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J'ai perverti la mère de mon copain

Chapitre 6

Erotique
En rentrant à la maison, je repensais à cette journée où je venais de posséder la bourgeoise de mère de mon copain Laurent. Mais il fallait que je trouve un moyen de la faire évoluer, car elle refusait de sucer mon sexe et préférait pour le moment faire l’amour traditionnellement en missionnaire. Je devais arriver à la pervertir à des pratiques plus poussées. Il fallait que je fasse son éducation selon mes fantasmes. Ma nuit fut peuplée de rêves fantasmés et de souvenirs des cette merveilleuse journée.
Le lendemain, dimanche, en début d’après-midi je décidais de rendre visite à Sophie pour connaître son état d’esprit à mon sujet. Arrivé devant le pavillon j’ai sonné à la porte d’entrée.J’ai attendu quelques instants, puis la porte s’est ouverte. Sophie m’a accueilli avec un grand sourire. Une fois à l’intérieur et la porte refermée, elle m’a pris dans ses bras et nous nous sommes embrassés langoureusement sur la bouche, nos langues jouant l’une avec l’autre. Cela prouvait que son mari n’était pas encore rentré, et que nous avions peut être un peu de temps devant nous.
« Tu m’a manqué. » me dit-elle dans le creux de l’oreille, après que nous ayons brisé notre baiser.
J’étais satisfait en mon for intérieur. Elle ne m’en voulait pas pour hier, mieux encore, elle semblait en redemander.
Elle était vêtue d’une jupe droite lui arrivant au dessus du genou, d’un pull-over et elle avait les jambes nues. Quand je l’ai prise dans mes bras pour l’embrasser j’ai senti l’agrafe d’un soutien gorge dans son dos.Elle m’a entraîné dans le salon vers le canapé, où nous nous sommes installés. J’ai remarqué que les voilages de la baie vitrée étaient tirés, afin que le salon ne soit pas visible de l’extérieur.Une fois installés dans le canapé, elle est venue se blottir contre moi et nous nous sommes de nouveau embrassés, jouant avec nos langues. Devant son attitude, ma main s’est infiltrée sous sa jupe, et cette fois elle a écarté les jambes pour me laisser l’accès à sa petite culotte.Remontant le long de sa cuisse, je suis arrivé à l’endroit convoité. J’ai pu sentir une petite culotte différente de celle d’hier. Ça me semblait être un shorty en dentelle.J’ai quitté le dessous de sa jupe pour glisser ma main sous son pull-over pour lui caresser le ventre et remonter vers sa poitrine. J’ai rencontré son soutien gorge qui emprisonnait ses seins. Mais je pouvais sentir, au travers du tissu des bonnets, ses tétons déjà dressés.Je me suis libéré du baiser, j’ai empoigné le bas du pull-over et je l’ai soulevé pour lui faire comprendre qu’elle pouvait le retirer. Alors qu’elle passait le pull-over par dessus sa tête, j’ai pu découvrir un magnifique soutien gorge de dentelle noire qui mettait sa jolie poitrine encore plus en valeur.J’ai plongé une main dans les bonnets du soutien gorge pour en extraire ses seins par dessus la fine dentelle des bonnets. Elle était maintenant impudiquement exposée devant moi. J’ai approché ma bouche pour aspirer ses tétons déjà dressés de plaisir. Je les ai pris entre mes lèvres puis je les ai mordillés légèrement. A chaque morsure d’un de ses tétons elle laissait échapper un petit cri entre deux soupirs de satisfaction.Délaissant ses seins, je lui ai demandé de se lever et de quitter sa jupe. Elle se leva, défit la ceinture de la jupe, la laissant tomber à ses pieds. Elle était plantée là devant moi, en shorty de dentelle noire, et soutien gorge assorti, avec les seins indécemment exposés hors des bonnets de son soutien gorge. Alors je me suis déshabillé pour me présenter nu devant elle, le sexe fièrement dressé devant moi. Je l’ai prise par les mains, l’attirant vers le canapé où je me suis assis. Elle restait campée là, devant moi. J’ai attrapé ses hanches, puis pris le shorty par la ceinture et je l’ai fait glisser lentement le longs de ses cuisses jusqu’à ses genoux. Puis il est tombé seul à ses pieds. Elle l’enjamba pour s’en débarrasser.Elle était maintenant là, debout devant moi, juste vêtue de son soutien gorge, avec ses seins outrageusement exposés hors des bonnets. Je lui demandais alors de retirer son soutien gorge et de venir plus près de moi et de se tenir debout, jambes écartées de part et d’autre des miennes.Une fois en position, je lui demandais de venir s’asseoir sur moi, en s’empalant elle même sur mon sexe prêt à l’accueillir. Elle s’accroupit