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La personne qui me brisa

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Lorsque l’on a mon âge, 33 ans, il y a de fortes chances que l’on ait testé pas mal de choses pour pimenter notre vie sexuelle. Pour certains, ce sont les jouets, pour d’autres, les partenaires de même sexe, et certains cherchent même à multiplier le nombre de personnes avec qui le faire. Pour ma part, ce fut le BDSM. Enfin, plutôt le côté masochiste que le sadisme et le bondage. Je suis passée sous le joug de plusieurs maîtres, et de quelques maîtresses. J’étais connue pour ma capacité à encaisser, et le fait que je n’ai jamais eu besoin de mon safeword « Navet ». Grâce à tous ces maîtres/esses qui m’ont recommandé aux autres, j’ai eu l’occasion de faire une rencontre que je m’apprête à vous raconter.
Tout commence lorsqu’un ancien maître me donne une lettre. Elle avait été tapée à l’ordinateur afin que je ne puisse même pas avoir une idée de qui peut en être l’auteur. Dedans, la personne disait avoir entendu énormément de bonnes choses, et il me proposait un défi, me faire utiliser mon safeword. Si j’arrive à ne pas l’utiliser, il me promet de m’offrir ce que je désire le plus, un fauteuil massant et vibrant, qui a des jouets qui peuvent en sortir afin de faire hurler la personne assise dessus de plaisir. Mais si je l’utilise, alors il fera en sorte que tout le monde sache que j’ai été brisée par cette personne, ou me proposera une autre solution, bien pire. Je ne vais pas vous mentir, rien que lire ça m’avait fait me décider, j’allais accepter le défi.
Pour le commencer, il me donna rendez-vous dans un parc un peu éloigné. Rien de très étonnant ni de très nouveau. J’y suis allée en taxi, vers 23 h, avant d’aller voir sous un arbre qu’il avait indiqué afin de trouver un sac avec ma nouvelle tenue. Sans plus y réfléchir, j’enfilai une tenue en latex noir très serré qui colle mon corps, laissant seulement mes pieds, ma tête et mon cou à l’air libre. J’étais habituée à ce genre de tenue, et même le manque de chaussures me paraissait normal. En continuant de suivre les instructions, je suis tombée sur un collier à piques, avec les piques tournés vers l’intérieur. Je le mis avant de suivre les nouvelles indications. En marchant, je sentais la fraîcheur des piques contre ma peau, ce qui était une sensation agréable. J’arrivais assez vite sous un lampadaire allumé, auquel étaient accrochés un bandeau et une phrase à dire.
Je couvris mes yeux du bandeau, avant de crier « J’ACCEPTE TON DÉFI, MYSTÉRIEUSE PERSONNE. » Des bruits de pas s’approchèrent dans mon dos, et je sentis un gant venant s’enfiler sur mes doigts, me forçant à garder le poing serré en toutes circonstances. Ensuite, quelque chose vint s’enrouler autour de mes chevilles, forçant mes jambes à être pliées. Après, quelque chose vint remplir ma bouche, laissant juste deux petits trous desquels je sentais l’air entrer. Après, ce fut quelque chose qui entra dans mes narines, et dans mes oreilles. C’était une sensation bizarre, jusqu’à ce que je les sente gonfler en moi, bloquant complètement les trous. Je ne sentais plus rien, n’entendais plus rien, et ne pouvais rien dire. Puis, le collier vint piquer ma peau, me forçant à marcher sur mes genoux et mes poings, partant dans la direction dans laquelle la personne mystérieuse devait me tirer avec une laisse. À ce moment, je pouvais sentir à quel point j’étais excitée.

La marche dura plusieurs heures, je n’avais aucune idée d’où j’étais, et j’avais mal partout. On m’enleva ce qui bouchait ma bouche, avant de forcer ma tête contre ce que je présumais être de la pâtée. Je commençais à tout manger sans poser de questions, toujours dans le noir et le silence. À peine avais-je fini de manger que ma tête fut soulevée avant de me retrouver forcée dans un bol d’eau. Sans réfléchir, je me mis à boire le contenu.Ensuite, je fus tirée jusqu’à me retrouver sur un matelas. J’attendis quelques minutes sans que rien ne m’arrive, puis j’essayais de bouger. En avançant, je finis par rencontrer quelque chose de dur, comme un mur. J’essayais de partir dans les autres directions, mais j’étais entourée de mur. Alors, je m’allongeai sur le matelas en silence, et j’essayais de trouver le sommeil.

