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Péripatétichien

Chapitre 4

Chapitre 3 Version 1 séance de dressage selon Mathis.

Zoophilie
La garce est revenue seule.
J’étais un peu déçu mais, tout en enlevant son soutif, elle m’a dit avoir trouvé une autre nana pour un autre soir. On n’avait plus qu’à voir comment tirer le meilleur parti du chien et lui apprendre à bien baiser. Et, tout en tripotant ma pine, elle m’a provoqué en me demandant si, ce soir, j’allais tenir la distance. Je pensais en moi même que j’allais la défoncer par tous les trous et qu’elle en redemanderait!
Mais, je dois le reconnaître, la séance de cul avec mon clebs m’avait bien plu. Cela m’avait même franchement excité. J’ai toujours aimé les plans à plusieurs, moi avec des nanas ou une nana avec un ou deux potes bien teubés, d’autant que, dans cette dernière configuration, c’est souvent moi quand même qui ai la plus grosse. Il n’importe, voir une meuf se faire prendre m’excite, surtout quand je participe aussi.
Je ne peux pas dire que la nana me plaisait plus que la première fois. Je ne la trouvai toujours pas spécialement belle, même si elle avait tout ce qu’il faut où il faut. Mais, je n’avais pas eu le temps de bien profiter d’elle. Il était tellement inattendu de voir mon chien la grimper que j’avais pensé à autre chose et que, fasciné par cette scène improbable, j’avais joui dans sa bouche avant d’avoir pu lui éclater tous les trous. Outre ma fierté personnelle qui s’en trouvait blessée, je pensais qu’une nana qui acceptait comme ça, sans sourciller, de se faire monter par un chien ne devait pas avoir beaucoup de limites sous l’homme. Il fallait donc que je la tronche derechef.
Et puis, elle n’avait peut-être pas tort. Si des nanas étaient partantes pour ce genre de trip très spécial, surtout en payant, je serais bien con de ne pas en profiter, surtout que mon chien semblait avoir de bonnes dispositions pour ce genre de jeu.
Mais Jessica, pour le moment me paraissait indispensable. Quoi qu’elle en eût dit, sa façon de se faire enfiler par Apollon me fit penser qu’elle n’en était pas à son coup d’essai. Sûrement, elle avait déjà une pratique certaine de la zoophilie et j’avais besoin d’elle pour former mon chien à cette pratique. Quand ce serait fait, il serait toujours tant de l’envoyer se faire foutre... ailleurs.
Je fis donc contre mauvaise fortune bon cœur. Après tout, j’allais la sauter comme il fallait cette fois mais en me promettant bien de laisser d’abord agir le chien et de la prendre pour moi seul après.
Il se trouve qu’elle était à peu près dans les mêmes dispositions que moi car après m’avoir bien tâté la bite elle réclama le chien.
Elle procéda avec méthode et j’en déduis que mes hypothèses étaient justes. Elle était experte en amours canines.
D’abord, elle me faucha mes chaussettes : "Pour qu’il ne nous griffe pas" précisa-t-elle. Puis, entièrement à moi, elle me demanda de bien lui préparer la raie, ce que je fis sans trop de mal à coups de langue et de doigts. Elle était nettement plus fraîche que la première fois. Sa vulve était délicatement parfumée et je la bouffai comme un dessert des plus délicats. Dès qu’elle commença à s’agiter un peu et à mouiller, elle m’ordonna d’aller chercher le chien. Il s’agissait, disait-elle, de l’empêcher de bander trop vite pour qu’elle ait le temps de se faire enfiler avant que le bulbe n’enfle dans des proportions qui rendaient l’intromission impossible. Il fallait que le "knot", c’est comme cela qu’elle disait, se développât en elle pour lui éclater le trou.
— Et si c’est trop gros ? Et si ça marche pas ? M’inquiétai-je ? Si tu as mal ?— Te fais pas de souci ! Je suis sûr qu’une fois qu’il sera à l’intérieur et qu’il gonflera, ma chatte s’y fera, et avec plaisir encore !
