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Pervertie par deux vieux coquins

Chapitre 2

Orgie / Partouze
C. et moi nous sommes téléphonés le soir même. Naturellement elle ignorait que je SAVAIS. Je pouvais tout de même sentir dans sa voix un certain embarras...
— J’ai donc fait ces quelques photos, je te les enverrai sur ta boîte mail.— Très bien, j’ai hâte de voir ça ! Ce photographe est-il sympa ?— Ca va. Il était accompagné d’un assistant du même âge. Ils sont très pros. Rien de... rien de déplacé.
C’est bien, c’est bien, enfonce-toi dans tes mensonges, pensais-je. Je tenais à conserver ce secret quelque temps encore car j’étais curieux de voir la suite. Allait-elle donner suite afin de voir ce "fameux" agriculteur ? Qu’allait-il se tramer derrière cette histoire ? Quelle intrigue... Je ne vous cache pas qu’à certains instants la jalousie se faisait davantage prégnante dans mon for intérieur mais une espèce de curiosité malsaine m’incita à prendre sur moi. Nous continuâmes donc de discuter une dizaine de minutes sur d’autres banalités, comme si de rien n’était, avant de se dire bonne nuit. Une chose est sûre: les jours suivants furent pour moi assez perturbants car même au boulot toutes ces interrogations ne me quittaient pas. Chaque soir, j’activais ma caméra-espion dans l’espoir d’une suite. Puis, quelques jours plus tard... Je venais à peine d’activer ma caméra qu’au même instant son téléphone portable vibra. Elle observa quelques secondes l’écran, sembla hésiter puis décrocha.
— Oui ?... Oui ? Ah... Où ça ?...
S’ensuivit un léger silence de quelques secondes...
— Je sais pas... J’ai un peu honte de ce que j’ai fait... Oui mais c’était juste comme ça. Dans le fond j’en avais sûrement besoin à ce moment de ma vie... Oui... Vous n’avez pas le même âge que moi, c’est assez perturbant. Je n’ai quasiment connu que mon mari dans la vie et là... Oui c’est vrai... Oui... Vous êtes terrible tout de même. Il a quel âge ? Soixante ! Mais quelle horreur !... OK... Très bien, dit-elle. Bon. J’y serai... A demain soir.
Mon sang bouillonna. Ca y est ! La suite est amorcée. Ils ont réussi à la convaincre. Elle posa le téléphone sur notre table de salon et posa la main dessus d’un air dubitatif. Elle resta figée dans cette position une ou deux minutes. Je savais qu’elle ne voulait pas me faire de mal et que cette situation la gênait. Ces questions qui tournaient dans sa tête je pouvais les entendre. Mais maintenant que la machine est lancée... Le lendemain soir, après son boulot, elle ne rentra pas chez nous. Elle prit une autre route, vers un village voisin. Son GPS l’amena à un corps de ferme isolé. Devant, s’étendait une large cour de terre battue. A l’angle de la bâtisse se trouvait une grange avec un imposant tracteur stationné le long ainsi qu’une Mercedes aux vitres teintées. C. stationna le véhicule à côté et semblait désireuse de partir.
— Mais qu’est-ce que c’est que cet endroit, chuchota-t-elle entre ses dents. Dans quoi je me suis fourrée...
Je percevais sa peur à travers mon écran et je ressentais aussi une grande crainte. L’espace d’un instant, j’eus envie de l’appeler et lui balancer la vérité pour l’extraire de cette situation. Ca semblait malsain. Cette jolie jeune femme entraînée là-dedans. Soudain, une porte puis une seconde claquèrent. Il s’agissait du photographe et de son assistant qui sortirent de la Mercedes. C. sortit de notre voiture et s’avança vers eux. Ils lui claquèrent une bise mais c’est l’assistant qui glissa un geste mal placé, au niveau de ses fesses, qu’elle repoussa rapidement d’une main.
— Tout de même, rouspéta-t-elle avec son petit air renfrogné. Je vous permets pas, sinon je pars. On a dit que des photos cette fois-ci. Je suis pas un jouet.— Ah ! Pourtant... il y a quelques jours si j’avais pu les manger toute entière ces deux petites pommes ! pouffa-t-il en esquissant un sourire pervers qui laissa paraître une dent en or.
Le photographe l’intima de se taire en lui donnant un coup de coude.
— C’est ici, annonça ce dernier. Mon ami ne devrait pas tarder à arriver.
En effet, quelques secondes plus tard la porte d’entrée s’ouvrit sur un colosse au visage rubicond d’1 mètre 95 environ, 110 kilos, et deux énormes mains. Ma femme tressaillit et avala une gorgée de salive.
— Je crois que je vais partir, lâcha-t-elle un peu tremblante.— Mais non, rassura le photographe, le cadre est idyllique pour nos photos... Ce serait dommage. Il vous arrivera rien de mal.— C’est elle ? demanda le fermier aux deux hommes avec cette bouche très carnassière.— Oui, lâcha l’un des deux.
