Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire zoo
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 44 J'aime
  • 2 Commentaires

Péripatétichien

Chapitre 2

Chapitre 1 version 2 Naissance d'une vocation

Zoophilie
Ce mec me faisait littéralement triper... depuis des semaines... Mathis, métis. Ou ses parents sont cons ou ils ont le sens de l’humour pour lui avoir donné un prénom pareil vu sa couleur de peau.Un Malabar d’1,95 m, tout en muscles. Belle bête.Pas forcément beau. Les oreilles grandes et légèrement décollées, un nez camus et une bouche gigantesque avec dents de publicité pour colgate et des lèvres épaisses... Cette bouche ! comme un énorme ventouse que j’imagine pompant mes tétons ou collée sur ma raie. Une sorte d’aspirateur à plaisir.D’autant que la langue est, paraît-il comme une bite élastique. De l’aveu même des copines, elle est très longue, il la fourre loin dans la chatte où aucun autre mec ne peut aller avec le même organe avant de t’enfoncer l’autre d’organe, le vrai, le marteau-pilon, celui qui crache...Ça, elles en parlent les filles de sa bite ! Un énorme machin d’au moins 20 cm et gros ! Et dur ! D’ailleurs, y’a qu’à voir. Il est un peu pathétique à porter des polos trop petits et des pantalon moule-burnes pour exhiber son matos. On n’a pas besoin de ça pour voir qu’ile est bien gaulé et monté comme un âne.
Alors même s’il est pas très joli et un peu prétentieux comme tous les manches-à-couilles qui savent que la nature les a bien pourvus, les filles y vont. Et pas que des moches ! Il a souvent le choix.Et elles reviennent enchantées, parce qu’en plus, il sait y faire. Il te fait la totale pendant des heures, il t’emmène au septième ciel, il te fait t’accrocher au rideau. Avec lui, orgasme garanti, pas de tabou. Il te prend comme tu veux et il y en a parfois pour deux. Solide réputation le lascard.Moi, il ne m’avait jamais regardée, mais j’avais envie de lui.Et puis un soir, j’ai eu ma chance. Beaucoup de mecs dans la boîte et pas que des pignoufs, des bogosses et bien calibrés et beaucoup de nanas aussi et pas que des saintes mais justement, comme il n’y a que la montagne qu’il n’a pas montée (et manque de pot j’étais dessus) il a voulu un peu de nouveauté. Il retourne rarement avec la même fille. Comme il dit dans un humour lourdingue de macho, il aime le "turn-ovaire". Mais il semblait devoir rentrer bredouille de sa chasse ce soir là. Alors j’ai sorti le grand jeu.Bon, il faut dire que j’avais quasiment mis mes roberts à l’air et il y a de la surface. Il parait que les gros nichons il aime ça. Alors quand j’ai réussi à le coller, il a bavé dessus. Après les banalités d’usage, encore une blague lourde.
-  T’as de très beaux seins sis donc; c’est pas un soutif que tu doit avoir toi, c’est un parachute.-  C’est pas fait pour empêcher de tomber, c’est faire pour faire monter.-  Et ça monte souvent ?-  Quand on trouve la pointure qui va avec...-  J’ai peut-être ce qu’il faut...-  Faut voir... les promesses.-  J’peux te montrer chez moi si tu veux....-  Ouais... pourquoi pas ?
Et on y est allé.On n’a pas perdu de temps, dans sa piaule tout de suite.Il avait tellement transpiré qu’il dégoulinait... mais moi aussi.
J’ai passé ma main entre ses jambes. Le slip était trempé. Le sexe énorme dépassait du sous-vêtement. Je me suis baissée et j’ai sniffé cette bonne odeur de bite, ces relents de mâle. Ça m’a excitée grave.Tout en suçant le gros morceau, j’ai enlevé mes fringues, le haut en tout cas, puis il m’a relevée, basculée sur le lit. Il a arraché la jupe (faut que je change la fermeture-éclair ! Ce con l’a cassée !) et le slip, et s’est mis à me bouffer la chatte.
