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Pervertie par deux vieux coquins

Chapitre 1

Orgie / Partouze
Je m’appelle A. et je travaille comme ingénieur dans le domaine de l’électronique. Depuis deux ans je suis en charge d’un gros projet, un peu particulier au premier abord, qui consiste à développer des caméras volantes destinées au milieu militaire. Encore en expérimentations, elles ont comme caractéristiques d’être très petites et silencieuses. Ce sont deux détails importants parce qu’ils vont m’être très utiles dans l’histoire que je vais vous narrer.
Je suis marié à C. une femme d’une trentaine d’années, assez fine toujours aussi séduisante. A l’heure actuelle, elle travaille comme comptable. Nous nous sommes rencontrés vers nos vingt ans via des amis en communs et depuis nous nous sommes plus vraiment quittés.
Tout se passe normalement dans notre vie même s’il y a parfois comme un manque de piment pour agrémenter notre routine, des instants creux, sans grande flamme. Pourtant, tout se passe bien au lit même si elle n’a pas de fantasmes extraordinaires.
Par contre moi j’en ai un, un peu plus particulier: je rêve de la voir dans les bras d’un autre, juste une nuit... Je n’ai jamais trop osé aborder le sujet par peur d’être incompris mais de manière prémonitoire j’ai fini par franchir le pas il y a un mois:
— Mon sucre, j’ai un truc à te dire... Il y a quelque chose que j’aimerai faire avec toi et qui concerne notre vie sexuelle.
Elle tira de gros yeux un peu surpris (oui, j’y suis allé de main ferme) et esquissa un sourire légèrement narquois.
— Ah bon et lequel ?
J’avalai ma salive.
— Te voir faire l’amour avec un autre homme.
Elle me fixa d’un air vraiment étonné
— C’est une blague ? T’es sérieux ?— Oui...— Tu serais jaloux comme tout.
Sa réponse me piqua au vif. Effectivement, ce serait le risque mais la réponse au problème était mûrement résolue.
— Peut-être mais te voir dans les mains d’un autre homme m’exciterait profondément...— Tu divagues. La réponse est non ! Là comme ça, je peux pas. C’est avec toi que je vis, pas avec un autre. Tu me suffis. Et puis qui ? L’un de tes nombreux potes ?— Non, surtout pas ! Un inconnu. Tu n’as jamais rêvé une fois d’être dans les bras d’un autre homme ?— Bien sûr, mais ce ne sont que des rêves...
La discussion s’arrêta là. Je la sentais encore trop fermée sur ce sujet sauf que...
Deux semaines plus tard, en rentrant du boulot elle m’annonça s’être fait aborder sur un parking par un type mûr, peut-être d’une cinquantaine d’années, se présentant comme photographe.
— Il m’a filé sa carte de visite, me dit-elle en me présentant le petit carton avec ses coordonnées dessus. Il m’a proposé de faire des photos de moi dans son studio car soi-disant je corresponds "au type de femme" avec qui il aimerait bosser et qu’il me trouvait séduisante.— Il t’a dit ça aussi franchement ?— Oui et je sais pas quoi en penser ! C’est vrai que j’en ai aucune de belle et ce serait peut-être l’occasion. Et puis on me dit tellement rarement que je suis belle...
Naturellement, sur le coup, j’ai ressenti un fort sentiment de jalousie qui se transforma aussitôt en excitation car j’ai tout de suite relevé la supercherie. Et je crois qu’elle aussi...
— Tu le trouves comment physiquement ?— Tout de suite les grandes questions. Pour son âge ça va. Mais il est vieux comparé à moi !— Ecoute, tu fais comme tu veux. Mais tu sais que dans les jours qui viennent je monte en Picardie pour le travail, donc...— Ne t’inquiète p...— Fais-le. Fais-toi photographier et tu m’enverras les photos par Internet, lui dis-je tout excité. Ca pourrait me plaire...— On verra, me répondit-elle en levant les yeux.
