C’est un samedi après-midi, tu m’as invité à passer la soirée chez toi, on s’est posé sur ton canapé pour jouer aux jeux vidéo. On est posé comme la dernière fois, c’est-à-dire, que je suis allongée sur toi, car je sais que tu l’aimes bien cette position. Tu m’as expliqué comment jouer pour gagner aux courses de voitures, et c’est à mon tour d’y passer. C’est moi qui ai la manette, je suis concentrée, toi, l’air de rien, tu promènes tes mains sur moi. Tu passes tes mains en me caressant les cuisses vers l’extérieur ou au niveau de ma poitrine, tu y passes légèrement pour doucement me donner envie à moi aussi. Tu en veux plus, tu te rends compte que je ne suis plus aussi concentrée dans le jeu qu’au début de la partie, tu augmentes donc la pression de tes caresses. D’un coup, tu me prends la manette des mains et tu mets le jeu sur pose. Tu me tires contre toi, je tombe en arrière, la tête posée sur tes genoux.À ce moment-là, tu viens m’embrasser, je te réponds par des bisous plus prononcés. Tu comprends que j’en veux bien plus. Tu passes tes mains à l’intérieur de mes cuisses, au-dessus de mon jeans, ma respiration devient saccadée. Tout en continuant à m’embrasser, je sens plus de pression sous tes mains, tu fais de petits ronds entre mes cuisses, mon corps ondule sous tes caresses. Sans un mot, tu t’arrêtes, me relèves, te lèves du canapé et me tires vers toi jusqu’au lit. Je suis dos au lit et tu es face à moi, tu me susurres à l’oreille : "t’en a envie ?". Je te réponds : "oui...", et t’embrasse dans le cou. Tu me pousses contre le lit, où j’y tombe et tu m’y rejoins. Tu me prends mes lunettes et les déposes sur ton bureau, tu fais de même avec les tiennes. Tu viens te positionner au-dessus de moi, reviens m’embrasser, et me soulèves contre toi, je m’accroche à ton cou pour ne pas retomber en arrière. Tu me retires mon pull et directement, tu en profites pour m’enlever mon soutien-gorge. Je me retrouve les seins nus devant toi, tu me reposes doucement sur le lit, enlèves ton t-shirt et viens m’embrasser une dernière fois avant de partir à la découverte de mon corps. Tu m’embrasses les seins et joues avec, en me titillant les tétons pour m’exciter. En même temps, tu passes tes mains au-dessus de mon jeans et sens les miennes passer dans tes cheveux : tu sais que c’est gagné, que j’en ai maintenant très envie. Tu te relèves et viens te positionner au bas du lit, me retires de suite mes chaussettes et mon jeans ; tu fais de même avec tes affaires puis reviens coller ton corps aux côtés du mien. Tu m’embrasses à nouveau, et parcours mon corps de tes mains. Moi, je passe mes mains sur ton torse, ton dos et autour de ton cou, pour venir t’embrasser. Tu me caresses au travers de mon shorty, tu m’excites, j’ondule mon corps au contact de tes mains. Je te pousse de côté, tu te retrouves allongé sur le lit, je viens donc me positionner à califourchon au-dessus de toi, je t’embrasse, je passe mes mains sur ton torse, mes mains descendent avec des caresses tout le long de ton corps, jusqu’à arriver au-dessus de ton caleçon, que je continue à caresser, pour sentir la bosse formée par ton excitation. En faisant cela, je t’embrasse et parcours ton corps de bisous. Tu me susurres à l’oreille de t’enlever ton caleçon, je remonte donc t’embrasser sur la bouche, je descends doucement, en passant par ton cou, ton torse, et je te fais des petits bisous à l’orée de ton caleçon, que je viens par la suite t’enlever. Je caresse ton sexe d’une main et de l’autre, je continue mes caresses sur ton corps. Je prends mieux ton sexe en mains et j’augmente légèrement la pression de mes caresses, en te faisant de long va-et-vient. Tout en faisant cela, je te recouvre de bisous par ci, par là. Tu en veux maintenant bien plus, tu es très excité et je le ressens. Tu me tires vers toi, je remonte et tu me pousses de côté pour venir prendre ma place, je me retrouve donc en dessous de toi, couchée sur le lit. Tu n’arrêtes pas de m’embrasser. Juste avec de petits bisous, tu m’embrasses la bouche, tu passes par mon cou, les lobes de mes oreilles que tu me mordilles, et tu viens descendre sur mon shorty, en étant passé sur ma poitrine. Tu continues les bisous, mais tu augmentes la pression. Tu m’enlèves ce dernier morceau de dentelle, qui te sépare de cet endroit si intime qui me donne tant de plaisir. Tu m’embrasses l’intérieur de mes cuisses puis enfin, tu viens à l’orée de mon sexe, tu passes ta langue sur mon clito, où tu y fais de jolies pressions en tournant autour de celui-ci. Je commence à respirer plus fort, je gémis légèrement, quand tu viens faire de doux va-et-vient avec tes doigts au fond de moi... D’abord doucement, puis de plus en plus vite et de plus en plus prononcés, je gémis plus fort. Je te dis, entre deux gémissements : <Prends-moi> ; . Tu n’attends rien de plus, tu retires tes doigts, tu mets un préservatif, et tu te positionnes au-dessus de moi, et viens me pénétrer. Je crie de surprise et de bonheur... Tu continues à m’embrasser, tu fais des va-et-vient, de plus en plus intense... En même temps, tu joues avec mes seins, tu me fais tellement bien l’amour, on prend énormément de plaisir. Là, je te demande de changer de position, (de faire ma position préférée 😉), on se positionne donc, et tu viens à nouveau me pénétrer. Avec cette position, c’est un peu toi qui diriges, tu en profites donc, tu t’amuses à accélérer pendant quelques secondes, mais très vite, pour d’un coup, faire de fort va-et-vient, mais bien plus lentement. J’aime cette sensation, tu le ressens par mes forts gémissements, je me caresse en même temps.À ma demande, tu continues les va-et-vient, fort mais doux à la fois, je sens le plaisir monter rapidement, et je te préviens, que je ne suis pas loin de l’orgasme. Là, tu accélères à nouveau, mais tout en continuant à me pénétrer fortement, pour que je te sente bien, tout entier, au fond de moi. D’un coup, je me mets à trembler et à gémir beaucoup plus fort, ton orgasme arrive en même temps. On jouit en même temps, et on fini par s’effondrer. Tu te recouches dans le lit, et je viens positionner mon corps contre le tien. On transpire tellement, et on essaie temps bien que mal, de reprendre notre souffle. Fin ❤