Ils firent rapidement connaissance et nous entrâmes dans son habitat. L’intérieur paraissait très vieux et était très sombre. On pouvait deviner la forme d’un vieil escalier tapie dans l’obscurité du lieu et qui montait à l’unique étage. Seule la cuisine, très modeste, était éclairée.
— Je vous fais visiter ma ferme, venez. J’ai une petite exploitation.
Le groupe traversa la grange où se trouvaient plusieurs bêtes.
— Ca c’est une partie de mon élevage, lui dit-il tout fier. J’ai même des biquettes si vous voulez !
Ma femme adore les animaux. Elle craqua devant une petite chèvre et se courba au-dessus pour lui caresser le sommet du crâne. Les trois compères présents derrière reluquèrent impunément ses fesses.
— Il y a une zone assez propre avec du foin pour les photos, proposa le fermier.
Ma femme s’assit au pied de deux bottes de foin. Quelques minutes plus tard, le photographe, assisté de l’autre homme, enchaîna une série de clichés où elle n’apparaissait pas nue. Le cadre était réellement détonant. Le fermier, bras croisés et l’œil pétillant, observait sagement la scène dans un coin ombragé. Le photographe l’invita à se placer à quatre pattes.
— Non, trancha-t-elle. Je veux du glamour, pas du porno. On avait dit que...— Pourtant je sais qu’au fond de vous ça vous plaît...
Elle hésita.
— Je garde le pantalon.
Plein d’appétit et le visage rayonnant de lubricité, le fermier semblait littéralement se délecter de la situation car il se lécha les lèvres du bout de sa langue. A genoux, le dos creusé, le fessier de C. à quatre pattes s’enfla et dessina de très jolies courbes au milieu de toute cette paillasse. Son visage exprimait un air de plus en plus insolent. De l’appareil photo émana une suite continue de cliquetis qui révélèrent l’excitation du photographe. Puis soudainement, l’improbable se produit. Le fermier poussa de ses grosses mains les deux hommes qui volèrent à l’opposé et s’enquit de C. qu’il posa sur ses épaules à la manière d’un gorille.
— Mais que faites-vous ! cria-t-elle.
Il se dirigea sans attendre dans la cuisine et ouvrit la porte d’un placard d’où il sortit un pot de moutarde ainsi que de ketchup. D’un mouvement sec, il bascula C. sur la table.
— Mais vous êtes fou ! gueula C. tout étonnée.— Tais-toi, ordonna le fermier.
Allongée sur le ventre, il la maintenait en respect d’une main ferme sur le dos.
— Ne bouge surtout pas !
Il recula d’un pas et l’observa, entièrement disposée à sa guise. Il renifla un grand coup:
— Tu sens bon le parfum !
Ses yeux fixèrent son petit arrière-train bien arqué.
— Vous allez faire quoi ? lui demanda-t-elle, inquiète.
L’homme s’approcha d’elle comme le boulanger s’apprêtant à pétrir son pain. Il colla d’une gifle sa main droite sur son cul, laissa glisser ses doigts dans la fente du pantalon jusqu’à son entrejambe. Son autre main, bien épaisse se plaça à plat entre ses omoplates. C. se mit à gémir et se laissa... faire. Je n’en revenais pas ! Ma bite se durcit d’un coup et... j’en avais honte. Laisser ma femme se faire prendre ce gros inconnu aux intentions étranges. Comment pouvait-elle ne pas agir ? Elle semblait même prendre goût à cette soumission. L’homme la souleva sous le ventre, dégrafa la ceinture et retira d’un coup sec le pantalon jusqu’à ses deux Converse qu’elle portait aux pieds. Il restait sa culotte en dentelle. Sa paume survola, frôla, la peau douce des fesses ainsi que du tissu puis enfin... il colla son gros nez dedans.
— Arghhh, ton cul sent si bon !!!!!!
Sa langue vint se foutre dedans. C. geint. On aurait dit une biche dans les pattes d’un chasseur. Il déchira enfin la culotte d’un coup sec qui révéla sa croupe puis monta sur ses jambes qu’il écrasa sous son poids. En vérité, l’issu du combat était clairement déterminé pour elle: plus le choix que de passer à la casserole. Mon cœur battait la chamade. La table craquait sous les mouvements abrupts l’homme. Il déversa du ketchup sur son cul qu’il bouffa comme un goinfre. Elle gémissait comme un animal prit en étau. Puis de la moutarde. Drôle de mélange ! Son haut ainsi que son soutien-gorge volèrent en un instant. La voilà complètement nue sur ce drôle d’hôtel. Il continua de déverser de la nourriture sur son corps.
— C’est dégueulasse ce que vous faites... soupira-t-elle.— Ah oui ma salope ?— Oui, mais... ahh... con... continuez !
