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perversion

Chapitre 4

SM / Fétichisme
En présence de son époux, la brune aux reflets roux savait être sage. Sans latex, elle n’était pas aussi troublante mais la situation excitait le maître. Ce jeu de rôle, cette mise en scène pleine de faux semblants et de mensonges, parfois saupoudrée d’allusions indirectes, vous aimeriez vous aussi vivre pareille situation.Ils profitèrent ensemble du film dans un de ces lieux impersonnels dont regorge la capitale. C’est devant une friandise que l’idée d’en voir un deuxième fit son chemin. Un bon quart d’heure devait s’écouler avant le début de la séance, mais la salle étant accessible, les trois cinéphiles s’y aventurèrent pour choisir un emplacement agréable.“Toutes les deux heures, comme toutes les nanas” glissa l’amant à l’oreille du mari qui voyait sa femme se faufiler entre deux rangées de sièges. “Remarque, je crois que je vais faire pareil” lui dit-il en lui donnant une tape virile sur le bras.Le maître pistait sa soumise à travers l’allée tapissée de bleu électrique. En point de mire : les fesses moulées par un short blanc. “Qu’est-ce que tu fais” lui demanda-t-elle alors qu’il franchissait la porte des toilettes des dames en sa compagnie. Le maître ne prit pas la peine de répondre, se contentant de la pousser entre les parois en plastique de ce lieu d’aisance.Le loquet retentit. La porte à peine fermée, il se retourna, glissa sa main sous le gilet sans manches qu’elle avait choisit pour protéger ses seins de regards indiscrets. Il cernait le globe gauche de sa main tout en prenant possession de la bouche bardée de rouge. L’embrassait à pleine langue en veillant à serrer entre ses doigts l’extrémité du sein sous contrôle.Son autre main plongea sous le short : l’homme essayait de trouver comment ôter ce qui l’empêchait d’un buste nu. En tirant sur le coton, il arracha à son amante une manifestation sonore : elle portait en fait un body dont l’entrejambe venait de la mordre sous l’action de son maître. “Qu’attends-tu pour l’enlever, que je te l’ordonne ?” lui asséna-t-il en prenant son menton entre ses doigts puissants.Le short sur les chevilles, le body dégrafé, la jeune femme offrait son entrejambe lisse et impatiente. Sans qu’il ait besoin de s’exprimer, elle s’était docilement accroupie pour prendre en bouche le sexe de son maître qui ne tarda pas à manifester son désaccord. “Non. A quatre pattes ! Comme une vraie chienne” lui avait-il ordonné pour qu’elle exécute timidement le premier pas vers l’humiliation. “Dépêche-toi, on n’a pas 107 ans” : ses genoux nus touchèrent le sol glacé. Ce fut ensuite la paume de ses mains qui se colla contre le sol au carrelage à la propreté douteuse.Quand elle releva la tête, cessant de regarder le sol, oubliant la répulsion que son esprit ressentait, l’esclave sexuelle saluait de sa langue reptilienne l’introduction du sexe brûlant.À peine commençait-elle à prendre un malin plaisir à jouer ainsi que son maître lui intima l’ordre de se retourner. Elle se retrouva nez à nez avec la cuvette de toilettes fréquemment honorées. Le temps pressait : ses pensées vacillaient. Elle pensait à son maître. À son mari en train de se rendre compte du retard. À la saveur que le sexe avait laissé dans sa bouche après quelques brefs allers et retours. Elle manqua de crier à gorge déployée lorsque l’amant viola l’orifice qui lui était réservé, sans la prévenir, sans prendre peine de s’immiscer au préalable. Non, le temps manquait alors il l’enculait sans ménagement. Sans égards… N’était-elle pas à quatre pattes dans les chiottes d’un ciné où l’attendait son mari ? “Une vraie chienne”, voilà ce que