J’ai passé un temps que je suis incapable de connaître sur ce matelas. Parfois, j’essayais de bouger, mais j’étais toujours coincée contre quatre murs. Mes mains et mes jambes me faisaient atrocement souffrir, et j’étais obligé de faire mes besoins dans ma tenue, sentant ma peau être salie par mes propres déjections, alors que l’odeur devait être affreuse. La seule chose que je pouvais ressentir était une espèce de purée sans goût et de l’eau, seule chose qui m’était offerte. J’étais prête à abandonner, mais je voulais tenir juste un peu plus longtemps.
Puis un jour, je me suis levé, la vue dégagée, les doigts libérés, et les jambes pouvant se tendre à nouveau. Je me massais les parties douloureuses, tout en faisant attention à ce que je voyais autour. Tout était très sombre, mais je pouvais apercevoir un chemin juste en face. Avant de bouger, je défis les bouchons qui empêchaient l’air de rentrer dans mes narines, et les sons entrer dans mes oreilles. Le silence était toujours présent tout autour de moi, mais une odeur infâme envahit mon nez, me faisant presque vomir la bile, seule chose présente dans mon estomac affamé. Malgré tout, mes tétons se mirent à durcir, ma fente lâcha un mélange de mouille et de pisse.
Un plafond m’empêchait de me lever, et je fus obligée d’avancer à quatre pattes. Le sol était jonché de gravier et de cailloux, tout noir, alors que des gouttes d’eau froide tombèrent sur mon dos. Je continuais d’avancer, jusqu’à arriver à un virage. Mais à l’endroit où devait se situer la suite du chemin, je fus surprise de voir un mur se dresser devant moi, et deux bruits étranges provenant d’où je venais attirèrent mon attention. Je fis demi-tour, et repris le chemin. Les bruits provenaient des gouttes d’eau remplacées par ce qui ressemblait à une cascade où je pouvais voir des petits glaçons tomber, ainsi que des cailloux qui semblaient vibrer grâce au sol. Ma tête fut la première à être entièrement trempée, et un frisson de fraîcheur fit trembler tout mon corps. Malgré tout, je continuai d’avancer, et je sentis très vite les cailloux marquer mes paumes et mes jambes.
Aller jusqu’au bout fut un véritable supplice, mais une lumière provenant du plafond m’accueillit. Je vis un trou, et je pus enfin me mettre debout. Dès que ma tête sortit, une vision d’horreur s’ouvrit à moi. Tout autour se trouvaient des instruments de torture que j’avais déjà vus pour la plupart, et testés pour certains d’entre eux. Mais mon corps était faible, et mon esprit l’était encore plus. J’étais brisée. Et j’ai crié « NAVET ». Même ma voix fit brûler ma gorge en sortant. Au loin, je vis une porte s’ouvrir, et je me dirigeai vers elle d’un pas lancinant. À ce moment, j’avais complètement oublié le défi, je voulais juste quitter cet enfer.
Lorsque je quittai la pièce, j’atterris dans un séjour dans lequel se trouvait une table avec un mot dessus. Je m’en approchai, les larmes aux yeux, et le lus rapidement. Dedans, il décrivait ce qui se trouvait derrière les deux portes fermées de la pièce. À ma droite, je trouverai une douche, des vêtements propres et de quoi prouver à tous les autres maîtres que j’avais trouvé bien trop sadiques pour moi. Je me dirigeai vers la porte, enlevant la tenue mouillée en même temps. Elle collait à ma peau, et c’était douloureux rien que d’enlever le torse. Ensuite, j’enlevais les deux bras, et je pouvais les sentir me gratter, me brûler. J’enlevais ensuite le bas, et l’odeur des derniers jours bloqués dedans me prit par surprise. Je me bouchais le nez, et je jetais la tenue plus loin, sur le sol. Avant de sortir, je me redirigeai vers le mot, curieuse de savoir ce qui pouvait se trouver derrière l’autre porte.
