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J'ai perverti la mère de mon copain

Chapitre 19

Erotique
Le temps de printemps était très agréable en cette veille de 8 mai. Sophie a réussi à se dégager quelques heures de sa famille au prétexte de faire quelques achats en cette veille de jour férié. Elle est venue me rejoindre chez moi. Elle avait revêtu une jupe en denim assez courte, qui était fermée sur le devant par une série de boutons métalliques. Le dernier bouton du bas n’était pas attaché. Elle avait les jambes nues. Pour le haut, elle avait revêtu une veste légère sous laquelle on distinguait un chemisier parme.
Quand je lui ouvre la porte du studio, elle me saute immédiatement au cou et soude ses lèvres aux miennes. Nous sommes restés un long moment à échanger un baiser langoureux, nos langues se disputant la possession de la bouche de l’autre. Le temps nous est compté, alors je déboutonne rapidement deux boutons supplémentaires sur le devant de sa jupe pour y glisser ma main. En caressant l’intérieur de sa cuisse droite, je remonte vers sa fourche. Ma main ne rencontre pas d’obstacle quand elle arrive sur sa chatte glabre. Elle ne porte pas de petite culotte mais aussi elle mouille déjà, la petite salope. Je quitte à regret cet endroit que je sais revenir rapidement réinvestir. Nous rompons notre long baiser, et je l’aide à se débarrasser de sa veste. C’est alors que je peux admirer le chemisier qu’elle porte, un chemisier en voile parme, transparent. Et là je constate qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. Le chemisier laisse voir parfaitement ses jolis seins, ses larges aréoles brunes. Les tétons sont dressés et dardent en soulevant outrageusement le fin tissu. J’attrape les deux tétons entre mes doigts pour les rouler entre le pouce et l’index. Sous cette caresse, je sens son souffle s’accélérer sensiblement. Après quelques instants, je libère ses tétons pour déboutonner le devant du chemisier. J’ai envie de sucer ces adorables tétons. Après avoir écarté les pans du chemisier et dévoilé largement sa poitrine, je prends alternativement chacune de ces extrémités de seins entre mes lèvres, les suce et les mordille délicatement. Elle pousse des petits gémissements de plaisir.
Mettant fin à ma séance de succions, je la débarrasse de son chemiser et de sa jupe. Elle est maintenant totalement nue devant moi, juste avec ses escarpins à talons avec la bride autour de la cheville. Je pose mes mains sur ses épaules, et par une légère pression je lui fait comprendre mon désir. Elle comprend immédiatement et s’agenouille. Elle entreprend de défaire la ceinture de mon pantalon et le déboutonne. Puis le faisant glisser vers le bas le descend sur mes chevilles. Dans ce mouvement mon caleçon suit en même temps. Je suis déjà fièrement en érection. Elle prend en main ma bitte bien dressée et dépose un petit baiser sur le gland qu’elle a découvert en rétractant mon prépuce. Puis je peux sentir sa langue lécher délicatement ce gland sensible. Parfois le bout de sa langue pénètre légèrement mon méat. Une fois mon gland enduit de salive, je sens ses lèvres enrober ma hampe. Elle commence à me prodiguer de lents va-et-vient. J’accentue les mouvements de mon bassin pour m’introduire plus profondément dans sa bouche. Mes mains posées sur sa tête, je donne le tempo de la fellation. Le bruit de sa succession est tellement érotique que je bande plus fortement et je sais que je ne vais pas tenir longtemps à ce rythme. Alors j’interromps à regret ce délicieux moment et je la fais se relever. Après m’être débarrassé des vêtements entravant mes pieds, je la prends par la main, l’attire sur le canapé et l’y fait s’asseoir. Je termine alors de me déshabiller, puis je la rejoins sur le canapé.