pensaient les deux adultes en pleine action. Sans se le dire, il le savait.Sous la vigueur des assauts, l’épouse gémissait en tentant de retenir les manifestations les plus sonores. Sous la puissance des coups de reins, elle délaissa le sol de ses mains pour venir entourer la faïence de la cuvette. Elle enserrait la cuvette. Elle se tenait au chiotte. Elle se faisait enculer comme une vulgaire putain. La tête surplombant le trône. Les yeux rivés au fond des toilettes. Parce que trop bruyante, l’amant plaquait sa main sur la bouche de sa victime pour entamer une dernière salve rageuse : les fesses féminines claquaient bien sous le contact du partenaire.Il se retira après s’être soulagé en elle. La jeune femme reprenait ses esprits sans changer de pose pendant qu’il nettoyait son sexe au moyen de papier toilette. Il le jeta dans la cuvette sous le regard brillant de l’infidèle. “Je te consolerai plus tard” lui lança-t-il avant d’entrouvrir la porte. La voie était libre. Il s’y engagea en l’abandonnant à sa détresse.Quand elle vint se rasseoir à côté de son mari, plus de vingt minutes s’étaient écoulées. Le film commençait. L’ami, l’amant, lui, était revenu cinq minutes plus tôt. Lui n’avait pas eu besoin de se remettre le body en place. Lui n’avait pas eu à se remaquiller sommairement. Lui n’avait pas eu à rincer ses bras et ses jambes avec l’eau des toilettes. Lui n’avait pas cette peur au ventre. Et cette douleur si mal placée…Elle eut tout le film pour méditer un mensonge acceptable. Il la savait gourmande. Ainsi, quand l’épouse infidèle dit à son mari qu’elle avait craqué pour une gourmandise, il la crut. Gourmande… Oui. Mais il ne se rendait pas compte à quel point !Les mois d’été sont toujours étouffants à Paris. Cette année là, comme toutes les autres, le mari délaissa son épouse pour une escapade en province. Cette période de liberté ne devait durer que quelques jours. Cela était bien suffisant pour que les amants se retrouvent chaque soir. Ils passaient même leurs nuits ensemble. “J’espère qu’il en fait autant” pensait le maître à propos de son ami trompé.Cynisme… et machiavélisme. Deux traits affirmés de son caractère. Il s’était chargé du programme d’un vendredi soir pas comme les autres. Elle devait être chez lui à vingt heures. Elle avait été prévenue : “Je te veux tirée à quatre épingles, ce soir, on sort” ; aussi, avait-elle fait un effort particulier concernant son maquillage et sa coiffure.Elle retira sa veste en arrivant chez lui. La chaleur était encore étouffante à cette heure-là. Il voulut l’embrasser goulûment. Elle lui interdisit “Pas question que je recommence” lâcha-t-elle en riant, préférant délivrer un baiser du bout des lèvres. Il se fendit d’un compliment devant son choix de talons hauts. “Belle hauteur” admettait-il en vérifiant le galbe du mollet. “Où m’emmènes-tu ?” demanda-t-elle. “Ce ne sont pas des collants au moins”. “Nooooon, tu sais bien que j’ai perdu cette mauvaise habitude pour toi” lui rappela-t-elle souriante. Le maître ne distinguait aucune silhouette de porte-jarretelles sous la jupe aussi voyante que moulante. Orange vif… C’était un choix représentatif de ce dont elle était capable.Il la happa vers lui, la prit dans ses bras, les mains sur les fesses. “Pas de culotte ?”