Il était écrit « Quelque chose qui te fera mienne pour toujours, ainsi que l’ultime jouissance. »Je restais quelques secondes sans bouger, mais l’odeur provenant de mon ancienne tenue et de la partie basse de mon corps avait rempli la pièce afin de me tirer de mes pensées. Je pris une profonde respiration, avec la bouche, avant d’entrer dans la pièce de gauche.
Je fus accueilli par une intense chaleur qui fit dresser tous mes poils. Au bout de la pièce, je vis une cheminée avec un mot accroché dessus. Je m’en approchai, et le lis rapidement. Il m’expliquait qu’il y avait de quoi marquer mon corps dans la cheminée, et que si je voulais atteindre la jouissance promise, je devais marquer mon corps moi-même avant de me mettre à quatre pattes, le cul levé vers le ciel, et je devais crier « CROISEMENT », ce qui serait mon nouveau safeword. Une dernière ligne m’indiquait que je pouvais aussi faire demi-tour. En baissant la tête, je vis un manche en bois au bout duquel se trouvait une tige de métal perdue dans les flammes. Je pris le manche en main, et je vis au bout du métal quelque chose qui ressemblait à un petit échangeur d’autoroute. Par marquer mon corps, il fallait que je brûle ma peau avec ça, et que je laisse une marque qui sera visible pour toujours. Il fallait que j’accepte d’appartenir à une personne que je n’avais encore jamais vue.
Et le pire est que cette idée me réjouissait. Alors, j’ai plongé le bout en métal dans les flammes, le faisant rougir alors que mon cœur s’emballait. Rien ne précisait où je devais marquer mon corps, et j’aurais très bien pu la mettre à un endroit peu visible. Mais je n’étais pas ce genre de personne. J’avais perdu, et je devais assumer mon erreur. Je tournai le manche dans ma main, pointant le bout brûlant vers ma peau, et je m’apprêtais à le poser contre ma peau, juste au-dessus de mes deux seins, de manière à ce que n’importe quel décolleté montre cette marque. Je pris une rapide respiration avant d’appliquer la marque contre ma peau. J’étais habituée à la cire chaude et aux braises, mais cette brûlure était bien plus forte. Je fermais les yeux, serrant les dents, et laissant le bout quelques secondes contre moi avant de le retirer. En baissant le regard, je pouvais voir le croisement imprimer sur ma peau.
Et maintenant que la douleur s’estompait petit à petit, je me rendais compte que cela m’avait excité. Je reculais ensuite de quelques pas, faisant toujours face à la cheminée, avant de me mettre à quatre pattes, la tête posée à même le sol, avant de crier comme le mot l’ordonnait. À peine avais-je dit mon mot, que j’entendis une porte s’ouvrir derrière moi. Je gardais la tête baissée, attendant de savoir ce qui allait m’arriver, lorsque je sentis un énorme coup de pied contre ma chatte, me faisant lâcher un cri de douleur, alors que ma mouille coulait le long de mes cuisses. Juste après, je pouvais sentir une main gantée me caresser, faisant ralentir les battements de mon cœur. Une seconde main parcourait mes fesses, passant entre elles, et tournant autour de mon trou. J’essayais de me détendre, agrandissais mon cul si jamais cela l’intéressait, mais je sentis les mains se retirer, et la personne se lever.
Je ne dis rien, me contentant de lever un peu plus mes fesses, alors que je sentis de nouveau le pied venir frapper ma chatte. Je serrais les dents, alors qu’un nouveau coup suivit, un peu moins fort. Les coups continuèrent, ne me laissant pas le temps de respirer. Je pouvais me sentir être excité par les coups de cette personne dont j’ignorais encore tout. Elle restait silencieuse, ne laissant que les bruits des coups de pied remplir l’espace, ainsi que des petits cris trahissant le plaisir que je prenais. La personne dut s’en rendre compte, car il arrêta ses coups. Enfin, c’est ce que je pensais, jusqu’à ce qu’un nouvel énorme coup de pied me mit au sol en me faisant jouir au passage, laissant une flaque à mes genoux. À ce moment, la fatigue et la faim étaient bien trop fortes, et je m’effondrai sur le sol, un sourire sur le visage.
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