Commence alors une séance des caresses mutuelles. Puis elle se penche en avant pour reprendre mon sexe en bouche. Je la laisse agir un moment pour entretenir mon érection. Ensuite je me lève pour la faire s’allonger sur le canapé. Pas le temps de le déplier en lit. Je m’agenouille entre ses jambes écartées pour présenter la pointe de ma bite à l’entrée de sa grotte d’amour. Elle coule de son désir de me recevoir en elle. D’un coup je m’enfonce lentement dans son antre accueillant et après un petit moment je touche au fond son utérus que j’ai fertilisé au début de notre relation. J’entreprends des lents et amples va-et-vient, ressortant parfois à la limite de m’extraire du fourreau avant d’y replonger entièrement. Je vois son plaisir monter sur son visage, de légères crispations le trahissant. Son souffle s’accélère au même rythme que l’accélération de ma pénétration. Les fellations précédentes m’ayant bien chauffé, et arrivant à la limite de ma retenue, j’éclate au fin fond de sa grotte, inondant son utérus d’un important volume de sperme. Elle pousse un feulement de satisfaction. Je reste fiché en elle un long moment, le temps de débander. Je sens couler le long de ma hampe et entre nos deux corps le trop plein de mon sperme qui s’échappe de sa chatte, mélangé à la cyprine qu’elle a produite en abondance par son plaisir.
Enfin mon sexe débandé s’échappe de son fourreau. Je la libère et nous nous asseyons côte à côte sur le canapé. Elle est assise, dos appuyé sur le dossier, les jambes impudiquement écartées, la chatte laissant s’écouler encore nos jus qui la remplissent. Je passe mon bras droit affectueusement autour de son cou, et par une légère poussée, je l’invite à venir nettoyer ma bite souillée avec sa bouche. Se penchant en avant, sans réticence, elle la prend en bouche et entreprend de la nettoyer du sperme et de sa mouille qui la souille. Une fois terminée son ouvrage, je recommence à bander, mais nous n’avons pas le temps de remettre le couvert. Elle se redresse et vient coller sa bouche à la mienne pour partager le goût de nos plaisirs.
Ma main s’est posée sur une de ses cuisses et je la caresse lentement, frôlant parfois sa chatte trempée. Elle pose sa tête sur mon épaule, déposant de temps à autre un petit baiser dans mon cou. Je la sens détendue et heureuse. Nous parlons tendrement et venons à évoquer la journée barbecue du 1er mai. Elle me dit avoir beaucoup apprécié nos nouveaux amis. Elle a perçu en eux une bande de sacrés ’coquins’ et m’avoue être honorée que nous ayons été adoubés à rejoindre leur petit cercle. Elle me pose des questions pour savoir ce que je connais d’eux. Je lui réponds que je ne connais seulement que Robert. Je lui évoque quelques histoires, choisies, qu’il m’a raconté lors de nos déplacements sur des chantiers. Elle me semble intéressée par ces narrations, et me relance pour que je lui en raconte plus et savoir mon ressentir à son sujet. Je lui demande ce qu’elle en pense elle-même et la sonde pour savoir si elle accepterait plus. Je la sens hésitante à m’avouer ses désirs, mais ses réponses traduisent un certain désir. Elle me rappelle qu’elle est mariée et qu’il est difficile pour elle de dégager du temps suffisamment long pour nos rencontres. Cela me ramène à la réalité de notre relation et qu’elle doit partir dans peu de temps.
Elle se lève du canapé pour aller à la salle de bain pour prendre une douche, mais je la retiens par la main.
 - Non ! Vous allez rentrer comme ça chez vous. Rhabillez-vous.
Elle me regarde d’un air incrédule, mais ne proteste pas, ramasse sa jupe et son chemisier. Elle se rhabille rapidement. Je me lève pour prendre sa veste et l’aider à l’enfiler. Puis, passant mes mains sur le devant de sa jupe, je défais deux des quatre boutons, en partant du bas. Ainsi, quand elle sera assise au volant de sa voiture, elle montrera un peu plus de son entrecuisse. Nous nous embrassons langoureusement une dernière fois, avant qu’elle ne quitte le studio. Je sais que je ne vais pas la revoir rapidement, car depuis que je travaille, je dispose de moins de temps libre.
Quand je reprends le travail après cette journée de congés, je retrouve Robert, mon maître d’apprentissage. Je lui fais part de la satisfaction de Sophie d’intégrer le cercle de ses amis et lui évoque l’intérêt de Sophie à leur sujet. Il me répond :
 - Tu as quand même compris le sujet de nos activités. Es-tu sûr qu’elle a compris elle aussi, et qu’elle est prête à participer ?