. “Je porte un string. Tu verras, je suis plutôt craquante avec” : regard meurtrier de la coquette. “Montre-moi ça” semblait-il commander en glissant un doigt sous le chemisier blanc. Elle le déboutonna et lui montra ses seins de manière provocante. Son attitude ne lui plaisait pas. Le soutien-gorge non plus. Blanc en dentelle… Ce n’était pas ce qu’il espérait. “Ne joue pas à la petite salope avec moi” lui asséna-t-il en lui ordonnant de garder la pose : le chemisier ouvert, sur les avant-bras épaules nues, mains jointes, seins en avant.Revenu, un martinet en latex en main, il asséna une décharge électrique aux deux globes mammaires. Elle exprima un “aie” long et fort. Il lui ordonna de reprendre la pose d’un ton intransigeant. Elle reprit la même position mais elle n’était plus la même. Il avait reprit le contrôle et son visage avait changé. Il recommença en visant le dessus de la poitrine, partie mal protégée par la dentelle en coton. Elle essaya de bouger le moins possible : les traits de son visage se tirèrent encore un peu plus, la chair se tria de rouge. “Allez une dernière pour la circulation sanguine !” décida-t-il.Le martinet claqua moins fort que les deux précédentes attaques. La croix qui se balançait à son cou était parfaitement rehaussée par la chair rougie par le latex. Elle l’écouta dicter son ordre et l’exécuta. Le chemisier glissa à terre bientôt rejoint par le soutien-gorge. Elle ne comprenait pas ce que son maître attendait d’elle. Mais lorsqu’il lui tendit un haut aussi féminin que transparent, elle fut fixée sur son sort. En glissant sa main sous l’étoffe, elle pouvait immédiatement confirmer ses craintes. La matière ressemblait à la mousseline et affichait une transparence totale. Ce haut ressemblait à un chemisier. De longues manches, un col ras du cou. Une différence pourtant. Une différence de taille. Il se boutonnait dans le dos, comme une blouse. Il prit soin de boutonner le chemisier tandis qu’elle ajustait sa jupe par dessus. Quand ce fut fait, elle jeta un œil terrifié à ses seins impudiquement laissés visibles. Sous ce voile poids plume, au demeurant très agréable, sa peau blanche prenait une teinte en parfaite harmonie avec ses jambes gainées. Une teinte brune aussi distinguée que sensuelle. Elle réajusta sa coiffure pour être prise en photo. Elle ne voulait pas. Mais il avait insisté d’un “Je veux” dont elle connaît le poids de la sanction.Elle prit la pose sur un tabouret du bar avant de lui demander un verre. “Tu le prendras là où je t’emmène” répondit le maître du jeu.Elle s’attendait au pire et au meilleur. Elle avait songé aux extrêmes : à un quartier chaud ou à un restaurant de haut vol. Non. La surprise était ailleurs : entraînée dans une soirée où elle ne connaissait personne, perdue en plein 7e, en pleine pendaison de crémaillère. Invitée parmi d’autres, elle passait inaperçue ou presque. Son ensemble orange attirait l’attention des femmes. Les hommes préférant se concentrer sur la transparence du chemisier que masquait partiellement la veste ajustée de son tailleur fruité.“Tu ne crains rien ici, il n’y a que des gens bien. Rien qui tâche…” lui avait glissé son amant avant d’arriver. L’ambiance était plutôt bcbg, plutôt buffet light que grosse bouffe grasse. Pourtant, elle sentait que le maître cherchait à lui faire franchir une étape. Elle n’avait pas vécu de situation aussi paradoxale jusqu’alors. Elle attendait la mise à l’épreuve, redoutait le moment où il lui ordonnerait d’ôter sa veste. Sans savoir qui se trouvait en face d’elle. Elle se savait protégée par l’anonymat mais visée par le jugement des autres. Elle ne risquait pas que ses agissements ne parviennent aux oreilles de son mari… Etait-elle pour autant moins en danger ? Elle le savait capable de l’immerger profondément. En jouant, en aimant jouer, en se dévoilant, elle lui avait avoué beaucoup de fantasmes, d’images fortes, de peurs… Il avait les armes pour la mener au ciel… ou en enfer. Et c’est lors de cette soirée qu’elle en prit conscience. Confrontée à son secret, à la solitude en public d’une situation troublante.
