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La perruque ensorcelée

Chapitre 1

Travesti / Trans
1.
— Bien joué Marc !— Oui, super reportage !
Je remerciais mes collègues, nous vidâmes nos verres et chacun partit vers chez lui… une semaine qui se finissait normalement pour moi, reporter vedette pour la chaîne locale. J’étais arrivé avant nos rivaux de la chaîne privée, et avait eu le meilleur du reportage. Mon cameraman et mon producteur venait de fêter cela avec moi, avant de me donner mon weekend. Pour ranger la maison. Un soupir s’échappa de ma bouche. La maison où j’étais seul. Tout seul. Ma femme m’avait quitté en début de mois, et préparait la procédure de divorce. Et c’était ma faute. Je l’ai trop négligée, et depuis ce reportage en Thaïlande… Là-bas je couvrais la réunion annuelle du 3ème genre, les transsexuelles, garçon féminisé, etc. Et je suis tombé sous le charme d’une fille superbe, qui avait de petits seins ronds et un sexe quasi aussi gros que le mien ! Quelle passion, quelle nuit de folie ! Depuis mon retour de ce reportage, la relation avec mon épouse s’est détériorée, jusqu’à ce qu’elle découvre les sites que je regardais sur internet, toutes ces images de transsexuelles, de femmes avec des pénis… ça a été un choc pour elle. La semaine d’après elle retournait chez sa mère. Avant que je reçoive sa lettre, remplie de mépris et de dégoût, où elle m’indiquait vouloir divorcer d’un pervers comme moi.
J’entrais dans ma maison, bien vide. Je comptais emménager dans un appartement au centre-ville, un meublé, plus pratique et moins grand pour moi tout seul. C’était mes derniers jours dans cette maison. Les meubles avaient déjà été vendus, il ne me restait que le strict nécessaire. Ma femme était passée, je vis qu’elle avait pris le reste de ses affaires. Elle passait toujours quand je n’étais pas là, même me voir semblait trop dur pour elle.
Je soupais rapidement, un plat tout fait avec un ou deux verres de vin. Puis je montais à l’étage, dans ce qui avait été notre chambre conjugale. Elle était vide. Je poussais encore un soupir, et allais retourner vers le rez-de-chaussée, où j’avais installé un « lit de campagne » pour les quelques jours qui me restaient ici, quand je vis une ou deux caisses en carton qui traînaient dans la pièce. Étrange, car elles ne me semblaient pas être là la veille. J’ouvris la première caisse, il y avait des sous-vêtements féminins, assez coquins, ceux que ma femme mettait au début de notre mariage. Y’avait un petit temps qu’elle ne les avait plus mis. Sans doute n’en voulait-elle plus, pour cela qu’elle avait laissé tout ça ici. Je pris la seconde caisse en carton, plus petite, style boîte à chaussure. Un post-it était accroché sur la caisse. Avec juste un mot. « Salaud ». Super ! Qu’allais-je trouver, un serpent, un scorpion, une boîte piégé explosive ???
Je secouais la caisse, qui semblait légère. Aucun bruit, rien qui ne bouge ou ne semble vivant à l’intérieur. Pendant un instant, j’hésitais à l’ouvrir. Putain, Marc ! T’es un homme, tu vas quand même pas avoir peur du mot « salaud » ! J’ouvris donc la caisse… et trouvai à l’intérieur une perruque. Blonde. Cheveux long, Lisse. Qu’est-ce que cela pouvait bien vouloir dire ? Elle se moquait de moi, certainement.Je redescendis, un peu énervé. Elle se foutait de moi, me traitait de « gonzesse », c’est ça qu’elle pensait ? La conne. De rage, je pris la bouteille de vin entamée avec mon dîner, et me servit un verre, puis deux, puis trois, que je m’enfilais tout en parlant à ma femme comme si elle était là, lui faisant les reproches ravalés depuis 15 ans… Je finis la bouteille, en ouvrit une autre, et le vin sur les bières bues avec mes collèges me fit un peu tourner la tête… Je remontais dans la chambre, et vidais la caisse de sous-vêtement coquin sur le sol, chaque bas, string, nuisette ou jarretelle me rappelant comme ma femme était sexy… pourquoi avait-elle un moment arrêté de porter tout ça ? Mon doigt se suivit le dessin de la dentelle d’un string, avant d’effleurer le nylon d’un bas résille. C’était pourtant tellement sexy !
Je soupirais encore une fois, laissant tomber le bas sur le sol. A côté de la perruque blonde. Une perruque ! Je la pris en main. Grotesque. Encore que les cheveux étaient soyeux. Ils me rappelaient un peu les cheveux de cette fille, en Thaïlande. Sauf qu’elle les avait noir. Je revis des images de toutes ces beautés vues sur Internet. Pendant un instant je me demandais quelle sensation cela faisait de porter cette perruque, ces sous-vêtements ? Allez, Marc, arrête de déconner. Avec tes poils et ton corps de sportif, tu ferais un bien moche dragqueen. Et puis je ne suis pas pour ça moi !
