Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 393 J'aime
  • 11 Commentaires

J'ai perverti la mère de mon copain

Chapitre 10

Erotique
Après que Laurent m’a raconté ses pérégrinations avec sa cougar, j’ai imaginé sa mère faire la même chose avec moi. Je voulais qu’elle devienne une bourgeoise salope, et je m’emploierais à la pervertir comme j’ai déjà commencé à le faire.
J’imaginais plusieurs scénarios pour que Sophie, la mère de mon copain Laurent, devienne une véritable salope, accro au sexe sous toutes ses formes. Mais mon cercle de relations était plutôt restreint et plutôt classique pour y faire appel.J’allais dans un premier temps continuer à essayer de voir Sophie quand elle serait seule chez elle. Il fallait que je profite de la moindre occasion pour me rendre chez mon copain Laurent quand lui et son père étaient absents.
Un samedi début mai, alors que j’étais avec Laurent à travailler à réviser en vue de la préparation de notre bac qui approchait, sa mère l’a appelé.Son père venait de téléphoner. Il avait oublié un dossier à la maison et il en avait un besoin urgent au bureau.Elle a demandé à Laurent d’aller lui porter, car elle n’avait pas le temps d’y aller, ayant des choses à faire à la maison.
« Mais tu pourrais lui porter quand même, » dit Laurent. « En voiture il ne te faut qu’une heure aller-retour. Moi en transports en commun il va me falloir plus d’une heure aller, et je suis en pleine révision avec Didier. »
« J’ai des choses à faire à la maison, » lui répondit sa mère. « Tu peux emmener de quoi réviser en route, et tu resteras au bureau de ton père pour continuer. Il te ramènera en voiture dès qu’il aura fini son travail. »
« Mais Didier doit aussi réviser, » dit-il en prétexte pour se soustraire à la corvée.
« Il peut rester là. Il continuera à réviser jusqu’à ton retour. » dit-elle pour mettre fin à la discussion.
Faisant la moue, Laurent est allé chercher le dossier en question dans le bureau de son père. Il a pris deux fascicules de révision et il est parti en maugréant.
Quant à moi, je restais dans la chambre de Laurent pour continuer à réviser.
Alors que j’étais absorbé dans mes révisions, j’ai senti des mains se poser sur mes épaules et un baiser être déposé dans mon cou. Je n’ai pas sursauté, me doutant de qui cela venait. C’était Sophie, la mère de mon copain Laurent.Avait-elle profité de cette occasion du dossier oublié pour se retrouver seule avec moi, je le crois bien.Je la laissais faire un moment, appréciant ce doux traitement, mais aussi pour la faire languir un peu. Puis doucement je me suis retourné sur ma chaise, et là je suis resté bouche bée.
Elle s’était changée, et je la regardais là, debout devant moi, habillée d’un joli chemisier blanc, légèrement transparent qui laissait bien deviner un soutien-gorge noir. Et la jupe plissée, de couleur anthracite, lui arrivait à mi-cuisse. Je ne l’avais vu jusqu’à présent qu’avec des jupes légèrement au-dessus du genou. Quel changement.Ses jambes, ainsi mises en valeur, étaient gainées avec des bas ou un collant de couleur noire. Elle portait des ballerines rouges. C’est pour cela que je ne l’avais pas entendu entrer dans la chambre parquetée.
J’étais subjugué par sa transformation et je restais sans voix.
« Ça te plaît ? » me demanda-t-elle, avec un air mutin.
« Super ! » est le seul mot que j’ai pu dire immédiatement.
