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Le petit bain

Chapitre 1

Comme un doux rêve

Inceste
Je rentre du boulot. Je suis crevé. Je travaille depuis peu de nuit, il faut que je m’habitue. Je vais aller prendre un bain et me coucher.
Je fais couler l’eau et me déshabille. En me regardant dans le miroir, je m’aperçois que j’ai quelque peu maigri. On m’avait prévenu que ce changement de cycle pouvait causer perte ou prise de poids, mais je ne pensais pas que ce serait si rapide. Je reste quand même quelqu’un de bien bâti, je fais du sport dans mon temps libre, sans être une montagne de muscles, j’en ai quelque peu. Après cette petite analyse, j’entre enfin dans la baignoire. Ca fait tellement de bien, cette délicate chaleur qui vous englobe peu à peu, ce relâchement de votre corps au contact de cette douce substance ! Il y a tellement longtemps que je n’ai pas pris de bain, je préfère en général me doucher, je suis quelqu’un d’assez pressé, mais de temps en temps, gigoter dans un bon bain fait un bien fou. Je me prélasse dans l’eau chaude, en pensant à cette journée qui vient de s’écouler. Encore une fois, je n’ai pas pu voir ma famille...
Je crois que c’est le plus dur par rapport à mes horaires, ne pas revoir mes parents, ma sœur...Oh mon Dieu, pourquoi je ne fais pas de bain plus souvent... c’est tellement bon que je pourrai m’endor...
Je tombe dans les bras de Morphée.
Je rêve de... moi, dans une baignoire... Sérieusement ? Quitte à rêver, autant que ce soit quelque chose d’exceptionnel ! Mettez-moi sur un champ de bataille, dans une armure mécanique à bord de laquelle je me sentirai invincible, que de par mes exploits quelques jeunes femmes viennent me proposer un petit moment de détente. Ah, apparemment mon subconscient a entendu mes prières. Une femme entre dans la pièce. Elle se place en face de moi et me fait face. Enfin, ça devient intéressant. Elle se déshabille lentement, un vêtement après l’autre. Elle n’a pas l’air de faire attention à moi. Je scrute la moindre partie de son corps dans les détails.
Ses petites mains fines, elles ont l’air si douces. Je les imagine parcourant mon corps, caressant chaque recoin avec sensualité... Elle retire sa chemise. Elle est si mince, j’ai l’impression qu’elle pourrait se briser si je la touchais. Deux jolis petits seins font leur apparition sous un mignon soutien-gorge. Ils ont l’air parfait, comme je les aime, petits, qui peuvent tenir dans une main, et bien ronds.
Vient le tour de son pantalon. Elle le déboutonne lentement, comme pour me faire languir, bien que je n’ai pas l’air d’être sa principale préoccupation. En le baissant, elle dévoile une magnifique petite culotte rose pâle, avec un petit nœud papillon sur le devant. Elle est si serrée que je peux deviner la forme de ce qui se trouve en dessous... Qui m’a l’air absolument exquis.
Elle s’avance alors vers moi. Pourquoi faut-il qu’elle s’arrête en si bon chemin, qu’elle termine au moins d’enlever le peu de vêtements qu’il lui reste, elle me laisse sur ma faim là ! La voilà à l’entrée de la baignoire. Elle lève alors sa jambe de manière gracile avant de mettre un pied dans le bain... Et plus rien. Le noir.
Je commence doucement à ouvrir les yeux. Merde, alors que ça commençait à être intéressant... Je prends un moment pour me réhabituer à la lumière. C’est seulement après quelques secondes que je m’aperçois que quelque chose est étrange. Je ne suis plus en train de rêver, et pourtant elle est encore là, pour mon plus grand plaisir, et encore mieux, elle n’a plus sa jolie culotte rose. Je me sustente de ce fruit découvert avec délectation, il a l’air tellement pur, tellement... Soudain, la réalité s’impose à moi.Si je ne rêvais plus, la seule personne qui pourrait être là en face de moi, avec cette taille fine, ces jambes délicates c’est... Ma sœur.Je lève la tête. Je ne m’attarde même pas sur ses magnifiques seins encore plus parfaits que ce que je pouvais imaginer. Elle est en train de me regarder, un pied dans la baignoire, l’autre encore à terre, elle a les yeux grands ouverts, j’ai l’impression qu’ils vont sortir de leurs orbites. Peu à peu, son visage vire au rouge. Elle balbutie :
— Je... Je... Désolé ! Tu... tu étais endormi, la porte ouverte, j’ai essayé de te réveiller de toutes les façons possibles, rien à faire, fallait vraiment que je me lave, j’avais pas le temps d’attendre... Je... je vais te laisser finir.