Pourtant, ce moment redouté n’arriva pas. Ils quittèrent le loft accompagné d’une femme que son amant lui avait présenté lors de la soirée. Fonctionnaire de police, c’était par elle qu’il avait eu vent de cette soirée plutôt inconsistante. La soumise la jugeait quelconque et ne prêtait guère attention à la conversation alimentée sur le chemin du retour.“C’est sympa de m’avoir raccompagnée. J’vous offre un verre pour vous remercier ?”. C’est ainsi qu’ils se retrouvèrent chez elle. Un trois pièces en plein 10e, bien trop grand pour une célibataire, aussi sombre que sa propriétaire : Martha. Elle ne respirait pas la joie de vivre. Comme son amant, elle avait préféré discuter et s’abreuver plutôt que danser. Le chemisier l’avait empêché de danser sur les rythmes rapides… mais la musique lui manquait en ce lieu plutôt lugubre. “On dirait un commissariat” lâcha-t-elle en découvrant le séjour. Elle avait gaffé mais l’ambiance ne s’en trouva pas affectée.
L’ambiance était produite par d’autres facteurs dont la soumise n’avait pas conscience. “Tu sais ce qu’il manque pour faire commissariat ?” demanda Martha à l’épouse agacée par une soirée loin de ses espérances. Elle la rembarra d’un signe de la main. “Ça” lâcha la brune aux cheveux courts en empoignant l’impolie. Sans comprendre ce qui lui arrivait, la soumise se retrouva les mains menottées. Elle se retourna, les bras tendus dans le dos en demandant ce qu’elle foutait. C’est alors qu’elle reçut la plus cuisante gifle de sa vie.“Maintenant tu la fermes petite conne” lui asséna Martha en l’entraînant jusqu’au centre de la pièce où l’homme posait très calmement une chaise pliante. Le flic la jeta presque dessus, elle se releva aussitôt mais cette fois-ci, c’est la poigne de son maître qui la fit se rasseoir. Sans un mot, il s’éloigna. La victime aurait voulu frotter sa joue. Abasourdie, elle prenait conscience du piège qui se refermait sur elle. Martha s’approcha de nouveau et se pencha sur elle. “Règle 1 : JE pose les questions. Règle 2 : TU réponds. Règle 3 : TU gardes le cul sur cette chaise sinon je t’en colle une autre” énonça sèchement Martha en montrant sa main.— “Tu as compris ?— Oui” murmura la jeune femme intimidée— “J’ai appris que tu aimes te faire enculer. C’est exact ?— Oui” lâcha-t-elle après un silence hésitant. Martha gifla son front.— “Autre règle : tu réponds tout de suite ! Compris ?— C’est d’accord puisque je n’ai pas le choix…— Tu es très indisciplinée pour quelqu’un qui aime se faire enculer à quatre pattes dans des toilettes publiques— Vous êtes drôlement bien informée…— Quand j’en aurait terminé avec toi, tu auras honte de croiser mon regard !— Je n’en suis pas si sure !” répondit dans un sursaut d’orgueil l’infidèle qui serait bientôt déstabilisée— “Par contre je suis sure que tu ne baises pas comme une putain avec ton mari !— Il n’y a pas de différence…— Voyez-vous ça ! Tu fais la fière ? Ton mari t’encule autant que les autres ?— Mon mari ne m’encule pas. Mon mari me fait l’amour.— Arrête tes belles phrases. Est-ce que ton mari te baise par tous les trous ?— Non.— Pourquoi ?— Parce que !— Parce que quoi ?— Parce que quelqu’un ne veut pas qu’il m’encule.— Je sais qui exige ça de toi. Mais tu acceptes parce que ça te plait— Oui j’aime ça— Mais tu aimes aussi te faire enculer— Ça j’adore !— Lorsque tu te caresses, tu te mets des doigts dans le cul ?” Silence… et menace de la main— “Ça m’arrive— Combien de doigts ?