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Le petit chemin boueux

Chapitre 1

Hétéro
La rencontre que j’ai faite la semaine dernière m’a beaucoup marqué.
Je m’étais garé sur un terre-plein, au bord d’une petite route quasi déserte qui traverse la garrigue gardoise, pour consulter une carte routière. Je vois alors arriver un petit cabriolet conduit par une femme blonde, seule à bord, qui s’engage dans le chemin de terre situé derrière moi.
Ayant fini de repérer mon itinéraire, je commence à démarrer, tout en jetant un regard machinal dans la direction dans laquelle était parti le cabriolet, que je pensais être déjà loin. Mais à travers les buissons, je le vois arrêté quelques mètres plus loin .Il me semble apercevoir que les roues patinent mais que la voiture ne bouge pas. Je descends alors de mon véhicule et je m’approche. Bien m’en a pris ! Il beaucoup plu les trois jours précédents, ce qui à transformé ce chemin de terre en un véritable bourbier dans lequel la conductrice, trompée sans doute par le temps chaud et ensoleillé d’aujourd’hui, a profondément embourbé sa voiture. Je m’avance pour lui proposer mon aide, car les grands coups d’accélérateur avec lesquels elle essaie de faire marche arrière ne font que l’embourber davantage, et il me parait clair que la conductrice ne se sortira pas de ce bourbier sans aide.
J’arrive à hauteur de la portière, la conductrice me voit et arrête ses manouvres. Mon regard est immédiatement captivé. C’est une femme superbe, blonde aux yeux verts, dont j’estime l’âge à 45 ans environ. Elle a les cheveux ondulés mi-longs qu’elle a coiffés en queue de cheval, ce qui la rajeunit un peu. Elle est maquillée de façon très discrète. Tout en lui proposant de l’aider, mon regard tombe sur le haut de sa robe bleue-roi dos nu très décolleté. La position de conduite (les mains sur le volant) fait bailler le décolleté et je peux admirer ses seins vraiment superbes, dignes d’un ’canon’ de 20 ans. Un peu surpris et ne voulant pas la mettre mal à l’aise, je baisse les yeux et mon regard tombe sur ses jambes fines et musclées, légèrement bronzées. Elle porte des escarpins blancs ouverts au bout à talons hauts. Je ne peux m’empêcher de faire remonter mon regard sur ses jambes jusqu’en hauts des cuisses .La robe de la conductrice, moulante, est très très courte .Trop courte même : elle laisse voir sa petite culotte, blanche en dentelle fine ! Pourtant la conductrice se tient de façon correcte, en serrant les jambes normalement !
Bien que n’étant plus un gamin (j’ai 43 ans), je ne suis pas du tout à mon aise!D’autant plus que je suis un amateur inconditionnel de jolies jambes en minijupe et talons hauts ! Je fini quand même par arriver à détourner mon regard qui se porte sur le paysage alentours.
Je réalise alors le côté très ’hasardeux’ de la situation de cette femme seule absolument superbe habillée en citadine très sexy , et qui s’est embourbée , assez naïvement il faut quand même le dire , dans cet endroit complètement désert et de plus caché de la seule route qui le traverse.
La regardant de nouveau, je me rends compte qu’elle est très soucieuse, à la limite des larmes. Pour la rassurer, je lui dis que je vais l’aider et je lui dis mon prénom. En souriant un peu, ce qui la rend encore plus belle, elle me dit qu’elle s’appelle Claire. Elle me demande si je vais pouvoir tirer sa voiture avec la mienne, ce à quoi je lui répond que non puisque je n’ai pas de corde.
Je devrais logiquement lui proposer de la conduire jusqu`à un endroit ou trouver une dépanneuse (le téléphone portable n’est pas couvert ici). Mais je la trouve vraiment sublime , et je trouve un moyen pour rester seul avec elle ici : je lui dis que je vais essayer de la désembourber en poussant , ce qui est un mensonge car je sais très bien que je n’y arriverai pas , car elle s’est embourbée beaucoup trop profondément pour être dégagée seulement en poussant .Mais cela me permet de rester à côté de la portière et de la détailler de la tête au pieds , lentement , puis inversement , en m’attardant sur ses jambes dont les mouvements sur les pédales font ressortir les formes , sa petite culotte, ses seins ,ses yeux .Ce n’est pourtant pas de moi d’abuser d’une position de force mais je suis absolument saisi par la situation , et je fais durer mon plaisir un long moment.