On verra effectivement. Deux jours après être parti, j’activais depuis mon appli de téléphone l’une des caméras que j’avais développée. Elle n’était pas au courant et je pouvais donc tout observer secrètement.Et ce qui devait arriver arriva: elle contacta l’homme sans me l’annoncer.
— Ecoutez, je suis pas trop photogénique, lui annonça-t-elle par téléphone, mais j’aimerais bien poser pour des photos souvenirs... C’est gentil du compliment... Merci. Non, il ne sera pas là. OK, je serai présente mercredi à 14h. Bonne soirée.
Mon cœur se mit à battre très fortement."Il ne sera pas là". Pourquoi l’homme s’intéressait à ce détail ? Mmh... Etrange ! Tout était en train de se réaliser dans ce "secret" un peu fourbe. Et c’est là que jeu allait donc vraiment commencer.
Le jour J j’activai l’une des caméras qui se glissa discrètement dans sa voiture. Après vingt minutes de route, elle arriva sur le lieu-dit. Elle semblait hésiter à sortir du véhicule et patienta quelques minutes avant d’y remédier. Je pus à mon tour "sortir" du véhicule in extremis avant que la porte ne se referme.
Elle sonna à l’interphone d’un vieil immeuble. La grosse porte de bois s’ouvrit et nous nous glissâmes à l’intérieur jusqu’au second étage. Une autre porte s’ouvrit, celle de l’appartement du photographe.En fait, l’homme en question paraissait plus proche des soixante que des cinquante. Il semblait encore très viril et portait un bouc ainsi qu’une grosse balafre au visage qui figeait ses expressions.
C. semblait intimidée et pas trop à son aise. J’imagine qu’elle réalisait la chose. Je la connais et se lancer dans ce genre d’aventure, seule qui plus est, ne lui correspond habituellement pas. L’homme lui proposa à boire et lui annonça la présence surprise d’un ami à lui, du même âge.
— Il s’agit de mon assistant, lui dit-il.
L’assistant paraissait encore plus vicieux et connaissant C. je savais qu’elle avait envie de partir en courant et pourtant...
— Soyez détendu, rassura l’assistant. Je vous invite à vous rendre dans le studio qui se trouve dans la pièce d’à côté.
Il la guida en posant une main fraternelle dans son dos. Courageuse ma C.C’était une pièce assez grande, éclairée par des projecteurs, avec un grand panneau blanc comme fond. Il obstruait d’ailleurs l’unique fenêtre. Au milieu se trouvait une simple chaise en guise de décor.
Cet après-midi-là, elle portait son jean couleur olive qui donnait à son petit fessier de belles courbes enviantes, alléchantes. En parallèle, je pouvais nettement distinguer le regard lubrique de ces deux loubards se poser discrètement dessus.
Quelle folie de sa part quand j’y pense... Je parie que d’un moment ou à un autre ils lui demanderont plus et elle s’esquivera aussi vite. Quelque part je l’espérais aussi.
Le photographe se plaça derrière l’appareil et l’invita à s’asseoir selon des poses bien précises mais très peu subjectives finalement. Ils prirent plusieurs clichés de cette manière. L’assistant l’observait, tapi dans un coin.
Au bout d’un moment il s’approcha d’elle et lui chuchota quelque chose à l’oreille que je ne pus distinguer.Elle le regarda tout étonnée et sembla méditer un instant...
— Non, désolé, lui lança-t-elle sèchement. Je ne peux pas.
Le photographe et l’assistant échangèrent un regard interrogateur.
— Réfléchissez un instant, suggéra ce dernier, qu’est-ce qui vous en empêche ? Vous ne risquez rien...— Je suis mariée et fidèle à mon image. Et puis je connais aucun de vous deux.— Vous vous en doutiez bien en venant ici. Profitez de votre jeunesse et gardez-en un souvenir, dit-il en lui faisant un petit clin d’œil.