L’homme en mettait partout: sur son dos et même sur sa nuque qu’il suça comme un os à ronger. Le photographe et son assistant débarquèrent, un peu étourdis, dans la cuisine. Le fermier sembla surpris.
— Vous auriez pu nous le dire gentiment que vous souhaitiez lui faire ça, lui suggéra le photographe.
Le fermier répondit par un sourire malsain, plein de nourriture tout autour.
— Il y a un saucisson dans ce tiroir, dit-il en désignant l’endroit du doigt.
Le temps que le photographe trouve son bonheur, il en profita par la retourner, lui releva les deux jambes et ôta son pantalon tout en laissant ses chaussures. Sa main gauche dézippa sa propre braguette et son membre d’une quinzaine de centimètres, épais comme ses doigts, se dressa devant son vagin. Il s’étala sur elle et la pénétra ainsi. C. se mit à crier.
— Ahhhh, cria-t-elle.
Ses deux longues jambes, entourant le corps de l’homme, étaient luisantes sous la lumière du plafonnier et ressemblaient comme à du plastique tout lisse. L’assistant s’approcha d’eux, défit l’une des deux Converse avec sa chaussette, et goba une partie du pied dans sa vilaine bouche. Il était en train de lui bouffer le pied. Inconcevable. Elle poussait des "haannn" ainsi que de petits cris stridents. Le photographe examina le gros saucisson sec. Il devait bien mesurer 25 centimètres sur 8 centimètres de circonférence. Il s’approcha de C. l’embrassa et se demanda ce qu’il pouvait en faire... Au grand damne de l’assistant, le fermier changea de position, la retourna et lui demanda de se placer au-dessus de lui. C. obéit. Ses yeux louchèrent sur le saucisson.
— Vous voulez faire quoi avec ça ?— Je me disais que tu es prête à te faire manger ce soir, autant agrémenter ton joli corps avec un nouvel accompagnement.
Il prit le saucisson et tenta de l’introduire dans son anus.
— Mais... ahh... aie... vous êtes malade !!!
Le fermier, encore plus rouge et excité par la situation, accéléra la cadence. Le saucisson s’enfonça davantage dans son ventre. L’assistant ouvrit sa braguette et introduisit son sexe dans sa bouche.
— Non mais...
Ses mots furent coupés par le membre de dix-huit centimètres. La scène dura plusieurs minutes.
— Je te ferai bien cuire à la casserole, gueula le fermier. Ahhh !!
Enfin, il stoppa tout mouvement, ôta d’un coup sec le saucisson qu’il plaça sous le nez de C.
— Quelle odeur ça a ?— Je trouve ça crade, arrêtez...— Ca sent toi, hein... Lèche-le.— Non !— Lèche-le.
Sa petite langue vint se déposer sur la viande et effectua quelques va-et-vient dessus.
— Maintenant je vais te montrer autre chose.
Il se leva, restant soudé dans elle, et se dirigea à l’étage. Les deux hommes un peu décontenancés suivirent. Il entra dans sa chambre. C’était une pièce sans fenêtre, très vieillotte, avec un lit défait et paraissant très sale. Au mur étaient collés quelques posters érotiques ainsi que l’image surprenante d’un démon, au corps rouge et très puissant, portant dans ses bras une jolie brune au milieu d’un lac de lave. Les deux corps tombèrent sur le vieux matelas grinçant. Il se remit à la pilonner devant les yeux des deux hommes. L’assistant s’invita de nouveau à la fête en introduisant son sexe dans la bouche de C. Sa tige devint de plus brillante de salive. Et là, l’ultime scène se produisit... le fermier se mit à jouir sans préservatif dans son vagin. Je ne saurai mesurer la quantité qui dégoulina, mais cela me paraissait énorme. Heureusement qu’elle prend la pilule, pensais-je ! L’assistant à son tour lâcha tout autant de foutre dans sa bouche qui déborda de toute part.
— Ah que c’est... que c’est bon !
Elle poussait des "glurrppsss" incompréhensible. Le photographe fit de même sur la paume de ses pieds. Nos quatre convives, complètement à sec, se trouvaient allongés sur et à côté d’elle. Ma femme venait non seulement de se faire souiller... mais surtout de se faire consommer !
— Plus jamais ça, murmura-t-elle entre ses dents.
Oui, plus jamais ça. Pour moi non plus. Quel drôle de spectacle que de voir sa femme dévorée par trois hommes affamés. Le fermier se retira d’elle et pointa du doigt le poster du démon.
— Tu vois cette affiche avec ce démon aux grandes cornes ?
Ses yeux roulèrent dans sa direction.
— C’est un ami à moi. Un ami particulier qui vit dans les profondeurs de la terre, dans une espèce de caverne... Je peux t’organiser une rencontre...
Tout comme moi, C. ouvrit de grands yeux interrogatifs. Dans quoi voulait-il l’entraîner ? Peut-être à suivre...
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