Je me levais, pour jeter la perruque à la poubelle. En me levant, je vis la porte donnant sur la salle de bain ouverte, le miroir reflétant mon image. J’avais cette perruque en main. A quoi je ressemblerais avec de longs cheveux blonds ? Allez, juste pour essayer, j’suis pas encore dragqueen, hein ! Je regardais la perruque, puis, lentement, je la mis sur ma tête, l’ajustant en regardant dans le miroir… c’était pas très joli, mais y’avait quelque chose… et… mais…
— Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah !
Soudain une douleur effroyable me vrilla la tête, comme si mille épingles cachées dans la perruque me perforaient le crâne. Elle avait quand même pas empoisonné la perruque ???
La douleur me fit tomber au sol, les yeux fermés, les mains sur le crâne… je suais abondamment… puis lentement la douleur se dissipa. Tout redevint normal. Putain, quelle douleur. Quelle connerie ! Et bien, ça m’apprendra à jouer avec ces trucs. Il était temps de mettre cette perruque à la poubelle. Je voulus la retirer… mais n’y parvint pas ! Comme si c’était mes vrais cheveux, lorsque je tirais dessus cela me faisait mal. Que se passait-il ? Je me relevais une nouvelle foi, et me regardait dans le miroir. Quel choc ! C’était moi et pas moi en même temps. Mon visage, ma face, mais légèrement plus fine. Plus féminine. Et mes doigts ? Ils étaient plus fins aussi… avec des ongles plus longs, comme ceux d’une bimbo ! Et qu’est-ce que je sentais sur ma poitrine ?J’enlevais précipitamment ma chemise… J’avais de petits seins, légèrement pointés. Et plus un poil. Mes abdos aussi avaient disparus, remplacé par un ventre plat et lisse… Je n’étais tout de même pas devenu une femme ??? J’enlevais vite mon pantalon, mon slip… Plus un poil sur mes jambes ! Mes pieds étaient plus fins aussi. Mon sexe était toujours là, avec une petite couronne de poils cours sur le pubis…
Je regardais mon corps dans le miroir. C’était bien moi, mes traits étaient les mêmes mais en plus fin. Mes grains de beautés étaient toujours là, ma cicatrice sous le genou aussi. Mais mon corps était féminisé. Putain ! Je voulus encore retirer la perruque, mais impossible ! Tirer dessus me faisait mal, comme si c’était mes vrais cheveux. Mais qu’allais-je faire ? Qu’allaient-dire mes collègues, mes amis ? Impossible d’aller au travail comme ça, en plus personne ne croirait que c’est moi !

Paniqué, mes mains effleuraient mon nouveau corps, et effleurèrent mes seins… ce qui m’électrisa. Quelle était cette sensation ? Mes mains se posèrent sur mes seins, plus caressantes. Wouaw ! C’était ça avoir des seins sensibles ? Je repassais mes mains sur mes seins… de plus en plus langoureusement… ooooh je les avais super-sensible ! Je pris doucement un de mes tétons, et le roula entre mes doigts ! Ooooh ! Quelle divine sensation ! Je m’aperçus alors que je bandais comme un fou… éméché, sans réfléchir plus loin, je continuais à caresser mes seins, triturer mes tétons, ce qui me donnait de divines sensations… Ma panique, ma peur, l’incongruité de cette situation, tout cela disparaissait, remplacé par ce plaisir nouveau…
Tandis que je jouais avec mes seins, une de mes mains glissa vers mon sexe tendu, et je me caressais… même mon sexe était plus sensible qu’avant ! Ma main caressa mon gland, sur le pourtour, se mouillant de pré-sperme, avant de glisser sur la hampe… et de se refermer sur elle, allant et venant doucement… Avant que je m’en aperçoive, j’étais occupé à me branler, face au miroir, une main triturant un de mes sensibles tétons, l’autre astiquant mon manche de plus en plus vite… l’image que me renvoyait le miroir était tellement perverse ! Mes longs cheveux blonds, mes seins, mes joues qui se coloraient de rouge, ce sexe qui allait et venait dans ma main… puis, dans un râle rauque, je jouis, mon sperme projeté sur l’évier, sur le sol, avant de m’écrouler sous la force de l’orgasme. Je m’étais déjà souvent branlé, mais jamais le plaisir n’avait été si fort ! Le cœur battant la chamade, et un peu saoul, mes yeux se fermèrent et je m’endormis sur place…

Le lendemain, je m’éveillais doucement… où étais-je… dans la salle de bain ??? En un coup les souvenirs me revinrent… la perruque, le corps de femme… Je m’assis sur le sol et instinctivement mes mains allèrent vers ma poitrine… qui était plate et dure… mes bras étaient à nouveaux poilus, mes jambes aussi… Et là, tout près la perruque. Elle était tombée de mon crâne. Je me relevais complètement et m’inspectais attentivement dans le miroir. C’était bien moi, dans mon corps d’homme. Rien n’avait changé. Rien. Avais-je rêvé ? Les taches dans l’évier et sur le carrelage niaient cette idée. Je pris une douche, confus. C’était étrange cette histoire. Je repensais à ces sensations de plaisirs ressenties la veille, et je commençais à bander. Il faut dire qu’il avait été au régime ces derniers mois, le pauvre ! Je le pris en main, et commençais à m’astiquer doucement. Mais les sensations étaient moins fortes, moins plaisantes que la veille. Comme si le corps de femme avait décuplé la sensibilité de mon corps. J’arrêtais de me masturber, c’était trop « mécanique » et arrêtais l’eau de la douche. Je sortis et pris l’essuie-éponge. Je vis alors la perruque sur le sol.