Je me dis qu’elle devait avoir raison, mais avec un peu d’appréhension. Si ça foirait, je me voyais mal appeler les pompiers pour leur dire d’emmener aux urgences une nana avec un chien bloqué à l’intérieur. Quand j’étais au lycée, j’avais entendu, des histoires, légendes urbaines ou réalités, de nanas admises à l’hôpital avec toutes sortes d’objets bloqués dans la chatte ou dans le cul, de la carotte à la canette de bière, et cette histoire d’une femme montée par son berger allemand qui était resté coincé à l’intérieur et qui avait dû se faire transporter à l’hôpital où son mari, chirurgien, était de garde à ce moment-là.
Vraies ou pas, ces récits trottaient dans ma tête au moment où j’allais chercher Apollon.
Quand j’entrai avec le chien, la fille se mit à genoux et l’animal lui fit fête. Il la reconnaissait et l’appréciait mais, pour autant ne bandait pas encore.La meuf voulait qu’il lui lèche les nibards. Elle les tenait fermement dans ses mains pour les lui présenter mais le chien frétillant juste d’impatience et de plaisir mais ne songeait nullement à faire ce qu’elle en attendait.
— Tu as quelque chose de sucré ?— De sucré ?— Oui, miel, sucre en poudre...— Oui... du sucre en poudre... pourquoi ?— Pour m’en foutre sur les tétons et qu’il commence à lécher.— OK viens dans la cuisine.
Mais avant d’y arriver, elle se ravisa :
— Attends ! Ce serait mieux si tu me pissais dessus.— Tu veux que je te pisse dessus ?— Oui. Il aimera mieux que le sucre.— Tu crois que le chien va aimer la pisse ?— Oui.— N’importe quoi !— Fais-moi confiance.— Après tout... C’est toi qui vois !
La salle de bain était juste là, il nous fallut un rien de temps pour être dans la douche. Elle se mit sous le robinet. Je bandais mou mais rien qui m’empêchât d’uriner.
— Arrose-moi bien les nichons !
C’était excitant de voir cette grosse truie offerte. Je dirigeai ma bite avec application où elle le souhaitait et la couvrit entièrement. Elle essayait de relever l’extrémité de ses seins pour qu’ils fussent bien mouillés.
Quand nous eûmes fini, je m’essuyai les pieds et elle le corps, à l’exception des nichons. Le chien nous attendait en allant de droite et de gauche dans le couloir.
Il nous suivit et, dès qu’elle se mit face à lui, toujours à genoux, il renifla les nibards et, effectivement commença à les lécher avec empressement... et au bout de quelques secondes, je vis la bite rouge sortit du fourreau.
— Il commence à bander; dis-je— Super. Allons-y ! il ne faut pas lui laisser le temps d’aller trop vite.
Elle se mit rapidement en levrette. Il renifla la moule rapidement puis se mit en devoir de la grimper, ce qu’il fit tout seul.
— Aïe ! On a oublié les chaussettes. Il me griffe le bâtard !
Effectivement, de belles estafilades rouges zébrèrent le dos de la pauvre garce. J’avais moi-même gardé des séquelles identiques sur le torse, après notre première séance.
Quand il va être bien calé, tu vas les lui mettre par précaution au cas où il bougerait beaucoup et pour quand il va se retirer.Il fallut à nouveau que j’aide le chien à trouver le trou.
Sa bite était incroyablement dure, comme du béton, pire que la mienne. Il mouillait déjà et dès que le bout du zob fut dans la chatte il glissa et s’enfonça jusqu’au bout. La fille cria.
Je me plaçai ensuite de sorte à bien pouvoir observer le nœud enfler mais je ne vis pas grand-chose. La fille commentait.
— Ouh ça grossit... il explose. Ouah c’est énorme... Ah...Ah...Ah... c’est comme si j’avais une balle de tennis dans la chatte... même plus gros. C’est bon, il est tout au fond, il me remplit bien le trou... géant.
