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J'ai perverti la mère de mon copain

Chapitre 17

Erotique
Le lendemain de cette Saint-Valentin mémorable où Sophie m’a offert son pucelage anal, elle m’a appelé au téléphone pour m’informer qu’elle avait ’accidentellement’ emporté le gode. Elle avait peur que son mari ne le trouve et lui demande des explications. Je lui dis qu’elle pouvait le rapporter, mais que je ne serai pas chez moi avant 20h. Elle me répond qu’elle allait trouver un prétexte pour me rejoindre, mais qu’elle ne pourrait pas rester trop longtemps.
Durant cette conversation, une idée me traverse l’esprit.
— Venez me le rapporter, mais pour plus de discrétion, portez-le sur vous. Et pour vous habituer, ce serait bien que je le découvre dans votre joli petit cul que j’ai défloré hier, lui annoncé-je avant qu’elle ne raccroche.
Peu après 20h, on sonne à la porte. Je vais ouvrir et je découvre Sophie sur le palier, habillée sagement. Je la fais entrer et elle se jette à mon cou pour coller ses lèvres aux miennes. Elle me dit qu’elle a prétexté à son mari aller faire des courses et qu’elle rentrera un peu tard. Je passe mes bras autour d’elle pour l’étreindre par la taille et pose mes mains sur son fessier. C’est alors que je sens un renflement entre ses fesses.
— Petite salope ! lui murmuré-je à l’oreille après avoir rompu notre baiser. Je vois que vous avez suivi ma suggestion.
Elle s’éloigne de moi, me tourne le dos pour relever sa jupe au-dessus de ses hanches. Je peux constater qu’elle porte une petite culotte de dentelle mauve qui enveloppe bien son joli cul. Mais au centre, un renflement trahit la présence du gode enfoncé dans son anus. Je m’approche d’elle, baisse la petite culotte au milieu de ses cuisses tout en lui imposant de se pencher en avant. Je peux ainsi admirer le gode enfiché dans son fondement. J’en attrape l’extrémité qui dépasse pour le tirer doucement pour le ressortir. Puis, avant qu’il ne soit sorti intégralement, je le replonge en elle. Je lui branle ainsi son petit trou pendant que mon autre main s’insinue entre ses jambes pour s’occuper de sa chatte et de son bouton d’amour. Ainsi offerte, penchée en avant, elle commence à haleter bruyamment et je sens qu’un orgasme monte en elle. Elle explose bruyamment quand l’orgasme la dévaste.
Je retire alors le gode de sa petite rosette et je libère sa chatte, les doigts complètement enduits de sa mouille. Je la fais se redresser et se retourner pour me faire face. Je lui donne à sucer mes doigts englués.
— Chacun doit avoir son plaisir ce soir, lui dis-je en lui appuyant sur les épaules pour la faire s’agenouiller devant moi.
Elle comprend immédiatement. Elle défait la ceinture de mon pantalon, et d’un geste rapide, le descend sur mes chevilles, accompagné de mon boxer. Mon sexe est déjà raide par la séance que nous venons de vivre. Elle saisit immédiatement mon chibre en bouche et entreprend une fellation. Elle s’améliore de plus en plus pour cette pratique. Elle s’y prend si bien que j’explose plus rapidement que je ne veux. Elle avale tout ce que je lui fournis tout en levant les yeux vers moi pour me regarder dans les yeux. Une fois qu’elle m’a bien nettoyé le sexe, elle se relève, rajuste sa petite culotte, et après m’avoir déposé un chaste baiser sur les lèvres, sort de chez moi. Je pense en moi-même : « Elle devient de plus en plus salope, il va falloir trouver de nouveaux scénarios pour ne pas la décevoir ».
Un vendredi soir du mois d’avril, à la sortie du travail, j’ai la surprise de voir Sophie m’attendre. Elle est habillée très BCBG, avec un joli ensemble tailleur, jupe et veste, et je pouvais apercevoir un chemisier blanc. Je suis très étonné de cette présence et un peu inquiet de ce qui se passait. De plus, je sors des locaux, accompagné de Robert, mon tuteur d’apprentissage.
— Je crois que ta mère est venue te chercher. Tu as une superbe maman. Tu fais les présentations ? me dit Robert en me tapant du coude sur mon bras.
Je me suis dirigé vers elle et je l’embrasse sur les joues pour donner le change à Robert. Mais sans m’attarder à présenter Sophie comme ma mère, nous nous dirigeons rapidement vers sa voiture, laissant Robert sur le pas de la porte du bureau d’études.
— Mon mari est parti en déplacement pour le week-end, nous avons tout le temps pour nous. J’ai donc pensé à te faire cette surprise, me dit-elle à voix basse sur le trajet vers sa voiture.