Il fallait que je la jette, c’était trop étrange cette histoire. En même temps, quelles sensations de plaisir ! Quel orgasme ! Je sentais que j’en voulais encore, que je voulais finir ce que j’avais commencé sous la douche. Et si je la mettais encore une fois avant de la jeter ?
Quasi inconsciemment, elle était déjà dans ma main. Je déglutis, puis la mis sur ma tête, en un coup, comme quand on avale un sirop mauvais de goût pour se sentir mieux après… La sensation des aiguilles qui perforent le crâne recommença, je me retrouvais au sol à cause de la douleur, avant de me redresser face au miroir : j’avais de nouveau mon corps de femme ! Les petits seins pointés, si sensibles… je les caressais avec contentement, retrouvant le même plaisir que la veille. Je triturais mes tétons, que c’était enivrant ! Mon sexe étant à nouveau bien bandé, je repris ma masturbation, bien plus plaisante que celle commencée sous la douche… Je me branlais, me caressais, jusqu’à jouir dans ma main, mon sperme chaud et blanc goûtant ensuite sur le carrelage de la salle de bain. Mon cœur battait si fort, mes jambes tremblais, je m’assis sur le sol, pas loin de la tache blanche que formait mon sperme sur le sol. Quel orgasme encore une fois !
Je reprenais doucement mes esprits, voyant mon sexe débander. Je me demandais si la perruque tomberait après l’orgasme. J’attendis encore quelque minute, puis essayais de l’enlever. Mais non, ça ne marchais pas, elle restait attachée à mon crâne. Donc, elle ne tomberait que pendant la nuit ?
Ayant retrouvé mes sens, je me relevais, et nettoyais les taches que j’avais faites. Le corps de femme, plus fin, plus adroit, est plus adéquat pour faire le ménage, croyez-moi ! Je me trouvais moins gauche que dans mon corps d’homme. Nue, je rangeais un peu la maison, fis ce que je devais faire. Je ne pouvais m’empêcher, à chaque fois que je croisais mon image dans un miroir, de trouver ce corps assez joli. Je m’y habituais. Le ménage du bas vite fait, je remontais dans la chambre, pour terminer les rangements ici. Je vis alors sur la moquette les affaires de la caisse que j’avais vidée la veille. String, soutiens, bas, nuisette, corset, tout était pèle mêle sur le sol. Je m’agenouillais pour tout ramasser, quand une idée saugrenue me passa par la tête… Puisque j’avais un corps de femme… pourquoi ne pas les essayer ?
Je pris des bas en résille noir, et les passais. Ils gainaient toutes mes jambes de noirs, la peau blanche et douce visible par les petits losanges que formaient la résille des bas… puis je mis un petit soutiens-noir, avec le tissu un peu transparent et des dentelles plus foncées, et le string assorti. Puis j’allais m’admirer dans le miroir…
Je n’en revenais pas de me trouver si jolie ! Mes longues jambes en résille, mes seins qu’on devinait sous le tissu transparent du soutien, le string, dont la ficelle entourait mes hanches, avant de plonger vers un triangle noir, sous lequel on devinait aisément mon pénis, par la semi-transparence du tissu, mais aussi par la bosse qu’il formait… j’étais si belle ! Cette vision m’excita… mes seins pointèrent, formant deux petits bosses dans le tissu semi-transparent, que je caressais, titillais… je commençais à bander, et le gland de mon sexe apparut doucement, dépassant du string… de mon doigt, je caressais sa tête qui sortait, tournant autour, caressant le méat, mouillant mon doigt de pré-sperme… ma main saisit la hampe, je caressais mon sexe par-dessus le string… puis le mis pour qu’il tende le tissu, comme un mat avec la voile autour… j’empoignais le tissu et la hampe, et me branlais de plus en plus vite, le contact du tissu sur mon sexe étant encore plus excitant… mes seins pointaient à faire mal, j’en caressais l’un, puis l’autre, toujours par-dessus le tissu, mon autre main me branlant, plus fort, plus vite, jusqu’à ce que dans une nouvelle série de râle, je jouis dans le string… le tissu noir semi transparent se colora d’une tâche mi sombre par le mouillé, mi blanche par le sperme qui dépassait doucement des fines mailles de la culotte… oh que c’était excellent ! Tellement bon que je pense que je jouis une seconde fois d’affilée, mais sans en être certain, j’étais tellement tremblant de plaisir !