 - Je pense que oui. Mais je vais la travailler pour ça, et je pense que si elle n’est pas encore prête, elle le sera le moment venu.

Il me regarde avec un léger sourire de satisfaction, sans répondre.
Les jours passent. Je ne peux revoir Sophie, car elle n’arrive pas à se libérer de sa famille. Mais je l’ai souvent au téléphone. Nous discutons longuement et je la sonde sur son désir et sa volonté à aller plus loin avec le cercle d’amis de Robert. Je sens qu’elle est à la fois hésitante et attirée à connaître autre chose que nos rencontres qui commencent à tourner à la routine. Nous nous rencontrons épisodiquement durant le mois de juin. Je profite de ces moments pour la travailler à l’idée de plus intégrer le cercle des amis de Robert. Jusqu’à présent nous ne les avons pas revus, seul Robert me parle d’eux. Je sens Sophie de plus en plus curieuse au sujet des activités du groupe, dont je n’ai pour ma part pas plus de renseignements, mais seulement une intuition à leur sujet. Robert m’en parle régulièrement, mais sans jamais m’en dévoiler la réalité exacte. Fin juin, Sophie me fait part du départ en vacances de son fils, mon copain Laurent, pour les mois de juillet et août. Il part retrouver le couple qu’il avait rencontré lors de son stage en entreprise. Ils l’ont invité, et je suppose, après ce qu’il m’avait raconté à son retour de stage, qu’il risque de bien profiter de ses vacances. J’en suis un peu jaloux. Mais elle me dit également que son mari risque d’être en stage pour une formation pour son travail. Ce stage risque d’avoir lieu à l’étranger ou aux Antilles, mais elle n’en connaît pas les dates.
Robert m’avait informé que lui aussi prenait des congés en juillet. Il me dit également que les amis de son cercle essayaient de coordonner leurs congés pour organiser des réunions plus conséquentes que celles qu’ils organisaient certains week-end, un peu à l’image de la journée barbecue. Lors de cette journée nous étions partis, Sophie et moi, de bonne heure en soirée, et nous avons manqué la suite des événements. Je me débrouillais également à poser des congés en coordination avec Robert, arguant qu’en absence de mon maître de formation, je serais moins performant. Ainsi, pendant les vacances, je pourrai poursuivre ma formation, dans un tout autre domaine. Quelques jours avant le début des congés, Sophie m’informe que son mari partira en séminaire, en Martinique, la seconde semaine de juillet, dans la suite le pont du 14 juillet. J’en fis part à Robert, et s’il devait organiser une partie, ce serait la bonne époque. Il me rétorqua qu’il allait en parler à ses amis. Mais il s’enquit de savoir si Sophie était prête à participer à leur genre de réunion. Je lui réponds que je pense que oui.
Début juillet, je suis en congés et j’en profite pour passer quelques jours chez mes parents. Robert m’appelle au téléphone pour m’informer qu’il avait pu organiser une réunion pendant l’absence du mari de Sophie, englobant ainsi le pont du 14 juillet. Cette réunion allait se dérouler chez Maurice et Isabelle. Ils possédaient en province une vieille ferme qu’ils avaient rénovée, en créant une sorte de gîte dont leurs amis bénéficiaient parfois. Il me précisa qu’il viendrait nous prendre en voiture, ainsi Sophie ne serait pas obligée de prendre sa propre voiture, et que ce serait plus facile pour trouver le lieu. De plus, il devra passer prendre son amie Françoise. Nous devrons juste prendre quelques affaires légères et nos effets de toilette afin de ne pas trop encombrer le coffre de la voiture.
