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Pervertie

Chapitre 9

Divers
— Laisse-moi t’attacher.
— Mais pourquoi faire ?
— Ça m’excite, me murmura-t-il en me regardant dans les yeux.
Nous étions sur son lit, lui contre moi. Mes bras relevés au-dessus de ma tête qu’ils tenaient fermement. Je ne portais plus qu’un boxer couleur chair, il m’avait complètement déshabillé. Quant à lui, je réussis uniquement à lui défaire les boulots de sa chemise noire, il avait gardé son jean de la même couleur. C’était le lendemain de l’épisode au restau où il m’avait prise dans les toilettes…
— Je ne comprends pas, pourquoi est-ce que ça t’excite ? Tu ne préfères pas que je te touche ? J’ai envie de te toucher moi.
— S’il te plaît Lola.
Il appuya son front contre le mien et ferma ses yeux, haletant. Je joignais ma bouche à la sienne, avide. Je voulais qu’il me prenne, maintenant. Je collais mon bassin contre le sien mais il me forçait à rester en place. Je devais céder à son envie d’abord.
— Très bien, attache moi, lui dis-je, à mi-voix.
Il s’empressa de m’attacher les poignets avec un long foulard qu’il entortilla aux barreaux de la tête de lit, concentré. Je le regardais faire et cela me fit un drôle d’effet, c’était tellement…sexy.
— Qu’est-ce que tu veux m’attacher d’autre ? le questionnais-je, pour le taquiner.
— Ça suffira pour cette première fois.
Il ne faisait même pas attention à moi, trop occupé à m’entraver les poignets.
— Maintenant, baise-moi !

