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Péripatétichien

Chapitre 1

Chapitre 1 version 1 Naissance d'une vocation.

Zoophilie
C’est Jessica qui m’a donné l’idée.
Jessica, c’est une nana que j’ai ramenée  de boîte, un soir, comme je fais souvent.
J’en chope souvent des plus mignonnes, mais bon, ce soir là, comme j’ai failli rentrer bredouille, j’ai pris ce qu’il se présentait.
Il faut dire que je suis un véritable queutard. A 26 ans passés, je n’ai pas envie de me caser. Les nanas, c’est juste pour un coup, un plan cul. Je les drague, je les invite, je les saute et au revoir. Parfois, il y en a qui essaient de s’accrocher. Si ce sont des bons coups, je les fais revenir mais jamais plus de trois ou quatre fois ou alors très espacés dans le temps. J’aime pas qu’elles s’accrochent. Je tiens à ma liberté.
Ce soir là, donc j’ai pris Jessica. Je ne tire pas le gros lot à tous les coups...encore que celle-là, c’est vraiment un gros lot, énorme même, un bide genre paquet de graisse, un gros cul ds cuisse larges mais bon heureusement, des nichons à l’avenant. J’aime bien les fortes poitrines. De ce côté là, c’est une vraie laiterie qu’elle a la meuf.
J’ai bien conscience que je ne peux pas toujours être très exigeant. Si encore j’avais un beau visage... mais il faut être réaliste.
Alors je compense. J’exhibe mes pectoraux musclés dans des t-shirt serrés. Je passe des heures en salle de muscu et à faire des arts martiaux pour me faire un corps de rêve sur ma belle peau de métis.
Et puis, si la nature ne m’a pas fait une belle gueule (mais je suis pas un monstre non plus hein... faut pas déconner), elle m’a doté d’un joli braquemart qui a fait de la musculation tout seul comme un grand. Près de 21X 6 cm le machin, avec un gros gland visible sous le prépuce mais tout lisse sans l’espèce de petit bourrelet que la plupart des mecs ont... et une belle paire de roustons bien pleine et pendante qui vous lâche une bonne dose de foutre. Bien sûr, je porte des futals moulants pour bien montrer la poutre apparente.
Le tout me vaut généralement du succès et, la réputation aidant, je tire ma crampe quasi à volonté.Sans me vanter, je suis un bon coup. Pas le genre à rentrer-sortir et tout finir en dix minutes.Les nanas, je leur fais la totale. Je leur bouffe la raie, je leur décrasse bien le minou, je récure jusqu’au fond avec la langue, je mange le cul, les seins, tout. Je les monte dans toutes les positions qu’elles veulent. Je m’adapte. A celle qui demandent de la douceur, j’en donne, celles qui veulent du hard, je les déglingue par tous les trous...Et quand  il y a une bonne copine pour participer, c’est jamais non.
Mais là, Il n’y avait que Jessica.
Dès qu’on est rentré, je l’ai foutue à poil et au pieu. Elle sentait un peu fort, la transpiration. A vrai dire, sa moule puait... En fin de soirée, tout le monda sait ça, si on prend pas de douche, faut faire avec les odeurs, et on n’a rarement le temps de se laver avant. D’ailleurs, en général, ça ne me dérange pas.  Et puis, on va pas se mentir, je ne devais pas être en meilleur état après trois heures de danse, d’alcool et de drague. J’avais même les bonbons qui collaient au papier. Mais je lui ai quand même bien bouffé la raie, en levrette pour commencer, et je l’ai enfilée pour bien lui chauffer la chatte tout en lui massant les seins.
Et puis mon portable a sonné. Je l’avais laissé dans ma veste, dans le couloir. Je suis allé l’éteindre et je suis revenu. J’ai horreur d’être dérangé pendant que je baise.  Mais j’ai mal fermé la porte.

Je me  suis allongé :-  Bouffe -moi la bite !
Elle a enfourné le zob sans complexe et elle a commencé à bien m’exciter la salope. Putain de bonne suceuse ! Le gland, les boules la hampe, tout y passait. C’était une putain de bonne pipe et je me félicitais finalement d’être revenu avec cette fille si peu attirante mais si experte. Parfois on saute des canons mais qui sont à moitié frigides et d’autres fois des demi-boudins qui sont vachement bonnes sous l’homme.
C’est alors que mon chien est rentré. C’est un grand mâle d’un peu plus de deux ans, une sorte de bâtard de doberman et de dogue, au poil noir, ras et doux.