J’en fait part à Sophie, au téléphone. Elle me semble heureuse de retrouver les amis de Robert. Mais je sens dans le son de sa voix une certaine excitation à nous retrouver plusieurs jours ensemble. Je lui explique que ce séjour se passera chez Maurice et Isabelle, et la rassure qu’il n’y a aucun problème d’hébergement, que nous allons avoir notre propre chambre. Le jour venu, Robert vient me chercher chez moi. Il est accompagné de Françoise. Je monte en voiture avec eux. Robert m’installe à l’avant à côté de lui et demande à Françoise de s’installer à l’arrière. Nous prenons la direction de chez Sophie pour la récupérer. Arrivé près de chez elle, je l’appelle pour la prévenir de nous attendre sur le trottoir afin de ne pas perdre de temps. Quand nous arrivons, nous voyons Sophie sur le bord du trottoir, avec un petit sac de voyage. Elle est vêtue d’une petite robe légère, boutonnée sur le devant, et porte de jolis escarpins à talons pas trop haut. Robert arrête la voiture sur une place de stationnement et sort pour prendre le sac de Sophie et le placer dans le coffre. Pour ma part je sors de la voiture pour embrasser Sophie et au creux de son oreille la complimenter sur sa tenue. Au moment de remonter en voiture, Robert me demande de m’installer à l’arrière, avec Françoise et fait monter Sophie à l’avant à côté de lui.
Durant le trajet, Françoise se colle à moi, posant parfois sa main sur ma cuisse, effleurant parfois mon entrejambe. Ce contact me fait bander et je suppose qu’elle le sait. De la place que j’occupe, derrière le conducteur, j’ai une légère vue sur les jambes de Sophie, assise à l’avant. Parfois je peux voir Robert effleurer de sa main la cuisse de Sophie à travers le léger tissu de la robe, sans aucune gêne, en manipulant le levier les vitesses. Le trajet devant durer plusieurs heures, je le vois s’enhardir à poser parfois sa main sur la cuisse de Sophie. Pour sa part, elle ne fait rien pour la repousser. De son côté, Françoise continue son petit manège, s’aventurant à poser sa main sur la bosse que fait ma bite dans mon pantalon. Je ne fais rien pour l’en empêcher. À un moment, je vois la main de Robert posée sur la cuisse de Sophie et tenter de s’infiltrer sous le tissu de la robe. C’est alors que je vois Sophie déboutonner un bouton du bas de sa robe, puis un second. Elle écarte un peu les jambes pour permettre à Robert de glisser sa main à l’intérieur de sa cuisse. Je suis agacé de l’outrance de Robert et par la passivité de Sophie, voire de son désir de cette caresse. Ce petit jeu, et celui de François, se poursuivent jusqu’à ce que nous nous arrêtions à une station service pour une pause et une restauration bienvenue. Chacun en profite pour se rendre aux toilettes pour satisfaire un besoin naturel. Je peux voir Robert se pencher à l’oreille de Sophie et lui chuchoter quelque chose. Je vois son visage s’empourprer et elle disparaît en direction des toilettes femmes, en compagnie de Françoise, alors que Robert et moi nous dirigeons aux toilettes hommes. Nous revenons rapidement dans l’espace snack pour attendre le retour des femmes. Après qu’elles nous ont rejoint, nous choisissons de quoi déjeuner rapidement et gagnons une table un peu isolée. Alors que je m’installe en face de Robert, j’ai la surprise que Françoise vienne s’installer à côté de moi, ne laissant que la place à côté de Robert pour Sophie. Nous mangeons et discutons de choses et d’autres. Parfois je ne vois plus qu’une main de Robert, l’autre disparaissant sous la table. À un moment Sophie cherche dans son sac à main. Intrigué, je fais en sorte de prendre ma serviette tombée au sol et en profite pour jeter un coup d’oeil sous la table. Là, je peux voir la main de Sophie donner à Robert une petite culotte de dentelle violette. En plus elle avait défait un troisième bouton de sa robe et avait les jambes écartées plus que nécessaire. Les pans de la robe tombent de part et d’autre de ses genoux et je peux voir son entrejambe. Quel choc de constater qu’elle ne porte pas de culotte. C’est sûrement cette dernière qu’elle a donné discrètement à Robert. Je me relève prestement et essaye de cacher mon étonnement. Nous finissons de nous restaurer pour reprendre la route.
En retournant à la voiture, je peux voir un bout de la petite culotte que lui a donné Sophie dépasser de la poche de Robert. Chacun reprend sa place dans la voiture. Je peux alors voir que le bas de la robe Sophie lui découvre largement les cuisses, et qu’elle les garde écartées au mieux que lui permet l’habitacle du véhicule. Nous reprenons la route. Françoise reprend son petit jeu, plus même, car elle entreprend de déboutonner mon pantalon pour y glisser la main, et empoigner, à travers mon caleçon, mon membre dressé. Robert n’est pas en reste. Tout en conduisant, il a glissé sa main entre les cuisses découvertes de Sophie. Mais cette fois elle ne se contente pas de rester sur le genou de Sophie. Elle est remontée plus haut jusqu’à sa fourche glabre. Je peux distinguer de légers mouvements de la part de cette main, et parfois les cuisses de Sophie se resserrer pour l’emprisonner. Mais trop absorbé par la caresse de Françoise sur ma bite, je ferme les yeux et perds le fil de mon observation de Sophie.
