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Le petit ami par intérim

Chapitre 2

Inceste
En pensant à ça, une petite bosse se forme dans mon pantalon, ce que Manu me fait remarquer en la fixant du regard. Tout compte fait, je pense que passer du statut de frère à celui de petit ami pourrait me permettre de réaliser mes fantasmes sur ma sœur !
— Et c’est à partir de maintenant ?
Question très intéressée !
Elle me regarde avec des yeux ronds puis, après m’avoir regardé un bon moment, commence à m’embrasser goulûment comme on le ferait dans un couple. Notre baiser, le premier, mais je n’espère que ce ne sera pas le dernier, est intense, voire électrique ! Je suis fatigué, mais là, ça me recharge les batteries comme le petit lapin dans la pub des piles qui durent longtemps... argh, j’ai oublié !
Des jours passent et je prends mon rôle de plus en plus au sérieux ! Pour preuve, chaque fois que je reviens du travail, je l’embrasse rapidement et plus longuement après une bonne douche. Elle aime bien, et moi aussi, qu’on soit tous les deux sur le canapé, elle sur moi, à s’embrasser longuement après que j’ai déposé mille et un baiser sur son visage. Elle est heureuse, c’est tout ce qui compte pour moi.
— Mon Cœur, lui dis-je tendrement à l’oreille, si tu as besoin de quoi que ce soit et que je suis à l’hôpital, appelle-moi à ce numéro.
Puis je dépose sur la table basse un petit carte, format carte de visite où figurent le nom du service, mon patronyme ainsi que les coordonnées de mon employeur.
— Bien, merci !
Puis elle posé sa tête sur mon torse en me serrant très fort contre elle.
Le lendemain, alors que je suis au service pédiatrie de l’hôpital, mon chef m’appelle.
— Thomas, ta sœur a cherché à te joindre. Elle m’a demandé à ce que tu la rappelles.— Merci François, je finis avec les enfants et j’arrive.
Je travaille en effet en pédiatrie avec des médecins. Je prépare les dossiers en quelques sortes, bien que les enfants ne doivent pas être seulement des données à coucher sur des feuilles de papier que les docteurs et autres spécialistes lisent en diagonale parce qu’ils manquent cruellement de temps ! Un peu comme moi, d’ailleurs qui n’ai pas ce-dit temps de les rassurer sur ce qu’ils vont subir bien que j’aurais voulu les tranquilliser et prendre le temps de leur expliquer mon métier et de répondre à toutes leurs interrogations alors que je dois les peser, les mesurer entre autres tout en prenant un maximum de notes à leur sujet.
La matinée terminée, je prends une pause de quelques minutes pendant que d’autres collègues prennent ma place.
Je prends le téléphone, compose le numéro de ma sœur et le porte à mon oreille.
— Manu ?— Thomas ? J’ai eu un appel des parents, ils vont passer chez moi avant d’aller dans les Pyrénées.— Ah, et ils passent quand ?— Demain. Tu seras là ?— Je m’arrange avec mon chef de service et on en reparle ce soir !— A ce soir mon Chou, travaille bien !— Bisous, je t’aime !
Puis je raccroche.
Dans la salle, Franck est là à boire un café. Il m’en propose un, ce que je ne refuse pas. Puis, on se met à parler !
— Alors, qu’est-ce qui se passe avec ta sœur, elle m’a semblé préoccupée ? Interrogea celui-ci.— Ben, c’est assez compliqué à expliquer ! Dis-je d’un air embêté.— Tu sais, les petits soucis de la vie on connaît ! Regarde tous ces jeunes, ils ont la peur au ventre d’aller chez le toubib, mais c’est eux qui feront les hommes de demain !— Oui, c’est vrai !— Tu peux tout me dire, on en voit des vertes des pas mûres, a-t-il ajouté en riant pour me détendre !— En fait, Manu est enceinte.— Manu ? Emmanuelle, ta sœur ?— Oui !— Elle est bien jeune, elle a combien maintenant ?— 18 ans.— Aie, oui c’est bien jeune !— Et ce n’est pas tout, elle ne sait pas qui est le père.— En effet, c’est un gros souci !— Ah ces jeunes, s’écria Franck, un collègue qui venait entre temps d’entrer et qui a entendu la conversation, ça fait des gosses, mais ça n’assume pas !— Tu ne parles pas de ma sœur j’espère, criais-je en le regardant !— Doucement messieurs, calma François, je ne veux pas qu’on se juge !— Excuse-moi Thomas, je ne voulais pas te vexer, dit Franck.— Et donc ? Reprit François.— Je reste auprès de Manu le temps de sa grossesse.— C’est bien ce que tu fais, dit Franck !
Ensuite nous ouvrons tous les trois nos repas préparés la veille ou, pour la plupart, que nous avons achetés à la boutique à cinq minutes de l’hôpital, tout en discutant du travail et de notre vie en dehors du service. Après, je reprends mon service comme mes collègues.
Le soir en sortant, je fais un rapide détour chez moi pour prendre quelques affaires. Il y a un de ces mondes sur la route ! Enfin pas étonnant, cinq heures, l’heure où tout le monde sort du travail. En rentrant, c’est le récital quotidien à savoir déposer un chaste baiser à ma sœur avant de m’enfermer dans la salle de bain et d’aller la rejoindre dans le salon pour profiter d’elle. Au détour d’un baiser, elle entame la conversation.
— Au fait mon Cœur, pour les parents ?— Il n’y a pas de problème, je rentrerais plus tôt ! Ils pensent venir à quelle heure ?— Papa m’a dit vers midi.
Puis, je l’embrasse tendrement. C’est un baiser intense, long, très long et débordant d’amour ! La soirée se termine vite, on mange tous les deux allongés, lovés l’un contre l’autre sur le lit tiré pour l’occasion. On se partage un bol de chips et d’autres amuse-bouches tout en regardant la télévision.
Le lendemain je pars comme à l’accoutumée à l’hôpital et reviens comme convenu avant l’arrivée des parents. Je salue vite Manu, prends une douche en vitesse et aide ma sœur.
— Mon Chou, c’est gentil, me dit-elle en m’embrassant, mais tu devrais aller t’habiller !— Oui t’as raison, lui répondis-je en lui rendant son baiser. Je peux me mettre dans ta chambre ?
J’y vais et en revenant la table est dressée, prête à recevoir nos parents ! D’ailleurs, la sonnette retentit.
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