Désormais le chien n’avait plus besoin de moi et je commençai à jouer avec la fille. Je lui tripotais le clito et mesurait ainsi la dilatation de ses chairs. C’était très impressionnant. Je lui palpais les nichons. Je bandais comme un turc.
Je me faufilai comme je pus sous la fille en faisant attention à ne pas déséquilibrer l’équipage. Elle se mit à me pomper mais je me promis bien de ne pas me faire avoir comme pour la première fois et de contrôler mon excitation afin de la fourrer par tous les trous avant de lui pisser ma jute sur sa face de grosse pute.
Ce ne fut pas aussi facile car elle jouissait sans retenue. Parfois, elle arrêtait de me bouffer le dard pour se mordre les lèvres ou tirer la langue de contentement, comme le chien. Elle me fit d’ailleurs observer que celui-ci puait de la gueule et qu’il serait bon d’apprendre à lui faire une toilette convenable pour qu’il ne dégoûte pas les femelles qu’elle se proposait de faire défiler dans mon appart.
La garce avait quand même un sacré talent de pompeuse. Qu’est-ce que ce devait être quand elle s’y consacrait à plein temps, au lieu que d’être perturbée par le pinage du clébard !
Mon toutou était ravi, du moins donnait-il tous les signes du plus grand contentement. Il ne faiblissait ni en rythme ni en force. Ses coups de reins, brefs et rapides, gardaient une cadence presque chronométrée. On n’entendait pas la chair claquer car il ne se décollait pas du cul de la femme mais juste un petit bruit, semblable à celui que fait la terre gorgée d’eau qui gicle sous nos pas, souvent couvert par le souffle du chien pareil à un halètement de soif.
Quand elle n’était pas occupée à sucer mon gland à me lécher les pompons ou à tordre sa bouche de bonheur, la grosse Jessica criait son bonheur ou le commentait.
— Hmmm, qu’elle est bonne cette grosse queue. Sans rire, dès qu’on a le droit de le faire, j’épouse ce chien.— OK, répondis-je. Et si vous faites des mômes ensemble, tu m’en gardes une caisse que j’aille les vendre au marché. Ça me fera des couilles en or.Il me remplit, le con ! J’ai être pleine comme une outre. J’suis déjà inondée de jus. J’sais pas où je vais pouvoir caser tout ce qu’il va expulser à la fin. Ma chatte va éclater.. aaaah c’est le supeeeeer pied...— Tu vas être vite fixée. J’ai l’impression qu’il aboutit.— Effectivement, le chien semblait souffler de plus en plus fort et accélérer.— Ah oui, putain ça y est, il gicle...aaaah, j’ai l’impression que sa bite a encore enflé...aaaah ouiiiii.... ouiiii, ouiiii......!
Effectivement, le chien s’arrêta peu après. Il était légèrement désemparé, ne sachant pas comment se détacher. La fille l’avait toujours en elle et elle donnait des coups de reins, non pour s’en défaire mais pour profiter encore de l’énorme bâton qui lui remplissait la masse.Je m’étais dégagé pour assister à l’expulsion.
Enfin, au bout de quelques minutes, le zob se détacha pour pendre, encore long et rouge en dehors du fourreau, entraînant, tel un escargot, sa bave avec lui.
J’avais encore l’image du chien se précipitant pour lécher la chatte. Aussi curieusement que cela puisse paraître, ça me dégoutait un peu de passer là où le chien avait léché. Par contre, voir le sperme très épais qui ruisselait du con en dégoulinant directement ou en pleuvant directement sur la couette, cela eut plutôt l’effet de m’exciter davantage. J’écartai rapidement le chien avant qu’il ne prenne trop d’initiative et, sans plus réfléchir, j’enfonçai ma bite dans le trou plein de foutre.
Je n’en fus pas écœuré.