— Un… parfois deux— Jamais trois ?— Quelques fois— C’était quand la dernière fois ?— La dernière fois que ?— Que tu t’es caressée !— Aujourd’hui— Quand ?— Aujourd’hui !— A quelle occasion ?— Quand je me suis préparée pour cette putain de soirée— En t’habillant ?— Après m’être habillée…— Et tu m’avoues ça comme ça ! Tu n’as pas honte ?— Honte de quoi ?— Je vais te donner des raisons d’avoir honte. Lève toi ! J’ai dit LEVE TOI !”Martha déboutonne la veste orange et l’enlève des épaules de sa propriétaire qui se retrouve les bras dans le dos, menottée, la veste qui pendouille au bout de ses avant-bras. Elle sent sa jupe quitter sa taille. Le tissu qui moulait ses cuisses glisse jusqu’aux chevilles. Martha lui confisque son string. La jupe a volé à travers la pièce après que le policier se soit emparé du slip blanc qu’il examine en pleine lumière. “Je vois”… Elle se rapproche et porte au nez de sa propriétaire le slip encore chaud.— “Tu sais ce que ça sent ?— Vous allez me le dire…— Ça sent la salope.— Si vous le dites…— Je t’ai déjà dit de ne pas faire la fière avec moi !” menace Martha en appuyant fort le slip contre les narines de la suspecte— “Tu t’es caressée à travers ce slip ?— Oui— Quand tu te caresses, tu préfères sous ou sur le slip ?— Sur— Comme toutes les salopes” conclut Martha en éloignant l’étoffe odorante— “Tu peux te rasseoir— Trop aimable…— Je ne suis pas aimable. Je ne voulais pas que tu sois gênée— Gênée par quoi ?— Gênée d’exhiber ta chatte rasée— Tu n’arriveras pas à m’humilier. Je sais que tout ça, ce n’est qu’un jeu pour toi !— Arrête de me tutoyer !— J’espère que t’es plus efficace dans ton boulot…— Je vais te faire voir” répéta deux fois Martha enragée. Le maître surveillait sans intervenir.En la tirant par les cheveux, Martha traîna l’inconsciente jusqu’à la cheminée qui occupait l’angle nord du séjour. Elle se saisit du tisonnier qu’elle jeta au sol puis, en exerçant une pression dissuasive sur le bras droit de sa victime, maintenu très haut remonté dans le dos, Martha parvint à faire s’agenouiller la jeune femme sur le tisonnier. Nous avons tous en tête le souvenir mémorable des punitions d’antan. Il ne s’agissait pas d’une règle en fer. Mais la position était tout aussi redoutable.Mais elle ne l’aurait pas brisée en lui imposant une épreuve physique. Martha avait autre chose en tête. La colère est souvent bien mauvaise conseillère. En tous cas, un cruel conseil pour celle qui allait en subir les conséquences. Martha libéra le poignet gauche de l’entravée qui chercha immédiatement à se redresser, mais la pression sur le bras droit l’arrêta. “Tu vas me casser le bras, arrête par pitié”. Il n’y avait pas de place pour la pitié en ces instants. Et si Martha relâcha le bras de l’infidèle, ce fut après avoir utilisé la menotte libérée pour lier le poignet encore prisonnier à la cheville gauche fraîchement ceinte de métal.Cela n’a l’air de rien. Mais essayez… et vous verrez que la victime n’est plus en mesure de se relever. Certes, le bras droit est libre, mais la torsion du buste et la douleur exercée par les arêtes métalliques sur les genoux réussit à convaincre les plus réticents.“Maintenant que tu as une main libre, je veux te voir te mettre deux doigts dans le cul” lui ordonna Martha. “Pas question” répondit-elle. Elle la dominait de sa hauteur : entravée, à moitié nue, à genoux sur une tige d’acier, elle ne reconnaissait pas sa défaite. “Tu changeras vite d’avis” ajouta Martha avant de reprendre son interrogatoire.