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J'ai perverti la mère de mon copain

Chapitre 12

Erotique
Une semaine s’est passée depuis la dernière fois où j’ai vu Sophie, et où nous avons failli être surpris par le retour plus tôt que prévu de son mari et de son fils, mon copain Laurent.
Mes parents sont partis en vacances, me laissant seul pour la recherche d’un contrat d’apprentissage ou de professionnalisation pour la suite de mes études. J’avais déjà envoyé pas mal de lettres de motivation, mais les réponses tardaient à venir. Peut-être à cause du mois d’août.
Ce matin, je descends à la boîte aux lettres, et un courrier qui m’était adressé m’y attendait. Je l’ouvrais avec exaltation, espérant qu’il s’agissait d’une réponse à l’un de mes courriers. Je saute de joie, une entreprise du BPT me répondait. Ils me demandaient de me présenter à leurs bureaux dans deux jours. Remonté chez moi, je vérifiais l’adresse de cette entreprise. Elle était située assez loin de chez moi, et je pourrai m’y rendre en bus, mais avec un temps de trajet d’au moins une heure.
Dans l’après-midi, on sonnait à la porte d’entrée. Je n’attendais personne. J’allais ouvrir, et quelle ne fut pas ma surprise de voir Sophie dans l’encadrement de la porte. C’était la première fois qu’elle me rendait visite à la maison.
— J’ai profité que tes parents n’étaient pas là pour venir te voir, me dit-elle. J’ai dit à mon mari que j’allais voir des promotions dans un magasin.

Sur ce, elle s’est précipitée sur moi pour m’embrasser vigoureusement. J’ai eu juste le temps de fermer la porte quand elle m’a fait tourner sur moi même pour y plaquer mon dos. Sa langue s’est insinuée entre mes lèvres pour investir ma bouche.
Malgré le beau temps dehors, elle était vêtue d’un beau trench-coat très élégant. Quand elle rompit notre étreinte pour s’éloigner, et j’ai pu constater qu’elle avait chaussé des escarpins noirs à hauts talons, tenus par une bride à la cheville. Ses jambes étaient aussi gainées de nylon noir, avec une jolie couture à l’arrière. Elle s’est avancée à l’intérieur du séjour et a posé sur le canapé le grand sac qu’elle avait à l’épaule. Puis elle me fit face. Elle a doucement dénoué la ceinture du trench-coat, et défait lentement les boutons un à un, et prenant garde de garder fermés les pans du vêtement. J’étais scotché de son attitude. Cette femme mariée, mère de mon meilleur ami, se comportait pour la première fois avec moi comme une aguicheuse. Je n’en croyais pas mes yeux quand elle a écarté lentement les pans du trench-coat.
Sous le vêtement, je la découvrais juste en lingerie de dentelle noire. Un soutien-gorge demi bonnets qui laissait apparaître une partie de ses larges aréoles brunes, et dépasser ses tétons dardés. Ses jambes, que j’avais remarquées de derrière, étaient gainées de bas nylon noirs avec la partie supérieure ornée d’une large bande de dentelle. Ils étaient retenus par un porte-jarretelles, en dentelle noire aussi, qui enserrait ses hanches et descendait au niveau de l’aine de part et d’autre de son joli nombril qu’il mettait bien en évidence. Des jarretelles descendaient le long de ses cuisses. Un triangle de dentelle noire cachait son pubis, et laissait entrevoir sa toison brune. Je soupçonnais que c’était un string vu la forme du sous-vêtement.
Comment avait-elle osé venir me voir dans cette tenue ? Cela en disait beaucoup sur ses intentions et sur les sentiments qu’elle avait envers moi. Elle laissa tomber son trench-coat au sol pour se montrer presque nue à moi. Elle me dit, d’un air un peu canaille :
— Ça te plaît comme ça ? J’ai acheté cet ensemble pour toi, mon mari ne l’a pas vu, et je pense qu’il n’aimerait pas que je porte ça. — Oui, beaucoup, arrivais-je à bredouiller, tellement abasourdi par son audace.

