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Ma petite amie se fait soulever pour notre anniversaire…

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Ma petite amie se fait soulever pour notre anniversaire…


Mes chères lectrices, et lecteurs, Cette histoire est une première pour moi, car elle m’a été demandée par l’un de mes lecteurs. Dans un premier temps, j’ai surtout cédé à la curiosité… Je suis une mauvaise fille, je sais. Mais en écoutant Jules se confier, je me suis rendu compte que sa confession ne me laissait pas indifférente et je suis entrée dans territoire interdit, un espace où se mêlent le désir et l’interdit, l’extase et la vulnérabilité. Avant que je ne le réalise, j’étais déjà en train de coucher ses souvenirs sur le papier avec un plaisir non feint, et légèrement émoustillée moi-même.Il est maintenant temps pour moi de partager cette confession avec vous, en espérant qu’elle vous fasse vibrer autant que moi… Bonne lecture. Bisous,

Timidement, Jules se tenait devant l’une des vitrines d’expositions de la bijouterie où trônaient fièrement des dizaines de bagues. Il cherchait la bague parfaite pour célébrer le premier anniversaire de sa relation avec Maya, la femme de sa vie. Alors qu’il examinait les différentes options, les souvenirs de leur rencontre se précipitèrent dans son esprit, comme un retour en arrière dans le temps.C’était lors d’une manifestation pour le climat où Jules avait croisé le regard de Maya pour la première fois. Hélas, la manifestation avait dégénéré en affrontement avec les forces de l’ordre… Alors qu’il était sur le point de se faire nasser, la jeune femme était venue le sauver, telle une héroïne des temps modernes, elle l’avait attrapé par la main, et l’avait guidée dans les ruelles tortueuses de la ville. Les mains moites, le cœur battant à 100 km heure, le jeune homme s’était laissé faire. Arrivée près du fleuve, la jeune femme lui avait lâché la main, laissant tout le loisir au jeune homme de l’admirer. Elle était magnifique. Maya était une jeune brunette au charme indéniable, se distinguant par sa personnalité vibrante et son attitude confiante. Mesurant 1m64, on était tout de suite frappé par ses courbes généreuses au niveau des fesses et une poitrine à l’inverse délicate, plus que menue. Passionnée par les causes sociales et l’activisme, les manifestations représentaient pour elle une plateforme pour exprimer ses convictions et défendre les idées qui lui tenaient à cœur. Engagée pour un monde meilleur, elle s’investissait sans relâche dans les combats environnementaux et sociaux. Et Maya portait fièrement son indépendance et sa liberté d’expression à travers son style vestimentaire. Elle avait une approche audacieuse de la mode, refusant de se conformer aux normes établies. Elle expérimentait avec différents styles, choisissant des tenues qui reflétaient son esprit libre et sa créativité. Pour elle, l’expression de soi était une forme d’art. Son extraversion rayonnait dans tous les aspects de sa vie. Maya était le genre de personne qui éclairait une pièce dès qu’elle y entrait. Bref une petite bombe de vie et de liberté qui fit immédiatement craquer le cœur du jeune Jules. De cette rencontre fortuite naquit une amitié, qui se transforma rapidement en romance entre les deux jeunes activistes. Quelques mois plus tard, ils emménagèrent ensemble dans un petit T2 pour vivre d’amour, d’herbe, de débats politiques et d’eau fraîche. Voilà ce qui amena en ce jour Jules dans une bijouterie.