Enfin nous arrivons à destination. Françoise a entretenu mon érection tout au long de la seconde partie du trajet, la main constamment dans mon pantalon, s’activant doucement sur mon vit à travers le tissu du caleçon, sans pour autant m’amener à la jouissance. Robert, quant à lui, a fréquemment glissé sa main droite entre les cuisses de Sophie, allant jusqu’à caresser du doigt sa vulve glabre. Je m’en doutais à voir la réaction de Sophie quand elle resserrait les cuisses. Le véhicule pénètre dans une cour de ferme. Le bâtiment principal est soigneusement entretenu, il a subi une belle restauration très réussie, donnant un charme certain à l’ensemble. Des dépendances, moins bien restaurées, ferment les côtés de la cour, perpendiculairement au corps principal de la ferme. Nous sortons de la voiture et Maurice vient à notre rencontre pour nous accueillir.
 - Soyez les bienvenus, nous sommes heureux Isabelle et moi de vous accueillir ici. Nous lança-t-il à Sophie et moi.
Nous récupérons chacun nos bagages dans le coffre de la voiture et suivons notre hôte dans le séjour du corps de ferme. C’est une pièce ancienne, avec une très grande cheminée. Une grande table en bois massif avec un banc de part et d’autre trône au centre de la pièce. Seul un vaisselier aménage en plus cette pièce, le long d’un mur. 
 - Là, il y a la cuisine. Nous dit-il en désignant une porte vitrée sur sa partie opposée.
Puis il nous conduit vers une autre pièce, à l’opposé de la cuisine. Nous entrons dans une pièce joliment décorée, avec des murs en pierres saillantes. Elle est meublée de fauteuils, d’un canapé et de tables basses. Un écran plat imposant est accroché sur l’un des murs, avec une barre son.
 - Voilà le salon, pour la détente. Précisa-t-il, tout en nous guidant vers une nouvelle porte au fond de la pièce.
Nous le suivons au travers d’un petit couloir qui longe la façade du bâtiment, aux fenêtres donnant sur la cour. À l’opposé une série de portes.
 - Ce sont des chambres. Précise-t-il en voyant mon regard interrogateur. Mais je vous ai réservé une chambre à l’étage. Nous dit-il en s’engageant dans un escalier.
Nous le suivons. Arrivés à l’étage, il y a un nouveau couloir, légèrement mansardé, courant sur la totalité du bâtiment. De nombreuses portes à notre droite. Il s’approche de la troisième porte, l’ouvre et nous fait pénétrer dans une chambre mansardée. Elle est spacieuse et bien aménagée : un lit deux places, un petit bureau avec une chaise, une armoire ancienne. Par contre je remarque l’absence de salle d’eau et de toilettes, et je lui en fait la remarque.
 - Pour les toilettes, elles sont au fond du couloir, communes à toutes les chambres de l’étage. Dit-il. Mais il y en a deux, en cas d’encombrement. Précise-t-il en riant de sa plaisanterie. Quant aux douches, elles sont communes à toutes les chambres de l’étage et du rez-de-chaussée. Elles sont situées au bas de l’escalier. Je vous montrerai en redescendant.
Sophie et moi déposons nos bagages. Françoise dépose ses bagages dans la chambre qui lui a été attribuée, à elle et à Robert. Ensuite nous suivons Maurice pour redescendre au rez-de-chaussée. Au passage il nous montre les douches. Dans une grande pièce, il y a quatre lavabos le long du mur, surmontés de miroirs. À l’opposé, il y a un vaste espace de douche à l’italienne équipé de plusieurs pommes de douche. Nous regagnons le salon pour y retrouver Robert, qui nous attend en compagnie d’Isabelle, qui nous embrasse en guise de bienvenue.
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