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La persévérance de Léa

Chapitre 3

Erotique
Quand je pousse la porte d’entrée, je les trouve en face de moi. Mélissa est assise au sol, au pied du canapé. Les yeux fermés, sa tête est penchée afin de laisser à Léa, qui se trouve derrière elle, tout le loisir de lui dévorer le coup. Léa est encore tout habillée et chaussée, Mélissa de son côté a fait tomber le haut, et les mains de sa partenaire lui servent désormais de soutien-gorge. Je prends le temps de me laver les mains à l’eau chaude, tout en les regardant. Je me demande si ce sont les mains de Léa qui sont petites, ou si c’est la poitrine de Mélissa qui est volumineuse. En tout cas le contraste est excitant à regarder.Je décide de m’asseoir sur une chaise, juste en face d’elles. Je suis à une longueur de jambes de Mélissa : cette dernière tend son pied pour atteindre mon entre-jambes bossu, puis me masse. Je ne tarde pas à déboutonner mon jean, ainsi je sens mieux mon sexe rouler sous ses orteils. Il nous faut peu de temps, à Léa et à moi, pour déshabiller Mélissa. En tandem nous enlevons son jean et le peu de lingerie qui lui reste.Les yeux de Léa brillent quand le fessier de Mélissa nous apparaît. Pour les voir côte à côte, je peux dire avec précision qu’une seule des fesses de Mélissa fait bien le volume de deux têtes de Léa. Après m’avoir ôté le haut, Mélissa m’assoie sur le canapé puis parcours mon buste avec sa langue. Derrière elle, Léa lui assène des fessées dont l’onde de choc se propage dans ses cuisses. Tout à coup, ma compagne délaisse mon buste pour se tourner vers Léa. -Tu comptes rester comme ça toute la soirée ? Demande Mélissa en faisant référence à la tenue de Léa.Cette dernière prend alors l’initiative de tirer Mélissa jusqu’à la chambre, qu’elle avait visiblement repérée. Je les suis avec un peu de retard afin de leur laisser le temps de s’installer. Quand je viens m’adosser dans l’encadrement de la porte de la chambre, elles ont pris place sur le lit : Léa n’a plus ses bottes ni ses collants. À genoux, elle frotte son sexe sur la cuisse charpentée de Mélissa qui passe ses mains sous son pull. Bercé par les gémissements et les frottements de leurs chairs, je ne vois pas le temps filer. À chaque passage la vulve de Léa laisse une traînée humide derrière elle et je me laisse alors enivrer par l’odeur de la cyprine. Mélissa accompagne de ses mains les mouvements de bassins de sa partenaire, qui deviennent si insistants que s’il fallait moudre son sexe elle ne s’y prendrait pas différemment. Ma copine lèche désormais le sexe de ma collègue. Je suis bien incapable de dire qui en a pris l’initiative. J’évite de laisser transparaître quoi que ce soit, mais les yeux de Léa me donnent faim et le jeu de regard que l’on vient d’entamer est insoutenable. De plus, entre nous il y a la paire de fesses de ma compagne, qui bien que je les connaît par cœur, m’empêche de rester impassible. J’y plongerais bien ma tête pour me rassasier, mais je crains de perturber leur corps-à-corps et c’est bien la dernière chose que je souhaite. Rapidement, du moins, plus vite que je ne le pensais, passe le pic de décibel. Le calme regagne alors la pièce à mesure qu’elles reprennent leur souffle. Je décide d’aller dans la salle de bain afin de me refroidir le visage.  En sortant ma copine m’interpelle :-C’est peut-être mieux si tu raccompagnes Léa, tu ne crois pas ?Il est tard et le quartier étant peu éclairé j’acquiesce et pars enfiler un survêtement.  