Elle afficha un me moue perplexe. Ses joues devinrent légèrement rouges. Je la connais.
— Les photos ne seront pas diffusées ?— Vous en serez la seule détentrice.— Je n’ai pas l’habitude, ça me gêne...— Faut pas, on a qu’une vie. Faites-vous plaisir.
Sur ces paroles, elle enleva son pull qui révéla son magnifique soutien-gorge en dentelle mauve qu’elle retira aussi. A l’envers sur la chaise, le dossier venait cacher ses deux seins nus.
Le photographe en réalisa quelques clichés plus ou moins érotiques. Puis l’assistant revint vers elle et lui chuchota de nouveau quelque chose à l’oreille...
Sans trop hésiter, elle se leva, laissa tomber son pantalon et l’ôta. Je n’en revenais pas ! Ma femme s’est mise en petite tenue devant deux inconnus affamés ! Chose qui m’aurait pourtant paru impossible par le passé.Mon excitation ne cessa d’enfler, je n’en pouvais plus, mon cœur battait la chamade.Qu’a-t-il pu dire de magique ? Jusqu’où va-t-elle aller ? Mon sexe devint de plus en plus dur. J’évitais d’y toucher pour ne pas avorter mon plaisir malsain. Situation improbable.
Le photographe lui demanda maintenant de se mettre assise dos à l’appareil pour révéler d’autres détails de son corps.
— Votre mari sera ravi...
Exécutant sa demande, elle s’assit en creusant le dos, permettant à ses petites fesses de former un magnifique cœur. Les cliquetis ne cessaient de s’enchaîner. Pris dans sa lancée, il s’en rapprocha, comme un fauve vers sa proie. Pareil pour l’assistant. La voilà prise entre deux colosses.Je me suis même dit: "ça y est, voilà le moment où elle va partir".
Et là, sans lui demander, l’assistant lui corrigea avec ses gros doigts une imperfection présente dans sa coupe de cheveux, un geste qui ne la dérangea pas. Surprenant.
— Vous me plaisez beaucoup, lui confia-t-il subitement.
Je la voyais rougir davantage, immobilisée dans une timidité la laissant sans mots.
L’image de ma caméra volante commençait à devenir un peu floue. Sûrement dû à l’atmosphère chaude du lieu.Mais je pouvais encore nettement les distinguer.Il lui rechuchota quelque chose à l’oreille.
Et c’est en cet instant que tout bascula.
Elle baissa les yeux vers la braguette de son pantalon qui formait une grosse bosse proéminente.Ma femme parut très gênée et je sentais qu’elle voulait fuir et pourtant... elle l’ouvrit. Je n’en revenais pas. Elle a osé !! ELLE ? Capable de se lâcher ?
L’homme qui devait bien avoir soixante ans était en train de bander comme un jeune étalon. Son sexe pointant devant son nez devait mesurer au bas mot dix-huit centimètres.
— Tu aimes sucer ?
Une vulgarité qui ne devait sûrement pas l’enthousiasmer.Elle ne répondit rien et enlaça le membre viril entre ses fins doigts qu’elle scruta, interrogative, un instant.
— Il est énorme, lui lâcha-t-elle. J’arriverai pas à le mettre en bouche. Je me sens honteuse... Je suis...
L’assistant lui prit la tête et la dirigea vers son sexe qu’elle essaya d’avaler. Il n’y avait que le gland qui pouvait entrer. Le photographe prit quelques photos.
L’assistant commençait à lâcher des "arghhh" et des "ahhh".
— Tu... ahhh... tu... arghhhhh... suces comme une pro...
Il semblait mourir de plaisir. Elle retira l’engin de sa bouche pour respirer un coup puis répéta l’opération.Le photographe dégrafa sa braguette et sortit à son tour son membre, tout aussi dur, mais légèrement plus petit. Une quinzaine de centimètres, je suppose. Quand elle l’aperçut, elle parut confuse.