Les filles n’ont pas menti. J’ai eu un premier orgasme illico. ça l’a stimulé.Il s’est mis debout, m’a retournée, a passé la main entre les jambes pour me faire comprendre qu’il fallait que je soulève mon gros cul. Il a mis une capote et pof ! D’un coup, lent mais régulier, au fond. Il faut dire que je mouillais comme une folle. C’est rentré comme dans du beurre. Il s’est accroché à mes nibards et a commencé à me défoncer en me traitant de tous les noms. Le pied !A ce stade, je n’avais qu’un seul désir, c’est qu’après m’avoir prise par tous les trous, il fasse exploser son préso et qu’il éjacule en moi, violemment, pour me tapisser les parois de sperme, plaisir dont je suis trop souvent privée.En effet, je ne suis pas très belle, trop grosse à vrai dire. Mais, dans mon malheur, j’ai la chance d’avoir une paire de nichons si énormes qu’ils font rêver tous les amateurs de grosses poitrines, les puceaux particulièrement qui viennent perdre leur innocence entre mes jambes avant d’épancher sur mes mamelons, pour la première fois sur une chair autre que la paume de leur main ou les poils de leur pubis, leur dose de foutre.Les mecs, nombreux, qui fantasment sur la branlette espagnole se bousculent pour venir agiter frénétiquement leurs castagnettes, dans des va-et vient plus ou moins rapides, entre Madrid et Barcelone avant que leur réservoir ne se vide de leur blanche essence d’homme.De sorte que j’ai été beaucoup plus souvent couverte de sperme des seins à la tête que je n’en ai reçu au fond de mon vagin.
Ce n’est pas que je n’aime pas ça, au contraire. Mais sentir une bite pulser au moment ou elle expulse ses jets de semence pendant que le mec se raidit, c’est une sensation dont je raffole.J’en étais là de mes désirs lorsque son portable a sonné. Et ce crétin est allé voir ! Première fausse note. S’interrompre pendant que ça queue me déchire pour consulter ses sms...Et quand il est revenu, monsieur avait envie d’une pipe. Il s’est allongé parallèlement au bord du lit et moi je me suis mise au dessus de ses jambes pour les caresser, embrasser ses muscles et ces reliefs poilus qui m’enchantent, puis m’étendre doucement pour sentir ses couilles, commencer à les agacer du bout de la langue, prendre leurs arômes au nez et au palais, pour enfourner le zob au plus profond de ma bouche.La pièce étant petite, quand j’étais au bas du lit, je devais replier les jambes pour ne pas toucher le mur. Il y a juste où passer quelqu’un à moitié de côté.Et voila que ça recommence ! Nouvelle interruption ! Là c’est son chien qui entre, un énorme molosse. Le mec n’a pas l’air content, ça le perturbe, mais bon, il avait qu’à faire attention. Moi je ne m’arrête pas, je pompe. Bonne grosse bite ! Miam !Pendant ce temps Mathis engueulait son chien et puis tout à coup il a crié.
-  Eh mais c’est dingue, il bande !
J’ai tourné légèrement la tête sans m’arrêter de faire tournoyer ma langue autour du gland et j’ai ouvert un œil.Mazette oui qu’il bande !Je n’avais jamais vu un chien bander de ma vie. J’ai été sidérée par la grosseur et la longueur de l’énorme masse rouge qui coulait un peu, à la base de laquelle il y avait un énorme renflement (un knot qu’on appelle ça, je me suis renseignée sur internet. Autrement dit, un nœud en français. Ah oui, pour être un nœud c’était un nœud).Les choses se sont rapidement bousculées dans ma tête.C’était gros, plus que le mec, bien gonflé... je me suis dit que celui-là, dans la chatte, on devait le sentir gicler... et pas besoin de capote. Alors j’ai pivoté pour permettre au chien de se rapprocher de moi... au cas où. Qui ne tente rien n’a rien.
