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J'ai perverti la mère de mon copain

Chapitre 11

Erotique
Nous arrivons mi-juin et le bac s’approche dans quelques jours. J’ai continué à aller chez Laurent pour nos révisions. Mais je n’ai pas eu la chance d’avoir de nouveaux moments seuls avec Sophie, sa mère.Les derniers jours de révision, je la trouvais plus distante avec moi. Regretterait-elle ce que nous avons fait ? Avait-elle mauvaise conscience d’avoir trompé son mari avec un jeune de 18 ans ?
Laurent et moi avons réussi l’examen haut la main. Lui avec mention très bien, moi avec simplement mention bien. Alors que nous étions en train de voir nos noms sur la liste affichée au lycée, alors que nous découvrions notre réussite, Laurent m’a invité à fêter ça chez lui.Il est rentré chez lui pour annoncer la bonne nouvelle à ses parents, et moi je suis également rentré chez moi pour l’annoncer à mes parents également. Je leur ai dit que j’allais fêter ça chez Laurent.
En arrivant chez mon copain Laurent, c’est sa mère Sophie qui m’a accueilli. Nous nous sommes embrassés traditionnellement sur les deux joues. Elle était contente de me voir, mais je percevais dans son regard quelque chose de changé.
Nous avons trinqué, Sophie, son mari Henri, Laurent et moi à notre réussite. Nous avons discuté de notre avenir. Pour Laurent, c’était l’université à Paris, pour faire des études d’architecture. Quant à moi, j’envisageais une formation en alternance dans le bâtiment. Tout au long de la conversation, je regardais discrètement Sophie qui semblait soucieuse.
Alors qu’elle allait à la cuisine, j’ai pris le prétexte de ramener les verres vides pour l’y rejoindre, pendant que Laurent et son père restaient dans le salon à discuter de son installation à l’université. Arrivé dans la cuisine, j’ai trouvé Sophie devant l’évier à nettoyer la vaisselle. J’ai déposé les verres dans l’évier et j’ai posé mes mains sur les hanches replètes de Sophie. Elle s’est retournée vers moi, les yeux humides et m’a dit :
— Didier, je t’aime bien, mais il faut que nous cessions ce que nous faisons. — Mais pourquoi ? lui ai-je répondu, incrédule.— Nous avons fait des bêtises ! me dit-elle à voix basse. Je suis enceinte et je ne sais quoi faire. Je ne peux pas le dire à mon mari, car nous n’avons plus de relations sexuelles depuis très longtemps.