J’ai fait pivoter la chaise sur laquelle j’étais assis pour continuer à la regarder. Devant ma réaction, elle a fait un tour sur elle-même pour mieux me montrer sa tenue. Lors de la pirouette, sa jupe s’est légèrement soulevée et j’ai alors pu constater que c’étaient des bas qu’elle portait, retenus par des jarretelles noires.Je lui ai demandé de s’approcher de moi et de venir s’asseoir en travers de mes genoux.Une fois installée, elle n’a pas perdu de temps pour coller ses lèvres aux miennes et sa langue s’est aventurée dans ma bouche pour jouer avec la mienne.Pendant que nous nous embrassions fougueusement, ma main a caressé l’extérieur de sa jambe gauche gainée. J’aimais la sensation de la douceur du nylon que je caressais.Puis j’ai fait remonter doucement ma caresse le long de sa cuisse jusqu’à trouver la limite du nylon et rencontrer sa peau. J’ai rencontré l’attache d’une jarretelle. Elle portait des bas, ce qui m’a excité davantage. J’ai glissé ma main sous la jarretelle pour caresser sa peau.Nous étions toujours bouche-à-bouche. J’ai déplacé ma main à l’intérieur de sa cuisse droite pour reprendre ma caresse. Elle a ouvert légèrement ses jambes pour me laisser la place pour remonter vers sa fourche.Plus je remontais la main, plus elle écartait ses jambes et plus sa respiration s’accélérait dans ma bouche.Ma main est enfin arrivée à son objectif et j’ai senti une petite culotte de dentelle, humide de désir.
Elle a décollé sa bouche de la mienne et m’a susurré à l’oreille : « vient ! », puis elle s’est levée et m’a pris par la main pour sortir de la chambre de mon copain Laurent. Elle m’a entraîné vers la chambre conjugale.Dans la chambre, elle a entrepris de me déshabiller, tout en m’embrassant par moments, et je me laissais faire pour voir ce dont elle était capable de faire maintenant. J’avais du mal à me retenir de lui sauter dessus pour la prendre immédiatement sur le lit conjugal.
Il ne restait plus que mon boxer à retirer. Elle s’est accroupie devant moi, agrippant les deux côtés de la ceinture du boxer et l’a tiré vers le bas pour le faire glisser le long de mes cuisses.Mon sexe est apparu d’un seul coup, raide de désir. Elle a retiré totalement mon boxer. J’étais maintenant nu, le sexe fièrement dressé, devant elle accroupie face à moi. Dans sa position la jupe était remontée plus haut sur ses cuisses et je pouvais entrevoir la limite de ses bas noirs, agrémentée d’une fine dentelle, et le départ des attaches des jarretelles. Je commençais à fantasmer sur une improbable tenue sexy.
J’ai attrapé sa tête des deux mains pour l’attirer vers moi, et j’ai posé le bout de mon sexe sur ses lèvres. Après y avoir apposé un baiser, elle a entrouvert les lèvres pour me permettre d’y glisser le bout de mon sexe tendu. J’ai pressé plus en avant mon bassin et elle a ouvert la bouche pour m’accueillir en elle. Je suis resté ainsi sans bouger, sentant sa langue jouer avec mon sexe enfoncé dans sa bouche. Elle, qui n’avait jamais fait ça avant de me connaître, faisait des progrès en la matière.J’ai commencé des légers va-et-vient qui ont été accompagnés de bruits de succion excitants, mais je ne voulais pas venir dans sa bouche et me réserver pour sa délicieuse matrice. Après plusieurs minutes d’un intense plaisir, en poussant des deux mains sur sa tête, je me suis dégagé de sa bouche pour ne pas jouir. Elle me regardait d’un air déçu, le regard implorant plus.
Je l’ai aidée à se relever. Une fois debout elle m’a fait reculer jusqu’au bord du lit conjugal et m’a poussé en arrière dessus pour que je m’y allonge. Une fois confortablement installée sur le lit, elle s’est éloignée. Puis elle a commencé un strip-tease sexy. Je ne la croyais pas capable d’une telle chose, elle, la petite bourgeoise mariée, mère de mon copain Laurent, plutôt coincée quand nous avons commencé notre relation il y a moins d’un mois.