Elle alla s’asseoir sur le canapé, en m’invitant à l’y rejoindre. J’étais encore sous l’influence de ce que je venais de vivre, mais je ne voulais pas qu’elle prenne l’ascendant sur moi. Je voulais totalement la maîtriser. Mais cela prouvait qu’elle pouvait faire des choses et m’ouvrait des perspectives.
Je lui parlais de la réponse que je venais de recevoir de ma recherche d’emploi et du rendez-vous que j’avais dans deux jours avec une société du BTP. Je lui indiquais où se trouvait cette société, m’obligeant à m’y rendre en bus, avec un trajet qui pourrait me prendre au moins une heure.
— Si tu veux, je peux venir te chercher en voiture et t’y conduire. Et ensuite, je te ramènerai, me proposa-t-elle.— C’est très gentil, mais je ne sais pas combien de temps va durer l’entretien. Vous n’allez pas attendre que ce soit terminé, lui ai-je répondu.— Ne t’en fais pas, j’irai faire des courses pendant ce temps. Il y a un centre commercial pas très loin. Si je n’étais pas de retour à la fin de ton entretien, il te suffira de me téléphoner et de m’attendre, me fit-elle en réponse à ma remarque.

Puis comme lassée de notre conversation, elle m’attira vers elle pour coller à nouveau sa bouche à la mienne. J’en profitais pour poser une main sur son sein gauche pour le malaxer dans un premier temps, puis pour prendre entre mes doigts son téton érigé qui dépassait de la limite du bonnet. Je le roulais entre mes doigts et je sentais entre mes lèvres le souffle de son plaisir. Me dégageant de son baiser, je portais ma tête sur son sein droit pour prendre entre mes lèvres son autre téton dressé et dur. Je le suçais et le mordillais un long moment tout en roulant son téton gauche entre mes doigts. Je la sentais plaquer son dos sur le dossier du canapé et pousser sa poitrine en avant pour mieux l’offrir à mes caresses. Son souffle s’accélérait.
Je m’éloignais enfin de sa belle poitrine et regardais son visage envahi de bonheur, qui redevenait lentement paisible. Je me levais du canapé pour me déshabiller entièrement. Totalement nu, je m’approchais de Sophie, le sexe complètement dressé. Je la faisais s’allonger sur le canapé et avançais mon sexe à hauteur de sa bouche. Sans attendre, elle a ouvert les lèvres et a gobé mon gland, puis a fait glisser ses lèvres le long de ma hampe pour commencer une fellation dont elle devenait de plus en plus experte.Je résistais de mon mieux pour ne pas jouir dans sa bouche, bien que je savais que c’était ce qu’elle désirait. Avant de céder à la jouissance, je me retirais de sa bouche. Elle me regardait alors d’un air étonné et avec du regret dans le regard.
— Levez-vous, allons dans ma chambre. Nous y serons plus à l’aise, lui ai-je ordonné.

