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Perversion en famille

Chapitre 6

Papa tombe dans notre piège

Inceste
Bonjour, je suis Laureline et c’est à mon tour de continuer à vous conter notre belle histoire de sexe en famille. Donc, c’est fait, mamounette a fait l’amour avec nous, ses trois enfants, Frédéric, Clémentine et moi. Et elle a aimé... Tous les quatre, nous avons franchi tous les interdits ou presque. Car il reste un dernier pion à inclure dans ce jeu incestueux, Nicolas, notre père. Il a déjà succombé aux charmes de ses filles, mais qu’en sera-t-il si nous sommes tous les cinq réunis ? Et comment le faire entrer en scène ? Mais j’ai ma petite idée...
— Ecoutez-moi. J’aimerais beaucoup que papa participe à notre relation familiale, si perverse, mais si jouissive aussi. Je pense que Clem est pour, après ce qui s’est déjà passé entre eux. Mais qu’en pensez-vous, tous les deux ? A toi d’abord, maman, ton avis ?— Je ne sais pas quoi dire... Tu confirmes ce que je pensais, papa a donc baisé avec vous deux, ses filles chéries...— Oui, mamounette, avec Clem et moi. Et je peux te dire qu’il a apprécié et qu’il a été très performant...— Je suis à la fois peinée, moi il me délaisse, et interloquée, Nicolas avec vous deux ses filles, mais que dire, alors que j’ai fait pire... Alors, peut-être que si cette débauche nous permet de nous rapprocher, pourquoi pas. — Et toi, Fred ?— Je ne sais pas... Papa, même s’il n’est pas mon père biologique, est celui qui m’a élevé... Alors là, je suis un peu perdu. Et puis c’est un homme...— Avec maman, Clem et moi, cela ne te pose pas de problème, mais imaginer toi et papa, ça te coince ! De toute façon, on est majoritaire, alors il n’y a plus de discussion. Ce soir, quand papa prendra sa douche, j’irai dans la salle de bain le retrouver. Et je connais sa réaction... Alors maman entrera en scène et la suite, vous la devinez !
L’après-midi se passe normalement, de même que le dîner. Tout le monde est joyeux, papa ne s’aperçoit bien sûr pas des sourires complices que nous échangeons avec Clem, alors que maman et Fred paraissent légèrement tendus. Il est tôt, à peine 21 h quand papa décide d’aller prendre sa douche.J’attends une dizaine de minutes, puis je monte le rejoindre dans la salle de bain. J’ouvre doucement la porte, il est toujours dans la cabine, mais ne peut m’apercevoir compte tenu de la vapeur présente dans la pièce. Je me déshabille rapidement puis j’ouvre la porte de la douche...
— Laureline, toi ici !— Papa, dis rien, mais après ce qui s’est passé hier matin, j’ai trop envie, prends-moi vite !
Sans laisser le temps à mon père de répondre, je le rejoins, entoure mes bras autour de son cou et colle mes lèvres aux siennes. Ma langue force l’ouverture de sa bouche et nous échangeons un baiser passionné. Très vite, une de mes mains abandonne son cou pour descendre à la recherche de son sexe. Dès mes premiers mouvements de masturbation, sa queue prend du volume et devient très rapidement raide. Je sens que papa adore ce que je lui fais, car il commence à pousser de faibles gémissements. J’abandonne sa bouche et je m’accroupis pour avaler la belle bite paternelle. Je l’entre au plus profond que je peux, mes lèvres touchent presque ses bourses d’où un léger haut-le-cœur qui s’arrête dès que je ressors sa queue. Quelques mouvements manuels de va-et-vient et je la réintroduis. Papa semble apprécier de plus en plus cette pipe et crispe fortement ses doigts sur le sommet de mon crâne.
— Ouiii, Laureline, continue de sucer ton papa, tu sais si bien t’y prendre, ahhh, ahhh.
Puis je ne garde que son gland en bouche, que je pompe avec délectation, avant que seule ma langue suce l’extrémité de son sexe, comme une belle sucette qui m’aurait été offerte et que je dégusterais avec gourmandise. Une de mes mains est entre mes jambes et je branle mon bouton d’amour avec frénésie. Malgré l’eau qui coule, je sens que ma chatte est trempée et mon jus couler sur mes cuisses. Je me relève...
— Baise-moi, mon papounet d’amour, ma chatte est en feu et j’ai besoin de ta bite tout de suite, je ne peux plus attendre, vite...
