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Le petit ami par intérim

Chapitre 4

Les épreuves

Inceste
Histoire de Thomas et sa sœur Emmanuelle, dite Manu, 18 ans. Ils sont tous les deux majeurs et consentants.
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Je me suis relevé la libérant et suis allé m’habiller. En sortant de la salle de bain, j’ai vu sa chambre allumée. Par la porte, j’ai pu apercevoir qu’elle révisait un peu ses cours. En attendant, j’ai zappé quelques chaînes sur la télé, mais franchement, rien ne m’intéressait ! En revanche, je m’étais rabattu sur mon magazine de jeux, histoire de me changer les idées.
C’est quelques jours plus tard, c’était son premier examen pré-natal. Pour l’occasion, et à sa demande, je supposais que c’était plus pour la rassurer, elle m’a demandé de venir avec elle. Par conséquent, j’ai donc posé un jour de congé.
Dès l’arrivée sur le parking, d’autres collègues de l’hôpital m’ont demandé ce que je faisais ici alors que j’avais posé ma journée.
— On te manque déjà, rigola l’un d’eux ?— Oui, plaisantais-je ! En fait, j’accompagne ma sœur.
Elle est sortie à son tour de la voiture puis on s’est rendu à l’accueil où l’hôtesse nous a redirigés vers le service adéquat.
— Salut Thomas, lança le radiologue, c’est pour la demoiselle ?— Exact ! Tu mettras sur mon compte s’il y a quelque chose à régler !— Tu m’offres mon écho ? C’est trop chou ! s’écria Manu à voix basse.
Heureusement que je l’ai retenue parce qu’elle allait m’embrasser, surtout devant des collègues qui me connaissent et qui savent qu’elle est ma sœur !
Il nous a conduits dans la salle, a indiqué à Manu le vestiaire pour qu’elle se mette en sous-vêtement. Pendant ce temps-là, je patientais, assis sur une chaise à côté du divan. La séance dure une petite heure, nous avait-on prévenus. Le radiologue passe la sonde sur le ventre de ma sœur et à l’écran apparaît une image où l’on pouvait très difficilement distinguer le fœtus.
— Vous voyez ce petit corps, c’est votre futur enfant, a indiqué le spécialiste en pointant l’écran.— Ah d’accord, et c’est un garçon ou une fille, ai-je demandé ?
— Je ne peux pas me prononcer, a dit ce dernier sèchement.
En repartant, et après avoir réglé les derniers papiers administratifs, on est rentré puis on a passé le reste de la journée dans le salon à faire l’amour !
Le ventre de Manu n’était pas encore trop imposant, je pouvais donc encore m’allonger sur elle et l’embrasser du visage à la naissance de ses seins. Vu mon excitation pour elle, et le sien également, elle a entrouvert son chemisier pour que je passe mes mains sur ses petits globes de chair à travers le tissu de sous soutien-gorge. Elle aimait ça la chipie !
— Tu me fais du bien mon Cœur, gémit celle-ci et tournant sa tête de droite à gauche, continue, je t’en supplie !
Je les prenais en bouche avec le tissu, ça n’avait pas le même goût ! Très vite, je le lui ai ôté pour les goûter à nouveau. Le goût de ses seins laiteux était exquis ! Quand j’essayais de mâchouiller ses tétons tout dressés, elle se mit à rire tout exprimant le bonheur que je lui procurais. Après quelques papouilles et autres léchouilles et reprit ses esprits.
— Dis-moi Chéri, me demanda très sérieusement Manu, tu peux te renseigner à l’hôpital sur mon échographie ?
D’un air désolé, je lui ai répondu du tac au tac.
— Désolé mon Amour, mais je n’ai pas le droit de faire ça !— Pour moi, s’il te plaît !— Je suis tenu au secret médical, et même ce qui te concerne ne me regarde pas !— Et tu as vu son sexe ?— Non, et c’est un peu tôt d’après les médecins, mais tu le sauras à ta deuxième échographie !
Sur un air dépité, elle est allée dans sa chambre. Quelques secondes plus tard, je l’ai rejointe, elle était à son bureau en train de relire ses cours. Elle n’avait pas remis de chemise. J’en ai profité pour lui faire un petit massage des épaules.
— Laisse-moi, lança-t-elle, énervée !
