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Perversité de la fratrie

Chapitre 1

Inceste
Je ne sais pas pourquoi je m’habille comme ça aujourd’hui, mais il fait chaud. Je lâche un soupir puis je me fais un chignon mal fait. Mon frère ne va pas tarder à m’apporter les outils dont j’ai besoin, pour justement continuer à réparer la clôture d’un couple d’amis. Je souris, l’idée d’être seul avec mon frère me rend toute chose. Ah oui, faut que je vous raconte un petit souvenir.
Quand j’avais la vingtaine, une époque où ma libido avait pas mal augmenté, car j’avais goûté au vrai sexe. Des partenaires qui savaient justement me donner de gros orgasmes. C’était l’été, et j’étais dans la piscine de mes parents avec mon troisième frère, Natai, comme d’habitude, on chahutait, mais en chahutant, je n’avais pas senti que j’avais un de mes seins qui commençait à s’enlever de son bonnet. On pouvait apercevoir le téton pointer. Évidemment mon frère n’est pas resté stoïque, et je peux vous dire que je sentais très bien sa bosse contre une de mes cuisses. Depuis ce temps-là, je n’arrête pas d’y penser, et souvent, quand je m’amuse toute seule, je pense à lui et à des choses perverses qu’il pourrait me faire, ça m’excite vraiment.
Je râle, car oui, rien que d’y penser, j’ai les tétons qui pointent et que l’interphone sonne, je lâche un soupir et je décroche, la voix de mon frère au bout
— Petite sœur, ouvre-moi, j’ai les outils que tu voulais !
Je souris, heureuse de le voir, car ça fait quand même un moment que je ne l’ai pas vu, appuyant sur le bouton
— Monte !
Je suis en minishort de sport, bon ça, il a l’habitude, ce n’est pas la première fois qu’il me voit comme ça, et un petit marcel blanc, il est un peu transparent, bon tant pis ! On verra bien sa réaction après tout. J’entends toquer à la porte et je vais lui ouvrir, je lui souris et viens m’embrasser sur le front, déposant les outils à l’entrée. Il enlève ses chaussures. J’ai vu ses petits coups d’œil, sur mes cuisses, mes fesses et aussi ma poitrine, mais je fais celle qui n’a rien vu.
— J’ai fait à manger, mange avec moi, on va aller dans le salon.— Je te suis, tu es toute seule ?
Je me retourne et lui souris
— Oui pourquoi ?
Ma question n’était pas dans l’étonnement qu’il me demande, mais surtout dans la provocation.
— Non juste comme ça, vu que je sais que des fois, tu as des ami (e)s qui viennent, ou Sid qui n’est pas chez son copain.
Je continue de marcher jusqu’à la cuisine pour prendre ce qu’il faut et le plat que j’ai préparé
— Non, elle est repartie hier justement, et toi dans ton appart, ça se passe comment avec ton proprio ?
Je passe derrière mon frère et le frôle avec mes tétons pointés, oui je le fais bien exprès, mais justement, je veux voir sa réaction, et surtout ce qu’il ressent, moi je fais l’air de rien, prenant mon plat alors que lui se lave les mains et prend les assiettes et les couverts, allant mettre tout ça sur la table basse.
Pendant tout le long du repas, on a parlé de tout et de rien, oubliant même mon attirance pour l’interdit de me faire prendre par mon frère. Comme toujours, on finit par chahuter, ça a toujours été comme ça avec mes frangins, mais là, ça dérape un peu, je sentais sa main par moments qui caressait légèrement ma poitrine, il pouvait sentir justement mes tétons durcir à son contact, alors que moi, je sentais sa bosse grossir dans son jean. Ça me faisait énormément d’effet et il pouvait aussi le sentir, mais l’interphone nous arrache à ce moment obscène, je me lève vite en raclant ma gorge, me rhabillant presque puis je décroche.
— Tea c’est moi, il me faut des affaires, et j’ai oublié mes clefs chez Noa.
J’appuie sur le bouton pour qu’elle puisse rentrer.
— Vas-y monte !
Je me retourne et vois mon frère qui mets ses chaussures, je me pince les lèvres
— Il est temps que je parte petite sœur, je te dis à la prochaine !
C’était un peu gênant comme situation, puis il ouvre la porte, se tourne vers moi et je pense, pour déposer ses lèvres sur les miennes, dans ma famille, on se dit bonjour ou au revoir comme ça, mais là, il m’avait léché la lèvre supérieure en même temps alors que ma coloc déboulait au même moment.
— Oh ! Salut Natai !!
Sid lui fait un bisou sur la joue, contente de le voir, elle est ma meilleure amie depuis la maternelle, depuis ce temps-là, on ne s’est jamais quitté, elle fait partie de la famille maintenant
— Salut Sid ! Désolé je dois y aller !
Nous faisant un sourire puis dévalant les escaliers pour vite partir, avec la trique qu’il avait, je me demande comment il va faire pour ne pas que ça se remarque. Sid se tourne vers moi, l’air interrogateur.
— Je ne l’ai jamais vu aussi pressé de partir, je vous ai dérangés ?
Elle avait la banane jusqu’aux oreilles, oui, elle le sait pour mon fantasme sur mon frère
— On a juste chahuté et...
Elle rit.
— Oui je vois ça, tu pointes ma chérie !
Je hausse les épaules, je me demande ce qui se serait passé si elle n’était pas rentrée à ce moment-là, et Natai, va-t-il se masturber en pensant à moi ? A penser comment il aurait pu me prendre aujourd’hui ? Mon cœur bat à une vitesse folle, et là, je n’ai qu’une envie, c’est qu’il me prenne, je suis trop excité pour me calmer, Sid le voit bien, mais elle n’a pas le temps, car elle part en voyage avec son copain. Elle me tapote l’épaule, compatissante.
— Peut-être que finalement, il te veut aussi, Tea, réfléchis bien à ça.
Elle me fait un clin d’œil, mais cela ne m’aide pas à me calmer. Le temps qu’elle rassemble ses affaires pour partir, je me suis pris une douche froide, ça m’a calmée un peu, mais pas assez. J’accompagne ma meilleure amie sur le pas de la porte, elle m’embrasse sur la joue et me fait un clin d’œil.
— Éclate-toi en mon absence !
En me tirant la langue et en partant gaiement vers les escaliers, je roule les yeux au ciel en soufflant :
— Gamine ! Tu vas me manquer ! — Toi aussi !
Mais elle était déjà deux étages plus bas

A suivre...
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