J’employais toujours le vouvoiement pour mieux la faire culpabiliser à l’égard de son mari et de son fils, mon meilleur copain, pour son comportement avec moi.
Je voulais reprendre l’ascendant sur elle après ce qu’elle avait osé en venant chez moi, vêtue de sa seule lingerie sous un trench-coat. Cela était un signal qu’elle pouvait aller plus loin que je ne le pensais. Je la prenais par la main et l’entraînais dans ma chambre. Je la faisais s’allonger sur le dos en travers du lit, les jambes pendantes, les pieds reposant sur la moquette. Je lui écartais les jambes et je pouvais constater que j’avais eu raison de deviner que c’était bien un string qu’elle portait. Je m’agenouillais entre ses jambes écartées, et j’approchais mon visage de sa chatte. En écartant le string, je pouvais constater que notre séance sur le canapé l’avait déjà bien excitée, sa chatte était trempée. J’avançais la tête pour la lécher, introduisant ma langue entre ses petites lèvres. Puis, remontant, j’allais à la rencontre de son petit bouton d’amour, que j’excitais à petits coups du bout de ma langue.
Il s’érigeait petit à petit jusqu’à ce que je puisse aspirer le petit capuchon pour le sucer et le mordiller. Je la sentais s’arquer sous mes caresses buccales et j’entendais ses petits gémissements de plaisir. Le seul petit problème était cette toison. Il faudra que je lui demande de la raser, ou peut-être même le faire moi même.
Ma trique était revenue et il était maintenant temps de la prendre à nouveau. Je lui demandais de s’agenouiller sur le bord du lit. J’ai cru lire dans son regard une certaine interrogation et une anxiété. Je la rassurais que je n’allais pas prendre son petit trou, mais simplement investir sa chatte trempée. Rassurée, elle exposa plus en avant son joli petit cul, mis en valeur par le string qui surgissait de sa raie pour bien séparer ses fesses. J’approchais mon gland de la vulve offerte, bien lubrifiée. Je promenais le bout de mon membre de haut en bas le long de ses lèvres vulvaires pour bien m’enduire de ses sécrétions. Je la sentais impatiente d’être baisée. J’alignais enfin mon sexe à l’entrée de sa grotte et la pénétrais d’un coup sec. D’une seule traite, je l’empalais jusqu’à la garde. Elle poussa un petit cri, soit de surprise ou de plaisir d’être prise aussi brusquement.
Je restais immobile en elle un long moment, sentant ses muscles vaginaux jouer avec ma queue, la serrant et la relâchant successivement. Ensuite, j’ai commencé de longs et lents va-et-vient. Je sentais son plaisir monter, trahi par le rythme de sa respiration. Je la limais tant et plus, puis alors qu’un orgasme éclatait en elle, je me libérais dans son utérus par une vague de jets de foutre. Comme je n’avais pas éjaculé depuis pas mal de temps, je la remplissais d’une bonne quantité de sperme.
Elle se laissa tomber à plat ventre sur le lit. Je restais allongé sur elle, toujours prisonnier de sa chatte dont je sentais à nouveau les derniers soubresauts de sa jouissance. Du sperme commençait à s’échapper le long de mes bourses et mouillait l’intérieur de ses cuisses. Petit à petit, mon sexe débandait et je sortais à regret de cet antre. Je roulais sur le dos à côté d’elle, qui elle même se retournait aussi, écartant vulgairement les jambes, laissant voir sa chatte dégoulinante de sa cyprine et de ma semence fertile, que je fixais, interrogateur. Je me remémorais que je l’avais engrossée il y a quelques mois.
— Ne t’inquiète pas, me dit-elle. J’ai pris mes précautions pour ne plus être enceinte et pouvoir toujours te sentir me remplir de ton sperme chaud.

J’étais rassuré, j’allais toujours pouvoir la baiser sans capote.
Après être restés un long moment allongés sur le lit, à nous caresser mutuellement, on décidait d’aller prendre une douche ensemble. Dans la salle de bain, nous sommes entrés ensemble dans la baignoire-douche. Après voir fermé les parois de la douche et réglé la tiédeur de l’eau, elle a commencé à me savonner, insistant sur ma queue qui commençait déjà à se redresser. Ensuite, c’est moi qui l’ai savonnée à mon tour. J’ai tout d’abord insisté sur ses seins, tirant de temps en temps sur ses tétons érigés. Puis descendant sur son ventre, j’ai commencé à frotter sa toison tout en introduisant mes doigts dans sa fente. Et en insistant également sur son bouton d’amour. Une idée m’est alors venue en tête :
— Pourquoi ne pas en profiter pour retirer tous ces poils ? l’ai-je interrogée.— Tu n’y penses pas, me répondit-elle. Il faudrait que j’explique ça à mon mari. — Vous trouverez bien une explication, lui ai-je répondu.

