Peter et WendyPeter Pan vole dans le ciel bleu de l’été, de nombreuses pirouettes le portent devant la maison de Wendy. Cela fait un moment qu’il ne l’a pas vu. Wendy a invité Peter pour ses dix-huit ans. Comme à son habitude, il arrive devant la fenêtre, et là, il aperçoit la jeune fille en petite culotte, la poitrine dénudée. Peter se cache et observe Wendy. La jeune fille admire sa petite poitrine dans le miroir, la caresse. Deux splendides petites poires, dont les mamelons regardent le plafond. Peter sent un doux émoi tendre sa culotte. L’érection chez Peter l’empêche de voler, c’est tapi sur le rebord du toit qu’il se régale de ce joli spectacle. Wendy caresse ses seins, roule les mamelons, les pince, ce qui lui provoque une douce sensation dans le ventre et aux creux de ses cuisses. Peter la voit glisser une main dans sa culotte et commencer une adorable masturbation de son jeune abricot. Elle s’allonge sur son lit, soulève ses fesses toutes rondes et descend sa petite culotte sur ses genoux. Peter pour la première fois la voit entièrement nue. Elle n’a plus rien de la petite fille qu’il a connue huit ans auparavant. Le jeune faune bande maintenant comme un taureau, il sort son sexe et comme Wendy se masturbe. Wendy cuisses ouvertes, fait aller et venir son doigt dans sa fente, s’attardant sur le capuchon de son bourgeon de chair, qu’elle sent gonfler. Peter émerveillé regarde le doigt fin de Wendy glisser dans la légère toison cuivrée, elle se mord la main pour ne pas laisser éclater son plaisir. Peter admire le bassin de la jeune fille qui se soulève de plus en plus vite, elle a l’air de danser la gigue. Wendy ne peut plus retenir ses gémissements, heureusement la maison est vide. Son souffle se fait plus rapide, sa main gauche torture un sein, alors que la droite la mène au paradis. En même temps, Peter explose et son sperme abondant et épais s’écrase sur les vitres de la chambre par de longs jets ininterrompus. Wendy revient lentement sur terre, la culotte aux genoux, elle se redresse et aperçoit Peter qui tant bien que mal remet sa queue dans son collant devenu trop étroit. Wendy pousse un cri de surprise et tente de cacher ses petits trésors. Peter lui demande d’ouvrir la fenêtre, Wendy en cachant ses seins lui ouvre. — Cela fait longtemps que tu me regardes petit vicieux, Interroge-t-elle ? Peter la queue à demi-rentrée, le gland dépassant de son collant lui répond. — Assez pour voir que tu es devenue une splendide jeune fille avec tout ce qu’il faut pour me faire bander petite coquine. Wendy, confuse, tente de remonter sa petite culotte et cherche un soutien-gorge. Peter l’en empêche et la colle contre lui, sa bouche se colle à celle de Wendy, la jeune fille sent la main de Peter bloquer la remontée de la culotte. Wendy ne résiste pas. La liqueur de la jeune fille coule dans le fond de son sous-vêtement. Le jeune faune s’empare d’un petit sein dressé, en apprécie la chaleur et douceur, Wendy pour la première fois sent une autre main que la sienne palper son corps. Depuis longtemps en secret, elle est amoureuse de lui, donc elle n’oppose pas la moindre résistance. Peter lui ôte sa petite culotte entièrement et la fait se coucher sur le lit. Wendy contemple Peter qui descend son collant pour laisser apparaître une queue toujours raide, une perle de sperme se balançant au bout du gland. Il se penche sur elle, la goutte s’écrase sur le ventre de la jeune file. Peter est sans expérience, néanmoins, il a envie de lécher le petit fruit de Wendy, son odeur de fruit des bois le stimule. Peter met son visage entre les fines cuisses de Wendy, par de petits coups de langue s’imprègne du goût délicat de sa conquête. Wendy affectionne cette caresse linguale, elle se trémousse, appuyant sur la tête de son amour, comme pour le faire pénétrer encore plus en elle. Elle marmonne — C’est excellent mon amour, ne t’arrête pas, j’ai envie que tu sois celui qui cueille ma petite fleur. L’être surnaturel se met complétement nu, Wendy craintive évalue le membre si long, si gros, comment une telle chose va-t-elle pouvoir entrer dans sa petite chatounette vierge. Peter possède une queue surdimensionnée par rapport à sa taille. La jeune fille en a tellement envie que lorsque son amoureux se couche sur elle, la peur s’envole. Peter passe la main sous les fesses de sa promise et met son gland contre le petit bourgeon érigé. Il frotte un bon moment et il ne peut pas empêcher une nouvelle éjaculation, inondant le ventre et les seins de sa jeune amante. Celle-ci pousse un Oh de déception, sa virginité subsiste toujours. Rouge de confusion, Peter s’excuse auprès de sa belle. Wendy, déçue, prend un peu de jus sur le bout de ses doigts, puis les porte à ses lèvres, le sperme de Peter a un goût vanillé, Wendy en reprend et le déguste, comme un agréable dessert. Peter, qui ne débande pas, la regarde apprécier le jus de vie. Wendy en minaudant lui demande. — Peter, pourrais-tu cette fois déchirer mon hymen et faire de moi une femme ? Le jeune faune cette fois lui embrasse tout le corps, s’attardant sur les mamelons, les mordillant. Ses doigts fouillent l’entrée trempée de la foune de la jeune fille, sentant la douceur de velours du sexe qui s’ouvre telle la corolle d’une fleur. Alors, il présente son gland à la porte du plaisir et doucement s’enfonce en elle. Le sexe de Peter s’adapte à la dimension du vagin. C’est magique, Wendy pousse un petit cri lorsque, son hymen cède sous la douce poussée de son amant. En même temps elle lui avoue. — Je t’aime Peter, il n’y a qu’à toi que je voulais donner cette preuve d’amour qu’est mon innocence. Le ventre de Peter se colle à celui de Wendy, il reste ainsi un long instant. Peter embrasse tendrement les lèvres couleur coquelicot. Planté en elle, son gland se sent malaxé par les muscles vaginaux de sa maitresse. Wendy, instinctivement, le masturbe de l’intérieur. Sous cette somptueuse caresse interne, lentement Peter commence de se mouvoir en elle. Wendy adore sentir ce membre la pilonner, s’adapter à la taille de son vagin, le sentir remplir tous les recoins de sa petite moule. Elle n’imaginait pas combien faire l’amour serait aussi délicieux. Rien à voir avec la masturbation. Peter accélère le rythme, Wendy gémit plus fort, son premier orgasme, la secoue de la racine de ses cheveux aux bouts des orteils. Ses ongles se plantent dans les fesses de Peter, qui comme un cheval que l’on éperonne, s’emballe et déverse des flots de sperme dans le vagin de sa tendre amante. Il inonde la caverne chaude de Wendy tout au long de son orgasme, son éjaculation la remplit. Wendy bras en croix, cuisses largement ouvertes, laisse son amant faire déborder son puits d’amour. Peter s’arrête enfin de jouir et s’écroule ivre de bonheur sur sa jolie monture rousse. Les deux amants rhabillés après une brève toilette se jurent de garder leur aventure secrète. Peter, sous les yeux attendris de sa compagne, s’envole de nouveau dans les cieux en poussant des cris d’allégresses. Wendy entend frapper à la porte, se demandant qui cela peut être, n’attendant personne. Encore sous le doux instant qu’elle vient de connaître, inconsciemment, elle s’en va ouvrir la porte et pousse un hurlement en voyant le capitaine crochet accompagné de monsieur Mouche.
