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J'ai perverti la mère de mon copain

Chapitre 15

Erotique
J’ai perverti la mère de mon copainChapitre 15Début septembre, je suis stressé. C’est mon premier jour dans cette entreprise pour mon contrat de professionnalisation, au bureau d’études. Mon père m’y accompagne en voiture, me rassurant tout au long du trajet. Je suis reçu par le DRH, qui me présente au responsable du bureau.Il s’appelle Robert D..... C’est un homme d’une quarantaine d’années, plutôt grand (1m80 environ), musclé avec un teint hâlé, sûrement dû au travail en plein air. Sa poignée de main est vigoureuse, mais sa voix est très rassurante.— Bonjour jeune homme. Me dit-il. Moi c’est Robert, et je dirige le bureau d’études. Je serai ton tuteur de formation.— Bonjour, enchanté Monsieur. Lui réponds-je avec timidité.Il me convie à le suivre pour me montrer mon poste de travail, et me présenter à mes futurs collègues de travail. Je découvre un bureau agréable, bien équipé en matériel de dernière génération, avec une ambiance qui me semble être très décontractée. La journée se passe bien. Comme je pose de nombreuses questions, à grands coups de "Monsieur", il me lance :— Appelle-moi Robert, comme tout le monde ici.J’acquiesce et continue à poser mes questions en respectant sa consigne, mais en maintenant le vouvoiement, alors que lui me tutoie. À la fin de la journée, je suis complètement épuisé, trop concentré à ne pas faire d’impairs et à réaliser au mieux de mes connaissances les tâches qui me sont confiées. Le soir venu, mon père vient me récupérer en voiture. Sur le chemin du retour, je lui raconte ma journée avec enthousiasme, et le bon feeling avec le responsable du bureau. Mais au cours de la conversation, il me fait part qu’il ne pourra pas venir me chercher ainsi tous les jours, et que je devrai me rendre au travail en transports en commun. Je lui demande s’il est possible d’avoir un scooter pour m’affranchir des horaires et surtout pouvoir me rendre sur les chantiers où je dois intervenir. Il acquiesce sur ce point, à charge pour moi d’assurer par moi-même le scooter.Après quelques jours je découvre un superbe scooter Peugeot Citystar 50cm3. Le casque et les gants me sont offerts par ma mère. Reste l’assurance à ma charge. Grâce à un petit acompte sur ma paye, accordé par la société, je peux la souscrire sans délai. Je suis paré pour ma nouvelle vie de travail.Robert, mon chef et formateur est un excellent professionnel, mais aussi un bon vivant à ce que je peux constater. Il aime les histoires salaces. Le midi, pendant le déjeuner, il me raconte des histoires parfois crues. Il aime me mettre mal à l’aise avec ses histoires. Avec le temps je m’y habitue. Il me bizute sans doute, surtout quand nous allons sur les chantiers. La plupart du temps j’y vais avec lui dans son véhicule professionnel. Durant les trajets nous discutons de choses et d’autres mais pas forcément de travail. Au fur et à mesure des mois, les discussions deviennent de plus en plus intimes. Il veut savoir si j’ai une petite amie. Je suis gêné de lui répondre que ma copine a l’âge de ma mère, alors j’esquive les questions et réponds des choses fausses. Pour sa part il se dévoile de plus en plus, et je découvre petit à petit que c’est un libertin. Il est divorcé et mène une vie assez dissolue. Il me confie qu’il aime fréquenter des lieux chauds, comme les sex-shops, les clubs libertins, etc... Les histoires qu’il me raconte m’excitent parfois et me font fantasmer quant à mes rapports avec Sophie.Depuis que j’ai trouvé cet emploi, compte tenu de mon travail, je vois plus rarement Sophie. Nous nous rencontrons de temps en temps, dans sa voiture et dans des endroits discrets, comme coupables de notre relation. Mais je sens bien qu’elle tient à moi. Les histoires que me raconte Robert me rendent plus exigeant envers Sophie. Un jour, au mois de novembre, je lui demande de venir me chercher en voiture en bas de chez