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Petit matin d'été. (Un peu fantasmé)

Chapitre 2

La promenade au marché

Travesti / Trans
C’était jour de marché. Les rues de notre petite ville étaient pleines de monde. Autochtones et touristes déambulaient dans les ruelles au milieu des étals. Les vendeurs vantant la qualité des articles qu’ils tentaient de vendre.
Je portais la belle robe d’été si légère que Jean m’avait offerte quelques jours auparavant. Une belle robe à bretelles, blanche et fluide, descendant jusqu’aux genoux que j’aimais porter puisqu’elle faisait me sentir si femme. Sous celle-ci, Jean avait demandé à ce que je porte mon ensemble de sous-vêtements de satin blanc et dentelle, composé d’un redresse sein qui mettait ma petite poitrine en valeur sous la robe, d’un tanga et de porte-jarretelles assortis avec de doux bas blancs dont le contact sur mes cuisses était pour moi un délice constant.
J’avais d’ailleurs remarqué que les bas et les porte-jarretelles déclenchaient toujours des envies de sexe torride chez mon homme et je comptais m’en servir.Je m’étais maquillée, abusant du rouge carmin sur mes lèvres et avais accroché mes grandes boucles d’oreilles. Mes bottes blanches, remontant jusqu’aux cuisses, mon grand chapeau d’été et mes larges lunettes de soleil complétaient mon look.
Bien sûr, avant de quitter la maison, Jean avait souhaité mettre sa touche finale en m’imposant le plus gros des bijoux anaux de notre collection. Il le lubrifia rapidement et l’insèrera lui-même avec douceur dans mon petit trou. Je le regardais faire, sourire aux lèvres. Sans doute souhaitait-il que je me sente un peu mal à l’aise avec le plug dans le cul ou, au contraire, que je sois excitée.
Et c’est d’ailleurs cela que le plug argenté décoré d’un diamant rose déclencha en moi. Ainsi parée, j’étais prête à partir en promenade avec mon homme.

Jean et moi avancions main dans la main au milieu de la foule. Au départ, personne ne me prêtait attention et je me sentais bien, si féminine au milieu de tout ce monde.Je me demande encore si quelqu’un s’était aperçu de ma vraie nature de travesti. De temps en temps, nous nous arrêtions devant les étals des marchands de vêtements, nous regardions les robes, les chapeaux et les jupes étalées sur les tables des vendeurs.
— La petite dame est intéressée ? lançaient-ils en me voyant regarder leurs articles.

Puis, présentant un modèle bien sexy, ils ajoutaient "Celle-ci irait bien à une belle dame comme vous non ?"... Il semble que je venais de taper dans l’œil de certains d’entre eux et tout cela me rendait heureuse et je l’avoue, m’excitait un peu. En effet, que des hommes me trouvent féminine, sexy me plaisait, m’encourageait. Bien sûr, dans ces moments-là, Jean se rapprochait de moi pour leur faire comprendre que la "belle dame" était déjà avec quelqu’un, un homme, un amant.
Il me collait alors et enlaçait mes hanches autant pour se rassurer que pour montrer aux autres que je lui appartenais. Il voyait bien que l’intérêt porté par les autres hommes envers moi m’excitait et il commença alors à me montrer des signes d’attention un peu plus marqués avec ses mains se promenant sur mes fesses ou de furtifs baisers dans le cou. Et, lorsqu’un homme me portait à son tour un peu trop d’attention à son goût, il me rappelait à qui mon cul appartenait en plaçant discrètement sa main sur le bijou anal et le bougeait pour m’exciter. Il se plaçait ensuite derrière moi, m’enlaçant et m’embrassant dans le cou. Je tournais alors la tête vers lui, pour qu’il dépose ses baisers sur mes lèvres rouge vif.
Cette situation et mes baisers semblaient l’exciter, car, toujours collé à moi, je sentais son sexe gonfler contre mes fesses. J’en jouais en bougeant doucement et discrètement mon cul, me frottant lentement contre son jean, le mettant mal à l’aise, car, monté comme il l’est, son érection allait forcément se voir...
Nous avancions ainsi d’un étal à l’autre, il me couvrit une fois de plus de cadeaux, m’offrant de nouvelles boucles d’oreilles ainsi qu’un collier qu’il me mit aussitôt en se plaçant encore derrière moi pour l’attacher, profitant à nouveau de l’aubaine pour me frotter contre lui et l’exciter, puis me retournant, je mis mes bras autour de son cou pour venir l’embrasser sensuellement en guise de remerciement.
Je lui lâchai d’ailleurs ironiquement :
— Merci, je ne sais vraiment pas ce que je pourrais faire pour te remercier mon chéri...
Puis, plus discrètement, j’ajoutai dans le creux de son oreille:
— Le plug m’a trop excitée : j’ai envie de te sentir en moi maintenant, maître.
Il esquissa un sourire et rétorqua que c’était à lui de décider quand nous baiserions. Mais il ajouta que lui aussi en avait sacrément envie.

