’entrée qui se révéla étroite de son vagin.Les premiers coups de boutoirs qu’elle reçut d’Anthony, furent douloureuses pour Emily ; le pénis d’Anthony étant trop gros et trop long ; elle sentit les chairs de son intimité se dilater et distendre fort douloureusement pour accueillir cet hôte hors norme. Elle hurla sa douleur et essaya de se libérer de cette étreinte, mais lui qui avait toutes ses amantes hurler à chaque première pénétration tint bon et même accélérant la cadence pour lui permettre de s’habituer à la taille de son phallus. Clouée contre la porte Emily passa dix minutes terribles ; elle hurlait et criait, elle pleura même comme une jeune fille, mais peu à peu son plaisir vint se mélanger à la douleur et ses cris de douleur se transformèrent peu à peu en râles de plaisir.La puissance et la force d’Anthony la firent complètement chavirer et elle sombra dans un état second de plaisir. Anthony sans être pour le moins essoufflé ni fatigué par ses efforts, se fit un plaisir de baiser méthodiquement cette veuve si esseulée avec beaucoup plus de force et de puissance ; il la sentit s’éveiller et commence à prendre plaisir dans cet assaut qu’elle subissait. Calmement il décida de donner plus de rythme à ses coups de boutoir qui ravageaient la chatte d’une Emily totalement offerte.Emily se sentit de plus en plus possédée, son excitation et son plaisir montaient en même temps que les décibels de ces cris de plaisir. Alors qu’elle jouissait, elle perdit toute notion de temps et de lieux et s’évanouit de plaisir dans les bras d’Anthony.Il sentit qu’elle perdait connaissance et se retira de la chatte le phallus toujours dressé sans avoir transpiré après 35 minutes d’efforts.Il coucha Emily par terre devant la porte et alla prendre un verre de whisky dans son petit bar. Il s’assit dans le canapé et attendit.Au bout d’un moment Emily repris conscience et se leva. Elle se tourna vers Anthony et vit de nouveau son phallus toujours dressé. Il fit signe d’approcher et la tenant sur ses cuisses il reprit sa besogne là où il s’était arrêté avant qu’elle s’évanouisse.Ce soir là, Emily ne dormit pas, elle n’eut aucun répit, Anthony la baisa partout dans l’appartement. Il la prit sur la table, à même le sol et en levrette et lui procura de nombreuses fois de la jouissance. Au petit matin, épuisée et comblée, elle avait été reconduite chez elle par Anthony. Elle avait débarqué chez elle avec une chemise et un jean trop grand pour elle et vit le regard médusé de Lilith devant sa tenue et sans même se changer ; elle se rappelle qu’elle s’était assoupie sur la moquette du salon tellement elle était vidée.En descendant les marches pour aller le rejoindre, ces souvenirs la font mouiller.