mes parents, presque nue sous un manteau. Elle ne doit avoir sous ce manteau que des bas résille noirs maintenus par son porte-jarretelles en dentelle noire. Elle doit avoir aussi ses chaussures à talons avec la bride autour de la cheville.Ce jour-là, un samedi après-midi, j’attends avec impatience la venue de Sophie. Je regarde souvent par la fenêtre, en essayant de dissimuler mon impatience à mes parents, pour ne pas éveiller leur curiosité, car ils ne sont toujours pas au courant de ma relation avec Sophie, la mère de mon copain Laurent et qui a presque l’âge de ma propre mère. Laurent ne se doute de rien lui aussi au sujet de mes rapports avec sa mère, ni même son mari que je fais cocu. J’ai même réussi à la mettre enceinte lors de nos premiers mois de relation. Elle a dû avorter en toute discrétion pour que son mari n’en sache rien. Soudain j’aperçois la voiture de Sophie se garer le long du trottoir. Je descends alors la rejoindre. Une fois dans la voiture, elle démarre pour aller dans l’un de nos endroits discrets. Alors qu’elle conduit, je pose une main sur son genou droit. Puis je remonte ma main le long de sa cuisse pour découvrir qu’elle a bien mis des bas, en sentant l’attache d’une des jarretelles. Je continue de remonter ma main qui soudain rencontre son entrejambe nu. Elle n’a pas mis de culotte. Et comme je n’ai pas constaté la présence du tissu d’une jupe ou d’une robe sous le manteau, je m’imagine déjà qu’elle a respecté ma demande.Arrivés dans l’un de nos endroits favoris, à l’abri des regards indiscrets, elle stoppe le véhicule et arrête le moteur. Elle se tourne vers moi et se précipite sur ma bouche pour un baiser fougueux. Nos langues jouent dans la bouche l’un de l’autre. Je profite de cet enlacement pour déboutonner son manteau et en écarter les pans. Mes mains s’y insinuent pour découvrir directement sa peau et ses seins libres. Elle a fait exactement ce que je lui ai demandé. Elle est totalement nue sur son manteau, à l’exception de son porte-jarretelles et de ses bas résille noirs. Lorsque nous rompons notre baiser, je la repousse en arrière pour la plaquer contre sa portière. J’écarte largement les pans de son manteau pour l’admirer dans cette tenue, soumise à ma volonté. Je lui lance :— Vous êtes bien une fieffée salope.Je la vois rougir, interdite, muette. Mais elle ne fait rien pour cacher sa tenue impudique.Je sors de la voiture, puis après avoir contourné le véhicule, j’ouvre la portière de Sophie en lui demandant de sortir. Sans hésiter, elle s’exécute. Sans refermer la portière conducteur, je plaque Sophie dos contre la portière arrière. Je fais glisser le manteau de ses épaules le long de ses bras, pour enfin le lui retirer, le placer sur le siège conducteur et refermer la portière. Elle est magnifique, là devant moi, nue avec juste des bas et un porte-jarretelles pour les maintenir, et ses chaussures à talons hauts avec bride autour de la cheville. Elle grelotte, car la température n’est pas très chaude, ou peut-être est-elle simplement nerveuse d’être surprise dans cette attitude. Elle essaye de cacher sa poitrine avec ses bras, comme par pudeur.— Les bras le long du corps. Lui ordonné-je.— Mais si nous sommes surpris ? Me répond-elle.— Alors, pourquoi venir nue sous un manteau, comme je vous l’ai demandé ? Une petite salope de votre genre doit assumer son statut. Approchez-vous et occupez-vous de moi comme vous savez le faire.Elle s’approche de moi et s’accroupit. Elle défait ma ceinture et baisse mon pantalon sur mes chevilles. Le devant de mon caleçon est déformé par l’érection que j’ai, créée tant par la situation qu’en pensant à la soumise que devenait Sophie. Elle baisse ensuite mon caleçon. Mon sexe jaillit tel un diable hors de sa boîte. Aussitôt elle se précipite dessus pour prendre mon gland entre ses lèvres. Je sens la pointe de sa langue parcourir le bout de mon gland en essayant de pénétrer mon méat. Puis, petit à petit, ses lèvres s’avancent le