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J'ai perverti la mère de mon copain

Chapitre 14

Erotique
Voilà une semaine que j’ai eu mon rendez-vous pour trouver un contrat d’apprentissage et que Sophie, la mère de mon copain Laurent, m’y a accompagné en voiture. En me ramenant après ce rendez-vous, elle m’a fait l’accompagner au centre commercial où elle a acheté une guêpière noire et mauve, sur laquelle j’avais flashé en passant devant la vitrine du magasin de lingerie de la galerie marchande.
Le samedi après-midi, Sophie est à nouveau venue me rendre visite chez moi. Quand je lui ai ouvert la porte, j’ai vu qu’elle s’était élégamment vêtue d’un tailleur bleu marine. Je pensais qu’elle venait pour me proposer une sortie. Mais une fois rentrée dans le séjour, elle me demanda comment je la trouvais, tout en faisant des tours sur elle même.
— Vous êtes très élégante, lui ai-je répondu. « Vous avez un rendez-vous ? »— Non, me répondit-elle. « C’est pour toi. Mais il fallait que je donne le change vis-à-vis de mon mari. »

Et elle s’approcha de moi pour me serrer dans ses bras et me rouler goulûment une pelle.
Mes mains ne sont pas restées inactives. Je passais une main sur sa veste de tailleur pour saisir son sein gauche à pleine main. À l’accélération de sa respiration, je constatais qu’elle s’excitait. Mais je rompais notre baiser pour lui proposer une boisson. Elle accepta un soda, et partit s’asseoir sur le canapé.
Alors que j’étais dans la cuisine, elle me cria depuis le séjour :
— Je vais dans la chambre me mettre à l’aise.
Quand je suis revenu de la cuisine avec les boissons, elle n’était pas revenue de la chambre. Alors j’ai déposé les boissons sur la table basse et je me suis installé sur le canapé en attendant son retour. Après quelques instants, Sophie est réapparue. Je ne constatais pas de changement dans sa tenue. Mais soudain, elle s’est plantée au milieu de la pièce. Elle a porté ses mains derrière son dos et j’ai entendu le bruit de la fermeture à glissière. Elle était en train de défaire sa jupe qui est tombée à ses pieds.
Elle était devant moi, toujours vêtue de sa veste de tailleur fermée, tournant sur elle même, comme pour m’aguicher. Elle portait de magnifiques bas à coutures, noirs avec la bande du haut violette, retenus par des jarretelles noires. Avec ses escarpins noirs avec leur bride à la cheville, elle irradiait une folle sensualité.
Assis dans mon canapé, je me régalais du spectacle qu’elle m’offrait. Je la sentais de plus en plus coquine au fur et à mesure que notre relation se prolongeait. Elle était de loin la mère de famille timide du début de notre relation. Je savais que je pourrais aller plus loin avec elle. C’était sa manière à elle de me faire savoir qu’elle se libérait de son carcan de femme prude.
Soudain, elle se mit à défaire lentement les boutons de sa veste de tailleur. Dès les premiers boutons défaits, j’ai constaté qu’elle avait retiré son chemisier dans la chambre. Une fois tous les boutons défaits, brusquement, elle écarta grand les pans de la veste. Et là, j’ai constaté qu’elle avait mis la guêpière noire et mauve que nous avions achetée ensemble la semaine précédente. Elle fit glisser la veste le long de ses bras pour la faire tomber au sol pour y rejoindre la jupe.
Elle s’est avancée vers moi d’une démarche chaloupée, perchée sur ses escarpins à hauts talons. Arrivée devant le canapé, elle s’est mise à genoux devant moi et m’a écarté les jambes pour se glisser entre. Doucement, ses mains ont parcouru mes cuisses pour remonter jusqu’à mon entrejambe. Une de ses mains s’est attardée sur la bosse qui déformait le devant de mon pantalon.

— Je constate que cette tenue te fait toujours de l’effet.
Me dit-elle tout en accentuant la pression sur mon sexe.