lentement en direction de mon sexe dressé, elle écartait sa vulve des deux mains pour faciliter l’entrée de mon gland en elle, puis une fois celui-ci en position elle s’empala brutalement pour me recevoir tout entier dans son sexe. Elle était maintenant assise sur mon pubis, totalement empalée sur mon gros sexe qui la remplissait. Elle soupirait de plaisir.Elle s’avança un peu plus, faisant rentrer mon sexe encore plus profondément en elle, se pencha en arrière et en mettant ses bras en arrière elle a pris appui avec ses mains sur mes genoux.Cette posture eût pour effet de mettre en avant sa belle poitrine, mais également d’ouvrir à mon regard sa chatte totalement pénétrée de mon sexe. C’était super excitant. Pour augmenter mon plaisir, volontaires ou non, des spasmes de ses muscles vaginaux massaient mon sexe fiché en elle.Elle entreprit alors des mouvements de va-et-vient sur mon sexe, et j’ai commencé à voir sur son visage monter son plaisir. Sa respiration s’accélérait. J’utilisais mes pouces pour masturber son petit bouton clitoridien par dessus son capuchon qui sortait de sa belle tison brune de bourgeoise. Puis soudain ce fut l’explosion d’un violent orgasme. Son vagin se contracta tellement qu’il déclencha ma propre jouissance, et j’éjaculais une bonne quantité de sperme au fond de son utérus.Toujours empalée sur moi, elle se redressa et vint coller sa poitrine contre mon torse. Puis nos bouches se soudèrent en un intense baiser, nos langues jouant l’une avec l’autre.
Puis elle colla sa bouche à mon oreille, pour me murmurer :
« Tu es merveilleux. Tu me fais ressentir des choses si intenses. »
« Vous en voulez encore ? » lui proposais-je sur le même ton, au creux de son oreille.
Je continuais à la vouvoyer pour mieux lui faire ressentir sa culpabilité de tromper son mari avec le copain de son fils.
Elle me répondit "oui". Alors je l’ai fait se relever et s’allonger sur le dos sur le canapé, les fesses posées sur l’accoudoir, les jambes pendantes et écartées. J’ai placé des coussins du canapé sous ses reins pour son confort.Je me suis placé face à cette chatte merveilleusement exposée et prête à me recevoir à nouveau. Cette position évitait aussi qu’elle ne perde le sperme que je lui avais déjà injecté au fond de son utérus, et aussi je pourrais en rajouter une dose supplémentaire.Je me suis alors agenouillé sur le canapé, les genoux de part et d’autre de sa tête, mon sexe pendant un niveau de son visage, à toucher sa bouche. Je pensais que cette position lui donnerait l’idée de me prendre en bouche, mais ce ne fut pas le cas. J’ai approché ma tête de sa chatte exposée, j’ai écarté les plis de sa vulve pour mettre à jour le petit capuchon de son clitoris, pour le prendre entre mes lèvres et y donner des petits coups de langue. Sous cette caresse, sa respiration s’est accélérée, et sa bouche était entrouverte. J’ai alors profité de l’occasion pour abaisser mon bassin et tenter d’introduite mon gland entre ses lèvres, mais elle à détourné la tête. Je n’insistais pas, mais je savais qu’un jour j’arriverais à me faire faire une pipe par cette bourgeoise et qu’elle en redemanderait.
Je sentais que son plaisir remontait sous mes caresses buccales. J’entendais qu’elle poussait des petits gémissements de plaisir sous mes coups de langue. Son souffle sur mon entrejambe me redonnait de la vigueur et je bandais de nouveau. Je me suis relevé. Elle m’a demandé de ne pas la laisser comme ça.Alors j’ai fait le tour du canapé pour me positionner face à sa chatte exposée et luisante de désir. Je me suis approché d’elle, j’ai appliqué mon gland sur l’ouverture de sa chatte et j’ai poussé pour la pénétrer d’un seul coup. Elle a émis un petit cri de surprise.Après quelques instants sans bouger à l’intérieur de sa chatte déjà lubrifiée de notre première baise, j’ai commencé à la pistonner avec fougue, ressortant presque d’elle pour replonger brutalement à nouveau pour venir heurter son utérus. Après un long moment de ce régime j’ai vu sur son visage monter le plaisir, puis lorsque je me suis enfin libéré en elle, j’ai vu son corps trembler par l’orgasme qui éclatait en elle. J’ai injecté en elle une nouvelle quantité de sperme.Je suis resté en elle un certain moment avant de la libérer. Je lui ai demandé de rester dans cette position encore un moment, le temps d’aller chercher son shorty de dentelle noire et de lui remettre en place. Puis elle s’est relevé, et a voulu aller prendre une douche.
