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Ma petite belle-soeur

Chapitre 1

Inceste
J’avais une vingtaine d’années quand j’ai rencontré ma femme. Souvent le week-end, j’allais coucher chez ses parents. Ils ne voulaient pas qu’on dorme ensemble. Je dormais donc tout seul dans une chambre au fond, mais il fallait passer par sa chambre pour s’y rendre. Elle, elle dormait avec sa sœur un peu plus jeune qu’elle, un beau brin de fille, environ 1m70, un corps de sportive avec des petits seins assez fermes, et surtout de magnifiques yeux bleus.
Le matin, elles venaient me rejoindre toutes les deux dans mon lit et nous discutions de longs moments. Puis ma femme partait au travail et nous restions seuls avec ma petite belle-sœur à discuter. En effet, elle ne travaillait pas le lundi matin, comme moi.
Elle était en chemise de nuit et je pouvais deviner ses petits seins à travers. Un matin, sa jambe a frôlé la mienne et j’ai alors été envahi d’un grand frisson suivi d’une belle érection. Je crois que c’est depuis ce jour que je la désirais. Le soir, elle allait se coucher toujours en dernier. Dans leur chambre, il y avait une grande armoire avec un miroir. Je m’arrangeais pour qu’elle soit mise ouverte, ainsi je pouvais la regarder se déshabiller depuis ma chambre. Elle faisait glisser son jean et souvent, j’apercevais ses petites fesses. Puis elle enlevait son T-shirt et mettait sa chemise de nuit. Je découvrais alors ses petits seins. Je me suis souvent masturbé en la regardant.
Plus tard, alors qu’elle s’était mariée, elle est venue habiter la maison juste à côté de la nôtre avec son mari. J’étais super jaloux de lui. Depuis ma fenêtre, je la regardais longuement quand elle était au bord de sa piscine. Elle était d’ailleurs souvent seins nus, et je pouvais l’admirer en toute discrétion. Quand ils partaient en vacances, nous avions la charge de nourrir les poissons. C’est moi qui m’en occupais. J’en profitais pour aller dans la salle de bain où souvent elle avait laissé ses dessous. Et là, je humais longuement l’odeur de sa petite chatte. Dans sa chambre, il y avait une commode où elle rangeait toute sa lingerie : string, porte-jarretelles, soutien-gorge transparent... je découvrais sa sexualité. Je m’allongeais alors nu dans son lit et je me masturbais en respirant l’odeur de sa culotte.
Un jour, alors que j’avais été souffrant et étais resté couché, sa sœur lui avait demandé de passer voir comment j’allais. Elle est rentrée dans ma chambre et je l’ai aperçue à côté de mon lit. Elle portait une petite jupe courte et un chemisier un peu dégrafé. Alors qu’elle se penchait pour toucher mon front pour voir si j’avais de la température, j’ai aperçu ses seins dans son chemisier, elle ne portait pas de soutien-gorge. Mon sang n’a fait qu’un tour et je sentais mon sexe gonfler à l’intérieur de mon boxer. Elle m’a demandé si tout allait bien et si j’avais besoin de quelque chose. Je ne sais pas ce qui m’a pris, mais je me suis entendu lui dire : " j’ai besoin de toi, j’ai envie de toi ! " J’étais tout gêné, mais là, elle s’est alors approchée et m’a donné un long baiser. Je lui ai alors pris la tête dans mes mains et nous nous sommes embrassés longuement comme de jeunes ados. J’ai passé ma main dans son chemisier et je lui ai longuement malaxé un de ses seins.
Ses tetons étaient tout durs. Elle était très sensible de ce côté-là. Sa main s’est approchée de mon sexe, elle a commencé à me caresser à travers mon caleçon. Avec mon autre main, j’ai remonté le long de ses cuisses et commencé à lui caresser sa petite chatte. Elle était tout humide. Sa respiration s’accélérait. Elle a alors enlevé sa petite jupe et laissé glisser sa culotte sur ses chevilles. Puis elle est venue sur moi, ses jambes de chaque côté des miennes...