Je n’ai pas cherché à dialoguer et je suis parti discrètement en fermant doucement sa porte. Ne sachant que faire à part tourner en rond ou regarder des débilités à la télévision. Je me suis résigné à sortir prendre un peu l’air. Ça me fera le plus grand bien, me suis-je dit ! En errant çà et là, j’ai déniché dans une boutique des jouets idéals pour son futur enfant.
Oui, le sien, pas le mien ni le nôtre et j’insiste bien sur ce point de notre relation ambiguë !
Il commençait à se faire tard, le ciel s’assombrissait.
— Ciel, déjà 18 heures, m’écriais-je en regardant ma montre !
Sur le chemin du retour, je suis passé chez un fleuriste prendre un bouquet de roses rouges.
— Vous arrivez à temps, m’a dit le commerçant en tapant sur sa caisse, j’allais fermer ! C’est pour offrir, demanda celui-ci en voyant le bouquet ?— Oui !— Petite dispute avec Madame ? conclut-il en emballant les fleurs dans un papier transparent. Je connais ça, ce n’est pas la première ! Avec ma femme, je lui offre un bouquet et c’est pardonné !— Merci du conseil !— Oh, mais de rien cher Monsieur ! Ça fera dix euros s’il vous plaît.
J’ai déposé un billet sur le comptoir et suis parti. De retour chez ma sœur, je l’ai retrouvée dans la cuisine en petite tenue. Une simple culotte et un tablier cachant sa poitrine devenue, avec sa grossesse, imposante. Je l’ai saluée avec un petit bisou sur la joue.
— Tu fais quoi ?— Une salade pour ce soir, me répondit celle-ci, concentrée sur les légumes qu’elle coupait.— J’ai un cadeau pour toi !
Elle a tourné la tête dans ma direction. Quand je lui ai montré le bouquet, son visage s’est illuminé.
— Merci mon p’tit Chou, s’exclama-t-elle, surprise ! Elles sont trop belles, ajoute-t-elle en humant leur délicieux parfum !— Excuse-moi pour tout à l’heure, je n’avais pas l’intention...— Non, c’est moi ! Tu sais, avec l’accouchement et le bac...— J’aurais dû être plus près de toi, t’écouter plus attentivement...
Elle posa sa tête contre ma poitrine. Je l’entendais gémir. Je lui ai caressé les cheveux pour consoler.
— Ma Chérie... Ma Chérie... Chuchotais-je en la berçant pour atténuer son chagrin.
Elle m’a regardé avec ses petits yeux embués par ses larmes. Je sentais qu’elle était un peu stressée par toutes ces épreuves qui lui tombaient dessus, là, comme un couperet ! Pour lui remonter le moral, je l’ai embrassée et câlinée. Après, nous avons mangé puis, tous deux assis sur le canapé après une bonne douche décontractante, on a fait l’amour.
Quelques semaines plus tard, c’était le grand jour, c’était les premières épreuves du baccalauréat. Elle dormait encore. Je suis allé la réveiller en douceur en l’embrassant tendrement. Penché à son chevet, je lui ai glissé tendrement ces mots à l’oreille tout en lui caressant les cheveux.
— Mon Trésor... Mon Trésor... Il est l’heure de te lever !— Déjà, grogna cette dormeuse ?— Tu vas être en retard !
Elle se leva en bâillant et en s’étirant.
— Il est quelle heure ?— Huit heures.— Je suis en retard ?— Non, mais presse-toi !— Et toi, tu n’as pas ton boulot ?— Si, je vais y aller. Et merde pour ton examen, criai-je depuis le couloir !
Arrivé au service, je ne savais pas si je stressais plus qu’elle à l’idée de la savoir plancher sur sa feuille pendant une matinée. En tout cas, à la pause, François me voyait tendu comme un arc !
— Alors, ça va ? On dirait que tu es mal dans tes chaussons !— Ma sœur passe son bac !— Ah ! Et tu stresses pour elle ?— Oui ! Elle doit appeler d’ici quelques minutes pour me dire si tout s’est bien passé.
D’ailleurs, le téléphone se mit à sonner. Franck, qui était à côté le décrocha en se présentant.
— Tiens c’est pour toi, dit-il en me tendant le combiné.— Allô Manu, alors ?— La première épreuve s’est bien passée, répondit-elle.
J’ai lâché un ouf de soulagement. Dans la salle, chacun lui souhaitait un bon courage pour la suite.