-  Casse-toi Apollon ! (Oui, mon chien s’appelle Apollon, vu comment il est taillé en force et beau comme un Dieu. je suis très fier de mon chien).
D’habitude, il m’obéit au doigt et à l’œil, mais là, il est resté à tourner en rond, à gémir, à haleter et à me déconcentrer.
-  Putain, Apollon, tu fais chier ! Dehors !
La fille ne s’était pas arrêtée de sucer avec la même application, pas perturbée pour deux sous, mais le chien frôlait le lit au bord duquel j’étais allongé et diminuait mon plaisir. Lors d’un de ces passages, j’ai aperçu sa tige, rouge et longue, bien tendue.
-  Oh putain, il bande à mort !
J’ai senti à un mouvement de sa tête que, tout en continuant de me pomper, la fille jetait un œil vers le clebs. Puis elle a passé une des ses mains entre ses jambes et elle a dû se caresser. En même temps elle a fait pivoter son corps pour ne plus être coincée entre le bas du lit et le mur dans l’alignement de mes jambes tendues, les nichons écrasés sur mes cuisses, mais pour se mettre, perpendiculairement à mon corps et au lit, tout au bord.
Aussitôt le chien est venu lui renifler la raie.
-  Oh, fais gaffe, il te sent la raie...
Elle a répondu hmmm, hmmm seules interjections que lui autorisait sa bouche pleine mais qui voulaient sans doute dire ; "Je m’en rends mieux compte que toi connard".
Et sans crier gare, le clebs est monté dessus, en me griffant le torse au passage. J’ai gueulé et essayé de me dégager mais le poids de la fille et du chien sur mon moi m’en ont empêché.
-  Putain, il te grimpe, là, il te grimpe... putain fais quelque chose !-  C’est toi qui devrait faire quelque chose. Il trouve pas le trou ! Aide-le !-  Quoi ? Ai-crié.-  Aide-le bordel. Il a l’air d’avoir une super bonne gaule, plus longue et dure que ce que j’ai jamais vu. J’veux pas rater ça. Aide-le. Attrape-lui le zboub et fous-moi-le dans le trou. Tu vois bien qu’il peut pas y arriver tout seul. t’es con ou quoi ?-  Tu veux te faire sauter par mon chien... j’le crois pas ! T’es vraiment qu’une grosse truie...-  Tu crèves d’envie que j’avale ton sperme et tu fais le dégouté. Pauv’gars ! Si t’es pas cap, casse-toi, j’vais me démerder tout seul avec lui... t’es peut-être jaloux parce qu’il en a une plus grosse que toi.
Elle avait vu juste. Il fallait me vexer. Alors j’ai progressé à tâtons sous le ventre du chien. J’ai vite trouvé sa bite qui expulsait des petits jets de jute dont ma main a été couverte.
-  Avance-toi un peu.
Elle l’a fait et j’ai pu guider l’extrémité du zob dans la chatte. Le machin s’est enfilé d’un coup et j’ai senti l’énorme base de la bite, une sorte de boule de pétanque, s’écraser contre les grandes lèvres.
La fille a gémi et le chien a commencé à pousser en avant avec un rythme rapide très saccadé en soufflant comme un bœuf.
-  Ramène-moi ta bite que je te termine.
Alors je me suis remis en position pour qu’elle me bouffe la queue tout en se faisant mettre.
Il m’a semblé que de se faire monter ainsi la stimulait car elle s’est acharnée à me branler et à me sucer et elle a vaincu mon endurance. J’ai joui avant le chien, directement dans sa bouche, à gros bouillons. Elle recrachait le sperme au fur et à mesure que je me déchargeait. J’en ai eu le pubis trempé et les couilles recouvertes. Elle a continué à me lécher les couilles et la pine pendant que je débandais, provoquant d’exquises sensations sur le gland.
Je me suis dégagé et suis descendu du lit pour regarder de plus près. En me postant derrière, j’ai vu le gros truc rouge qui faisait pression contre les chairs. La chatte suintait sans arrêt et les couilles bien rondes et glabres de mon chien dansaient en cadence avec la régularité d’un métronome dans un balancement lourd mais harmonieux. Putain ! Si je pouvais avoir des roustons comme ça ! Encore mieux que les miens.
Visiblement le toutou était ravi et la fille commençait à crier de plus en plus. Ses doigts se sont crispés sur la couette et elle s’est mise vraiment à gueuler.
Puis Apollon a accéléré et il a finalement expulsé son foutre dans la nana en délire.