Pour parler franc, je ne m’étais jamais imaginée me faire baiser par un chien, même pas en fantasme, ou par un quelconque autre animal d’ailleurs. C’était un tort, à l’évidence. Le règne animal a des curiosités qui valent le détour. Il faudrait être bien sotte pour s’en priver.Plus que le chien, ce que j’ai vu, c’est de la quéquette. Une sacrée foutue putain de grosse belle quéquette. Un gros truc rouge épais et long, un peu irrégulier mais dur et humide, qui donnait des signes d’excitation en s’élançant en l’air, vers l’abdomen à intervalles réguliers Une queue qui avait envie de moi. Qui ne savait pas si j’étais belle ou moche, si j’avais un gros ou un petit cul, une moule qui pue ou qui sent la rose. Une queue dressée vers moi qui me désirait gratuitement et sans arrière-pensée.Je me suis dit que cette queue là ne calculait pas... et la pelle paire de roustons, qui pendait bien et qui avait l’air très lourde était semblait pleine de belles promesses. Je me suis dit que j’en prendrais un max et que jamais, peut-être, je ne retrouverais l’occasion de croiser un tel gabarit. J’ai non seulement laissé faire, mais j’ai ardemment désiré qu’il le fasse. Peu importe le mâle, pourvu que ce soit un mâle.J’ai senti aussitôt la truffe humide dans ma raie et l’autre qui me disait : "Il te renifle le cul". Je m’en étais rendu compte, tu parles !Et le chien s’est approché; il a hésité un peu... et il m’a grimpée.Le mec a hurlé comme s’il y avait le feu. Le chien l’a griffé au passage.
-  Putain, il te grimpe, là, il te grimpe... putain fais quelque chose !`
Je lui ai répondu que je m’en rendais compte. Je suis pas conne quand même. Je savais bien que ce n’était pas lui, mais son animal domestique qui essayait de me sauter. Seulement la bite cognait entre mon trou du cul et la chatte et, malgré mes mouvements du bassin, je n’arrivais pas à le faire entrer.
-  Mais fais quelque chose toi, aide-le ! Ai-je dit.
Le mec s’est récrié !
-  Quoi, t’es folle, tu vas pas te faire sauter par un chien. Mais t’es qu’une grosse cochonne !-  Ta gueule ! Aide-le ! A moins que tu aies peur que je préfère sa grosse bite à la tienne. Sers à quelque chose au moins !
Le "fais quelque chose" a dû le vexer et j’ai senti la main du gars passer entre mes fesses et le ventre du chien. Il lui a attrapé le bout le l’a fait glisser vers ma chatte après que je me suis repositionnée. Et le truc est entré ! Géant ! Ça a coulissé d’un coup... jusqu’au fond... très raide, dur comme du roc. Le knot s’est écrasé sur ma raie, sans pouvoir rentrer, trop gros, et le chien s’est mis à me pousser en avant. Je sentais les décharges de sperme régulières. C’était du délire.J’étais très chaude et je malmenais la pine du mec que je branlais et suçais avec rapidité, avec une faim dévorante, une gloutonnerie de sexe, un appétit de foutre et de testostérone. Le métis à grosse bite râlait en m’injuriant.
-  Grosse truie, t’es qu’une grosse truie.. j’ai jamais vu une salope pareille. T’as honte de rien. Putain aimer se faire démonter par un chien... Tu m’excites sale pute... pompe, pompe... bien comme ça... T’aime avoir des grosses bites partout cochonne !
Avant mème que le chien ne termine, le mec s’est lâché, directement dans ma bouche. Il avait les burnes bien remplies parce que j’en ai pris une belle dose que j’ai recrachée sur ses couilles et j’ai léché pendant que le chien continuait sa danse sexuelle saccadée.La bouche libre désormais, je stimulais le chien... qui d’ailleurs n’en avait pas besoin. En fait je me stimulais moi-même.
-  Vas-y mon gros, oui, bourre bien, oui c’est bien, elle est bonne ta queue là, féconde-moi, vas-y, fais jouir la madame.