Mon père me saisit alors et d’une seule pression, enfonce sa queue raide de désir dans mon vagin. Il s’ouvre le chemin entre les parois trempées avant de venir buter contre le fond de ma chatte. Cette pénétration bestiale me fait pousser un cri sauvage. Papa passe alors ses mains sous mes fesses et me soulève. Mes jambes encerclent ses hanches afin de m’arrimer solidement à lui, mes bras entourent son cou. Il plaque mon dos contre la paroi carrelée de la cabine et débute alors le ramonage de mon sexe, une défonce sans aucune retenue qui me fait hurler de plaisir à chaque coup de boutoir. Papa est tombé dans notre piège, mais cela n’empêche pas que je jouis comme une folle. L’orgasme me transperce, je hurle, un cri que même le bruit de l’eau qui coule ne doit pas couvrir...

Papa sort brusquement sa queue et me pose ; je m’assois sur le sol, car mes jambes n’ont plus la force de me porter, la bite paternelle juste en face de mon visage. Et je vois arriver sur moi des jets de sperme, j’ai juste le temps de fermer les yeux avant qu’ils m’atteignent. Papa crie un rugissement de bête fauve. Je suis recouverte de son foutre, même mes cheveux ont reçu cette délicieuse semence visqueuse. J’ai tellement joui que tout mon corps se relâche et j’émets un puissant et continu jet d’urine qui éclabousse les jambes de mon père avant de terminer sa course sur la paroi vitrée de la cabine.
C’est alors que la porte de la douche s’ouvre, c’est maman...
— Merde Nicolas, c’est pas possible ! Dis-moi que ce n’est pas vrai ! Tu ne viens pas de baiser Laureline quand même, ta propre fille ! Et sors de cette douche, tout de suite.— Christine, mon amour, s’il te plaît, laisse-moi t’expliquer.— Dégage de là, va dans notre chambre et attends-moi, tu vas l’avoir ton explication !
Papa sort de la salle de bain, tout penaud, sans même s’être rhabillé. Maman me fait alors un grand sourire avec un clin d’œil.
— Ton plan a marché à merveille et maintenant j’ai ton père à ma merci. Mais d’après ce que j’ai entendu et ce que je vois, ton rôle n’a pas dû être trop pénible...— Ah que non, mamounette, putain qu’il m’a fait jouir, papa. Tu ne peux pas t’imaginer comme il m’a bien besogné, trop trop bon, j’ai encore du mal à récupérer. Alors, ne sois pas trop dur avec lui, il faut qu’il reste en forme !
Bonjour, c’est à moi, Christine, de reprendre le cours de cette histoire.Je retrouve mon époux, Nicolas, dans notre chambre. On dirait un gosse pris la main dans le sac après avoir fait une bêtise, le piège va pouvoir se poursuivre...
— Alors, Nicolas, tu es fier de toi ? Baiser ta fille sous la douche, je ne sais pas ce qui me retient de t’en mettre une.— Pardonne-moi, s’il te plaît. Je prenais tranquillement ma douche et c’est Laureline qui est venue...— Monsieur n’assume même pas ! Tous les mêmes les hommes, quand il faut, pas de couilles ! En tous les cas, avec les cris que j’ai entendus, tu semblais plus en forme qu’habituellement quand tu daignes me faire l’amour. Pour essayer, je dis bien essayer de te faire pardonner, tu vas, avec ta bouche et ta langue, t’occuper un peu de ma chatte. Tu sais, ce que tu as trop souvent tendance à oublier...— Oui, mon amour, tout ce que tu veux.— Arrête avec les « Mon amour », contente-toi de faire ce que je dis ! Et tu vas faire ça, les yeux bandés, tu seras moins distrait et plus appliqué à ta tâche.
Je me mets nue, m’allonge sur le lit et ouvre mes cuisses en grand. Nicolas qui a obéi sans la moindre réserve et s’est laissé mettre un bandeau opaque sur les yeux positionne sa tête au niveau de mon sexe.
— Et maintenant à toi Nicolas, et applique-toi, sinon tu t’en souviendras !