Je l’ai arrêtée dans son élan et lui ai demandé de se rhabiller maintenant telle qu’elle était, en lui tendant son soutien gorge. Elle m’a dit que ça lui coulait le long des cuisses, ce que j’ai remarqué. Alors je lui ai suggéré de mettre un collant pas dessus. Cette idée un peu perverse lui a plu. Nous sommes montés à l’étage, car je ne voulais pas qu’elle puise tricher à notre petit jeu.Je lui ai dit que j’allais choisir le collant et lui ai demandé où je pouvais les trouver.Elle m’a désigné une commode, en me disant que les 2 tiroirs du haut étaient les siens, celui du bas était celui d’Henri, son mari.J’ai ouvert le premier tiroir, celui des culottes et soutien gorges. J’y trouvais des culottes pas très sexy, souvent en coton, et des soutien gorges du même acabit.Dans le second tiroir il y avait bien les collants, que des collants, très classiques et pas trace de bas.Je choisissais un collant de couleur très claire, de telle sorte qu’il fasse bien apparaître le shorty de dentelle noire. C’était bien la seule culotte qu’elle avait de sexy. L’avait-elle acheté pour moi ? Car je n’ai vu dans ses tiroirs aucun autre dessous sexy.Je lui ai tendu mon choix et elle l’a enfilé. J’avais bien choisi, car il laissait parfaitement voir le shorty noir. Nous sommes redescendu pour terminer de nous rhabiller.
« Tu es vraiment un gros coquin. » me dit-elle en terminant de se rhabiller.
« Je vois que vous aimez ça aussi. » lui ai-je répondu du tac au tac. Elle a alors rougi.
Elle a regardé l’heure, et m’a proposé que nous allions au fast-food manger quelque chose, car elle n’avait pas déjeuner à midi. J’ai accepté son invitation, nos galipettes m’ayant mis en appétit aussi.Au moment où nous allions partir, la porte s’est ouverte et Henri, son mari, est entré.Il avait bien roulé sur la route et était arrivé plus tôt que prévu. Elle lui expliqua qu’elle m’avait invité à aller dîner au fast-food pour me remercier de l’avoir aider pour un travail. Il a apprécié l’idée, et a proposé de nous accompagner.Quelle perversité d’avoir avec moi Sophie la culotte et le collant pleins de mon sperme et son mari à côté d’elle. Nous avons pris la voiture de Sophie, son mari est monté à l’avant à la place passager, et moi je suis monté derrière.Nous sommes arrivés rapidement au fast-food, et après avoir trouvé une place au parking, je suis sorti de la voiture par la portière côté conducteur. Me trouvant derrière Sophie en nous rendant au fast-food, j’ai aperçu une grande tache humide à l’arrière de sa jupe. C’était mon sperme qui avait coulé de sa chatte durant le trajet, et que sa position assise au volant avait dirigé vers le siège.J’espérais que son mari Henri ne s’en aperçoive pas, car il pourrait avoir des soupçons.Heureusement, dans la file d’attente Henri était devant Sophie, et moi derrière elle. Nous avons pris notre commande et nous nous sommes installés à une table. Nous avons discuter de tout et de rien durant tout le repas.En quittant le fast-food nous avons regagné la voiture au parking. Henri marchant derrière Sophie s’aperçut alors de la tache à l’arrière de sa jupe et lui en fit la remarque. Elle fût un peu déstabilisée par cette remarque, passa sa main sur ses fesses et descendit légèrement pour se rendre compte du problème. Sachant de quoi il en retournait, elle lui répondit alors qu’elle avait dû s’asseoir sur une chaise sale. Henri proposa d’aller réclamer auprès du responsable, mais elle l’en dissuada, lui disant que ce n’était que de l’eau et qu’elle laverait la jupe en rentrant. L’incident clos, ils me raccompagnèrent chez moi.
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