J’étais abasourdi par cette révélation. J’avais engrossé la mère de mon copain Laurent. J’allais être le père du frère de mon copain. Mais elle m’annonça tout de suite qu’elle ne voulait pas le garder et qu’elle avait vu son gynécologue pour un avortement médicamenteux. Cela peut paraître déplorable, mais j’étais soulagé d’une telle nouvelle. Je ne me voyais pas père à mon âge, en plus de la mère d’un copain.Elle a essuyé ses yeux humides, et nous avons rejoint Laurent et son père au salon, non sans qu’avant elle m’ait gratifié d’un merveilleux baiser sur les lèvres, faisant jouer sa langue dans ma bouche. J’étais rassuré sur son attirance envers moi.
Je n’ai pas revu Sophie jusqu’au mois de juillet où toute la famille de mon copain Laurent est partie en vacances dans de la famille dans le sud de la France. Pour ma part, je me suis mis à la recherche d’un contrat d’apprentissage ou de professionnalisation dans une entreprise de la région.Mes parents avaient décidé de prendre leurs vacances au mois d’août. Si je ne trouvais pas un contrat au cours du mois de juillet, j’étais condamné à rester à la maison au mois d’août. Et mes premières recherches ne présageaient rien de facile, j’essuyais refus sur refus et je me démoralisais.
A la fin du mois de juillet, toujours aucune réponse positive pour un quelconque contrat dans une entreprise. Mes parents vont partir en vacances dans de la famille en Bretagne et moi j’étais condamné à rester ici. A leur départ, ils me donnèrent toutes les instructions pour le mois d’août.Quelques jours après le départ de mes parents Laurent, mon copain, est venu me rendre visite pour m’annoncer qu’il rentrait à l’université et qu’en fin de semaine, ils allaient à Paris, son père et lui, pour voir un studio pour qu’il se loge pendant ses études.
A cette confidence, j’ai immédiatement pensé que sa mère serait seule et que je pourrais peut-être en profiter pour aller lui rendre une visite.
Le samedi après-midi, je suis allé chez Laurent. Après m’être assuré qu’il n’y avait pas la voiture du père de Laurent, je suis allé sonner à la porte de la maison. Sophie m’a ouvert, étonnée de me voir ici. Elle devait me croire en vacances.Je lui ai fait un grand sourire et à peine la porte fermée, je lui ai sauté au cou pour coller mes lèvres sur les siennes. Immédiatement, j’ai senti ses lèvres s’entrouvrir et sa langue venir à la rencontre de la mienne.Tout le temps qu’a duré ce baiser, j’ai collé mon corps contre le sien. Je sentais ses seins s’écraser contre ma poitrine et son bassin se coller au mien.Elle portait une robe d’été légère et mes mains s’employaient à parcourir son dos et ses fesses. Je pouvais sentir le soutien-gorge et la petite culotte qu’elle portait. Cela m’excitait.Lorsque nous nous sommes séparés, elle m’a pris la main et m’a entraîné dans le salon.
Elle m’a demandé si je voulais boire quelque chose, ce que j’ai accepté, et je me suis installé dans le canapé.Je la regarde s’éloigner vers la cuisine, admirant son magnifique cul faisant onduler le derrière de sa robe légère. Ses ballerines lui donnent une démarche féline.Elle revient dans le salon avec un plateau sur lequel étaient posés deux verres et un pichet de jus de fruit, le pose sur la table basse et vient s’asseoir près de moi sur le canapé.Elle se serra contre moi et me susurra à l’oreille :
— J’espérais que tu viennes me voir. Tu m’as manqué.
Entendant cela, je me suis penché vers elle, passant un bras autour de ses épaules, j’ai à nouveau plaqué ma bouche sur la sienne pour un profond baiser. Nos langues ont joué ensemble un long moment pendant que ma main caressait son épaule.Mon autre main se posait sur son genou dénudé, caressant sa peau douce. Doucement, je remontais le long de sa cuisse. Je la sentais frissonner. Je continuais doucement ma remontée jusqu’à son entrecuisse.Au fur et à mesure de ma remontée, elle écartait sensiblement ses jambes. J’arrivais enfin à sa fourche, et là, surprise. La coquine ne portait plus de culotte. Elle avait sans doute profité de son séjour en cuisine pour l’ôter. Je sentais sous mes doigts ses poils humides de ses désirs. Je jouais un long moment avec sa chatte humide, y enfonçant de temps en temps un ou deux doigts.
Nos bouches se séparaient pour lui permettre de respirer, envahie qu’elle était d’une jouissance montante. Nos visages restaient très proches et je pouvais observer son plaisir monter sur son visage pendant que je la doigtais. Puis un orgasme fulgurant est venu déformer les traits de son visage alors qu’elle serrait ses cuisses pour emprisonner ma main avec mes doigts dans sa vulve détrempée.
Puis le calme est revenu sur son visage et elle m’a repoussé doucement en arrière pour m’éloigner d’elle.
— Il y avait longtemps que je n’avais pas ressenti ça ; me dit-elle en me fixant.