J’enlevais le string maculé de mon sperme, et le jetais dans le bac à linge sale. Puis m’assit contre le mur, pour reprendre mes esprits. J’étais moitié assis, moitié couché, dos contre le mur, mes jambes remontées, mon sexe pendant et bavouillant. L’image me renvoyait une image vraiment sexy… mes fesses étaient rebondie, et en relevant le bassin, je pouvais voir ma raie, mon anus… je le caressais doucement, face au miroir… lui aussi semblait très sensible ! Mais je me ressaisis, et me sentais fatigué. Il était temps de faire une sieste ! J’allais dans mon lit et m’endormis comme une pierre.
Lorsque je me réveillais, deux heures plus tard, la perruque était sur le sol, et j’avais retrouvé mon corps d’homme. C’était donc ça : la perruque s’enlevait d’elle-même dès que je dormais. C’était bon à savoir ! Je la rangeais dans sa boîte, puis passais le reste du samedi à faire des courses, quelques travaux dans la maison, afin qu’elle soit vendue au meilleur prix, puis après le souper regardais un film et allais dormir.

Le lendemain, dimanche, je me réveillais assez tôt. Avec une belle érection matinale. J’aimais commencer le dimanche en me masturbant, puis j’allais faire du jogging, pour garder la forme. Machinalement donc, ma main parti sous les couvertures, à la rencontre de mon membre bandé. Je commençais à me branler, mais de nouveau les sensations n’étaient pas terribles. Trop « mécanique » ? Je repensais alors à la perruque. « Il faut vraiment que je m’en débarrasse » pensais-je. Puis, le souvenir des sensations de plaisirs revinrent en tête. Je voulus encore me masturber comme ça, mais n’arrivais à rien. J’avais pourtant tellement envie de jouir. De sentir ce plaisir en me caressant les seins, le sexe… Je me levais et allais donc chercher la perruque. En passant, je vis une des nuisettes de mon épouse, noire transparente… Je la mis et elle m’arrivait à mi-fesse… je mis ensuite la perruque et me retrouvais au sol, à cause de la douleur, puis lorsque ce fut passé, je redescendis dans le lit. Je passais la main sous la nuisette et me caressais les seins d’une main, me branlant de l’autre… quelle plaisir ! C’était comme une libération, comme un feu d’artifice dans la tête… Je pinçais mes tétons, qui durcissaient, me donnaient encore plus de plaisir… puis dans l’excitation, je laissais mon téton pour caresser mes fesses… puis ma main suivit mon sillon… la position étant difficile, je me tournais, me mettant sur mes genoux, face contre l’oreiller. Je me branlais d’une main, tandis que l’autre caressait mon anus très sensible, puis les tétons, puis revenait vers mon anus… il palpitait presque de plaisir, et par curiosité, j’y entrais un doigt… ce qui me fit instantanément jouir, mon sperme maculant la nuisette et les draps… J’en avais de nouveau les jambes qui tremblaient. J’enlevais la nuisette, et ce faisant, du sperme macula ma main. Il était chaud et avait une odeur que je trouvais soudain entêtante… je regardais ma main, puis doucement l’approchais de ma bouche. Ma langue alla à la rencontre de mon sperme que je léchais… c’était bon ! Il y en avait encore sur la nuisette et les draps, et je léchais le tout… avant de me rendre compte de ce que je faisais !
Putain, Marc, tu deviens quoi ? Faut vraiment que je me calme ! Je deviens une bimbo en chaleur ou quoi ? Je décidais d’aller faire mon jogging cela me calmerait. Soudain je réalisais que je ne savais pas changer mon apparence, parce que là, je n’avais pas sommeil ! Zut ! Il fallait pourtant que je fasse mon sport, j’en avais besoin ! Je décidais donc d’aller comme ça… Je montais mettre des sous-vêtements. Mais il n’y en avait que des coquins ! Je pris le soutient noir de la veille, et un string qui calerait plus ou moins bien mon engin. Puis passait un survêtement ‘jogging’, mis mes baskets, et hop, j’étais dans la rue. Je courais vers le grand parc près de chez moi, où j’avais l’habitude de faire le jogging le dimanche. Le parce avait une zone assez boisée, une zone avec des pelouses et un parcours pour les coureurs, et une zone pour les enfants, avec des pleines de jeux, bac à sable, etc.