Elle a commencé par déboutonner son chemisier blanc et en l’ouvrant j’ai pu admirer un magnifique soutien-gorge en dentelle noire, enveloppant ses superbes gros seins fermes. Elle a fait glisser son chemisier de ses épaules d’un geste très suggestif. Puis elle s’en est débarrassée en le jetant négligemment sur le dossier d’une chaise qui se trouvait là. Elle se tenait maintenant debout en soutien-gorge et jupe, l’air mutine.Puis ses mains sont passées dans son dos et j’ai entendu le bruit d’un zip qui coulissait, et je l’ai vu faire glisser lentement la jupe le long de ses hanches généreuses. Et là, n’en croyant pas mes yeux, j’ai pu découvrir un porte-jarretelles en dentelle noire recouvrir son bas-ventre au niveau du nombril. Je ne croyais pas cette bourgeoise capable de revêtir un tel sous-vêtement.La jupe a continué à glisser vers le bas révélant le reste de son anatomie. Et elle a dévoilé la petite culotte de dentelle noire que j’avais déjà devinée quand elle était assise sur mes genoux et que ma main caressait son entrejambe. Une petite culotte brésilienne qui dégageait largement ses appétissantes cuisses sous laquelle passaient les jarretelles. Et la jupe est allée rejoindre le chemisier sur le dossier de la chaise.
Elle se tenait maintenant debout devant moi, en soutien-gorge, petite culotte brésilienne, porte-jarretelles et bas noirs. Elle s’est débarrassée de ses ballerines, en mettant alternativement un pied après l’autre sur l’assise de la chaise. Une posture dès plus sexy s’offrait à mes yeux.Il me semblait reconnaître l’ensemble de lingerie que j’avais vu dans la vitrine de la boutique du centre commercial où nous étions allés faire des courses tous les deux. Je me remémorais alors la scène du retour où nous avons baisé dans sa voiture, inondant son utérus de ma semence.
Après cette séance de strip-tease, elle est montée sur le lit et s’est positionnée à cheval sur mes cuisses. Elle a commencé à frotter son entrejambe sur mon sexe dressé au travers de la dentelle de sa petite culotte.Puis elle s’est penchée sur moi pour coller sa bouche sur la mienne pour un baiser fougueux. Je la sentais très excitée. Sa poitrine était collée sur la mienne et je sentais ses seins au travers de la dentelle du soutien-gorge.Je passais mes mains dans son dos pour dégrafer le soutien-gorge. Une fois fait, elle s’est redressée pour le retirer et le jeter vers la chaise rejoindre la jupe et le chemisier. Elle me faisait face, fièrement redresser avec ses magnifiques gros seins fermes crânement dressés. Je les ai pris dans mes mains, les malaxant et roulant de temps en temps ses longs tétons érigés de plaisir. Elle poussait de petits gémissements de plaisir.
Après un moment, avec mes mains sur ses épaules je l’ai fait basculer sur le dos, afin que je puisse me mettre sur elle. Une fois qu’elle était sur le dos, je me suis redressé et je l’ai admirée ainsi allongée, seins nus, en petite culotte, porte-jarretelles et bas. Il y a peu de temps, j’étais loin de penser qu’elle pouvait m’apparaître dans une telle tenue. C’était un fantasme qui prenait vie.J’ai attrapé la petite culotte de dentelle noire par la ceinture pour la faire glisser doucement le long de ses cuisses et découvrir petit à petit son buisson brun. Puis j’ai totalement retiré sa petite culotte que j’ai portée à mon nez pour humer la délicieuse senteur du fond de la culotte humide de son plaisir. Puis à mon tour je l’ai jetée en direction de la chaise rejoindre le soutien-gorge.Une fois libérée de sa petite culotte, en plaçant mes mains entre ses cuisses, je l’ai invitée à écarter les jambes. Ainsi elle était devant moi dans une attitude impudique, les jambes écartées dévoilant une chatte luisante de désir dans un buisson brun légèrement englué de mouille.
Je me suis placé entre ses jambes largement écartées qui étaient un appel au sexe. J’ai approché mon sexe tendu de la grotte ouverte, ne demandant qu’à être pénétrée.En m’allongeant sur elle, je l’ai pénétrée d’une seule poussée, m’introduisant en elle jusqu’à la garde, nos deux pubis venant se heurter. Je restais un long moment dans cette position pour apprécier mon torse sur le douillet coussin de sa généreuse poitrine et les contractions de plaisir de son vagin emprisonnant mon sexe.Puis, en me haussant sur les avant-bras j’ai commencé des va-et-vient dans son antre, venant buter au fond sur son utérus. Elle répondait à mes mouvements par des gémissements de plaisir et je pouvais voir sur son visage l’orgasme monter en elle.Puis après plusieurs minutes son corps a été secoué de soubresauts marquant ainsi l’arrivée de l’apogée de son orgasme. Puis après un gémissement de plaisir son corps s’est calmé. Je suis resté profondément en elle le temps qu’elle reprenne ses esprits.