Avec mes doigts, j’ouvre ma chatte en grand afin de faciliter le travail de Nicolas. Aussitôt, je sens sa langue lécher avec application l’intérieur de mes lèvres intimes et s’engouffrer aussi loin que possible dans ma gaine vaginale. Il ne s’arrête pas et me lèche ainsi pendant plusieurs minutes. Je sens mon jus couler en abondance, Nicolas doit en avoir plein la bouche et le menton. Avec mes mains sur ses tempes, je lui fais comprendre de monter un peu plus haut, afin de s’occuper de mon petit bouton d’amour qui n’en peut plus d’attendre. Sa langue tourne autour avant de le prendre en bouche et de le téter de plus en plus fort et de plus en plus vite. J’avoue que Nicolas s’y prend bien, mon plaisir augmente rapidement alors que ma respiration s’accélère et que mes gémissements s’amplifient. Puis mon homme ralentit la cadence afin de faire redescendre la pression.
Il mordille légèrement mon clito avant de reprendre sa succion, en même temps qu’il introduit deux doigts dans les profondeurs de ma chatte trempée.
Il débute alors un pilonnage de plus en plus rapide de mon cratère en feu. Entre sa bouche qui bouffe mon clito et ses doigts qui me fouillent, je n’arrive plus à me contrôler, le plaisir devient trop fort et je jouis. Un orgasme violent, mon corps se raidit, je pousse un cri de jouissance, ma cyprine inonde le visage de Nicolas et je tire violemment sur ses cheveux.
Nicolas retire sa tête de mon intimité et attend mes ordres pour la suite. Mais je mets un peu de temps à récupérer, mon plaisir ayant été sublime, et puis je savoure cet instant, cela faisait si longtemps que mon mari ne m’avait pas fait jouir ainsi. Il a réussi la première épreuve, mais n’en a pas encore fini. Comme prévu, Laureline, Clémentine et Frédéric entrent, entièrement nus, sans aucun bruit dans la chambre, Nicolas ne se doute de rien. Fred est entre ses deux sœurs, sa queue est déjà au garde-à-vous, Laureline lui astiquant avec dextérité son mât veineux. Je m’aperçois qu’il lutte afin d’étouffer le moindre râle de plaisir.
— Et maintenant Nicolas, j’ai envie que tu me baises. Tu vas t’allonger sur le dos et je vais venir m’empaler sur toi...
Mon homme, toujours les yeux bandés, s’allonge comme demandé. D’une main, je saisis sa verge que j’introduis dans mon vagin. Nicolas me pénètre sans aucune difficulté, mon antre étant trempé de cyprine. Je débute quelques mouvements du bassin avant de m’arrêter brusquement.
— Et maintenant Nicolas, surprise !
C’est alors que Clémentine, qui s’était approchée de son père, enlève le bandeau de ses yeux. Nicolas découvre alors avec stupéfaction la présence de ses trois enfants.
— Clem, Laureline et toi Fred, mais, mais, que faites-vous ici ?— C’est très simple, mon chéri. Alors, écoute sans m’interrompre. Cela fait des années qu’entre nous, c’est plutôt morne plaine. Tu me fais l’amour au plus une fois par semaine et sans que nos rapports me procurent vraiment du plaisir. On dira que Monsieur a simplement besoin de se décharger d’un trop-plein. Eh bien, j’ai redécouvert le plaisir et la jouissance dans les bras de tes trois enfants, d’abord Frédéric puis avec tes deux filles. Et surtout, pas de commentaire ! Tout cela est de ta faute, si tu ne m’avais pas délaissée. De toute façon, toi aussi tu as fauté avec Laureline et Clem. Elles m’ont tout raconté, même leurs petits trous ont reçu ta visite d’après mes informations... — Christine, là ce que tu me dis, c’est... c’est... stupéfiant, inimaginable. Je ne sais pas quoi dire.— Et bien ne dit rien. Et agis, baise-moi et accepte que nos trois enfants participent à la fête. Et pour commencer, tu vas continuer à me prendre par-devant et Frédéric, cela sera by the back door...— Christine, tu veux qu’avec Frédéric, nous te prenions en sandwich ?— Oui, tu as très bien compris. Allez, action ! Et toi Frédéric, viens et prends mon petit trou, il n’attend que cela !— Attends, mamounette, une petite préparation s’impose ! s’exclame alors Clémentine.
Elle s’approche de mon petit œillet, sort sa langue et me lèche avec application, une magnifique feuille de rose avant d’introduire un puis deux doigts préalablement bien mouillés de salive. Rien qu’avec cette mise en bouche, si j’ose dire, je sens mon excitation grimper en flèche et ma chatte s’humidifier encore plus, même si cela ne paraît guère possible, étant déjà une véritable fontaine. Puis c’est au tour de Frédéric d’agir. Il s’approche, moi toujours à quatre pattes, empalée sur le sexe de Nicolas, sa queue bien raide face à ma rosette. Il débute sa pénétration, franchit sans difficulté mon sphincter anal et je sens mes parois internes s’adapter sans difficulté apparente à la grosseur de son chibre. Arrivé le plus loin possible, ses bourses contre mes deux lobes fessiers, il marque un temps d’arrêt, et en profite pour encourager son père.