Je commençais le parcours près de la partie boisée, et fit le tour, me vidant l’esprit par la course. Je croisais un autre joggeur, qui me salua avec un grand sourire, puis je sentis son regard sur mes fesses lorsque je le dépassais. Quel con ! On courait tous les dimanches ici, il me croisait tous les dimanches, et c’est la première fois qu’il me dit bonjour ! Et il matte mon cul en plus ! Je chassais vite ces pensées de ma tête, et continuais à courir, essayant de vider mon esprit des pensées lubriques qui revenaient sans cesse. En plus, la course faisait que mon sexe frottait contre le tissu du string, c’était pas évident de penser à autre chose… je finis la première boucle, revenant à mon point de départ et entamais la seconde, me vidant l’esprit… soudain j’entendis un sifflement. Deux jeunes, sur le banc, venait de me siffler. Ils me mataient sans vergogne, j’essayais de ne pas les voir, continuant ma course. A la fin du second tour, ils étaient toujours là, me sifflant. Un blanc et un métis. Le blanc me fit même un clin d’œil ravageur.
Ravageur ? Mais non, pas ravageur ! Je fis demi-tour et rentrais vite chez moi. Je bandais de plus en plus, heureusement, je ne croisais personne. Une fois à la maison, dès la porte fermée, je baissais le pantalon du jogging, et me branlais dans le string. J’avais des images salaces pleins la tête, je revoyais ce type et ces deux jeunes me mater, leurs regard appuyés sur mes seins mes fesses… comme des mains qui me caressent les seins, qui me caressent le sexe, qui me caressent les fesses… des mains, pleins de mains qui me caressent… et dans un râle, je jouis dans le string, avant de m’écrouler sur le sol. Je dû me branler une seconde fois avant d’aller prendre une douche, et je passais le reste de mon dimanche en femme, tentant de ne pas me branler, résistant à la tentation de jouir, regardant de bête émissions TV, mangeant, puis allant enfin me coucher pour me débarrasser de cette bête perruque…

Lorsque je m’éveillais le lendemain matin, elle était là, à côté de moi, et j’étais redevenu moi-même… Je me douchais, me rasais, et m’habillais pour le boulot. La journée de travail me permit d’oublier ce qui était arrivé ce weekend, et cela me fit un bien fou. Mais dès que je rentrais chez moi, je ne pouvais m’empêcher de penser à la perruque, à ces sensations de plaisir… Chaque soir je me disais que je devais la jeter à la poubelle, et pourtant elle se retrouvait sur ma tête, j’essayais les différents sous-vêtements qui restaient à la maison. J’appris ainsi à être plus à l’aise avec les soutiens gorge, les jarretières (je me suis branlé deux fois rien qu’en me voyant dans le miroir en jarretière et string assorti, tellement c’était sexy !), les corsets aussi (pas facile à mettre ça !). Il m’arrivait aussi de passer des soirées à naviguer sur le Net, à la recherche de sites pornographiques de plus en plus hard, tous tournant autour du sujet du 3e genre, des travestis, des transsexuelles, Tgirls et autre femboys… Il y avait de superbes femmes avec des pénis, de gros ou de petits, qui suçaient des bites, se faisaient sodomiser ou sodomisaient des gars, avec du sperme dans la bouche, dans l’anus… je restais fort tard à regarder ces vidéos, ces images et me branlais facilement deux à trois fois par jour. Résultat, en fin de semaine, j’étais passablement fatigué. Le vendredi, en sortant de mon bureau, je croisais le directeur de la chaîne.
— Comment allez-vous Marc ? Vous me semblez un peu fatigué…— Oui, Monsieur le Directeur, je suis un peu fatigué ces derniers temps.— Ce n’est pas votre divorce qui vous pompe toute votre énergie ? JE sais que c’est un moment difficile à passer, j’en suis à mon troisième, de divorce. Mais la vie reprend son cours après, courage ! Je vous ai trouvé plus mou, moins fringuant que d’habitude lors de votre dernier reportage. Reprenez-vous Marc, vous êtes notre meilleur reporter ! Retrouvez du poil de la bête grâce au travail ! Moi, en tout cas, ça m’a toujours réussi !— Merci, Monsieur le Directeur. Demain je signe les papiers pour mon nouvel appartement. Je risque d’être un peu fatigué encore la semaine prochaine, avec mon déménagement, mais après c’est une nouvelle vie qui commence pour moi ! Je ne vous décevrai pas, Monsieur le Directeur !— A la bonne heure Marc, c’est bien, soyez le lion que vous avez toujours été !