Puis ses mains reprirent leur course vers la boucle de ma ceinture, qu’elle défait avec dextérité. Rapidement, mon pantalon est largement ouvert. Puis agrippant les bords de celui-ci, elle tire vers le bas pour le descendre. Je lève légèrement les fesses du canapé pour lui faciliter la manoeuvre. Alors qu’elle continue à tirer sur le pantalon, mon caleçon suit le mouvement et je me retrouve avec les deux vêtements aux genoux. Durant cette opération, mon sexe libéré a surgi prestement et je présentais à Sophie, la mère de mon copain Laurent, un sexe fièrement dressé. Elle a continué à baisser mon pantalon et mon caleçon vers mes chevilles pour enfin me les ôter.
C’est alors qu’elle m’a écarté largement les cuisses pour se glisser entre elles. Puis, se penchant en avant, sa tête s’est approchée de mon pubis et ses lèvres sont venues au contact de mon gland, sur lequel elle a déposé des petits bisous. Puis du bout de sa langue, elle m’a excité plus en léchant délicatement mon chanfrein. Et ensuite, sa bouche est venue absorber mon gland turgescent, puis elle a fait glisser doucement ses lèvres le long de mon membre jusqu’à ce que son nez touche mon pubis.
Je constatais qu’elle prenait de plus en plus d’initiatives. Elle essayait de réaliser une gorge profonde sans que je l’y force. Mais je pouvais sentir ses haut-le-coeur quand elle forçait pour en prendre un maximum. À un moment où elle essayait une nouvelle fois une gorge profonde, j’ai placé mes mains derrière sa tête pour la bloquer et maintenir cette gorge profonde le plus longtemps possible. Je la sentais suffoquer et à la limite de vomir. J’ai alors libéré sa tête pour lui permettre de se retirer et de reprendre son souffle. Elle me regarda alors, les yeux pleins de larmes, l’air hébété.
— C’est bien cette volonté de devenir plus chienne, la complimentais-je.

Alors elle a repris son ouvrage sur mon sexe dressé. Elle laissait échapper des bruits de succion très érotiques. J’étais aux anges. Mais sachant que je ne pourrais pas tenir bien longtemps, je l’ai fait se relever. Tout en l’admirant dans sa tenue si sexy et excitante, j’ai terminé de me déshabiller pour me retrouver nu devant elle, ma bite fièrement dressée devant moi.
Je l’ai fait mettre à genoux sur le canapé, la croupe bien relevée, me donnant une vue imprenable sur sa chatte glabre et sur sa petite rosette dont je meurs d’envie de prendre le pucelage. J’ai passé ma main sur son puits d’amour pour constater qu’elle mouillait déjà abondamment, prête à m’accueillir en elle. J’ai passé deux doigts entre ses lèvres trempées pour aller titiller son petit capuchon largement érigé. J’ai décapuchonné son clitoris que j’ai pressé entre mes doigts. Elle a gémi de plaisir sous cette action. Après quelques branles de son capuchon bien érigé, mes doigts sont remontés le long de ses lèvres, récupérant de la mouille, pour se diriger vers sa petite rosette fripée. Alors que je commençais à masser les bords de son petit trou, entre deux soupirs de plaisir, elle m’a dit :
— Non, pas ici, s’il te plaît. Je suis pas prête à faire ça. — Mais vous savez qu’il faudra y passer prochainement. Je vous préparerais doucement avant ce jour, lui ai-je répondu, en introduisant doucement un doigt dans ce petit trou serré, que je convoite depuis si longtemps.— Oui, je sais et je vous promets de m’y soumettre, mais pas aujourd’hui, m’a-t-elle répondu.

Après quelques va-et-vient de mon doigt dans son anus serré, j’ai retiré mon doigt, et j’ai présenté ma bite dressée et dure, à l’entrée de sa chatte. J’ai fait aller mon gland de haut en bas le long du sillon de ses lèvres pour bien l’humecter. Pour la faire réagir, j’ai pointé mon gland à l’entrée de sa rosette plissée, et j’ai imprimé une légère pression comme pour la pénétrer.
— Non, non ! Pas par là, pas aujourd’hui ! a-t-elle protesté.