— Mais j’ai mon scooter, lui rétorqué-je.— Alors je te rejoins chez toi, puis ensuite nous irons au restaurant. Je t’invite, me répond-elle.
Nous nous retrouvons chez moi. Après avoir rangé mon scooter dans la cour de l’immeuble, nous montons au logement. Elle monte les marches devant moi, et en levant les yeux, je peux distinguer la limite des bas à couture qu’elle a mis. Parfois apparaissent les attaches de jarretelles. Nous montons ainsi les 6 étages, mais je ne vois pas quelle petite culotte elle porte. Dans le studio, je vais dans la salle de bain pour me doucher, et m’habiller pour cette sortie au restaurant. J’invite Sophie à se mettre à l’aise pendant le temps que je me prépare. Une fois ma toilette faite, je sors de la salle de bain et là, surprise, je vois Sophie sur le canapé-lit. Elle a tombé la veste et le chemisier. Elle porte la superbe guêpière en satiné mauve et dentelle noire, dont les bonnets qui enferment ses seins les compressent pour les faire ressortir outrageusement et laissent dépasser ses tétons érigés au milieu de ses aréoles brunâtres.
Immédiatement, je sens ma queue commencer à se dresser à la vue de cet érotique tableau, et commencer à soulever la serviette de bain qui ceint ma taille.
Elle se lève du canapé pour venir à ma rencontre. À ce moment, la jupe de son tailleur dont elle a préalablement défait la ceinture tombe à ses pieds. Elle apparaît alors simplement vêtue de sa superbe guêpière qui maintient ses bas noirs à coutures, que j’avais pu admirer en montant dans l’escalier. Elle enjambe la jupe tombée au sol pour dégager ses escarpins noirs avec la bride autour des chevilles. Mais elle n’a pas de petite culotte. Est-elle venue me chercher au travail comme ça ?
Elle vient se coller à moi pour me rouler un superbe patin baveux. Nos langues jouent ensemble un long moment. Pendant ce temps, ma main joue avec sa chatte fraîchement épilée qui est déjà bien humide d’excitation. Ma bite continue de se dresser pour soulever plus la serviette de toilette. Je défais alors le nœud pour me débarrasser de cette serviette et je colle mon gland à l’entrée de sa grotte humide pendant que mes doigts jouent avec son bouton d’amour. Sa respiration s’accélère sur mes lèvres, trahissant le plaisir qui monte en elle. Ses seins sont plaqués contre ma poitrine. Puis soudain, je la pénètre d’un violent coup sec. Je m’introduis entièrement en elle d’un seul et unique coup. Elle est tellement mouillée que cela facilite les choses. Sans attendre, je la ramone immédiatement. Je sens son corps vibrer sous mes assauts. Sa respiration est saccadée et s’amplifie tout au long de la durée du coït. Puis soudain, je sens ses jambes l’abandonner et l’orgasme éclater en elle.
C’est à ce moment que le mien intervient également et je remplis son utérus de ma semence.
Alors que nos orgasmes respectifs retombent, la prenant par la main, je l’amène au canapé. J’y étends la serviette de bain qui m’a servi lors de ma douche et je la fais asseoir, jambes écartées. C’est une position obscène, je l’avoue, mais je veux observer sa belle chatte luisant de mouille d’où commence à s’écouler ma propre semence. Puis je me présente devant elle, la queue se ramollissant, et je lui ordonne :
— Sucez-moi ma belle salope adorée. Nettoyez les dégâts que vous avez faits.
Elle me regarde droit dans les yeux, l’air provocante. Je crois qu’elle va refuser, mais elle ouvre la bouche et gobe mon sexe ramolli. Le tenant avec ses mains, elle entreprend une fellation, récupérant de ce fait ses propres jus mêlés aux résidus de ma semence qui lui a envahi son puits d’amour. Je me tiens à côté d’elle, qui est toujours assise sur le canapé, jambes écartées. Ainsi je peux continuer à voir sa chatte déverser son contenu sur la serviette de bain. Sa fellation est tellement bonne et efficace, que je recommence à bander de nouveau. Après quelques minutes de ce traitement, me sentant apte à un nouveau coït, je la fais se mettre à genoux sur le canapé, en me tournant le dos. J’approche mon gland de l’entrée de sa grotte encore toute mouillée de ses jus et de ma semence. Je le frotte tout le long de sa fente, puis remonte dans la raie de ses fesses, et redescends à nouveau vers l’entrée de sa chatte.
Je fais cela à de nombreuses reprises, créant une vallée bien lubrifiée et provocant chez elle une frustration et une impatience. Puis, alors qu’elle ne s’y attend pas, je colle mon gland gluant à l’entrée de son anus et j’appuie fort. Sa petite corolle plissée cède immédiatement et je m’introduis en elle de toute la longueur de mon membre. Elle crie, de surprise, de douleur ou de plaisir ?