long de ma hampe pour engloutir l’intégralité de ma bite en elle.Mes mains se posent à l’arrière de sa tête pour maintenir ma queue au fond de sa gorge. Puis je commence à faire des va-et-vient, baisant ainsi sa bouche qui salive et émet des bruits de succion érotiques. En jetant un regard vers le bas, je vois qu’elle a placé une main entre ses cuisses et qu’elle se masturbe. Je sens son plaisir monter, elle tremble. Sa main s’active sur son clitoris. Je sens sa respiration autour de ma bite enfoncée dans sa bouche. Soudain, elle éclate dans un orgasme qui provoque le mien. J’éjacule à grands jets au fond de sa gorge. Elle avale tout. Je la lâche et elle s’affale par terre, se vautrant avec impudeur dans l’herbe, jambes largement écartées.Je retire mon pantalon et mon caleçon. Dans le coffre de la voiture, je récupère la couverture qui s’y trouve pour l’étendre par terre. Nous nous y allongeons côte à côte, nous caressant mutuellement. Mes mains parcourent son corps, malaxant ses seins, triturant ses tétons érigés. Puis une de mes mains s’aventure entre ses cuisses écartées. Mes doigts entrent dans sa vulve déjà trempée, pour malaxer l’intérieur de sa chatte glabre. Mon pouce pendant ce temps malaxe son petit capuchon érigé qui pointe entre ses lèvres. La chaleur de nos ébats nous fait oublier la fraîcheur de ce temps automnal. Pour ma part, ma bite reprend vie, privilège de la jeunesse. N’en pouvant plus, je m’agenouille entre ses cuisses largement écartées. J’approche mon gland de l’entrée de sa chatte dégoulinante de mouille. Je la pénètre d’un seul coup. Je vois son visage s’illuminer par cette rude pénétration. J’entreprends des va-et-vient brusques. Je sens les spasmes des parois de son vagin sur ma hampe qui m’excitent au plus haut point. J’admire son visage se crisper de plaisir. Alors que je jouis encore une fois, inondant son utérus de ma semence, elle est prise de tremblements trahissant un nouveau violent orgasme.Je me retire d’elle, me remettant à genoux entre ses cuisses. Je peux voir ma semence couler de sa grotte alors qu’elle garde les cuisses ouvertes d’une manière impudique. Je la fais s’asseoir sur la couverture en gardant ses jambes écartées. Je me relève et je présente ma queue ramollie devant sa bouche en lui ordonnant de la nettoyer avec sa bouche. Sans rechigner, elle gobe mon sexe et entreprend un nettoyage en règle, léchant même mes couilles qui avaient été souillées par ses sécrétions.Après nous être remis de nos ébats, nous remontons en voiture pour rentrer dans nos foyers. Je demande à Sophie de garder son manteau non boutonné tout au long du trajet. Je veux la raccompagner jusque chez elle dans cette tenue. Arrivé devant chez elle, je l’accompagne jusqu’à sa porte, lui imposant de ne pas reboutonner son manteau jusque-là. Je rentre ensuite à pied chez mes parents, satisfait de mon après-midi et de la soumission qui commençait à gagner Sophie, la mère de mon copain Laurent. J’ai hâte de pouvoir avoir mon indépendance, avoir mon propre logement où je pourrai accueillir Sophie en toute intimité.Durant les repas et les trajets vers les chantiers, Robert, mon chef et formateur, continue de me raconter sa vie. Je peux ainsi constater que c’est un sacré coco, un queutard. Je devine qu’il pense me mettre mal à l’aise en me racontant toutes ces histoires. Mais au contraire il m’intéresse et me donne des idées pour Sophie. Pour ma part je lui fais part de mon désir de trouver un logement, afin de m’affranchir de mes parents. C’est la raison que je mets en avant. Un jour, il me dit qu’il a un copain qui loue des chambres de bonnes pas très loin du bureau et qu’il va lui en parler si jamais il avait quelque chose de libre. Quelques jours plus tard, Robert m’informe que son copain a peut-être quelque chose de disponible, en centre-ville. Il me donne son numéro de téléphone pour que je puisse le contacter si ça m’intéresse. Je prends rendez-vous avec l’ami de Robert, un samedi, pour