Il me fit une tape amicale sur l’épaule, et continua son chemin vers son bureau. Je repris le chemin de la maison, me maudissant pour ma faiblesse. Cette perruque m’a valu une remarque de mon Directeur. Mou, moi ! Le meilleur reporter de la ville ! Je savais qu’il y avait pas mal de petits jeunots qui rêvaient de prendre ma place. Il fallait que je retrouve la force du lion. Je suis un lion. Dès que je rentre chez moi, je prends cette foutue perruque et je la mets à la poubelle !
Ce vendredi soir, la perruque sur la tête, je me fis jouir en string rouge, pleurant sur ma faiblesse et jouissant comme un fou…

Le lendemain, samedi, ma journée fut occupée par la signature des papiers pour l’appartement. Ma cote-part de la revente de la maison allait y passer complètement, mais ce serait mon appartement, dans un immeuble assez luxueux, au Centre-ville. Et pas loin du quartier des bureaux, où je travaille, pas loin du cœur vibrant de la ville, qui s’illumine la nuit. L’appartement avait une grande chambre et un bureau, un spacieux living, une belle salle-de-bain et une cuisine américaine full équipée. Il y avait aussi un beau balcon qui donnait sur le parc central, à quelques pâtés de maison de l’immeuble. C’était vraiment parfait ! En plus, le Directeur – que je venais de joindre par téléphone – me donnait mon lundi pour déménager. Content de moi, je m’offris un restaurant, fêtant seul ma nouvelle acquisition. Il y avait une très jolie femme au bar, que je tentais d’accoster. Mais je fus si maladroit, hésitant, que je me pris un râteau. Il allait falloir que je réapprenne à draguer !
Le soir donc, je me retrouvais dans ma maison quasi vide, la perruque sur la tête, la nuisette noire sur le corps, me masturbant frénétiquement face à l’écran, où une superbe et plantureuse transsexuelle suçait deux types en même temps, avant qu’ils éjaculent dans sa bouche grande ouverte… je jouis dans ma main. Le sperme était chaud sur mes doigts. Après toutes les vidéos pornos que j’avais vues, une question m’obsédait : quelle sensation procurait une bite bien dure dans la bouche ? Sentir le sperme chaud couler dans sa gorge ? Je portais mes doigts à ma bouche, et pour la seconde fois de ma vie, léchais mon propre sperme tiède, n’en laissant rien sur ma main. Le goût me paraissait déjà moins âcre que la première fois…

Le dimanche matin, mon dernier jour dans la maison, je me levais tôt pour terminer les dernières caisses pour le déménagement. Tout était prêt pour le lendemain, j’étais content de moi. J’avais même encore du temps pour mon jogging dominical ! J’allais m’habiller quand je vis la perruque sur le lit. Je n’allais quand même pas réitérer ce qui c’étais passé dimanche dernier ? Je ne voulais pas, les regards de ces hommes sur moi, sur mes fesses… leurs regards pleins de désir et d’envie… je ne voulais pas, mais c’était comme un besoin en moi, comme un appel au plaisir et à la perversité… et me voilà occupé à mettre la perruque sur ma tête… Je mis un string noir, avec des ficelles qui remontent fort sur la taille. Ce n’était pas confortable du tout, mais c’était le dernier qui restait propre de la boîte… tous les autres sous-vêtements féminins que j’avais devaient passer à la lessive ! Je mis mon jogging par-dessus, enfilais mes basket, et me voilà courant sur le trottoir, vers le parc où j’avais l’habitude de courir. En passant devant une vitrine, je vis mon reflet dans une glace… faut dire que j’étais sexy, le survêtement gris laissait deviner les formes de mes fesses, tandis que le haut des ficelles du string se voyaient sur mes hanches au gré de ma course qui faisait se relever un peu le bas le gilet du survêtement. Je n’avais pas mis de soutiens (je n’en avais plus de propre non plus), et mes seins, malgré leur petites tailles, sa balançaient au rythme de la course.
J’arrivais au parc, et commençais le parcours. Etant plus tard que d’habitude, je ne croisai pas le type qui avait maté mes fesses avec insistance, et une partie de moi en fut déçu. Mais qu’est-ce qu’il m’arrive ? Je vais pas devenir exhibitionniste non plus ! Pourtant, la même déception se fait sentir au plus profond de moi en voyant que les deux jeunes ne sont pas là non plus. Il n’y a pas grand monde dans le parc d’ailleurs. Je refais le circuit deux fois, et à la fin du troisième tour, alors que je me disais « encore un et je rentre à la maison », je me fais siffler ! Honteux de sentir que cela me faisait plaisir, que j’en avais des papillons dans le bas ventre, je me retourne. Les deux jeunes sont sur le banc, me regardant avec insistance. Je m’approche d’eux. Ils viennent de fumer, et pas du tabac à ce que je sens. Sans doute étaient-ils dans les fourrés, derrière le banc, assez touffu pour se cacher.