— Salaud ! Tu aurais pu me prévenir. Heureusement que je me suis lavée ici aussi avant de venir.
Tellement pris par mon plaisir, je n’y ai pas fait attention. La fois précédente quand je l’ai dépucelée du cul, j’avais pris la précaution de mettre un préservatif. Mais il est trop tard pour faire marche arrière. Je suis enfoncé dans son joli petit cul et je la lime avec des va-et-vient puissants. Après un long moment, je n’y tiens plus et j’inonde son fondement de sperme. Au même moment, elle a un nouvel orgasme et nous nous écroulons sur le canapé sans que je quitte son fourreau. Petit à petit, je débande et je laisse ma queue sortir doucement de son cul. Après avoir récupéré de notre baise, elle va à la salle de bain prendre une douche, pendant que je reste vautré sur le canapé. Elle en ressort longtemps après et se rhabille. Nous allons à pied dans un restaurant du centre-ville. Je la tiens par la taille, mais à la pensée qu’elle ne porte pas de culotte sous son tailleur BCBG, je commence à bander à nouveau.
Durant tout le repas, je n’arrête pas de lui faire du pied, frustré de ne pas pouvoir utiliser mes mains sur des parties de son corps.
Sur le chemin du retour, n’y tenant plus, alors que nous passons près d’une petite ruelle mal éclairée, je l’y attire. Je la plaque dos à un mur et l’embrasse fougueusement. Puis une de mes mains s’aventure sous sa jupe pour s’activer sur sa chatte lisse. La sentant de plus en plus excitée, je fais pression sur ses épaules pour qu’elle s’accroupisse et lui demande de s’occuper de mon sexe à l’étroit dans mon pantalon. Elle l’extirpe de son emballage, et accroupi, jambes écartées, elle me prend en bouche. Trop excité d’être surpris dans cette position et me faisant une image d’elle en prostituée à l’action, j’éjacule dans sa bouche. Sa tâche terminée, elle se relève, et après avoir remis mon sexe en place, nous quittons la ruelle.
Nous ne nous sommes pas revus durant la semaine qui a suivi, moi, occupé par mon travail, elle, parce que son mari avait pris quelques jours de congé pour des travaux à effectuer dans leur maison.
Exceptionnellement, je dois travailler le samedi matin pour finaliser le dossier d’un chantier avec Robert. Ces heures supplémentaires amélioreront mon salaire du mois. Mon père se propose de me conduire au bureau ce matin-là, car après cette matinée de travail, nous devions partir voir mes grands-parents pour le reste du week-end. Je ne pouvais donc aller au travail avec mon scooter. La matinée a été très occupée et vers midi, Robert me dit que je peux y aller, qu’il n’a plus besoin de moi. Il m’accompagne à la sortie pour m’ouvrir la porte. La voiture de mon père est garée sur le parking et ma mère, qui l’accompagne, vient à ma rencontre pour m’embrasser et m’accompagner vers la voiture. Elle est heureuse de voir mon lieu de travail, du moins de l’extérieur. En me retournant, je peux voir l’air étonné de Robert sur le perron de l’entrée des bureaux. Sans plus attendre, nous démarrons et prenons la route pour chez mes grands-parents.
Le lundi, je suis avec Robert et l’équipe pour discuter du projet sur lequel nous avons travaillé samedi matin. À la fin de la réunion, alors que nous restons seuls tous les deux, Robert m’interroge.
— C’était qui samedi la femme qui accompagnait ton père ?
Je me mets à rougir.
— C’était ma mère.— Mais ce n’est pas la même femme que l’autre jour.— L’autre jour, c’était une amie.— Une amie ? Mais pourquoi m’avoir dit que c’était ta mère ?— Je ne sais pas, un réflexe sans doute.— C’est une amie de ta mère ?— Non, c’est la mère d’un copain.— Alors c’est une amie jusqu’à quel point ? Tu aimes les MILF ?
Je rougis de plus en plus, me sentant très mal à l’aise d’évoquer mon degré de relations avec Sophie auprès de Robert. Je sais très bien qu’il a compris, mais il veut que je le lui dise. Je lui avoue à demi-mot que Sophie est ma maîtresse. Que ça fait plus d’un an qu’elle l’est. Mais je ne veux pas lui dire qu’elle est devenue de plus en plus soumise et s’affranchit de son statut de mère de famille bourgeoise pour devenir une petite salope. Outre que je suis arrivé à lui faire faire des fellations qu’elle réalise de mieux en mieux, j’ai réussi à ce qu’elle m’offre son pucelage anal. Laissant Robert sur ce, je regagne mon poste de travail.
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