visiter un logement qui peut me convenir. Le samedi venu j’arrive en avance pour la visite du logement qui m’est proposé. L’ami de Robert arrive peu de temps après et nous montons au 6e étage, sans ascenseur, sous les combles. C’est un petit studio de 18m², mais bien agencé : petit coin cuisine, salle d’eau avec WC et pièce principale assez facile à meubler. Une grande fenêtre amène beaucoup de lumière du fait d’une bonne exposition, sans vis-à-vis.Je suis enthousiasmé de pouvoir disposer de mon chez-moi, mais fallait-il encore que les conditions soient à ma portée. Le propriétaire m’annonce que comme je suis l’apprenti de Robert, il allait me faire un loyer adapté à mon salaire, mais mes parents devront se porter caution. Le soir, j’en parle chaleureusement à mes parents. Ceux-ci acceptent de se porter caution. J’éclate de joie intérieurement. Je pense que je vais pouvoir enfin recevoir Sophie en toute intimité et faire avec elle tant de choses. Après quelques jours et la signature du bail, j’emménage dans mon studio. Mes parents m’ont donné un canapé-lit et une petite penderie, seuls meubles qui peuvent être installés dans le studio pour laisser assez d’espace pour y vaquer à l’aise.Je passe une semaine à terminer mon emménagement. Je parcours les magasins pour acheter quelques accessoires indispensables, surtout de la vaisselle et des équipements de cuisine. J’aménage le coin cuisine ; réfrigérateur et plaque de cuisson. La semaine suivante j’en suis aux finitions. Je vais enfin pouvoir recevoir Sophie chez moi. En faisant mes achats, une idée me vient. Je vais dans une ville éloignée de chez moi, où se trouve un sex-shop. C’est la première fois que je mets les pieds dans un tel endroit et je suis très intimidé. À mon arrivée, le responsable me demande mes papiers pour vérifier que je suis en âge de fréquenter sa boutique, puis il me demande ce que je cherche.— Je ne sais pas exactement. Lui réponds-je.— C’est pour vous ? Me demande-t-il.— Non, c’est pour une fem... fille. Bégayé-je, mes joues s’empourprant.— C’est pour un cadeau, je suppose.— Oui ! Mais je n’ai pas trop d’idées.— Peut-être une pièce de lingerie, ou alors un jouet ? Me suggère-t-il.Je vais enfin pouvoir réaliser un désir qui me tient tant à cœur depuis si longtemps : faire un cadeau coquin à Sophie. Il m’emmène dans les rayons lingerie de son magasin. Là se trouvent des ensembles plus sexys les uns que les autres. Mon choix s’arrête sur un petit ensemble en dentelle rouge, composé d’un soutien-gorge relève seins et d’une culotte fendue de devant jusqu’à derrière. Son prix est dans mes moyens. Heureusement que j’ai depuis longtemps noté les tailles des vêtements et sous-vêtements de Sophie, car ainsi je peux répondre à la question du vendeur au sujet de la taille à prendre. Sur le chemin du retour vers la caisse, nous passons par le rayon des jouets. J’admire la variété des choix de godes et de plugs. Le vendeur voyant mon regard attiré vers un gode de bonne taille me demande si je veux l’acheter. Mais son prix me fait hésiter. Voyant mon hésitation, le vendeur me propose une remise de 30% si je le prends maintenant. Cette remise fait rentrer l’objet (si je peux dire) dans mon budget, je le prends donc. Arrivé à la caisse, après avoir payé mes achats, en espèces pour plus de discrétion, il met dans le sac en plus de mes achats un échantillon de gel lubrifiant.— Vous me direz ce que vous en pensez quand vous reviendrez la prochaine fois. Me dit-il d’un air satisfait.En rentrant vers mon studio, je sers le sac avec mes achats contre moi. J’ai le sentiment que tout le monde me regarde et sait ce que j’ai acheté. Sur le chemin du retour, je m’arrête dans une librairie pour acheter du papier cadeau pour empaqueter mes achats pour les offrir à Sophie. Le soir je réalise 2 jolis paquets, l’un avec la lingerie, l’autre avec le gode. Je garde l’échantillon de gel lubrifiant pour l’occasion.
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