C’est quand elle s’aperçoit que je baisse les yeux qu’elle prend conscience de sa nudité face à moi. Elle couvre immédiatement avec une main sa partie inférieure tandis qu’elle place l’autre bras devant ses seins.
— Je crois que c’est un peu tard pour te cacher, j’ai déjà tout vu...
Elle ne sait pas quoi dire, je continue :
— Maintenant que tu es là, rentre dans le bain, je vais me passer du savon, fais de même, je ne veux pas te mettre en retard.— D’accord, mais arrête de me regarder comme ça, ça me gène.
Il est vrai que j’admirai ce corps défendu qui se dévoilait à moi, c’était la première fois que je le voyais dans le plus simple appareil, et si près. Ma sœur a toujours eu des complexes sur son corps, ses petits seins, son nez, ses yeux... Elle a toujours eu le regard le plus magnifique que j’ai eu l’occasion de croiser, le "killer stare", je l’appelle, un regard qui pourrait vous tuer si vous aviez la folie de le maintenir, et qui m’a toujours mis en émoi. Malheureusement, un regard comme le sien, même si elle ne le faisait pas exprès, lui a valu des railleries dans son enfance, ce qui lui a donné tous ses complexes. Quel dommage, j’aurai adoré pouvoir admirer ce corps qu’elle s’évertue à cacher sous des montagnes de vêtements.
Elle pose le deuxième pied dans la baignoire avant de s’asseoir. Celle-ci n’étant pas très grande (la baignoire, pas la sœur), nous devons plier les jambes, et le contact des siennes sur ma peau est un régal ! Je ne peux m’empêcher de jeter des coups d’œil en sa direction, notamment lorsqu’elle se savonne, n’oubliant aucun recoin. Je m’aperçois qu’elle aussi me jette des coups d’œil furtif, surtout du côté de mon entrejambe. Je ne peux lui en vouloir, depuis son entrée dans le bain et sa savonnade, j’ai une intense érection. Je ne pensais pas un jour en avoir une grâce à ma sœur, mais il faut avouer que la vue de son corps nue m’émoustille. Son corps est pour moi le corps parfait.Tout en regardant mon membre hissé, elle me demande :
— C’est à cause de moi... ça ?
J’adore sa façon de dire les choses, elle est tellement pure, tellement innocente !Je crois qu’elle n’a jamais eu de petit ami, du moins, elle n’en a jamais parlé. Et vu sa réaction, je pense que c’est le cas. J’ai envie de la charrier un peu.
— Oui, désolé, le fait de voir ton corps nu me met dans tous mes états. Mais t’inquiète, ça va passer.
Sa réaction n’est pas celle escomptée. En regardant son visage, j’ai comme l’impression qu’elle est contente de ma réponse. Le fait de savoir que son corps est excitant doit la rendre joyeuse. J’espère au moins que ça pourra lui montrer qu’elle n’a pas à être complexée...On se met à discuter de tout et de rien, de notre vie en ce moment, etc. Notre nudité ne nous embarrasse plus du tout. Je retrouve ma petite sœur, ça faisait longtemps que nous n’avions pas discuté comme ça.
— Je suis désolé, je dois y aller, me dit-elle, je voudrais pas être en retard.— Oui, oui vas-y, je ne vais pas te retenir plus longtemps.
Elle se lève en se tournant afin de sortir de la baignoire. Je peux enfin apercevoir ses fesses. Je m’en doutais, parfaites, elles aussi. Pas grosses, mais bien rebondies, des fesses que l’on a envie de prendre à pleines mains. Bien sûr, je me retiens, je ne voudrais pas gâcher ce moment exquis.Après quelques secondes qui lui ont permis de s’extirper du bain, j’ajoute :
— Ca m’a fait du bien de parler comme ça !— Oui, moi aussi, faudrait qu’on discute plus souvent.— Si seulement nos horaires étaient plus en phase...
Elle passe une serviette autour de son corps. Dommage, j’aurais aimé l’admirer un peu plus longtemps.Alors qu’elle est sur le pas de la porte, je lui dis :
— N’hésite pas, si jamais je me rendors dans le bain. Ca me ferait plaisir de rediscuter comme ça.
Elle rougit en m’entendant dire ces mots, non pas de honte, mais plutôt d’un plaisir coupable et c’est avec un magnifique sourire qu’elle me répond.
— Oui je... j’y penserai. Bye.
Elle ferme la porte, me laissant avec une terrible érection qui ne passe décidément pas...
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