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J'ai perverti la mère de mon copain

Chapitre 9

Erotique
À la reprise des cours au lycée, Laurent m’a demandé comment s’était passé mon stage. Je lui ai répondu que ça s’était passé tranquillement, sans faire allusion à mes séances de baise avec sa mère.Par contre lui s’est empressé de me raconter son stage et ses aventures avec une "collègue" couguar.
Il m’a raconté que dès le premier jour, une femme d’une quarantaine d’année avait commencé à lui faire du gringue. Les autres collègues l’on mis en garde à propos de cette femme qui avait la réputation de s’intéresser aux jeunes hommes.Dès le lendemain elle était arrivée au travail dans une tenue très sexy, et au cours de la journée n’a pas cessé de lui jeter des regards qui en disaient long sur ses intentions.Elle portait une jupe courte noire, plissée, qui mettait en valeur de très jolies jambes gainées.Elle avait revêtu un chemisier blanc, dont le boutonnage faisait ressortir une généreuse poitrine.On pouvait également deviner sous ce chemisier un soutien gorge de dentelle noire.Il me racontait que dès qu’elle en avait l’occasion, elle n’hésitait pas à le frôler, voir même se frotter contre lui. Tout était prétexte, comme lui montrer le maniement de la photocopieuse ou du télécopieur.Elle lui montrait également comment ranger les dossiers dans les armoires et bien entendu, le plaquait entre l’armoire et sa généreuse poitrine.Le midi, elle déjeunait avec lui dans une brasserie du coin. Elle choisissait toujours la même table, à l’écart. Et bien entendu, parfois son pieds s’égarait le long du sien. Elle s’en excusait, le faisant remarquer ouvertement toutefois.
Tous les jours elle avait une tenue des plus sexy, trop sexy même pour une femme de son âge, pensait-il. Le vendredi midi de sa première semaine de stage, alors qu’ils déjeunaient ce jour là avec d’autres collègues, elle s’est assise sur la banquette à côté de lui. Tout au cours du déjeuner, il pouvait sentir sa cuisse venir s’appuyer contre la sienne. Il en était gêné, de peur que les autres collègues ne s’en aperçoivent.Parfois même, au prétexte de remettre sa serviette sur ses cuisses, il sentait sa main venir caresser le haut de sa cuisse. Elle lui faisait ouvertement comprendre son intérêt pour lui.Au moment de quitter la table, en annonçant à la cantonade qu’il était temps de reprendre le boulot, elle tapota sa cuisse de sa main, à l’abri du regard des autres collègues sous la table. Mais le geste finit innocemment sa course sur son entrejambe. Il fit semblant de ne s’être aperçu de rien.
En fin d’après midi de ce vendredi, juste avant de terminer la journée de travail, elle lui demanda s’il était d’accord de venir dîner chez elle. Il ne savait que répondre, pris entre le désir de découvrir cette femme et le qu’en dira-t-on dans la société.Il prit le prétexte qu’il fallait qu’il demande la permission à son oncle et sa tante, pour décliner l’invitation.
« Qu’à cela ne tienne. », lui dit-elle. « Je vais leur téléphoner pour les rassurer. »
Il se sentait pris au piège et donna le numéro de téléphone de sa tante pour qu’elle puisse l’appeler.Elle parla un moment avec la tante de Laurent. Il n’a pas pu entendre ce qu’elle lui disait. Mais à la fin de la conversation, elle lui passa le combiné pour qu’il s’entende dire que sa tante donnait son accord.
Mais la reprise des cours arriva, et Laurent n’a pas pu m’en dire plus. Il me dit qu’il me raconterait la suite sur le chemin du retour après les cours.