— Tu vas y arriver Manu, on est tous avec toi !— Qui « tous » ?— Tous mes collègues de pédiatrie ! Allez, tu vas l’avoir cet examen, on compte sur toi !
Je la sentais émue à travers le téléphone, mais je suis sûr que ça lui donnait du courage et l’envie de se battre !
— On va te sponsoriser, lança François en rigolant !
Je l’entendais sourire. À vrai dire moi aussi, je jubilais face à l’humour de mon chef !
Le soir même, elle m’attendait devant la porte de la salle de bain. Elle était en peignoir, nue à l’intérieur, apparemment, et moi avec ma serviette sur ma taille.
— Ce soir, j’ai envie de fêter ma première journée avec toi !
Elle m’emmena sur le canapé, retira ma serviette qu’elle jeta au sol.
— Laisse-toi faire mon Amour, glissa-t-elle sensuellement !
Elle prit mon sexe devenu bien raide, sortit le gland qu’elle lécha comme un cône glacé en m’empoignant le pénis. C’était la première fois que j’étais « fellationné » ou pour être plus juste et plus français, sucé ! Il faut dire que c’était plutôt agréable de sentir sa langue se balader sur mon cèpe violacé !
Des fois, j’avais l’impression de lâcher un peu de liquide, mais elle avait l’air d’aimer ! D’ailleurs, elle a tout mis en bouche, je sentais ses lèvres sur sa base et celle inférieure heurter mes testicules. Quel appétit vorace, me disais-je !
Avec quatre doigts, je caressais son dos et effleurais ses doux seins avec mes pouces, sans exercer une pression aucune sur elle. C’était son moment, elle décidait elle-même du rythme !
J’avais la sensation de verser en elle des litres et des litres de ce liquide que certains appelaient « or blanc ». Bien qu’il soit impossible pour un homme d’avoir une telle quantité ! Rassasiée, elle libéra ma verge toute pleine de bave. Et ôta son peignoir qui se retrouva au sol à côté de ma serviette.
— Alors petite gourmande, rassasiée ?
Visiblement, elle en voulait encore la petite cochonne ! Elle prit ma main et fit glisser un doigt puis plusieurs dans son antre. Je n’avais jamais pénétré un vagin de la sorte auparavant. Ses parois étaient très douces, chaudes et s’humidifiaient rapidement au contact répété de mes nombreuses phalanges !
Durant ma formation, j’en voyais en dessins, parfois des réelles ou factices, je ne sais plus, mais cela restait dans le cadre magistral et pas de la détente comme actuellement.
Après mes doigts, ce fut au tour de ma langue. Elle ne m’a pas laissé le choix à vrai dire en prenant mon crâne et exerçant une pression sur celui-ci pour que j’aille goûter son puits d’amour ! Il était tout mignon, avec un fin duvet comme tous les sexes d’ado. Ça se voyait qu’elle ne « baisait » pas souvent ! Au moins une fois sûre, puisqu’elle était enceinte. Son petit abricot n’était pas très ouvert, mais juste assez pour que j’y glisse ma langue. Je sentais qu’elle insistait pour coller mon visage dans son entrejambe. Elle pressait mon crâne contre celui-ci afin de me délecter de son fameux nectar ! J’ai commencé à laper tel un chat, à savourer ce jus qui, ma foi, fût bon. Il y en avait abondamment, et ce n’était pas tout, comme ça coulait de source ! Il y en avait de quoi nourrir un régiment !
Une fois extrait de là, elle m’a léché la bouche puis m’a embrassé !
— T’es une vraie salope toi !
Elle se mit à sourire.
— Content que ça t’ait plu mon Ange !
Quelques semaines plus tard, lorsque j’étais au service, j’ai reçu l’appel de Manu qui m’annonçait l’obtention du diplôme. La nouvelle avait vite fait le tour de la table de notre salle de pause et tout le monde s’est mis à l’applaudir, même les autres collègues infirmières qui ne comprenaient pas de quoi il s’agissait. Au téléphone, je la sentais contente d’avoir enfin terminé sa dernière année de lycée et d’attaquer la fac.
— Merci à tous pour votre soutien et vos applaudissements, dit-elle, émue, ayant entendu tout le brouhaha !
De retour à la maison, je l’ai à nouveau félicitée en ouvrant le champagne. On a tous les deux bu un coup tout en s’embrassant et moi en lui caressant son ventre dont le volume avait largement doublé.
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