La bague cachée dans sa poche, Jules rentra fièrement chez lui. En poussant la porte, il constata que Maya était déjà rentrée, ses Converses déchirées marrons traînant dans l’entrée, contrairement aux Stan Smith parfaitement rangées et symétriques les accompagnants sur le paillasson. Jules les reconnut immédiatement, elles appartenaient à Arthur, le meilleur ami de la jeune femme. Le garçon n’en fut pas surpris, leur camarade passait plus de temps chez eux que chez lui et leur appartement ressemblait un peu à un quartier général des activistes du quartier. En sortant du couloir, le propriétaire des lieux constata que la pièce de vie était vide. Ils étaient probablement dans la chambre. Ne voulant pas déranger ses deux compagnons et étant habitué à ses moments intimes entre les deux amis, Jules ne chercha pas à les rejoindre, il haussa les épaules, poussa un soupir se dirigea vers la cuisine, alluma la cafetière et laissa l’arôme du café emplir la pièce. Le bruit apaisant de l’eau s’écoulant et le parfum enivrant du café fraîchement préparé eurent un effet calmant sur Jules. Il prit une tasse de café fumant et s’installa à la table, laissant la chaleur réconfortante envahir ses mains. Une gorgée savoureuse lui apporta une sensation de réconfort, tandis que le goût riche et stimulant du café éveillait ses sens.

Soudain, un cri perçant monta de la chambre située de l’autre côté de la cloison. Jules reconnut immédiatement le cri strident de sa chère et tendre. Le jeune homme resta immobile, captivé par les bruits qui s’échappaient de la chambre. Des gémissements, des soupirs passionnés et le rythme des corps en mouvement envahissaient ses oreilles. Il pouvait entendre d’ici le gémissement bestial d’Arthur, et le bruit des fessées dont il était en train de répandre sa compagne. Il n’était pas difficile d’imaginer les deux amis en pleine levrette endiablée.Les images de Maya avec son ami se mêlaient aux sons qui atteignaient Jules. Les visuels détaillés et intimes de leur étreinte se superposaient aux bruits crus de leurs ébats. Des mots d’encouragement et de passion se mélangeaient à des déclarations de plaisir et de désir brûlant. Des « Oui », « Encore », et des suppliques enflammées résonnaient dans l’air, tournant régulièrement dans la vulgarité témoignaient de l’intensité de l’expérience partagée entre les deux amants.Puis ce fut le bouquet final, Maya se mit à crier dans toute la maison, comme une truie que l’on égorge. Jules ne connaissait que trop bien ce son chez sa compagne, c’était celui qu’elle poussait quand elle s’abandonnait totalement à l’orgasme et que maudissaient tous les voisins du quartier tant il était strident et fort. Au bout de quelques secondes, le silence revint dans l’appartement. Il ne fut rompu que par une porte qui grinça en s’ouvrant. Jules leva les yeux de sa tasse, dans l’entrebâillement de la chambre se tenait Arthur, nu comme au premier jour. Il ne put s’empêcher de se mordre la lèvre de jalousie en admirant l’éphèbe qui se grattait nonchalamment les couilles. Il était grand, musclé, des abdominaux saillants, bien dessinés, une coupe de cheveux parfaite qui donnait aux filles l’envie d’y passer leurs mains et surtout le plus important un sexe de taille et de diamètre supérieur à la moyenne des autres hommes. En relevant la tête, le jeune Apollon découvrit son ami et un grand sourire se dessina sur ses lèvres. — Jules ! Mon pote, s’exclama l’amant de sa compagne. Tu es rentré plus tôt que prévu. — Oui, ma course s’est terminée plus vite que prévu…