— C’est quoi ce langage petite insolente ? Attends moi, j’ai envie d’essayer quelque chose.
Comme si je pouvais m’en aller.Il revint quelques minutes plus tard, des glaçons plein la main. Je le regardais, les yeux grands ouverts.
— Qu’est-ce que tu veux faire avec ça ? Remets ça où tu l’as trouvé !
— Ça va te plaire, t’en fais pas.
Un grand sourire aux lèvres, il les déposa sur la table de chevet et se pencha sur moi. Ses lèvres retrouvèrent les miennes qu’il abandonna rapidement pour descendre vers mon cou qu’il lécha, embrassa pendant que ses mains titillaient la pointe de mes seins en les tirant et en les roulant entre ses doigts. Je sentis ma culotte s’humidifiait instantanément. Sa bouche rejoignit ses mains. Il caressa de sa langue mes tétons déjà hypersensibles, passant de l’un à l’autre. Le bout de sa langue tournoyait sur mes seins, sans relâche.
— S’il te plait…
Il releva la tête, un sourire aux lèvres.
— S’il te plait quoi ?
— Lèche-moi...Plus bas.
— Ou ça, plus bas ?
— Mon...ma chatte.
Ma voix était presque inaudible. J’avais honte de parler aussi vulgairement et il le savait.
— Tu veux que je m’occupe de ta petite chatte ? C’est ce que tu demandes ?
Un sourire malicieux se dessina sur son visage. Il glissa ses mains de mes seins à mon ventre, doucement. Il écarta mes jambes et vint se poster entre celles-ci. Ses doigts se baladaient à la lisière de ma culotte. Il descendit son index par-dessus où une tâche humide s’était déjà dessinée. Il me massait mon clitoris de son doigt en me regardant pour voir l’effet que cela me faisait. Ses mouvements étaient lents, circulaires mais il me frôlait à peine. J’essayais d’approcher ma chatte contre son doigt pour l’appuyer dessus mais je n’y arrivais pas, il faisait en sorte de garder le control. Après y avoir jeté un bref coup d’œil, il releva la tête et me lança un sourire en coin :
— Mais c’est que tu as mouillé ta culotte Lola.
Il se pencha entre mes jambes écartées, et me retira ma culotte collante. Il remonta jusqu’à moi pour prendre un glaçon. Je sentis sa queue contre ma chatte. Seul le tissu nous séparait. Je gémis encore en ondulant du bassin, tout contre lui pour apaiser la chaleur qui me dévorait de l’intérieur.
Il ne se redressa pas et se pressa contre moi en frottant sa bite à travers son jean entre mes jambes. Il déposa le glaçon entre mes seins sans s’arrêter. Le contact glacé me fit comme un choc contre ma peau brulante. Il le glissa sur la pointe de mes seins. La chaleur couplée à l’eau froide, ma chatte trempée, mes seins gonflés d’excitation…c’était une sensation complétement folle. Le glaçon s’échappa jusqu’à mon nombril où il se dissout, provoquant une petite flaque d’eau qu’il s’empressa de léchait en se relevant. Sa langue redessina le trajet du glaçon, il me lécha les seins, jusqu’à mon nombril. C’en était tellement bon. Mon entre cuisse, gluante, ne voulait qu’une chose, c’était accueillir sa grosse bite et de l’aspirait autant qu’elle le pouvait. Mon corps, cambré, tendu, n’attendait que ça.
— Je te veux en moi, je t’en supplie Daniel !
— Ce n’est pas ce que tu voulais tout à l’heure, si ? Hum…J’aime te voir complétement épilée.
Son sourire ironique se perdit entre mes jambes. Ses mains sur mes cuisses qu’il écarta au maximum. Je sentis son souffle chaud sur mon sexe en feu. Je voulais sa langue juste là, je voulais qu’il me dévore jusqu’à ce que je perde la tête Le premier coup de langue me fit l’effet d’une décharge qui me fit directement jouir, je criais sous ses coups de langue qui ne faisait que durait mon orgasme.
— Continue, continue, CONTINUUUE !
Je me cambrais dans un dernier effort, perdue, avant de me laisser retomber sur le lit, épuisée par cette première jouissance salvatrice. Sa langue alternait avec ses lèvres qui aspiraient mon clito, il ne me laissait aucun répit. Sa langue humide me fouillait partout. Les yeux dilataient par le plaisir, il se redressa précipitamment, baissa son pantalon, son boxer. Je sentis son gland aller et venir le long de mes lèvres. Son regard était rivé sur ma chatte, sur ce qu’il me faisait. Je voulais qu’il me pénètre, qu’il me la mette, maintenant. Frustrée, je n’en pouvais plus d’attendre. Il glissa facilement dans ma chatte jusqu’à buter au fond. Ses genoux contre mes fesses, ses cuisses contre les miennes. Il m’attrapa les jambes en allant et venant en moi. Nos yeux étaient rivés à sa colonne de chair qui disparaissait et réapparaissait de ma chatte inondée. Je sentais sa bite me remplir complétement, il me possédait. C’était meilleur que tout ce que j’avais déjà connu, avec lui.
— Vas-y, plus vite, plus vite s’il te plait.
— J’aime quand tu me supplies.
Ses mains sur mes hanches, il accéléra le mouvement. Je le sentais entrer et sortir complétement de moi. Il butait au fond de ma chatte, sa bite luisante de ma mouille gonflait en moi. Je gémissais à chaque fois qu’il me percutait. Mes gémissements se transformèrent en cri que je ne pouvais réprimer. Je me laissais aller à ce plaisir intense qui allait bientôt atteindre le summum. J’encerclais sa taille de mes jambes, son torse écrasait contre mes seins.
— Ta chatte est tellement serrée Lola, je ne pourrais plus m’en passer.
Sa voix saccadée traduisait de son excitation. Le lit cognait contre le mur, sa bite entrait et sortait brutalement de ma chatte malmenée.
— Rien ne t’en empêche Daaaniel ! Putain, c’est tellement bon, je t’en supplie ne t’arrête pas !
Je me contractais dans un dernier cri, mes mains enserraient son dos, je hurlais mon plaisir au moment même où il se déversa en moi, son sperme me remplissait encore et encore. Il me détacha, nos corps en sueur s’emmêlèrent, sa queue toujours complétement enfoncée en moi.Après quelques minutes à reprendre notre souffle, j’en voulais encore. Je ne pouvais plus me rassasier de lui.
— J’ai encore envie de te baiser, qu’en dis-tu ? Lui dis-je, alanguie.
Je me redressais sur lui, sans retirer son sexe qui était à l’intérieur de moi, mes mains appuyées sur son torse que je caressais en le regardant. Il reprit de l’ampleur, je le sentis durcir, humm….Je rejetais la tête en arrière en bougeant lentement contre son bassin. Je montais et descendais contre lui, son sperme coulait sur ses couilles. Je me penchais sur lui, suçant sa langue qui tentait de s’introduire entre mes lèvres. Mon vagin se contractait autour de son pénis qui vibrait en moi.
— Ralentis… ralentis bébé ou je risque de t’arroser maintenant.
— M’arroser, hein ?
Je partis dans un petit rire avant d’augmenter la vitesse, je le sentais bien vivant au fond de moi, c’était exceptionnel. Mes fesses claquaient sur ses cuisses, ses mains sur mes hanches, il essayait de me ralentir, sans succès. J’étais partie, ça montait en moi. Nos gémissements m’excitaient terriblement. C’est à cet instant qu’il me fit tomber sur le lit, contre le ventre. Surprise, je poussais un cri, j’essayais de lui échapper mais rien à faire, il me maintenait fermement.
— C’est moi qui vais te baiser, tu vas bien la sentir ma petite salope !
— Lâche moi espèce de salaud, t’aurais dû me laisser faire, j’ai failli jouir !
Il ricana, m’entrava à nouveau les poignets.
— J’ai un petit truc en plus, pour te faire taire, bébé.
Il attrapa une espèce de bâillon dans un tiroir et s’approcha de moi. Il me défiait du regard, je ne protestais pas, ça m’excitait. Il me retourna à nouveau sur le ventre et passa ses mains sous mes hanches pour relever mon cul qu’il écarta de ses deux mains. Il me prit brutalement sans que je puisse protester, je le sentais entièrement en moi. J’étais complètement à sa merci. Et j’adorais cette sensation.
— Tu as été une méchante fille, tu t’en rends compte n’est-ce pas ?
Il me caressa mon cul avant d’y abattre sa main, il recommença. Une fois, deux fois, trois fois. Sa bite continuait inlassablement sa tâche. Mon cul me chauffait, je le sentais rougir sous ses mains mais cela combinait à sa grosse bite qui me martelait me faisait un bien fou. La douleur et le plaisir m’allumaient de l’intérieur. La bouche bâillonnée, je jouissais sous lui. Le plaisir était tellement intense que je ne distinguais plus la réalité, j’étais complétement partie, perdu dans l’extase.Je découvrais, en même temps que je prenais mon pied, que j’adorais cette situation où j’étais complétement soumise à son bon vouloir. Je jouis ce jour-là si fort que les voisins m’auraient entendu si je n’étais pas empêchée.
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