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J'ai perverti la mère de mon copain

Chapitre 20

Erotique
Petit à petit, les autres membres du cercle d’amis sont arrivés dans l’heure qui a suivi. Chaque couple a sa chambre attribuée à l’étage. On voit qu’ils connaissent déjà bien les lieux, qu’ils y sont à leur aise. Je retrouve les couples qui étaient présents au barbecue du mois de mai. Maurice demande à Robert et à Pierre de nous faire visiter les autres corps de ferme. Il précise :
 - Montrez-leur les aménagements de distractions récréatives.
 - Oui, il ne faut pas tout dévoiler la première fois. Répond énigmatiquement Robert.
Pierre nous invite à le suivre, et nous nous dirigeons vers le corps de ferme situé à notre droite. C’est un petit bâtiment, sûrement une ancienne étable. Nous entrons dans une grande pièce, meublée de nombreuses chaises. Dans un coin, au fond, sont entassées d’autres chaises, pliantes. Sur le mur immédiatement à notre gauche en entrant, est accroché un immense écran, encadré de deux barres de son.
 - C’est la salle de cinéma. Nous y venons pour regarder tous ensemble la télévision ou y passer des films grâce au barco là-bas. Commente Robert.
À l’opposé de l’écran, il y a, fixé au plafond, le fameux barco. Il surplombe une large estrade jouxtée d’un petit escalier en bois permetant d’y accéder. Une grande tenture est suspendue au plafond, rabattue le long du mur du fond. Devant mon regard interrogateur, Robert me dit :
 - C’est une petite scène. Parfois cette salle est louée pour organiser des événements, tels que des mariages ou des lotos.
J’aperçois, après l’escalier d’accès à la scène, une porte fermée. Robert me dit que derrière cette porte il y a un cellier réservé au stockage de divers objets et aussi la cave à vins de Maurice.
Nous quittons la ’salle de spectacles’. Robert et Pierre nous conduisent au second corps de ferme situé à l’opposé de celui que nous quittons, plus imposant et long. C’était sans doute une ancienne grange, vu la hauteur du bâtiment. Nous pénétrons dans une vaste salle. Le plafond, en plancher, est situé à une grande hauteur. Sur le mur de pignon, une sorte de gradins a été installé. Face aux gradins, un vaste espace le sépare d’une scène, plus grande que celle du bâtiment que nous venons de quitter. Elle occupe une grande partie du mur opposé aux gradins. Sur le côté gauche de la scène se trouve un escalier qui mène à l’étage. Pierre nous explique que cette salle est également destinée à être louée pour des manifestations avec plus de personnes que celle que nous avons précédemment visitée. Le plafond, au-dessus de la scène, il y a un rail qui la ceinture d’où pendent deux longs rideaux de tissu qui sont pour l’instant plaqués le long du fond de scène. Sophie demande où mènent l’escalier. Pierre lui répond qu’il y a des pièces destinées à être aménagées ultérieurement. À droite de la scène, une porte. Pierre nous explique que Maurice a fait aménager à cet endroit un sauna, que nous aurons sans doute l’occasion d’utiliser durant notre séjour. La visite terminée, nous rejoignons le reste du groupe au gîte. Un apéritif est servi dans le salon. Je peux voir Sophie papillonner d’un groupe d’invités à l’autre. Elle est souriante et radieuse. Ensuite nous allons tous dans la salle à manger pour dîner, sur la grande table en bois massif. Sophie est assise à ma droite sur le banc. Françoise s’est installée à ma gauche. Robert a choisi de s’installer à la droite de Sophie.
Pendant le dîner, j’en profite pour glisser ma main sur la cuisse de Sophie. La première fois, elle me jette un regard teinté d’un léger reproche, mais se laisse faire. Encouragé par sa passivité, j’en profite pour défaire discrètement un premier bouton du devant de sa robe, qu’elle avait reboutonné lors de sa descente de voiture. Robert, lui, veillait à ce que le verre de Sophie ne soit jamais vide. Quelques instants plus tard, je recommence mon petit manège et défait un second bouton. Avec ma main sur son genou je l’incite à écarter un peu les jambes, pour faire remonter ma main sur l’intérieur de sa cuisse. Elle ne dit rien, mais je sens sa respiration un peu plus rythmée. Dès que j’en ai à nouveau l’occasion, ma main replonge sous la table pour regagner la cuisse de Sophie. J’ai envie de remonter plus haut dans sa fourche. Je défais alors un nouveau bouton du devant de sa robe pour libérer complètement ses cuisses. Je peux enfin avoir accès à ses lèvres vaginales. D’un geste de la main je lui fais comprendre d’écarter plus largement ses jambes pour me permettre de la doigter. Peut être que l’alcool commence à faire sont effet, elle permet à mes doigts de glisser en elle. Elle mouille. Comme son souffle s’accélère, je stoppe ma caresse, ne voulant pas attirer l’attention sur nous.
