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Petit minou, soumise à demeure.

Chapitre 2

Première exhibition.

Voyeur / Exhibition
30 août 2014, 22 h : Je reçois un message de Maître Max, retenu au boulot plus tard qu’à l’accoutumée. [SMS,Maître Max]< Grosse cochonne, tu as rendez-vous à 22 h 30 sur un petit parking isolé, juste après la 2e sortie du rond-point de l’Alco. Karim attend pour te mater en train de te trifouiller le trou de balle, tes nibards posés sur le capot de la voiture. Quand tu auras joui, tu t’avanceras vers lui avec ta culotte sale de la journée en main. Il ouvrira la bouche pour que tu lui mettes à l’intérieur.
Je file dans la salle de bain me repoudrer le nez, j’enfile un petit gilet et je fonce à ma bagnole. Je trouve le parking sombre du premier coup et en effet un Marocain d’une vingtaine d’années m’attend. Je me gare près de lui... Il ouvre sa portière, je fais de même, et il sort ses jambes afin de bien se positionner face à moi.Je sors de mon véhicule et me poste face au capot, je défais le bouton de mon pantalon pour qu’il glisse, tout seul, sur mes chevilles.
Je me penche pour poser mon buste et ma tête sur la tôle chaude. Mon bras descend le long de mon ventre, tourne entre mes jambes. Mes doigts se frayent un chemin sous ma culotte pour s’enfouir dans ma raie et finir sa course en se posant sur mon bouton de rose. Je coince le fond de ma culotte sur l’arrondi de ma fesse. Je fais des petits cercles sur ma pastille, je la masse en couinant. Je sais qu’il a sorti sa teub et la secoue vivement, ça m’excite d’autant plus que j’entends son souffle derrière moi.Je couine fébrilement. Je plante un premier bout de doigts dans mon oignon, je lâche un petit cri de tiraillement et de plaisirs. Je tends de toutes mes forces mon bras pour le planter le plus profondément possible, je le racle contre ma paroi pour la détendre et j’enfonce vite les deux autres. Je balance très vite mes doigts de hauts en bas sans aucun rythme, la position me réduit dans mes mouvements. Le moment m’excite tellement, je me trouve si pute à branler mon cul devant un inconnu sur un parking.
Je jouis en poussant de longs cris.
Je me sors les doigts du cul, je me relève essoufflée, ma poitrine peine à contenir les battements de mon cœur, encore sous le choc des rafales de plaisirs. Je garde les yeux fermés et essaie de reprendre mes esprits pour terminer ma prestation. Je prends le couteau, que je cache toujours dans ma boîte à gant. Je coupe les deux côtés de ma culotte pour lui donner sans ôter mon pantalon de mes chevilles. Je place la lame dans les élastiques et le tire, avec force, jusqu’à ce qu’ils rompent, j’attrape mon sous-vêtement en boule dans ma main, et m’avance vers lui. Je ne montre rien, je suis froide, l’expression neutre avec une petite tendance hautaine.
Il me regarde dans les yeux et ouvre la bouche. Je ne lui donne pas son précieux tout de suite, je prends quelques secondes pour le toiser de toute ma hauteur.
Je lui fourre le tissu dans le gosier, en malmenant un peu l’ouverture de sa bouche. Je profite de l’infime pouvoir à ma portée et lui offre son cadeau d’un geste brusque et je repars dans ma voiture, le pantalon remonté jusqu’aux genoux et le cul à l’air. Je décide de rentrer ainsi à la maison, la moule agacée par le cuir de mes sièges.
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