Elle m’a attrapé le sexe et a commencé à le frotter contre son entrejambe. Je sentais mon sexe glisser entre ses petites lèvres déjà toutes humides de cyprine. Elle le faisait glisser de bas en haut jusqu’à son clitoris et se masturbait littéralement avec.
Elle respirait maintenant de plus en plus fort et poussait de petits gémissements de plaisir. Puis elle s’est empalée à fond et après plusieurs va-et-vient, et elle a joui profondément. Son corps tremblait de partout et poussait encore de petits soubresauts. Elle s’est écroulée sur moi et nous nous sommes encore embrassés.
Je l’ai alors retournée sur le côté et l’ai pénétrée à nouveau profondément. C’était mon tour de prendre du plaisir et mon sexe était dur comme jamais. Je lui malaxais les seins et son corps se tortillait dans tous les sens. Elle n’a pas mis longtemps à jouir de nouveau et je sentais ma jouissance arriver aussi. J’ai alors fait un mouvement pour me retirer, mais elle m’a agrippé les fesses qu’elle a entourées de ses jambes. "Non, reste, j’ai envie de te sentir en moi. Ne t’inquiète pas, on ne risque rien, je ne suis pas féconde en ce moment ". J’ai alors joui longuement dans sa petite chatte humide. Je sentais mon sperme se répandre à l’intérieur. Elle m’aspirait littéralement avec ses petites lèvres que je sentais se contracter sur mon sexe. Nous nous sommes allongé l’un à côté de l’autre, nos jambes encore entrelacées et récupérant notre respiration. J’avais honte de ce qui venait de se passer et j’ai voulu lui demander pardon.
Mais elle m’a alors mis un doigt sur la bouche et m’a dit : "chut c’est notre secret et j’en avais très envie aussi depuis longtemps ". Nous nous promettons alors de ne pas recommencer et de garder cela pour nous. Je n’en revenais toujours pas, j’avais si souvent rêvé d’elle et là, nous venions de faire l’amour.
Nous sommes allés prendre une douche pour laver nos corps qui sentaient encore la sueur et le fruit de nos ébats. Nous nous sommes lavés mutuellement et alors que je frottais ses seins avec le savon, j’ai senti mon sexe qui durcissait à nouveau. Et là, j’ai effleuré ses fesses. J’ai pensé qu’elle allait me repousser, mais elle s’est alors cambrée en avant et a ouvert son sexe. J’ai donc repris le chemin de sa petite chatte et là, je l’ai pénétrée violemment. Ma bite s’est enfoncée d’un seul coup en elle et elle a poussé un petit cri. Je l’ai alors attrapée par les hanches et lui ai infligé de grands coups entre les reins. Elle aussi d’ailleurs m’a accompagné dans mes mouvements. Nos corps claquaient l’un contre l’autre. Elle gémissait de plus en plus fort et s’est mise à trembler de tout son corps. Tout son corps se contractait et elle a poussé un grand haaaaa...
De soulagement. N’y tenant plus, j’ai alors joui de nouveau en elle. C’était tellement bon. Nous sommes restés longuement ainsi dans la douche et nos langues se sont encore mêlées. Je lui ai raconté ce que j’avais éprouvé pour elle toutes ces années et toutes les fois ou j’avais eu envie d’elle. Elle m’a alors dit qu’elle savait, elle l’avait remarqué. D’ailleurs, elle m’avait vu depuis ma fenêtre. Et m’a dit qu’elle aussi s’était souvent caressée en pensant à moi. Elle s’était même imaginé être avec moi alors que son mari la prenait.
Depuis ce jour, nous n’avons jamais recommencé même si j’en ai encore très envie. Mais maintenant, quand nous nous croisons dans un repas de famille, nos regards complices en disent long et nous gardons notre secret.
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