Le repas est joyeux, et l’alcool aidant les plaisanteries graveleuses fusent. Sophie rit de bon coeur, peut-être aussi pour cacher l’excitation que je lui provoque par mes caresses. Le dessert arrivant, je décide de remettre ma main entre ses cuisses. Les pans de sa robe ouverte tombent le long de ses jambes, laissant à nu ses cuisses. Je pose ma main à l’intérieur de sa cuisse, la caresse délicatement en remontant vers son bel abricot juteux. Et là, je rencontre une autre main qui est déjà à l’oeuvre dans sa fourche. Ce doit être celle de Robert. Étonné, je me penche en avant et le regarde. Il me fait un clin d’oeil accompagné d’un sourire évocateur. C’est bien lui qui a pris possession des lieux. Je vais pour retirer ma main pour lui laisser le champ libre, mais d’un léger signe de tête négatif il me fait comprendre de rester en place et de participer avec lui au plaisir de Sophie. Mes doigts reprennent leur place et accompagnent ceux de Robert dans la vulve de ma petite salope. Je regarde le visage de Sophie qui fait un effort surhumain pour ne pas trahir son plaisir.
Notre hôte nous invite à passer au salon pour le café et les digestifs. Je me lève et enjambe le banc. Sophie se recule à ma place pour à son tour enjamber le banc. Elle se retrouve ainsi face à Robert, qui n’a pas bougé. En enjambant le banc, assise comme elle l’est, avec le bas de sa robe largement déboutonnée, elle offre une pleine vue de sa chatte glabre à Robert. Une fois debout, elle veut reboutonner sa robe, mais Robert lui prend les mains pour lui interdire. Il lui dit doucement, mais assez fort pour que je puisse entendre :
 - Reste comme ça. Fais-en profiter tout le monde.

Je suis un peu furax de l’attitude de Sophie, mais au fond de moi-même, je suis aussi fier de voir qu’elle se comporte en petite salope soumise. J’ai même un peu hâte de la suite de ce séjour, pour voir comment elle va s’intégrer dans cette communauté.
Tout le monde se lève de table pour rejoindre le salon où le café sera servi. Je vois Robert et Pierre se rapprocher l’un de l’autre et Robert se pencher à l’oreille de Pierre pour lui dire quelque chose que je n’entends pas. Pierre fait un signe de tête d’approbation. Quand je rentre dans le salon, une musique d’ambiance en sourdine berce doucement l’atmosphère. Tout le monde s’installe dans les fauteuils ou sur le canapé. Robert invite Sophie à s’asseoir dans le canapé, entre lui et Pierre. Je dois m’asseoir sur un fauteuil sur le côté du canapé. Les fauteuils face au canapé sont occupés par Joseph et Alexandre. Maurice est en cuisine pour aider Isabelle dans la préparation du café. De ma place, du côté de Robert, je peux voir ce dernier passer son bras droit derrière de cou de Sophie avec sa main qui est posée sur le haut du bras de Sophie. Cette dernière ne fait rien pour se soustraire à ce geste, peut être grisée par l’alcool du repas. Françoise, assise dans un fauteuil face à moi, ne manifeste aucune rivalité, et le léger sourire sur ses lèvres semble encourager son partenaire.
Maurice revient dans le salon, suivi d’Isabelle et de Julie. Julie porte un plateau avec des tasses et un gros thermos de café. Isabelle, quant à elle, porte un plateau avec des verres, et Maurice apporte trois bouteilles de champagne. Il annonce immédiatement :
 - Nous allons fêter la bienvenue de nos deux nouveaux membres, Didier et Sophie.
Puis il débouche les bouteilles pour remplir les verres. Il tend un premier verre à Sophie, puis à moi le second. Les autres invités sont servis par Isabelle et Julie. Maurice, en levant son verre, lance un toast.
 - Que nos deux nouveaux membres réussissent les épreuves d’intégration qui les attendent. Mais je devine que ça ne posera aucun problème. Bienvenue !
 - BIENVENUE ! Reprennent en coeur l’ensemble des membres de la communauté, en levant leur verre également.
Après le champagne bu, tout le monde savoure l’excellent café préparé par Isabelle. Regardant du côté du canapé, je vois la main de Robert qui avait quitté le haut du bras de Sophie et s’était immiscée sous son aisselle et caressait lentement le côté de son sein droit. Mais en plus, Pierre, assis de l’autre côté, avait posé sa main gauche sur la cuisse droite de Sophie. Heureusement les pans de la partie déboutonnée de la robe étaient restés à leur place.