Nous avons continué à nous savonner mutuellement. J’insistais sur sa chatte et parfois mes doigts s’égaraient sur son petit trou plissé. Bien qu’elle se raidissait en sentant mes doigts sur son anus, elle écartait ses cuisses pour me faciliter l’accès à son entrejambe et sa chatte. Pour sa part, elle s’occupait de mon membre entretenant mon érection. Enfin, nous nous sommes rincés. Pendant que l’eau tiède coulait sur nos corps, elle s’est accroupie dans la baignoire et a pris en bouche mon membre dressé. Elle essayait d’en prendre le maximum, et je sentais ses haut-le-cœur à chaque fois que je venais taper au fond de sa gorge. L’eau ruisselant sur mon corps et la sensation de ses lèvres sur ma hampe, n’y tenant plus, j’éjaculais à nouveau dans sa bouche, mais délivrant bien moins de semence que tout à l’heure dans la chambre. Elle avala tout ce que je venais de lui délivrer sans en perdre une goutte.
Je suis sorti de la baignoire pour aller chercher des serviettes pour nous essuyer. Je lui demandais de m’attendre. A mon retour, je l’aidais à sortir de la baignoire et je m’empressais de l’envelopper dans la sortie de bain et frottais tout son corps pour la sécher. Puis je l’ai fait s’asseoir sur le rebord de la baignoire, écarter largement les cuisses pour sécher son petit minou. Alors que je lui maintenais les jambes largement ouvertes, j’approchais ma tête de son entrejambe pour lui prodiguer un cunnilingus. De plaisir, elle rejetait la tête en arrière pour savourer ma caresse buccale.
Alors que j’étais bien calé entre ses jambes, ma main fouillait dans le tas de serviettes que je venais de ramener pour en extirper la tondeuse à piles de mon père. J’approchais discrètement l’instrument de sa chatte, et le mis en fonctionnement. Le ronronnement de l’engin la fit se redresser. Mais ma position lui empêchait de fermer les cuisses. J’appuyais le corps de la tondeuse sur sa chatte pour lui faire ressentir les vibrations de l’engin, et lui faire croire à un vibromasseur. Je la sentais réagir et remettre sa tête en arrière pour apprécier les vibrations. D’un coup, je mettais la tondeuse en position pour retirer une bande de poils de son pubis, au-dessus de son petit capuchon. Avant qu’elle ne réagisse, je faisais un second passage pour en retirer une nouvelle bande. Elle redressa sa tête précipitamment, mais je l’empêchais toujours de fermer les cuisses. Elle a regardé ce que je venais de lui faire, et une lueur de courroux pointait dans ses yeux.
— Petit salaud, me lança-t-elle. Tu es arrivé à tes fins.— Oui. Maintenant que j’ai commencé, il va falloir que je finisse. Vous ne pouvez pas rester comme ça. Là, votre mari se poserait des questions.
Résignée, elle s’est laissé faire. J’ai terminé de passer la tondeuse pour retirer le plus gros des poils. Puis prenant la mousse à raser et le rasoir dont ma mère se servait pour faire ses jambes, j’ai fini le travail pour obtenir une chatte toute lisse, comme celle d’une petite fille. Après l’avoir rincée, j’ai repris mon cunnilingus, insistant sur son petit capuchon qui maintenant n’était plus caché dans son buisson. Elle se cala bien en arrière, écartant le plus possible des cuisses pour apprécier le plaisir de ma langue qui dardait sur son intimité. Elle eut alors un nouvel orgasme, si puissant que pour ne pas chuter en arrière dans la baignoire elle s’est agrippée avec ses mains sur ma nuque.
— Quelle sensation ! me dit-elle. Je ne t’en veux pas de cette initiative.

Nous avons regagné le séjour, toujours nus. Elle fouilla dans le grand sac avec lequel elle était arrivée. Elle en ressortit un soutien-gorge et une petite culotte en dentelle blanche. Cette lingerie était plus sage que celle qu’elle portait en arrivant. Puis elle enfila une petite robe d’été très classique. Je suppose qu’elle avait dû la retirer juste avant d’arriver chez moi, pour se présenter comme elle s’était présentée à ma porte. Elle retourna ensuite dans ma chambre pour récupérer cette lingerie noire qui m’avait tant excité. Après un long baiser, elle quitta l’appartement, sans oublier de me lancer :
— Je passe te chercher dans deux jours pour t’accompagner à ton rendez-vous.
Elle vient me rendre visite chez moi et discutons de notre avenir et je teste où pouvoir l’amener.
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