— Deux bites en même temps ? s’étonna-t-elle.
Oui, deux bites en même temps ! Chose qu’elle n’avait jamais faite. Chose que je n’aurai jamais pu imaginer. Elle... en train de faire ça... Je sentais le sang battre lourdement dans les veines de mon sexe, j’allais exploser.
Elle prit la bite du photographe en bouche qu’elle arriva un peu plus à gober.
— N’hésite pas à la triturer de ta jolie langue...
Ses sourcils se froncèrent comme pour lui dire: "je fais ce que je veux ou je pars !". C’est son caractère. On ne la domine pas aussi facilement.
L’assistant déboutonna sa chemise, révélant un épais buste, bien musclé, couvert de quelques poils poivre et sel. Il ôta aussi son pantalon et se retrouva nu derrière elle.Pendant qu’elle suçait l’autre, il en profita pour balader sa main chaude le long de son corps, titilla ses deux tétons et déposa quelques baisers le long de la colonne jusqu’à sa nuque.
Ma femme était en train de me tromper devant mes yeux !
D’un coup un peu abrupt, il la saisit au niveau des hanches et la plaça au sol, à quatre pattes. Le photographe s’assit devant elle et continua à se faire sucer.
Cette fois, l’homme déposa plusieurs baisers de la nuque jusqu’aux fesses. Il lui retira délicatement sa culotte et colla son nez au plein milieu.
— J’adore ton cul...
Il commença à l’embrasser. Je savais qu’elle n’aimait pas trop qu’on touche à sa petite croupe mais j’imagine que dans cette scène de soumission elle ne remarquait presque rien. Il lécha délicatement son petit trou, comme pour le préparer à une éventualité que je savais désespérée d’avance.
Le photographe retira son sexe et l’embrassa délicatement, à la manière d’un prince. Ce n’était pas si violent que ça. Ses vieilles lèvres venaient se mélanger aux siennes. Sa langue, sans en abuser, vint trifouiller la sienne.
— Ta bouche sent mon sexe...— Vos lèvres sont brûlantes...
L’assistant, lui, continuait à lui manger le cul.D’un mouvement de mains, il la retourna et la plaqua sur le dos. Ses gros doigts vinrent jouer avec son clitoris, un peu perdu au milieu des poils. Le photographe, lui, replongea son sexe dans sa bouche.
Elle commençait à gémir dans cet étau, dans cette combinaison inimaginable qu’une sage fille comme elle ne saurait en temps normal conjuguer.Sa vulve était sûrement trempée car j’entendais le bruit de la mouille sous les mouvements délicats et circulaires de l’index très épais de l’homme.
Puis vint le moment fatidique. Le photographe se déshabilla complètement, s’assit sur la chaise et l’invita à s’asseoir sur elle. Il était encore bien bâti pour son âge, malgré un petit ventre.Elle se plaça au-dessus et dirigea le membre vers l’entrée de son vagin. Tout doucement ce dernier glissa dedans... Lentement, sans pincer les deux lèvres...Elle enserra l’homme dans ses bras, très fort. Deux corps chauds, dont un très puissant, étaient en train de s’unir. La quinzaine de centimètres disparut dans son ventre.
En de petits va-et-vient, il commença à la pilonner.
— Arghh, bon sang, tu es vraiment très... très bonne... soupira-t-il.
Ses fesses bougeaient de haut vers le bas en accélérant. Le photographe tenait ses fesses comme deux pommes, sans trop les espacer. L’assistant, lui, se masturbait lentement derrière elle.Elle se mit à pousser de petits cris...
— Si mon mari me voyait...— Il en serait fou... Tu es... argh...
La scène dura deux minutes puis ils s’allongèrent tout en restant soudés. L’homme monta sur elle et continua ainsi la baise. Ses deux jambes venaient l’enlacer. Il n’hésita pas à embrasser ses talons. L’un de ses deux pieds était encore couvert d’une petite chaussette.