Puis, ses mains se sont posées sur mon torse et sont descendues lentement vers mon bassin. Elle agrippa la ceinture de mon pantalon pour le déboutonner. Puis elle fit glisser la fermeture à glissière de la braguette pour ouvrir grand les pans de mon pantalon.
Elle tira sur le pantalon pour le faire descendre. Je levais les fesses du canapé pour l’aider. Elle s’y est si bien prise que mon boxer est venu avec, faisant surgir mon sexe dressé de désir.Sa main s’en empare et doucement me décalotte, exposant mon gland gonflé de désir. Puis se penchant en avant, posa ses lèvres sur le bout de mon gland. J’ai commencé à sentir le bout de sa langue jouer avec mon méat, s’y introduisant légèrement.
Elle a joué ainsi un long moment, me rendant de plus en plus dur. Puis j’ai senti ses lèvres descendre lentement le long de ma tige, essayant d’en prendre le plus possible en bouche. Puis elle remonta plus rapidement, dégageant ma hampe enduite de salive.
Entre ses doigts agiles et sa bouche faisant des va-et-vient, je constatais qu’elle s’améliorait. Mais comme elle m’avait manqué depuis trop longtemps, je ne pouvais plus me retenir.Alors que j’éclatais dans sa bouche, je lui maintenais la tête pour ne pas qu’elle se retire et qu’elle prenne toute la semence en bouche et avale tout.
Une fois terminé de déverser toute ma semence dans sa bouche, je libérais sa tête pour qu’elle se relève.Après s’être relevée, elle me regarda d’un air mutin, satisfaite de ce qui s’était passé. Elle me dit alors :
— Hummmm ! J’avais oublié son goût.
Puis elle posa ses lèvres sur les miennes pour m’embrasser fougueusement. Je pouvais encore sentir le goût de mon sperme dans sa bouche. Elle rompit notre baiser au bout d’un long moment et nous sommes restés dans le canapé pour récupérer et boire notre jus de fruit. Nous avons papoté un bon moment de choses et de rien. Mais tout au long de ce moment, elle n’arrêtait pas de caresser mon sexe, ce qui me maintenait dans une semi-érection.
J’étais toujours assis dans le canapé, le pantalon et le boxer descendus sur les chevilles. Sophie, la mère de mon copain Laurent, s’est levée. Se mettant face à moi, elle procéda doucement à un effeuillage érotique, pour se retrouver totalement nue face à moi. Il semblait que notre éloignement de plusieurs semaines lui avait manqué. Je pouvais à nouveau revoir sa jolie poitrine ferme avec ses larges aréoles brunes et ses longs tétons érigés, mais aussi son buisson qui laissait entrevoir ses lèvres et le petit capuchon de son clitoris.Je pouvais aussi constater l’humidité de sa chatte provoquée par une envie d’être prise.
Puis elle s’approcha de moi, passa ses jambes de part et d’autre des miennes pour venir s’asseoir sur mes cuisses. Mais elle descendait lentement son bassin pour venir mettre sa chatte en contact avec mon sexe qui s’était à nouveau redressé. Prenant ma queue d’une main, elle la guida dans l’axe de l’ouverture de son antre, et elle s’abaissa plus pour venir s’empaler dessus. Une fois totalement en elle, je sentais ses muscles vaginaux se contracter pour jouer avec mon membre, pensant qu’elle poussait un soupir de bien-être.
— Huuummmm ! Comme c’est bon de te sentir en moi, me dit-elle avec un plaisir qui se lisait sur son visage.

Puis elle entreprit de lents va-et-vient, et remuant ses hanches pour accentuer la sensation autour de ma bite introduite en belle. Comme il y avait longtemps que je ne l’avais pas prise et qu’elle avait pris l’initiative de cette baise, je sentais que je n’allais pas tenir bien longtemps. Je ressentais l’orgasme monter en moi et je l’avisais de l’imminence de mon éjaculation.
— Ne t’inquiète pas pour ça, j’ai pris mes précautions. Je veux à nouveau te sentir m’inonder de ta semence fertile. Me dit-elle.

Alors, rassuré par ses mots, je me relâchais et libérais par jets successifs une importante quantité de sperme dans son utérus. Elle resta rivée à moi, appuyant sa poitrine sur la mienne. Je pouvais ressentir l’orgasme qui la ravageait. Nous sommes restés ainsi de très longues minutes à savourer nos retrouvailles. Je sentais ma queue diminuer et l’excédent de sperme couler le long de mes bourses.
Nous n’avons pas vu le temps passer. Alors que nous étions encore soudés l’un à l’autre, on a entendu le portail d’entrée s’ouvrir et les pneus d’un véhicule crisser dans l’allée menant au garage. On s’est vite séparé.
— Ils reviennent plus tôt que prévu. Monte à l’étage dans les w.c. pour te rhabiller. N’oublie pas de tirer la chasse d’eau avant de redescendre. M’ordonna-t-elle.

Chacun de nous reprit ses affaires, moi montant précipitamment à l’étage, elle se précipitant dans la cuisine en fermant la porte. Quelques instants plus tard, j’entendais la porte du garage se refermer, la porte d’entrée s’ouvrit et Henry, son mari, annoncer leur arrivée. Ouf ! Nous avons eu chaud.
Lorsque j’ai entendu Sophie parler à son mari et à Laurent, mon copain, je suis ressorti des toilettes, habillé, sans oublier de tirer la chasse d’eau comme elle me l’avait conseillé. Une fois redescendu dans le salon, elle m’accueillit avec un tonitruant ’ça va mieux’.Je la remerciais, dis bonjour à son mari et à mon copain, et pris congé d’eux pour rentrer chez moi. En rentrant chez moi, je pensais qu’elle n’avait pas eu le temps de se nettoyer et qu’elle était dans le salon avec son mari et son fils avec ma semence dans sa chatte, sans doute retenue par sa petite culotte qui devait se mouiller de mon sperme qui devait s’en échapper.
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