— Ah oui ! La surprise que tu voulais faire à Maya pour votre anniversaire, merde c’est aujourd’hui ? Jules se leva et laissa Arthur lui faire une accolade. Celui-ci lui fit la bise et au même moment Jules se raidit, ce que ne manqua pas d’aussitôt remarquer son invité. — Ah désolé gros, je sais, je sens le chacal, dit Arthur, sincèrement contrit pour une fois. Maya était sèche et j’ai dû lui bouffer la moule pour la lubrifier un peu, tu sais ce que c’est, ça ne sent pas la rose là-dessous. — Non ce n’est pas ça Arthur, tu m’as collé du sperme partout sur le jean et le T-shirt.— Ah merde ! s’exclama Arthur grand sourire, pas le moins du monde désolé de m’avoir étalé sa semence. La petite est dans les vapes, du coup je n’ai pas pu lui faire nettoyer mon sexe…L’impertinent regarda tout autour de lui, et sourit en apercevant ce qu’il cherchait. D’un pas décidé il est allé attraper ma serviette qui traînait sur le plan de travail pour se l’appliquer sur le sexe, je le vis presser lentement son gland pour faire sortir toutes les gouttes de spermes. Une nouvelle grimace se dessina sur mon visage. — Tu me fais un café ? — Si tu veux… Alors que j’étais en train de prendre une tasse, la porte de la chambre grinça de nouveau dans mon dos. Maya, en sueur, les cheveux collées sur le front, rouge de la rougeur post-sexe, les fesses écarlates et le corps recouvert de suçon sortit dans la pièce de vie, elle aussi nue comme au premier jour.— Putain, il faut que j’aille pisser ! jura ma petite amie. Tu m’as tellement blindé de sperme que je dégouline, le drap est foutu… Jules va encore râler d’aller au pressing. — Bwarf, je suis sûr que ça ne le dérange pas de dormir avec des tâches de sperme et de mouilles, ce n’est pas comme s’il n’avait pas l’habitude. — Oui, ce n’est pas comme si je n’avais pas l’habitude, répétais-je le sourire crispé. — Mon Amour ! s’exclama Maya, un grand sourire enfantin aux lèvres, qui lui découvrait toutes ses dents blanches. Le sourire spécial Maya dont j’étais le seul à qui elle le réservait et qui m’avait fait tomber irrémédiablement et irrévocablement amoureux d’elle. Heureuse et illuminée comme un enfant devant un magasin de jouets, ma petite amie s’est précipitée vers moi pour me serrer dans les bras et m’embrasser avec passion. Une petite attention qui me fit battre le cœur, mais qui au vu de la situation n’était pas la meilleure idée du monde. En effet, à chaque pas, du foutre sortait du vagin de ma petite amie et venait s’écraser dans un petit ploc sur le sol de notre appartement. Mais dès que ses lèvres touchèrent les miennes, j’oubliais tout et me laissais bercer par son étreinte. — Désolé mon cœur, me dit Maya en me caressant affectueusement une mèche de cheveux. Je ne dois pas être très agréable à embrasser… avec Arthur on a fait une fellation qui a un peu dérapé.— Comment ça ? m’enquis-je en serrant plus fort ma copine nue contre moi. — C’est simple mon pote, répondit Arthur à sa place. J’ai tiré Maya sur le bord du lit, je lui ai mis la tête dans le vide, puis je suis venu lui baiser la bouche. Tu sais comme elle adore ça ! Bref, j’avais toute sa chatte sous les yeux, et j’étais tellement à fond pour tenter un fist que je n’ai pas remarqué que la belle s’étouffait sur ma bite. — Bref, j’ai un peu régurgité, dit Maya fièrement en me faisant un clin d’œil. Les risques du métier, mais c’était trop trop bon. Toute meuf devrait essayer cette position un jour. — Grave ! Et je suis volontaire pour toutes les aider, comme je t’aide depuis plusieurs années à combler tes pulsions.À ses mots, Maya fit un petit cœur avec ses doigts à son sex-friend et lui adressa un rapide baiser de la main. Ce que j’ignorais en tombant amoureux et en devenant le petit ami de la fille la plus géniale du monde, c’était que celle-ci était un peu trop libérée sexuellement et qu’elle était accompagnée d’Arthur, « le seul homme capable de la faire monter au rideau » dixit Maya. Elle ne m’avait pas laissé le choix, soit j’acceptais son mode de vie et de la prendre comme elle était, soit notre histoire n’avait aucune chance. Vous vous en doutez déjà, mais j’ai choisi l’amour. Pour Maya j’étais prêt à tout, même à la voir se faire prendre par la Terre entière tant qu’elle me donnait l’exclusivité de son amour.