Au bout d’un moment, elle me dit qu’elle veut voir la situation de l’extérieur. En descendant de voiture, pour ne pas poser le pied dans une flaque de boue, elle écarte largement les jambes, ce qui dévoile beaucoup plus sa petite culotte très fine, et laisse deviner les contours de son sexe ! Je sais que je devrais tourner les yeux pendant qu’elle sort de voiture, mais c’est plus fort que moi, je ne peux pas m’empêcher de regarder dans sa direction.
Elle est maintenant debout. Sa robe est en fait encore plus courte qu je le croyais. Il y a seulement quelques 5 centimètres de tissus et l’ourlet sous ses petites fesses ! Que se soit de face ou de dos ou de profil, elle a une silhouette parfaite. Sa démarche est gracieuse, même sur ce terrain accidenté. Je sens que je commence à être très excité.
Puis elle remonte en voiture, toujours en écartant les jambes pour éviter la même flaque, ce qui à pour conséquence de faire remonter encore plus haut le bas de sa robe et de dévoiler encore plus sa petite culotte une fois assise en voiture. Je craque !!!.Je suis maintenant juste appuyé à la portière, je fais semblant de pousser et je regarde, tout simplement. Comme je surprends son regard tourné vers moi, je lui dis qu’elle a des jambes absolument parfaites. Ce qui contre toute attente la fait rougir , et du coup , j’en rajoute sur ses yeux , sur tout son physique , sur sa robe qui lui va si bien..Je plaisante sur les femmes au volant , sur ce que va lui dire son mari quand elle va rentrer. Et j’apprends ainsi que Claire est veuve, qu’elle vit seule depuis 3ans, et qu’elle est venue se piéger dans ce bourbier en cherchant la maison de campagne que sa sour vient d’acheter!Claire ne le sait pas mais je suis absolument ravi que sa sour n’ai pas su lui expliquer clairement la route à suivre, et qu’elle lui ai ainsi tendu le piège dans lequel elle s’est jetée !
Mais au bout d’un moment, Claire me dit que nous n’arriverons pas à la dégager, et qu’il faut se résoudre à aller chercher de l’aide. Je refuse et je change de tactique.
Je fais ce qu’il faut (merci au mur de pierres à moitié écroulé qui bordait le chemin) pour la désembourber. Ce qui m’offrira quand même encore de long moment de plaisir visuel intense. D’autant plus que la conductrice se sent à l’aise maintenant, rassurée par ma présence, et elle s’est détendue , ce qui a pour effet direct qu’elle a changé de position au volant et qu’elle a desserré un peu les jambes, phénomène qui s’accentue lors des mouvement sur les pédales. Ce qui rend la vision sous sa jupe encore plus existante.
    Après quelques gros efforts, je parviens à faire sortir la voiture du bourbier. Ce qui me vaut un sourire que je n’oublierai pas plus que son physique ! Une fois sa voiture garée sur une surface dure, la belle conductrice descend et fait le tour de son auto pour voir si rien n’est abîmé Elle est de dos et se penche en avant devant moi, trop pour la longueur de sa mini-robe ce qui me permet de voir que sa petite culotte est en dentelle fine aussi derrière et qu’elle est d’une forme très mini et très sexy !
    J’ai de plus en plus de mal à cacher l’envie que j’ai en moi de lui sauter dessus, de la caresser..Je lui dis que je la trouve très belle et très sexy, que je n’oublierai jamais ses jambes de rêve .Elle sourit très gênée et elle me dit merci en rougissant. Je me rends compte que j’y suis allé très brusquement. Je lui souris à mon tour et je lui répète que cette robe lui va vraiment super bien. Elle est visiblement très gênée et me bafouille que c’est la première fois qu’elle la met et qu’elle s’habille si court. Si c’est vrai j’ai vraiment de la chance ! Pour changer de sujet, je lui dis que si elle revient pour chercher la maison de sa sour elle fasse attention car je ne serai pas là tous les jours pour lui venir en aide. Ceci me vaut une réflexion sur le fait que c’est la première fois qu’elle s’embourbe depuis qu’elle a son permis et du coup elle me dit son age : 54 ans ! Ce que bien sûr je ne veux pas croire.jusqu’à ce que, amusée et fière, elle me montre son permis de conduire.