Maurice, qui voulaient danser avec Isabelle, a mis un slow, mais aussi à tamiser légèrement les lumières. Françoise m’invite à danser. Nous rejoignons le couple Maurice-Isabelle au centre du salon où une piste de danse a été improvisée. Julie et Josiane nous ont également rejoint pour danser ensemble. Quand la position de la danse me le permet, je peux voir le canapé où se trouve Sophie. La main de Pierre oeuvre et écarte les pans de la robe de Sophie, qui maintenant pendent de long de ses cuisses. Sa main caresse l’intérieur de la cuisse, tout près de son abricot. Quant à Robert, le bras par-dessus l’épaule de Sophie empaume son sein droit.
L’absence de réaction de Sophie m’énerve et n’excite à la fois. Françoise doit s’en apercevoir, car elle me serre plus contre elle. Je peux sentir sa poitrine généreuse contre mon torse. Il me semble qu’elle doit voir les agissements de son compagnon, car régulièrement elle oriente la danse de telle sorte que mon regard porte vers le canapé. Le slow choisi par Maurice est relativement long, et je peux voir l’évolution de la situation dans le canapé. Maintenant Robert a retiré son bras de derrière le cou de Sophie. Il lui a donné un nouveau verre de champagne, et pendant qu’elle boit le breuvage, je le surprends en train de déboutonner les deux boutons du haut de la robe de Sophie. Il en écarte les pans pour dégager sa gorge. Pierre, légèrement penché en avant, admire le spectacle offert. Une fois le verre de champagne bu, Robert lui prend des mains pour le poser sur le plateau situé sur la table basse entre le canapé et mon fauteuil. Alors que Sophie est bien adossée au fond du canapé, la main gauche de Robert se glisse dans l’ouverture qu’il a créé en haut de la robe et s’introduit dans le bonnet droit du soutien-gorge pour empaumer le sein. Pierre ne reste pas inactif. Après avoir forcé Sophie à écarter largement les jambes, sa main s’active sur et dans sa chatte. Sophie a les yeux fermés, comme appréciant le travail des deux hommes. Jamais elle n’a été traitée de la sorte, et elle semble affectionner cette nouvelle découverte.
Le slow se termine et chacun regagne sa place. Je traîne un peu pour regagner mon fauteuil, et Maurice ravive la lumière. Là j’ai une vue stupéfiante de Sophie sur son canapé. Les deux hommes ont retiré leurs mains de sur son corps, mais elle reste là, dans son attitude lascivement obscène. Robert est penché vers elle et lui susurre des choses à l’oreille qui ne la font pas réagir à reprendre une attitude plus correcte. Les deux hommes assis dans les fauteuils d’en face, Joseph et Alexandre, ont une vue imprenable sur sa chatte glabre. Les femmes font semblant de ne rien remarquer. Maurice vient près de Joseph pour lui proposer un digestif et en profite également pour admirer le spectacle obscène donné par Sophie.
Comme il commence à se faire tard, Maurice invite tout le monde à gagner leurs chambres. Il termine sa phrase par :
 - Demain, plein de choses nous attendent.
Je prends Sophie par la taille, car son abus d’alcool lui rend la marche difficile. Nous gagnons notre chambre à l’étage. Arrivée près du lit, elle s’écroule dessus. Je suis obligé de la déshabiller. Pour lui ôter sa robe, ce n’est pas difficile, le travail étant déjà fait en grande partie. Il ne reste que deux boutons à faire sauter. Elle m’aide comme elle peut pour la débarrasser du vêtement. Plus compliqué est de lui retirer son soutien-gorge, mais après quelques instants de bataille, le sous-vêtement est retiré. Je lui retire ses chaussures et la glisse dans les draps, nue. Pas la peine de lui faire enfiler une nuisette. Moi je me déshabille et me glisse à mon tour entre les draps. Je me remémore le spectacle qu’elle m’a offert dans la voiture et aussi sur le canapé. Ça m’énerve, mais aussi ça me donne une trique d’enfer. Je me colle à elle et la force à ouvrir les cuisses. Je passe entre ses jambes, m’allonge sur elle et la pénètre sans coup férir Elle est tellement mouillée que ça rentre tout seul. Je la besogne le plus longtemps que je peux tenir. Je vais et viens brutalement en elle, comme pour la punir de son attitude d’aujourd’hui avec Robert et aussi Pierre. Pour sa part, elle gémit de plus en plus fort jusqu’à un intense orgasme qui marque son visage. Comme nous n’avons pas baisé depuis un bon moment, j’expulse au fond de sa chatte, à l’entrée de son utérus, une grande quantité de sperme que j’avais emmagasiné. Je reste en elle jusqu’à ce que je débande, puis me retire. Je m’allonge contre elle et plonge dans le sommeil du juste. Au cours de cette nuit je vais faire d’agréables rêves érotiques dont Sophie est la vedette.
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