— Excusez-moi, mais est-ce que vous savez que ce n’est pas poli de siffler les demoiselles ?
Ils doivent avoir entre 18 et 20 ans, en jeans et T-shirt. Ils me regardent m’approcher le sourire aux lèvres. Ils sont tous les deux assez beau gosse, le blond aux yeux bleus, le sourire « Pepsodent », le teint légèrement halé, et le métis, avec ses rastas et son air musclé et viril. Je suis maintenant près d’eux, près du banc, entre eux. Le blond lève ses mains, en signe d’impuissance…
— Désolé M’dame, mais c’est que vous êtes si jolie ! Comment ne pas siffler une telle beauté !
Malgré son baratin de frimeur, le rouge me monte aux joues.
— Oui, enchérit l’autre, vous voir courir, c’est comme une révélation divine ! Votre superbe corps qui se meut dans l’air… trop sexy !
Ils sourient, et se rapprochent un peu. Soudain, derrière moi, le blond commence à me caresser les fesses. Sa main se pose sur le haut de ma fesse gauche, et descend doucement, son pouce sur la partie charnue, au bord du sillon… je déglutis. Dans quoi me suis-je fourré ?
— A… arrêtez ça ! Vous… vous croyez que je suis une fille facile ?
Je me suis tourné vers le blond. Il sourit.
— Bien sûr ! Sinon tu te serais tirée quand on t’a sifflée, comme la dernière fois…
C’est le métis qui caresse mes fesses maintenant, puis soudain il glisse sa main sous le jogging…
— Mmmm, des petites fesses bien chaudes et rondes… joli string…
Il tire sur la ficelle du string, qui va et vient entre mes fesses. Le blond sourit toujours, et descend doucement la tirette du gilet de mon survêtement, jusque sous mes seins…
— Et pas de soutiens en plus… je me disais bien qu’ils dansaient si librement…
Sa main entre dans les pans ouverts du survêtement, et se pose sur un de mes seins. Le caresse doucement…
— Arrêtez… s’il vous plaît…
Ma voix n’est plus qu’un souffle… je ne tente même pas d’enlever leurs mains, ces mains sur mon corps qui m’électrisent. Je ne veux pas, mon esprit veut que ça s’arrête… mais mon corps est avide de ces sensations, de ces caresses… le métis commence à m’embrasser dans le cou… le blond caresse mes seins, joue avec mes tétons…
— Arrêter ? Mais regarde dans quel état tu nous as mis !
Ils prennent chacun une de mes mains et les posent sur leur entrejambe, où je sens dans les jeans deux jolies bosses… Moi-même je commence à bander, mais j’ai honte, je ne veux pas qu’ils le voient. Il faut vite que cela se termine. Sans même y réfléchir, influencé sans doute par toutes les vidéos vues durant la semaine, je leur propose :
— Si je vous suce, vous me laisserez tranquille après ?
Les deux gars se regardent.
— OK, ça marche. Si tu nous suces tous les deux, on te laisse tranquille, on ne te demandera rien de plus après, juré !