— “Tu aurais besoin d’un bon régime— Va te faire foutre !— Pas par toi ma chérie. Peut être par lui mais pas par toi” ajouta-t-elle en regardant le maître qui s’était rapproché du combat.— Ne vous gênez surtout pas pour moi…— Je t’ai vexée… je suis désolée chérie— Arrête de m’appeler comme ça— C’est étrange, j’aime bien caresser ta peau— Il paraît que la police est pleine de gouines refoulées, c’est pour ça— Amusante… Mais tes sarcasmes sont gras. Comme toi… Jolies ces vergetures sur tes seins.— Lâche moi !— Tu préfères peut être que je touche ici ?”La soumise se raidit : Martha caressait son sexe et elle était la première femme à le faire. La toute première…— “Dis-moi à l’oreille quand cette petite chatte a-t-elle accueilli sa première queue ?— 16— Précoce…— Non, simplement normale— C’était bien ?— Non— Qui était-ce ?— Mon mari— Déjà… Ça explique tout— Arrête ça— Ça quoi ?— Tu sais très bien— Ça te gêne que je te caresse ? Tu as peur de jouir ?— Sûrement pas— On verra ça— Ta gueule— Tu dégoulines— Tu es écœurante— Ta main serait plus utile à fourrer ton cul plutôt qu’à essayer de m’arrêter— Ja… Jamais— C’est la douleur qui te fait bégayer ?— Non— Alors c’est le plaisir— Encore moins !— Il m’avait dit que tu étais vicieuse— Je suis une femme— Tu n’es pas une femme— C’est ridicule— Non une femme ne se retrouve pas dans la position qui est la tienne— Je suis une femme. Et j’assume mes envies— Tu es une chienne. Répète— Non— Répète !” ordonna Martha en faisant rouler entre ses doigts les petites lèvres de sa victime— “Je suis une chienne— Plus fort— Je suis une… chienne— Mieux que ça— Je suis une chienne— Encore— Je suis une chienne— C’est bien de le reconnaître— Arrête s’il te plait— Toi, tu dois me vouvoyer— Arrêtez s’il vous plait— Supplie moi— Pourquoi ?— Parce que ça t’excite.— Pitié— Parce que ça te plait d’être forcée. N’est-ce pas ça que tu recherches dans la soumission. N’est-ce pas ce que tu désires quand tu as quelque chose entre les fesses.— Peut-être oui” murmurait la jeune femme visiblement touchée aux genoux et à l’âme— “Pitié… s’il vous plait— Il ne tient qu’à toi que j’arrête— Je… je ne comprends pas— Je t’ai déjà expliqué— Quoi ?— Ce que tu devais faire— Pour que ça s’arrête ?— Oui…— Pitié— Glisse deux doigts entre tes fesses, supplie moi et tu seras libre— Pas comme ça— SI !— Pitié— Si tu le redis encore une fois sans avoir fait ce qu’il faut… Voilà qui est mieux !— Pitié— Enfonce les !” répétait Martha jusqu’à ce que sa main vienne pousser l’hésitante— “Je vous en supplie… Libérez-moi— Tu te souviens de ce que tu m’as dit tout à l’heure. NON. Laisse tes doigts là où ils sont !— Qu’est-ce que j’ai dit ?— Que je ne réussirais pas à t’humilier— Vous avez gagné— Non… Je ne te crois pas. Même si tu le crois, ce n’est pas de la honte que tu ressens.— Arrêtez…— C’est de la résignation. Je vais te faire toucher l’humiliation— Et je serai libre ?— Oui… tu oublieras cette douleur aux genoux— Qu’est ce que tu veux de moi ?— Que tu lèches tes doigts…” : ces paroles transpercèrent la victime. Martha les prononça en la regardant droit dans les yeux. Elle ne plaisantait pas. Et son maître approuvait. Le silence témoignait de son accord.
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