La sensation de plonger mon pénis dans une espèce de yaourt chaud fut délicieuse. C’est comme si la chatte avait eu la fièvre.Je saisis la femme par les cuisses pour me tenir bien droit, perpendiculairement à son corps et pouvoir ainsi bien enfoncer mon pieu jusqu’au fond.Puis, sans la prévenir, je la poussai plus avant sur le lit pour me positionner au-dessus, en bouledogue. J’estimais que ma bite était suffisamment lubrifiée pour la plonger dans le trou de balle.
Je forçai la rondelle qui offrit une timide résistance, résistance officialisée par les protestations de la fille et son invitation à mettre du gel.
— Du gel, salope, j’en ai plein sur la queue...et du naturel....
Et je me mis à aller et venir comme un fou dans son cul accueillant. Mes chairs claquaient contre les siennes. Elle ne faisait que pousser des petits cris qu’on aurait pu croire plaintifs s’ils n’avaient, au contraire, témoigné du grand bien que lui faisait ma queue.
Mon honneur était en jeu. Je ne parvenais pas à oublier qu’elle m’avait quasiment accusé d’être un éjaculateur précoce et j’étais bien déterminé à ce qu’elle demande grâce la première, aussi me démenai-je comme un beau diable dans son cul, poussant ma tige bien à fond pour qu’elle cède avant moi. Mais la meuf était résistante, et elle semblait pouvoir enchaîner les orgasmes. J’arrivais bien à contrôler mon éjaculation mais je dois avouer qu’il m’était difficile de maintenir une cadence infernale pour lui démonter les fesses. Je dus reprendre mon souffle à plusieurs reprises. Je décidai donc de la sauter en missionnaire pour gagner en efficacité. Cela me permit, en m’appuyant sur un seul bras, de lui titiller le clito tout en agitant un peu ma bite dans la chatte. Puis, je reprenais appui sur mes deux bras, la démontais à fond, agitant ma queue dans tous les sens et donnant de violents coups de reins, puis je recommençais à lui caresser la chatte et ainsi de suite jusqu’à ce qu’elle n’en puisse plus.
Mais, même ainsi, elle se révélait coriace. Je m’allongeai alors sur le lit, genoux pliés, pieds au sol pour qu’elle me chevauchait en me tournant le dos. Ainsi, nous pûmes cumuler nos efforts. Elle jouait de ses jambes pour monter et descendre sur ma trique te je multipliais les coups de culs. Cette synergie produisit enfin les résultats que j’escomptais.
Au bout d’un moment, elle explosa.
— Ouii, vas-y, encore... ouiiii, remplis-moi de foutre vas-y !
Il était temps car je me sentais sur le point de venir mais j’essayais encore de pousser mon avantage.
— Nan ! Pas encore... t’as bien le temps.— Oh noooon, vas-y, arrose—moi..... vite... j’veux ton jus...— J’vais te le mettre dans ta petite gueule de pute... mais avant... dis... c’est qu’il le plus performant ?— C’est toi....viiite !— C’est bien sûr ?— Ouiiii.
Alors je me dégageai, la fit descendre, me positionnai face à elle et, en quelques coups de poignets pour hâter le dénouement qui était pourtant imminent, je déchargeai sur son visage et ses seins.
Le chien qui était resté placidement couché pendant cette très agréable partie de jambes en l’air se redressa dès que je fus allongé, satisfait de moi-même et de ma fierté restaurée, ruisselant de sueur, et recru de fatigue et de ce bien-être qui vous envahit après un bon coït. Il vint fourrer son museau entre les jambes de la fille et se mit à lécher et, bien qu’il ne restât pas très longtemps dans ce jardin des délices, il lui arracha encore un orgasme.
Quand la fille se fut douchée, nous convînmes d’un rendez-vous pour qu’elle amène sa copine, une sacrée accro à la bite à ce qu’il paraissait.Elle conclut en me disant.
— Il faudra aussi qu’on apprenne à ce chien à faire une double...
Et elle se retira, emportant avec elle cette promesse, ce nouveau fantasme...
A suivre
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