Sur le chemin du retour nous sommes assez silencieux. Léa affiche un sourire satisfait et semble détendue. Il fait un froid de canard : je suis recroquevillé dans mon pull. Quant à elle, elle n’a même pas pris le temps de remettre ses collants. Son haut recouvre à peine ses fesses et pourtant je ne vois pas une once de chair de poule. Arrivé devant sa porte elle m’embrasse. Sans vraiment savoir pourquoi, ma main est directement allée sur sa cuisse.-Ouh tu as les mains gelées ! S’écrie-t-elle.-Désolé je ne sais pas pourquoi j’ai fait ça !J’ai tout de suite voulu retirer ma main, mais elle me l’a retient et me dit :-Réchauffe-toi.En m’embrassant à nouveau. Sans me faire prier j’attrape sa fesse menue à pleine main et rapidement, mes doigts glissent le long de sa raie jusqu’à atteindre ses lèvres encore mouillées, sans doute d’un mélange de sa cyprine et de celle de Mélissa. Un mouvement en entraînant un autre son corps s’est retrouvé dos au mien, en appui sur sa porte d’entrée, puis mon sexe dans le sien. Son fessier est si dur que j’ai peur de m’y briser le bassin. Après quelques allée venues je me sens déjà à bout. Très vite le sang me monte à la tête ; je n’ai plus froid. -Termine. Vite. M’ordonne Léa.Une ultime rétroversion de bassin vient répondre à sa demande. J’avais presque oublié que nous étions dans la rue. Je range mon sexe encore gonflé puis je regarde Léa qui franchit déjà sa porte. -À lundi ! C’était un plaisir en tout cas. Me dit-elle avec un sourire malicieux.-À lundi. Bonne nuit.Sur le chemin de retour le froid me gagne à nouveau alors je presse le pas. Quand j’entre enfin chez moi, Mélissa me lance : -Alors ? Vous avez baisé ?Sans répondre je me dirige vers la chambre où je la découvre encore nue, son jouet favori coincé entre les cuisses. -Elle nous a laissés sur notre faim tu ne trouves pas ? Marmonne-t-elle les yeux à demi clos.Tout en venant lui caresser les cheveux je l’observe se faire du bien. Sur sa cuisse on distingue toujours la trace humide que Léa a laissée. De sa main libre elle défait tant bien que mal ma braguette et mon bouton, puis sors mon sexe. Celui-ci est mou mais encore humidifié par les muqueuses de Léa. Mélissa se redresse alors et viens y coller son visage pour le renifler bruyamment. Pendant que son souffle chaud me redonne de la vigueur, elle me regarde et me dit en ricanant :-Tu ne t’es pas embêté toi ! Ah la salope… ta bite pue sa chatte !Plutôt amusée par la situation elle décide de me nettoyer la verge avec sa salive. Une fois le sexe bien tartiné par sa langue, elle se tourne pour se mettre à quatre pattes dos à moi. -Allez,baise-moi ! Je sais que tu préfères les gros culs comme le mien.J’adore quand elle surjoue l’assurance comme ça. Je m’exécute et viens écraser mon bassin sur son fessier. Elle crie aussitôt, elle exagère un peu c’est vrai, mais ça m’excite. Moi-même j’exagère un peu mes mouvements et mon souffle. Son dos est plus creusé qu’une vague landaise et les ondulations de sa chair s’écrasent de plus en plus violemment sur mon pubis. Mon endurance étant désormais à toute épreuve :-je ne ralentirais pas. Lui dis-je-Mais tu n’as pas intérêt ! Me répond Mélissa, essoufflée.Bien qu’elle agrippe les draps, elle trouve tout de même la force d’utiliser une main pour porter son jouet vibrant à son clitoris. Ses râles se font plus bruyants, mais ils sont vite étouffés par le matelas qu’elle vient mordre. Soudain, mon téléphone qui était posé sur le lit, se met à vibrer. C’est Léa qui m’envoie un message pour nous remercier de la soirée. -Ne te laisse pas déconcentrer ! Me dit Mélissa qui s’empare de mon téléphone pour répondre à Léa par une photo qu’elle prend à l’instant.Sur celle-ci, nos visages n’apparaissent pas. On peut y voir nos bassins imbriqués l’un dans l’autre, le dos cambré de Mélissa ainsi qu’une partie de ma ceinture abdominale, gainée pour l’occasion.
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