Et puis, tout à coup, il a accéléré et a déchargé un gros flot de foutre, à la manière d’un homme en se crispant à fond. Le liquide a envahi mon vagin et la bite a tapé au bout tout en donnant des coups secs et brefs vers le haut. C’était magique.Il s’est retiré aussitôt. Je n’ai même pas eu le temps de me remettre qu’il a commencé à me lécher la vulve de sa grosse langue. Je croyais être arrivée au bout mais il m’a relancée  et j’ai eu un nouvel orgasme clitoridien du tonnerre. Tellement meilleur qu’un homme ! Plus gros, plus chaud, plus dur, plus mobile ! D’enfer !J’avais envie de me faire prendre à nouveau mais le gars avait déjà giclé tout son sperme dans ma bouche. Il était mou et n’avait pas de solution de secours. J’ai assez vite deviné qu’il avait envie que je me casse et que ce serait foutu pour le revoir. Mais moi, je ne songeais qu’à revivre ce plaisir incommensurable... avec le clebs.Il y a eu un long moment de silence. Puis il a dit.
-  C’est incroyable, j’ai rien vu comme ça...tu t’es faite baiser par mon chien... Personne ne me croira.
J’ai répondu :
-  C’est un super bon coup ton médor là !... quelle bite, mais quelle bite !.... la sensation... immense... un truc de ouf. Ça pulse sans arrêt. Quel pied ! A refaire... t’as pas un autre chien ?-  Non. Un seul, c’est bien suffisant. Faut s’en occuper.-  Et toi, tu veux pas me reprendre ?-  Nan, nan...-  Même pour m’enculer...-  Une autre fois si tu veux...-  Avec le chien ?-  Tu baises souvent avec un chien ?-  Non. C’était la première fois, mais j’aimerais bien recommencer, si tu me le prêtes...-  Euh... je sais pas.-  Tu sais, tu pourras me baiser aussi...-  Cool....-  Tu sais ce que tu devrais faire ?-  Non !-  J’connais des meufs qui m’ont  parlé de ce fantasme là, avec un chien. J’peux les amener. J’en connais même qui le feraient pour du fric.
En fait, je n’en connaissais aucune. Mais il serait bien temps d’en trouver après. En cherchant bien... L’urgence, c’était de garder le contact pour espérer revenir.
-  C’est vrai? Et elles sont mignonnes tes copines ?-  Ça dépend des goûts mais je peux te dire que c’est des chaudasses.-  Faut voir....-  Tu veux que je t’en amène ? Tu me laisses ton 06 ?-  Ecoute,  je sais pas...-  Tu crains quoi ?-  Rien, rien.... mais.... j’sais pas...-  OK, tu te dégonfles, comme tous les mecs. Pas grave. Aller, je me casse. J’te laisse mon numéro... si tu changes d’avis, je te ferais connaître des meufs qui prendront leur pied avec vous deux... enfin surtout avec le chien parce que toi, t’es un peu rapide quand même... on m’avait dit que t’étais un meilleur coup.
Il fallait le piquer au vif. J’ai réussi.
-  Tu veux dire quoi là? Qui t’en a parlé ?-  Arrête! Te la joues pas! Je connais plusieurs nanas qui sont venues chez toi  et qui m’ont dit que t’étais un super coup. Franchement, t’es bien foutu mais tu tiens pas trop la distance... enfin  par rapport à  Hercule...Apollon... j’sais plus comment il s’appelle ton caniche, mais ça c’est un homme !-  Déconne pas ! C’est la première fois que je vois une fille se faire monter par un chien. Il y a de quoi être surpris et déconcentré... et j’ai été moins performant que d’habitude mais autrement, tu verrais !-  On dit ça !-  OK, OK... On remet ça un de ces quatre. Ça te va ?
Il était tombé dans le panneau. J’ai sauté sur l’occase pour ne pas lui laisser le temps de revenir en arrière.
-  Après-demain soir, ça te va ?-  Ça marche.-  Avec le chien ?-  D’accord.-  22 h 00 ?-  21 H 00, je préfèrerais.-  OK.
J’avais mon rencart. Il me restait moins de 48 heures pour tenir mes promesses et revenir avec une fille qui accepterait de se faire saillir par le chien. Il n’y avait pas de temps à perdre.A suivre
Diffuse en direct !
Regarder son live