    Je reste sans voix. Je suis plutôt attiré par les femmes dans la trentaine, mais de voir le physique de cette femme et savoir son âge me fait perdre d’un coup tous mes repères. Je lui dis que ce n’est pas prudent pour une jolie femme habillée aussi sexy de venir s’embourber toute seule dans un coin désert comme ici. Que c’est un coup à se faire violer même !
Et joignant le geste à la parole je l’attrape par la main et je la fais sortir de sa voiture. Je l’entraîne à l’arrière et je la couche sur la malle de sa voiture .Je m’approche d’elle en l’obligeant à écarter largement les jambes ! Elle ne semble pas comprendre que je suis sérieux, elle pense que je plaisante pour lui faire peur, et elle ne proteste que mollement sans trop se démener pour me repousser. J’en profite pour l’embrasser et dénouer le lien qui retient le haut de sa robe autour du coup, dévoilant complètement sa poitrine de rêve que je caresse très doucement .Elle continue à me repousser que très mollement et pour toute protestation j’entends : « qu’est ce que vous faite ?» . En caressant ses jambes à la peau soyeuse et satinée, je lui réponds qu’elle me fait craquer depuis la seconde ou je l’ai vue, que je la trouve absolument divine et que je ne peux pas résister à l’attraction qu’elle exerce sur moi. Je remonte mes mains le long de ses cuisses, retrousse très haut sur le ventre l’ourlet de sa mini-robe, je caresse aussi ses hanches, son ventre. Je la bascule un peu plus en arrière et je retire délicatement sa petite culotte qui me nargue depuis presque une heure, dévoilant un joli petit sexe blond .Elle esquisse un geste de la main pour m’en empêcher, toujours très mollement, me faisant comprendre qu’elle est plus surprise de ce qui lui arrive que franchement opposée. Elle me dit : « vous n’allez quand même pas. à mon âge ! » Je pose un doigt sur ses lèvres pour lui faire comprendre qu’elle est en train de dire une bêtise en parlant de son âge. En même temps, j’ouvre ma braguette est libère mon sexe que je positionne à l’entrée de son vagin. Elle ne m’oppose plus de résistance ni de protestation. Je la pénètre alors lentement. Amoureusement! Notre étreinte nous amène tous les deux à prendre un plaisir immense. Je n’avais jamais ressenti autant de plaisir à faire l’amour.
Une fois le feu de l’action calmé, nos nous retrouvons tous les deux face à face, très émus, voire presque confus de ce qui vient de se passer. Nous nous rhabillons sans parler, ne sachant trop quoi dire ni l’un ni l’autre. Son sourire radieux me suffit. Puis elle me dit qu’elle doit partir car sa sour doit s’inquiéter de ne pas la voir arriver et remonte en voiture.
Je m’approche de la portière et je lui recommande d’être prudente et lui dis qu’elle est vraiment très sexy avec cette robe si décolleté et si courte...Je la vois alors qui se trouble et elle me demande pas du tout à l’aise : « vous voulez dire qu’on voit .? ».Je lui confirme qu’elle dévoile sa poitrine, sa petite culotte. «Et tout à l’heure, là bas ? » me demande-t-elle en me montrant l’endroit ou elle s’était embourbée. Je réponds oui de la tête en souriant. A voir son embarras je veux bien croire que ce n’est pas une tenue habituelle chez elle.
Elle me sourit encore et me dit tout simplement : « Merci .pour tout.. » . Puis elle démarre et s’en va.
Je reste encore un moment sur place pour me calmer avant de repartir. Et c’est alors que je me rends compte que je suis le roi des imbéciles : je n’ai pensé à lui demander ni son adresse ni même son n° de téléphone. A moins d’un énorme coup de chance, je ne la reverrai certainement jamais !
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