— Allez papa, on y va, on va défoncer mamounette, elle ne demande que ça !
La défonce de mes deux orifices commence, mes parois vaginale et rectale subissent les assauts simultanés de mes deux hommes. Elles sont dilatées au maximum afin d’accueillir les deux sexes qui n’arrêtent pas leurs va-et-vient. Mon plaisir est extrême. Quel bonheur de sentir ces deux énormes queues combler ma chatte et mon cul ! Et le moins qu’on puisse dire, c’est que Frédéric ne lésine pas sur les moyens ! Comme il a été gâté par la nature, c’est un monstre de chair qui s’empare de mon canal anal pour y asséner ses coups de boutoir. Je ne sais pas si l’utilisation matinale du gode-ceinture par Laureline a préparé le terrain, mais je n’éprouve aucune douleur, seules des ondes de plaisir découlent de cette prise plus que vigoureuse de mon orifice postérieur.
— Putain que c’est bon, mes salauds ! Continuez, vous me défoncez si bien !
Mais manifestement, nous ne sommes pas les seuls à prendre du plaisir. Mes deux cochonnes de filles sont allongées à côté de nous, tête-bêche, et leurs langues fonctionnent à fond. Pas que leurs langues d’ailleurs, car Clémentine en a profité pour introduire son index à fond dans le cul de sa sœur. Et vu les gémissements qu’on entend, les deux s’entendent très très bien.
Et dire que j’ai dû attendre d’avoir 45 ans pour connaître cette jouissance, que de temps perdu ! Même Nicolas se donne à fond, cela fait tant d’années qu’il ne m’a pas baisée comme ça. Il entre et sort sa queue à un rythme que je n’attendais plus de lui, sans doute stimulé par la présence de son fils, avant de ralentir quelques instants pour repartir de plus belle. Fred, à genoux et ses mains me tenant aux hanches, poursuit le pilonnage de mon fondement. Par-devant ou par derrière, difficile de dire qui me donne le plus de plaisir tellement les sensations que je ressens sont indescriptibles. Je n’en peux plus, impossible de me retenir plus longtemps, je sens ma jouissance arriver. Je crie, non plutôt je hurle comme la chienne que je suis, je hurle mon plaisir, mes ongles se plantent dans les épaules de Nicolas et mon cou se tend vers l’arrière. Mon orgasme explose, le plus bel orgasme que je n’ai jamais eu.
Mes deux amants sortent de leurs antres respectifs, me retournent sur le dos et viennent au-dessus de mon visage pour se branler. C’est d’abord Fred qui expulse en premier son foutre, en poussant un cri de bête. Ses longues giclées atterrissent sur mon front, mes paupières, mon nez, ma bouche... J’ai l’impression que les jets de semence ne vont jamais se tarir. Puis c’est au tour de Nicolas de jouir. Lui aussi pousse un beuglement. Ses jets sont certes moins puissants, mais qui tout aussi jouissifs, les deux semences visqueuses se mélangent sur mon visage.
Nous sommes tous les trois exténués par cette folle séance de baise quand soudainement deux cris nous font sursauter. Ce sont Laureline et Clémentine. Toutes les deux sont allongées sur le dos, se masturbant avec vigueur leur clitoris quand l’orgasme les atteint, presque d’une manière simultanée. Leurs deux corps se cabrent et elles émettent deux forts jets de liquide intime. Je n’en reviens pas, mes deux filles sont deux belles femmes fontaines.
Ayant à peine récupéré, Clem et Laureline s’approchent de mon visage et lèchent avec leurs langues tout le sperme éjecté par nos deux mâles. Puis chacune à tour de rôle, elles m’embrassent et nous mélangeons ainsi nos salives aux deux semences, avant d’avaler le tout. Nicolas et Fred nous regardent, un sourire aux lèvres. Ils semblent apprécier ce spectacle...
Et voilà, nous venons de jouir tous les cinq presque en même temps, et en famille. Une famille enfin réunie pour se donner du plaisir, une famille incestueuse, mais heureuse d’avoir partagé ces moments de sexe ensemble. Et la soirée n’est pas finie...
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