À la fin des cours j’ai retrouvé Laurent, et nous avons décidé de rentrer à pieds, ce qui nous donnait le temps pour qu’il me raconte la suite de son aventure avec la couguar, et surtout d’être à l’abri des oreilles indiscrètes.
Il continue donc son histoire avec la couguar. Après qu’elle se soit mis au volant, il put constater que la jupe qu’elle portait ce jour là, déjà courte et évasée, était remontée très haut sur ses cuisses. Durant le trajet en voiture vers son domicile, ils discutaient de tout et de rien. Il put aussi constater qu’elle portait des bas, dont il pouvait voir la naissance de la bande du haut de ceux-ci, en dentelle.Au cours du trajet, par le mouvement jambes, la jupe a continué à remonter, laissant apparaître que les bas étaient tenus par des jarretelles. Tout au cours du trajet, le regard de Laurent ne pouvait se détacher de ses cuisses. Une fois arrivés à destination, il laissa sa couguar de collègue descendre de la voiture en premier, espérant voir plus haut sous la jupe. Quelle bonne initiative avait-il pris. Lorsqu’elle est sortie de la voiture la jupe s’est soulevée et à laisser voir plus haut. Les jarretelles fixées aux bas lui sont apparues. Mais il pu voir furtivement ses fesses et constater qu’elle portait un string noir.Il pense qu’elle avait laissé sciemment sa jupe se soulever autant.
En entrant dans le salon, elle lui présenta son mari, qui les attendait. Elle les laissa ensemble le temps qu’elle se change. Quand elle est revenue, elle avait revêtu une robe d’intérieur, boutonnée sur le devant, mais toujours aussi courte que la jupe qu’elle avait quittée. Ses jambes étaient toujours gainées de bas noirs. Elle avait quitté ses chaussures à talons, pour des mules moins sexy.Puis elle alla à la cuisine pour préparer le dîner.Pendant ce temps, Laurent est resté dans le salon avec son mari à discuter de choses et d’autres.Elle appela son mari pour mettre le couvert, mais Laurent se proposa pour aider. Une fois dans la cuisine, le mari reparti à la salle à manger avec les couverts, il put constater qu’elle avait déboutonné une partie du devant de sa robe. Le bas déboutonné de la robe laissait entrevoir que les bas étaient tenus par des jarretelles rouges, mais aussi qu’elle portait un petit string de la même couleur.Le haut déboutonné laissait apparaître sa généreuse poitrine emprisonnée dans un soutien-gorge rouge également. Elle l’aguichait ouvertement, et il se sentait de plus en plus excité.Au retour de son mari elle ne fit rien pour se cacher, et il eut un petit sourire sur le visage.Avait-il compris le jeu de sa femme ?
Le dîner se passa normalement, bien que des allusions à l’échangisme furent évoquées, sûrement pour tester ses réactions. C’est après le dîner que tout a commencé.Après avoir aidé à débarrasser la table et à faire la vaisselle, il fut invité à s’asseoir dans le canapé du salon. Pendant que le mari préparait le café, elle vint s’asseoir à côté de Laurent sur le canapé.Le mari, après avoir posé le plateau avec les cafés sur la table basse s’est assis à côté de sa femme, à l’opposé de Laurent.C’est à ce moment là que la collègue posa ostensiblement une main sur la cuisse de Laurent, à la vue de son mari. Celui-ci commença à interroger Laurent sur sa vie, et surtout s’il avait une petite amie. Il répondit par la négative.Il lui demanda ensuite s’il avait déjà eu des aventures avec des filles.Laurent répondit à nouveau par la négative.
« Quelle chance, un puceau ! » s’exclama la femme. Et tous les deux se mirent à rire.
« Mais je vois que ma femme te fait de l’effet. » dit le mari, en constatant la bosse que faisait le devant du pantalon de Laurent.
Mon copain se sentit rougir, et très mal à l’aise. Il voulait partir, mais en même temps il désirait tellement pouvoir profiter de l’occasion de baiser pour la première fois de sa vie.
« Claudine ! », c’était le prénom de sa collègue, dit son mari. « Peux-tu nous montrer ce que tu portes sous ta robe. »
Avec un sourire malin sur le visage, elle se leva et leur fit face. Elle déboutonna lascivement les quelques boutons du devant de sa robe qui étaient encore en place. Puis elle ouvrit lentement la robe en tenant dans chaque main un pan de celle-ci.Et là il vit qu’elle portait une magnifique guêpière rouge, en dentelle transparente. C’était ce qu’il avait entraperçu dans la cuisine, par les jarretelles qui maintenaient les bas noirs et le soutien-gorge emprisonnant sa généreuse poitrine. Et le string rouge, en tulle transparent, laissait entrevoir son joli abricot fendu, épilé.Après cette démonstration, ils burent leur café. Puis elle est allée mettre un CD de musique. Et de retour elle invita Laurent à danser un slow. Au cours de la danse, elle se collait et se frottait à lui.
Tout au long du récit de Laurent, je repensais à mes séances avec sa mère. Mais elle n’avait pas le savoir faire de cette femme. Du moins pas encore.
Et Laurent continuait son récit.
Tout en dansant, elle laissait glisser sa robe le long du haut de son corps, puis elle finit par s’en débarrasser totalement.Il me disait qu’il bandait de plus en plus, et elle ne pouvait pas l’ignorer, vu comme elle se frottait contre lui.A la fin de la danse, ils regagnèrent le canapé, pendant que son mari emmenait le plateau des cafés à la cuisine. Quand il revint, elle avait déjà débouclé le pantalon de Laurent et tenait son sexe dans une de ses mains.
« Si tu en as envie, ne te gêne pas pour moi. » dit le mari, pas si offusqué que ça de la situation.
Sans se faire prier plus, Claudine se pencha en avant et déposa tout d’abord un baiser sur le gland de Laurent qu’elle avait totalement décalotté.Puis lentement elle l’aspira entre ses lèvres pour ensuite descendre lentement le long de la hampe.Elle engloutit la totalité du membre de Laurent dans sa bouche, et resta quelques instants immobile, le nez dans ses poils pubiens.Puis elle entreprit une lente remontée le long du membre pour ne s’arrêter que quand il ne restait que le gland dans sa bouche. Elle titilla quelques instant le bout du gland de Laurent avec sa langue, puis replongea en s’enfournant à nouveau profondément le membre dans la bouche.Elle commença alors des va et vient de plus en plus rapide sur le membre de Laurent.C’était pour lui sa première fellation et il ne pu se retenir très longtemps.Alors qu’elle avait le gland serré entre ses lèvres, il libéra plusieurs salves de sperme dans la bouche de son hôtesse.Elle garda le gland emprisonné jusqu’à ce que les jets se tarissent, puis libéra le sexe de Laurent.Alors elle ouvrit la bouche pour montrer la quantité de sperme qu’elle avait reçu. Elle montra d’abord à son mari, puis regardant Laurent droit dans les yeux, referma lentement la bouche pour avaler la délicieuse liqueur qu’il venait de lui délivrer.
« Le temps que ce jeune homme reprenne de la vigueur, je vais m’occuper de toi. » dit-elle à son mari.
Celui ci se leva, entreprit de se déshabiller et se rassit, nu, sur le canapé. Il était déjà en érection, excité par le spectacle que venait de lui donner sa femme avec Laurent. Il constata qu’il était bien monter, plus gros que lui.Elle se précipita pour engloutir cette engin et s’activa dessus, comme si la première séance ne l’avait pas rassasiée.Mais comme ils en avaient sûrement l’habitude, le mari savait se retenir pour faire durer le plaisir.
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