Les deux gars m’entraînent alors dans les fourrées, plus loin derrière le banc. On ne peut être vu des allées du parc. Cela semble d’ailleurs être leur cachette, je remarque deux plans de cannabis plantés là. Je m’agenouille face à eux, et caresse les bosses visibles dans leur jeans… puis, un peu tremblante, c’est une première pour moi, j’ouvre leur jeans, bouton puis braguette. Ma main plonge dans le caleçon bleu du blond, et entre en contact avec un membre tiède et dur. Je le sors de son slip. Elle a quasi les mêmes dimensions que la mienne, mais il est circoncis, au contraire de moi. Quelle étrange sensation, de tenir un autre sexe que le sien en main. Vraiment pas désagréable du tout… Je le branle lentement, tandis que mon autre main plonge dans le caleçon blanc du métis, et sors sa bite à lui, un peu plus grande et plus grosse que celle du blond. Je les branle tous les deux doucement, chacun dans une main. Je ne puis m’empêcher de trouver ça sexy, ces deux bites qui vont et viennent dans mes mains… Je me redresse un peu, et approche mon visage de ces deux verges… je commence à lécher timidement le gland du blond. La sensation du gland, doux et tiède, contre ma langue n’est pas désagréable du tout ! Je lèche sa hampe, par-dessous, puis revient sur le gland, puis je lèche la hampe par-dessus, et revient encore au gland. Je fais la même chose au métis ensuite… Je reviens au gland du blond, que je lèche encore, j’aime cette sensation… puis doucement, j’engouffre son membre dans ma bouche. Je ne l’avais jamais fit, mais c’est comme si je mimais les nombreuses vidéos vues pendant la semaine, comme si mon corps copiait ce que j’avais vu… Mon visage va et vient le long de ce membre, pendant quelques minutes, tandis que ma main branle l’autre queue. Puis je change, j’engouffre la bite du métis, tandis que je branle le blond. Je passe de l’un à l’autre, et me laisse prendre pas ces sensations, ces membres tièdes et durs dans ma bouche, sur ma langue, le souffle des gars qui aiment ça, le pré-sperme qui coule sur ma langue, sur ma main… Tandis que je passe de l’un à l’autre, j’entends les commentaires grivois qu’ils font, ce qui m’excite encore plus…
— Elle se débrouille pas mal hein…— Mmmm… oui, c’est bon… je t’avais dit que c’était une salope…— T’as raison… ooooh… en plus agenouillée comme elle est, on voit son string entre ses fesses, quelle chauffeuse !— Quelle suceuse de bite oui ! Je sens qu’elle va me faire venir la coquine !
C’est le blond, que je suis occupée à sucer, qui vient de dire ça. Je sens en effet son membre s’agiter dans ma bouche. Il va éjaculer ! Prise d’un doute, je veux me reculer, mais il prend doucement ma tête pour m’empêcher de me retirer, et poussant son membre dans ma bouche, il éjacule… je sens son jus chaud gicler dans ma bouche, couler sur ma langue, dans ma bouche… Ma première fellation, et j’avale tout ! Je me rends compte que je jouis moi aussi, je jouis d’avoir fait jouir un type avec ma bouche ! Quelle sensation ! Je me rends compte alors que c’est moi qui ai mes mains sur ses fesses, le poussant vers moi, son bassin vers mon visage, son membre dans ma bouche, pour le boire, le lécher jusqu’à la dernière goutte ! J’entends le métis derrière moi, qui se branle vu que je l’ai lâché pour terminer le blond, qui s’esclaffe
— Putain, t’as raison, t’as vu comme elle aime ça ! Quelle salope ! Allez à mon tour ! Ouvre la bouche bien grande !
Toujours agenouillée, il vient se branler au-dessus de mon visage. Je saisi tout de suite ce qu’il veut faire. J’ouvre la bouche grande, je vois sa main aller et venir frénétiquement le long de son sexe, puis soudain un jet, et une giclée chaude sur mon menton… il rapproche son gland de ma bouche, et la seconde giclée atterrit droit dedans, ainsi que la troisième… j’attrape son gland avec mes lèvres, le lèche, et nettoie bien son gland, puis la hampe, avalant tout le sperme…
— Trop bon, merci pour cette fête mademoiselle…— Vous revenez quand vous voulez !
Ils s’esclaffent encore, se tapant poing contre poing, avant de ranger leurs verges dans leur caleçon, de se rhabiller, et de me laisser là, agenouillée sur le sol, du sperme sur le menton, les jambes pantelantes, un peu groggy, et mon string maculé de mon propre sperme… J’ai honte de moi, et en même temps, mon corps a pris un pied pas possible ! Confus, pris entre cette envie de plaisir et cette honte, je me lève, et cours jusque chez moi, comme je peux… arrivée à la maison, je prends une douche bien chaude, prise entre l’envie de rire et de pleurer. Mais en y repensant, en revoyant la scène, je ne pouvais m’empêcher de bander comme un fou, et de me masturber encore une fois, dans la douche.

Le lendemain, ma journée passa à mon déménagement. Et les choses allèrent vite, j’avais bien fait toutes les caisses, Il n’y avait pas de meuble, la société de déménagement fut rapide et efficace… résultat, à 15 heures j’étais dans mon nouvel appartement au centre-ville. Assis sur mon nouveau sofa, face à la perruque qui était sur la table du salon. J’avais voulu la laisser dans la maison, l’abandonner derrière moi. Mais impossible. J’en avais envie. Toutes ces sensations, ce plaisir… et là, du coup, j’avais une nouvelle envie : mettre la perruque et aller faire du shopping !
Ce que je fis ! J’allais au centre commercial et achetais des sous-vêtements, des robes, des shorts, du matériel de maquillage, une webcam. Je m’offris un fast-food pour terminer. C’est le soir, de retour dans mon appartement, que je réalisais les achats compulsifs que je venais de faire ? Pourquoi ces robes ? Et ce maquillage ?
(a suivre)
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