Il s’est retiré aussitôt, la bite encore toute tendue et recouverte d’une couche blanchâtre très onctueuse et le sperme a commencé à s’échapper du trou et à dégouliner sur les cuisses. J’ai pensé : "Putain, il va tout me salir". Mais au lieu de cela, il s’est mis à lécher son propre foutre sur le cul tendu de la fille.
Elle s’est remise à couiner. Elle faisait pas semblant. J’ai cru qu’elle allait ameuter le voisinage tellement elle braillait des : "Oh oui, oh oui, c’est bon , ouiiii, hmmmmmm, aaaahhh....".
Quand il en a eu marre, il s’est arrêté. Alors elle s’est assise contre le lit et a mis la tête du chien contre ses gros nichons. Elle respirait très fort.
-  Oh, c’est un bon toutou ça ! Oh qu’il est gentil le chien. Il reviendra jouer avec la dame, hein le chien ?-  Tu crois qu’il va te répondre ?-  Oui, il aime ça le bon chienchien, hein.
Et comme s’il approuvait, ce con a aboyé.
-  Tiens tu vois qu’il est content ton clebs.
Puis, il est reparti pour aller se coucher dans la buanderie où je lui est aménagé son espace.
Il y a eu un long moment de silence. Je regardais la fille, jambes écartées, vulve boursoufflée, impudique, la tête appuyée sur le rebord du lit, paupière closes, du sperme tout autour de la bouche et sur les poils de la chatte.
-  Je le crois pas...tu t’es faite baiser par mon chien... je le crois pas...-  Un super bon coup... quelle bite, mais quelle bite !.... la sensation... immense... un truc de ouf. Ça pulse sans arrêt. Quel pied ! A refaire... t’as pas un autre chien ?-  Nan, nan, désolé....-  Et toi, tu es à nouveau d’attaque ?-  Nan, nan...
En fait, j’avais plus envie du tout.
-  Même pour m’enculer...-  Une autre fois si tu veux...-  Avec le chien ?-  Euh... j’sais pas. Tu fais souvent ça ?-  Avec le chien ?-  Oui .-  Non. C’était la première fois, mais j’vais refaire... Enfin si tu veux bien...-  Euh, je sais pas.
En fait si, je savais mais je n’avais pas envie qu’elle revienne.
-  Tu sais, tu pourras me baiser aussi...-  Cool. Ai-je répondu tout en pensant : "J’m’en fous"!-  Tu sais ce que tu devrais faire ?-  Non.-  J’connais deux ou trois nanas, on en a parlé, qui ont ce fantasme là. J’peux te les amener. J’en connais même qui le feraient pour du fric.-  Ah ouais ? Et elles sont mignonnes tes copines.-  Ça dépend des goûts mais je peux te dire qu’elles aiment la bite.-  Faut voir....-  Tu veux que je t’en présente ? Tu me laisses ton 06.-  Ecoute, je sais pas...-  T’as peur de quoi ?-  De rien mais....-  OK, tu te dégonfles, comme tous les mecs. Pas grave. Aller, je me casse. J’te laisse mon numéro... si tu changes d’avis, je te ferais connaître des nanas qui s’éclateront avec vous deux... enfin surtout avec ton clebs parce que toi, t’es un peu rapide... on m’avait dit que t’étais un meilleur coup.-  Tu dis quoi là ? Qui t’en a parlé ?-  Arrête. Te la joues pas! Je connais bien quatre ou cinq filles qui sont venues avant moi et elle m’avaient dit que t’étais super au pieu. Franchement, t’es bien foutu mais tu tiens pas trop la route par rapport à ce qu’on m’avait dit. Enfin moins qu’Apollon... ça c’est un homme !-  Attends, attends. C’est la première fois que je vois une fille se faire monter par un chien. Alors ça m’a perturbé et j’ai été moins performant que d’habitude mais autrement, j’t’assure, j’suis plus endurant.-  On dit ça !-  OK, OK... tu reviens quand pour voir ?
Et tout en lui posant la question, je me suis dit : "Putain, la garce, elle m’a bien eu".
-  Après-demain soir, ça te va ?-  Ça marche.-  Avec le chien ?-  S’tu veux.-  22 h 00 ?-  Tu peux pas un peu plus tôt, 21 H 00 ? (J’avais dans l’idée de m’en débarrasser assez vite pour avoir le temps de repartir ensuite trouver mieux).-  OK.
Puis elle s’est rhabillée et s’est barrée.
Elle était ponctuelle le surlendemain et elle en a eu pour le coup. Mais par précaution j’ai attendu que le chien la finisse pour bien prendre mon temps. Et là, je lui ai fait un truc d’enfer.
A suivre.
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