— Ah, mais au fait, Jules avait une surprise pour toi, pour votre anniversaire ! annonça fièrement le goujat, trahissant ma surprise. — C’est vrai ? s’emporta Maya, tremblante comme une enfant, et frappant frénétiquement des mains. Mince, moi qui voulais lui faire la surprise, lui préparer un petit dîner aux chandelles et lui offrir la bague dans un moment d’intimité où nous ne serions que tous les deux… C’était râpé. Maya tremblait littéralement sur moi et avait un sourire angélique sur le visage. Impossible de lui résister. Lentement j’ai sorti la boîte de ma poche. — Joyeux anniversaire de nous mon amour ! Ma petite amie s’est précipitée sur la bague et a poussé un cri de surprise et d’émerveillement, sautant sur place, elle a aussitôt passé sa bague à son annulaire. Elle m’a montré la bague, fière, puis m’a sauté dessus pour m’embrasser comme au premier jour. Elle pleurait de joie. — Elle te va à ravir mon amour, dis-je au bord des larmes. — Elle est magnifique, si tu savais comme je t’aime, me répondit Maya l’émotion perceptible dans le son de sa voix. Mille mercis mon prince. — Grave, ça te fais des petites mains canons ma belle, d’ailleurs, tu sais que ça m’excite grave d’imaginer cette petite main fraîchement baguée se poser et masturber mon sexe. Je sais, je sais… je suis un gros fétichiste, mais j’en ai trop envie, déclara Arthur tout fier, un vrai génie pour changer l’ambiance. En une fraction de seconde je vis le regard de ma copine changer, par une simple phrase, Arthur venait de faire passer Maya du mode « amoureuse transie » à son mode « nymphomane ». Elle tremblait contre moi, son esprit avait déjà imaginé la situation et ses instincts primaires prenaient le dessus. Maya me regarda en se mordant les lèvres pour me demander mon consentement, elle en crevait d’envie, mais elle ne voulait pas gâcher notre moment. Alors j’ai fait ce que je devais faire, j’ai approuvé d’un rapide hochement de tête. Heureuse, elle a déposé un rapide baiser sur ma joue et en sautillant de joie, elle est partie s’agenouiller à côté d’Arthur. Celui-ci, dans un élan de manspreading a repoussé sa chaise et écarté ses jambes pour laisser à sa chose la place qu’elle méritait. Maya a poussé un petit gloussement en prenant place, et dire qu’elle n’avait même pas été évacuer le sperme en elle de leur précédent ébat… Délicatement, Maya a posé sa main gauche sur le sexe tendu de notre squatteur, ils se sont souri à pleine dent. Entre nous, c’était vrai que la petite main baguée de ma copine sur le sexe de son amant était du plus bel effet. Délicatement, et en ronronnant de plaisir pendant qu’Arthur lui massait le crâne, la jeune femme a fait coulisser sa main le long de la verge de l’homme qui grossissait à vue d’œil. Au repos, le sexe d’Arthur imposait le respect, mais alors en érection, il dégageait une vraie puissance. Une puissance qui avait conquis la femme de ma vie. Celle-ci venait de glisser une partie de ses doigts dans sa bouche pour humidifier sa main, et fluidifier sa branlette, du haut de ses 22 ans, elle possédait déjà une sacrée expertise pour s’occuper d’un sexe d’homme. En même temps, elle le faisait par passion et avec un plaisir non feint. De ma place, j’étais aux premières loges pour profiter du spectacle. — Vas-y bébé, bien en rythme, gémissait Arthur. Puis rapidement, ce qui devait arriver arriva, la bouche de Maya se posa sur le gland et la branlette se transforma en fellation bien baveuse, où la bouche de ma chérie produisait des sons indignes de la fille bien élevée qu’elle fut dans sa jeunesse. Alors que le café disparaissait de ma tasse et que le fond devenait apparent, le fond de la gorge de ma chérie était aussi mis à contribution. La fellation ne se faisait plus en douceur, j’avais l’impression d’assister à un match de boxe, où chacun des adversaires voulait imposer son rythme à l’autre. Maya voulant déguster chaque centimètre de peau de la bite de son amant, pendant que celui-ci voulait exploser la bouche de sa tentatrice, un mélange d’égoïsme et d’avidité qui produisait pourtant une alchimie érotique de toute beauté. Arthur était rouge, il perdait, ma chérie le dévorait, il allait bientôt jouir. Hélas, en reposant un peu trop bruyamment la tasse sur la table, j’ai attiré son attention sur moi et lui ai offert une porte de sortie. — Tu sais mon pote, tu lui as passé l’anneau au doigt, mais moi mon truc c’est plus de détruire son anneau. Ça te dit que je détruise l’anneau de ta meuf en direct ? — Si tu penses en être capable…— Tu as entendu ma puce ? Un défi a été lancé ! Ça va être chaud pour toi, cria avec ferveur Arthur.