Une fois qu’elle a repris ses esprits, je suis sorti d’elle et je lui ai demandé de se mettre à quatre pattes sur le lit, les fesses bien tendues en arrière. Elle m’a regardé d’un air inquiet et je l’ai rassurée que je ne la prendrais qu’en levrette. Elle s’est mise en position. J’ai attrapé ses hanches avec mes deux mains et j’ai approché le bout de mon sexe près de sa grotte outrageusement exposée au milieu de ses cuisses encadrées par les jarretelles. J’ai frotté le bout de mon sexe de haut en bas dans le sillon de sa chatte luisante, poussant parfois vers le haut et sa petite rondelle vierge pour la taquiner un peu. Quand mon sexe effleurait sa rondelle, je la sentais se raidir de peur. Puis ayant fini de m’amuser avec elle, je l’ai pénétrée d’un coup, lui arrachant un petit cri. Je la labourais ensuite furieusement et je sentais son corps frémir de nouveau par un nouvel orgasme montant. Son fourreau enveloppant mon sexe me donnait du plaisir en retour par ses contractions.Après plusieurs minutes, elle a été secouée par un nouvel organisme qui, se communiquant à moi, a déclenché mon propre orgasme. Je me suis calé au fond de sa grotte pour déverser un flot de foutre dans son utérus. Puis nous sommes écroulés sur le côté. Je restais en elle jusqu’à ce que je débande et que mon sexe sorte de lui-même.
Nous sommes restés un moment allongés sur le lit à nous embrasser un longuement. Puis elle s’est levée. Debout, je pouvais voir mon sperme sortant de sa chatte couler le long de ses cuisses sur les bas. Elle a mis sa main entre ses cuisses pour retenir la fuite, et elle a gagné la salle de bain. Je me suis levé à mon tour, et une idée m’est alors venue : la rejoindre sous la douche.
Je suis entré dans la salle de bain. Elle était dans la cabine sous la douche. Je suis entré la rejoindre sous la douche. Elle n’a pas bougé et je pense même qu’elle espérait que je le fasse. Comme elle avait commencé à se savonner j’ai continué à étaler le gel douche sur tout son corps avec mes mains nues. J’ai insisté d’abord sur ses deux seins, malaxant ses tétons. Elle a penché la tête en arrière pour me faire savoir qu’elle appréciait mes caresses. Puis mes mains sont descendues le long de son ventre pour s’occuper de son buisson et du petit bouton érigé. Sa respiration s’accélérait. Puis j’ai continué par ses hanches et ses fesses. J’en ai profité pour passer mes doigts dans sa raie des fesses et attarder un doigt à l’entrée de son anus. Elle s’est alors raidie et m’a soufflé un « non, s’il te plaît » en décollant son corps du mien et s’est retournée face à moi.A son tour elle a savonné mon corps en s’attardant sur mon sexe qui commençait à reprendre de la vigueur.Alors que nous restions sous la douche pour nous rincer du gel douche, elle s’est accroupie pour prendre mon sexe, qui avait repris de la vigueur, en bouche. Cette situation tellement inattendue a eu pour effet que je jouisse une nouvelle fois. J’ai déversé tout mon foutre dans sa bouche, qu’elle a avalé. Elle s’est alors relevée et nous nous sommes fougueusement embrassés. Je pouvais deviner le goût de mon propre sperme dans sa bouche.
Enfin nous sommes sortis de la cabine. Nous nous sommes essuyés mutuellement, puis elle m’a dit d’aller me rhabiller et de partir avant le retour de son mari et de son fils Laurent, mon copain.Je suis parti à regret, ne sachant pas quand je pourrais avoir une nouvelle chance de revoir Sophie. Je savais maintenant qu’elle était accrochée à moi et qu’elle était prête à évoluer plus avant. A moi de trouver le moyen d’avoir accès à sa rosette plissée.
Diffuse en direct !
Regarder son live