Il me prit alors la main et nous reprîmes notre avancée dans la foule. Mais là, nous ne prenions plus de temps pour regarder les articles présentés, nous cherchions le lieu discret où nous pourrions nous adonner à nos pulsions sexuelles !
Rapidement, nous arrivâmes à l’entrée du parc. Il n’était pas vide de promeneurs, mais était déjà moins fréquenté que les rues. Nous nous éclipsâmes vers un bosquet d’arbres suffisamment denses et touffus pour nous abriter.
Là, à l’abri des regards, il défit les boutons de son jean et abaissa pantalon et boxer révélant son sexe droit et dure. Je descendis doucement pour me mettre à genoux devant lui en le fixant du regard, les genoux dans l’herbe fraîche. Puis, ouvrant mes lèvres rouges, je pris son sexe en bouche. D’une main, je saisis son membre alors que l’autre se plaçait sur ses fesses. Lui mit ses mains derrière ma tête pour amplifier les mouvements de son sexe dans ma bouche, jusqu’au fond de ma gorge manquant de me faire vomir à plusieurs reprises. Il fermait les yeux, lançant sa tête en arrière en lâchant des petits "Oh ! Putain que tu suces bien".
L’excitation qui coulait de son sexe accréditant ses dires. Je me mis en demeure de lui apporter tout le plaisir qu’il méritait et engloutissais en récompense son doux nectar lubrificateur et en attendant, impatiente, qu’il décharge son sperme dans ma bouche. Lui, regardait régulièrement autour de nous pour voir si l’on nous observait, ajoutant au plaisir et à l’excitation sexuelle, le frisson de l’interdit, le risque d’être découverts...
Au bout de quelques minutes, il retira sa queue de ma bouche en annonçant qu’il voulait prendre mon cul maintenant. Obéissante à mon maître, je me mis debout et me tournais vers le tronc d’un arbre au milieu du bosquet. Jean se plaça derrière moi, sexe gonflé et, après avoir relevé ma robe, ses mains commencèrent à me caresser les fesses et les jambes.
— Tes porte-jarretelles me font toujours le même effet : ça m’excite bordel ! Je vais te défoncer, promit-il.

Puis, il fit descendre mon tanga, retira doucement le plug argenté puis lubrifia mon anus à l’aide du filet d’excitation qui coulait en abondance de sa bite, et enfin, il me pénétra. Je sentis aussitôt son gros sexe entrer en moi, d’abord doucement pour ne pas me faire crier et attirer l’attention. Il commença ensuite ses va-et-vient, d’abord lents et profonds, puis de plus en plus forts et violents m’offrant la satisfaction et le plaisir que j’attends de la sodomie et cette douce sensation et satisfaction d’être possédée par mon homme: J’aimais, non, que dis-je J’AIME me faire sodomiser et sentir sa grosse queue en moi.
La situation m’excitait comme une folle: je me faisais prendre le cul là, en plein air avec le risque d’être vue à tout moment. Je commençais à gémir un peu trop fort à son goût et il m’intima l’ordre de me taire. Je me retenais au mieux, mais le plaisir était trop intense. Il me mit alors une main sur la bouche pour étouffer mes gémissements de plaisir.
Nous entendions les autres discuter en passant près de nous, le rire des enfants jouant un peu plus loin sur l’aire de jeux du parc, les aboiements d’un chien jouant avec son maître. Alors que nous, discrètement, nous étions en train de baiser au milieu de tout cela. De mon sexe gonflé, s’écoulait un constant et long filet d’excitation, "ma cyprine" comme je l’appelle, pendant que mon amant me ramonait le cul.
Mais je sentais que cela n’allait pas durer trop longtemps. En effet, je sentais déjà que mon homme avait beaucoup trop de plaisir pour tenir indéfiniment.Lui avais-je donné trop de désir avec les frottements de mon cul sur sa bite ? La situation et le risque d’être découverts l’avaient-ils trop excité? Ou lui avais-je déjà donné trop de plaisir avec ma fellation ? En tout cas, je sentais son sexe se gonfler régulièrement accompagné de petits halètements, preuves de son plaisir.
Proche de l’orgasme Jean me reprit les hanches de ses deux mains et redouble d’efforts. Il ne cessait de chuchoter qu’il allait jouir, que j’étais "trop bonne" et qu’il aimait prendre mon cul. Il écarta davantage mes fesses pour pouvoir aller encore plus loin en moi, puis après quelques trop courtes minutes à mon goût, il lâcha un "Làààààà, je te jouis dans le cuuuuul !" aussi long que sincère.
En effet, son sexe, déjà de belle taille normalement, se gonflait et durcissait au moment où ses flots de sperme se répandaient toujours plus loin à l’intérieur de mon corps dans une explosion de plaisir mutuel. Je me mordais d’ailleurs les lèvres en gémissant et fermant les yeux pour ne pas laisser échapper un cri de plaisir trop fort pour nous faire repérer.
Après encore quelques va-et-vient pour vider les dernières gouttes de sperme dans mon cul, il retira doucement sa bite et replaça le plug argenté dans mon anus:
— Ça fera bouchon, annonça-t-il en souriant, puis d’ajouter : je veux que tu gardes mon sperme dans ton cul le temps qu’on finisse notre marché. Tu as compris ma salope ?
En guise de réponse, je replaçai le tanga sur le bijou pour l’empêcher de sortir de mon cul dilaté et remis ma robe en place. Puis, je repris sa nuque entre mes mains pour lui apposer un long baiser nerveux.
— J’ai adoré maître, c’était trop intense. Il faudra remettre ça.— Ca, c’est à moi d’en décider, esclave !me rétorqua-t-il sèchement, mais toujours en souriant.
— J’ai envie de manger chinois ce midi, ajouta-t-il.
Nous sortîmes alors du bosquet et du parc pour reprendre notre visite du marché main dans la main. En quête de nems et de nouilles sautées. J’étais heureuse, sous le soleil d’été, main dans la main avec mon amant, comblée avec son jus en moi. La journée s’annonçait belle !
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