L’assistant en profita pour l’embrasser à son tour, déposant tout un tas de baisers sur son visage.Enfin, le photographe se retira et la prit en cuillère.
Son ventre chaud collait son dos. Ses hanches venaient claquer ses fesses. Sa main droite frotta son clitoris. Son épais membre brillait d’humidité et faisait des allers-retours de plus en plus rapides. L’assistant ouvrit sa bouche et, sans autorisation, remit salement son énorme sexe dedans.
Ils gémissaient tous les trois devant moi, illustre fantôme. Deux vieux pour elle toute seule. Mais deux vieux échaudés par son corps.
La voilà donc prise dans un piège incroyable. L’opération dura quelques instants et là se produisit l’impensable. Du moins pour moi.
L’assistant prit la place du photographe sauf qu’il dirigea son sexe vers ses fesses.
— Je ne peux pas, grogna-t-elle. Je n’aime pas ça, ça me fait mal.— Ca te fait mal car ton mari est nul. Toutes tes tentatives ont été jusqu’alors infructueuses, sans plaisir. Laisse-moi faire. Quand tu y auras goûté...
Il leva ses hanches, lécha son anus et entra délicatement son immense tige...
— Je vous assure j’aime pas ça, ça fait... ça fait mal !
Il s’approcha de son oreille, lui lâcha quelques mots dans un petit soupir chaud et humide:
— Laisse-toi faire...
Son sexe entra complètement. Elle grimaçait.
— Tu grimaces parce que tu n’es pas détendu, laisse-toi guider, la douleur se transformera en plaisir...
Délicatement il fit son affaire. Au bout d’une trentaine de secondes, ses sourcils ne se froncèrent plus.
— Alors ?— Continuez... mais doucement.
L’homme s’exécuta.Ma femme se faisait sodomiser et elle aimait ça. Elle découvrait un nouveau plaisir, sans moi. Mes bras m’en sont tombés. Après toutes ces années en couple, je n’ai jamais réussi à lui faire goûter ça...
— Ton mari est un manche, car quel trou, argh...
Le photographe se plaça devant elle et inséra son pénis dans son vagin.
La voilà prise en sandwich... Je n’aurais jamais pu l’imaginer. Pas sur elle.
Les deux hommes y sont allés lentement, prenant soin de ne pas la blesser mais, subtilement, ils accélérèrent la baise.Elle se mit à crier de plaisir.Ils grognèrent comme deux bêtes. Leurs muscles étaient bandés et leur peau rougie par la chaleur. D’ailleurs une épaisse buée vint se déposer davantage sur l’objectif de ma caméra. Je ne voyais plus que des formes s’animer.
L’assistant retira son sexe.
— Nettoie-la maintenant.
Il lui enfonça directement le sexe dans sa bouche. Ce n’était sûrement pas très soft pour elle mais bon.
Puis vint le moment fatidique.Le photographe se masturba frénétiquement sur ses fesses et un long jet de sperme fut projeté dessus.
— Ahhhhhh, argghhh que c’est bon ! gueulait-il. Ton cul... pu... t... ain...!!!
Ensuite ce fut au tour de l’assistant. Souci, ses couilles semblaient énormes. Je me demandais quelle quantité allait-elle délivrer.
Un premier spasme survint crachant une certaine quantité puis un second plus intense et enfin un troisième. Son dos était couvert de foutre qui coulait partout.
Épuisés, ils s’allongèrent tous les trois, ma femme rouge comme un coq, suant comme une éponge.L’assistant lui proposa de prendre une douche et puis elle s’en alla.
Sur le palier, le photographe l’embrassa délicatement de ses deux lèvres chaudes.
— N’hésite pas à revenir, la prochaine fois, ce sera encore plus chaud... J’ai un ami agriculteur qui possède une ferme. Si cela t’intéresse...
À suivre.
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