— Je peux encaisser bien plus que ça, bouda Maya, déçue que l’on puisse remettre en cause ses capacités anales. Sans ménagement, Arthur redressa ma compagne et la plaqua sur la table, où ses minuscules seins n’amortirent pas grand-chose du choc. Le visage de ma compagne était à quelques centimètres du mien, pour l’instant serein, mais ça ne durerait pas. Ce n’était pas la première fois que j’avais l’occasion de voir ma copine se faire enculer, parfois je le faisais même aussi et on savait tous comment ça allait finir, elle allait prendre son pied, mais sa fierté allait prendre cher comme toujours. Dans un sourire complice, elle me tendit les mains, que j’agrippai aussitôt. — Tu ne me lâches pas, comme toujours ? — Jamais mon amour, tu peux compter sur moi.— Alors relions nos âmes et faisons l’amour ensemble, toi et moi. Laisse couler en toi le plaisir qui va inonder mon ventre. En toute honnêteté je ne croyais pas trop dans le délire karmatique de ma petite amie, mais la voir se faire prendre sauvagement devant moi ne me laissait pas indifférent. Du coup, je lui laissais croire que ses délires me menaient aussi à l’extase, alors qu’au fond j’étais juste moi aussi un fétichiste qui prenait son pied à voir sa copine se faire prendre devant lui. — Vous avez fini votre blabla, les âmes sœurs ? railla Arthur en faisant semblant de bâiller. Je peux passer à l’action ?Arthur claqua les grosses fesses de ma compagne et ses larges hanches pour s’encourager puis les choses sérieuses commencèrent. D’un geste de main expert, il a écarté les jambes de Maya pour s’offrir le bon angle de pénétration. J’ai rapidement compris que le sexe de l’homme était rentré dans l’anus de ma copine quand je la vis ouvrir la bouche en cœur, puis serrer les dents sous l’impact des premiers mouvements de pistonnage. Rapidement, des gémissements sonores s’échappèrent des lèvres de ma compagne, mais son regard ne quittait pas le mien. Puis les choses s’accélérèrent, une main ferme agrippa les poignets d’amour de Maya et la seconde ses cheveux. Il la tenait par ses mèches, l’obligeant à se cambrer au maximum. En rythme maintenant, Arthur la défonçait littéralement, j’entendais leurs corps claquer l’un contre l’autre, et les cris aigus assourdissants de Maya, et les râles rauques d’Arthur. Moi, je tenais toujours fermement les mains moites de ma moitié, qui étaient crispées sur les miennes, ses ongles s’enfonçant dans ma chair à chaque coup de boutoir de son bourreau préféré (car oui il y en avait d’autres…). Il donnait de grands coups de bite, ses cuisses claquaient contre les fesses de Maya, qui ne cessait de crier, de jurer, d’exprimer son bonheur. C’était bestial, Arthur insultait ma petite amie de tous les noms, pendant qu’elle en redemandait. Elle tirait la langue, ses yeux se révulsaient, puis d’un coup, le cri de cochon que l’on égorge et qui réveille les voisins sortit de la bouche de Maya, elle était sur le point de jouir. Ce qui arriva quelques minutes plus tard, quand elle ne finit pas son cri. Elle s’est écroulée sur la table, faisant lâcher prise à Arthur. Une larme de joie perlait sur sa joue et elle avait le souffle court, rouge, ivre de bonheur.
Il lui faudrait quelques minutes pour retrouver une consistance. Sans le vouloir, mon regard croisa celui d’Arthur qui était encore dans les fesses de ma chérie, et un petit sourire complice se dessina sur nos visages. Arthur et moi non étions les deux faces de la même pièce, nommée Maya, lui avait gagné son corps et moi son cœur. Nous étions inséparables et indispensables à sa vie.
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