J’ai alors redescendu mon gland à l’entrée de sa grotte d’amour, que j’ai pénétré d’un coup sec. D’une seule poussée, j’étais totalement en elle, mon pubis venant directement heurter ses fesses. Elle a gémi de cette action brutale. Après un temps d’attente, j’ai commencé de longs et amples va-et-vient. Elle gémissait sous cette action et je pouvais sentir les spasmes de ses muscles vaginaux autour de ma hampe. Cela augmentait mon plaisir, et je faisais de mon mieux pour retenir mon plaisir final. Mes mains empoignaient ses hanches avec fermeté et j’accélérais mes va-et-vient. Après un long moment, ne pouvant plus y tenir, j’éjaculais abondamment au fond de son utérus, que je savais protégé des conséquences. Il n’y avait pas de risque de la remettre enceinte, comme ce fut le cas il y a plusieurs mois.
Je me suis retiré d’elle et me suis assis sur le canapé, jambes largement écartées. Mon sexe était encore dressé. Elle s’est assise elle aussi, jambes également écartées, d’où je voyais s’écouler mon sperme mélangé à ses sécrétions. Elle s’est penchée doucement vers moi pour joindre ses lèvres aux miennes et nous nous sommes délivré un langoureux baiser. Ma main est venue derrière sa tête et à la fin de ce baiser, je l’ai dirigée vers ma bite qui commençait à débander pour qu’elle la prenne en bouche pour la nettoyer. Un peu hésitante, elle a donné quelques coups de langue, mais devant l’instance de ma main sur sa tête, elle a consenti à prendre l’intégralité de ma queue dans sa bouche pour la sucer avec un bruit de succion très érotique.
Une fois ma bite totalement nettoyée, j’ai relâché la pression de ma main sur l’arrière de sa tête. Elle s’est alors redressée et elle est venue se pelotonner contre moi. Ma main droite est alors venue dans son entrejambe pour recueillir ce qui s’écoulait de sa chatte avec mes doigts. J’ai alors porté mes doigts à sa bouche pour qu’elle les suce. Elle m’a regardé, l’air étonné.
— Allez ! Sucez cette bonne liqueur, lui ai-je ordonné d’un ton qui ne demandait pas d’opposition.

Nous sommes encore restés un long moment, nus sur le canapé, à nous caresser mutuellement. Elle restait là, les cuisses impudiquement écartées. Puis nous sommes levés pour nous rendre à la salle de bain, prendre une douche mutuelle. Nous nous sommes savonnés l’un l’autre. Alors qu’elle insistait sur ma queue, qui reprenait de la vigueur, je caressais ses seins, pinçant ses tétons érigés et tirant de temps en temps dessus pour les étirer plus.Puis mes mains sont descendues vers son entrejambe, pour frotter son petit abricot glabre et insister sur son petit capuchon qui émergeait de ses lèvres. Son souffle s’accélérait, révélant le plaisir qu’elle prenait encore.
Mon autre main frottait ses fesses, et parfois un doigt remontait son sillon fessier. Puis profitant de ma main savonnée, et du plaisir qui montait en elle, j’ai introduit mon doigt dans son petit trou serré. Elle a réagi vivement, en se contractant, mais toujours dans le plaisir de ma main caressant sa chatte. Comme je la bloquais avec mon corps, j’ai introduit plus profondément mon doigt dans son fondement, jusqu’à ce qu’il soit totalement fiché en elle. J’ai commencé à le remuer en elle. C’est alors qu’elle a explosé dans un puissant orgasme. J’ai dû la retenir, car ses jambes ne la portaient plus. Une fois redescendue de son petit nuage, elle a murmuré :
— Mon petit salaud, tu es arrivé à faire ce que je te refusais. — Mais ça ne vous a pas déplu à ce que j’ai pu constater, lui ai-je répondu, avec un petit sourire matois.

Elle a baissé les yeux et son visage a rosi. Je pouvais constater que je pourrais prendre possession des lieux prochainement.
Jusqu’à la fin du mois, et le retour de mes parents, Sophie est venue plusieurs fois me rendre visite. Nous avons recommencé nos petits jeux. Elle acceptait de plus en plus mon doigt dans son petit trou serré, mais jamais plus. J’étais impatient d’aller plus loin, et je savais qu’elle n’y résisterait pas. Mais je ne voulais pas brusquer les choses, au risque de la perdre.
Puis arrivèrent la fin du mois et le retour de vacances de mes parents. Mais aussi arriva une bonne nouvelle : j’étais engagé au bureau d’études de la société où je devais faire mon année de professionnalisation. J’étais en joie et je savais que c’était le début de mon indépendance et ainsi de pouvoir aller plus loin avec Sophie, la mère de mon copain Laurent.
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