Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 555 J'aime
  • 16 Commentaires

La petite bête

Chapitre 2

Inceste
Chapitre 2: L’examen.

Le lendemain, assez tard en milieu de matinée, je descendis prendre mon petit-déjeuner. Je retrouvai ma sœur dans le salon, devant une chaîne de clips musicaux. J’avais passé une nuit assez agitée, ponctuée par de nombreux réveils. Le souvenir de ma jumelle les cuisses écartées venait me hanter jusqu’au plus profond de mes songes. Depuis cette fameuse soirée, je parvenais difficilement à discipliner mon esprit, et la moindre chose m’évoquant Emma suffisait à me faire perdre les pédales, voire à déclencher une érection incontrôlable. Je devais néanmoins m’enquérir de sa santé.
— Alors ton petit problème est arrangé ? Et tu n’as pas de trace rouge circulaire ou de signe d’infection ?— Oui tout va bien, grâce à toi ! Je n’ai rien vu de particulier ce matin en regardant. — Tant mieux. — Mais tu voudras bien vérifier ? Je ne suis pas tout à fait certaine...
Je ne m’attendais pas à sa demande. J’étais encore loin de me remettre de mes émotions de la veille, qu’elle me demandait de l’examiner à nouveau... J’avais marqué un temps de réflexion visiblement trop long à son goût.
— Allô? Tu t’es réveillé avant de te lever ? — Oui... Désolé, j’n’ai pas très bien dormi... Je t’avoue que cette histoire de tique m’a un peu perturbé. — Mhooo t’es trop chou, tu t’inquiètes pour moi ! dit-elle d’un ton exagérément sarcastique.
Je marquai une pause une nouvelle fois avant de lui répondre, incapable de masquer mon malaise. La semi-léthargie due au réveil et à ma mauvaise nuit n’arrangeait pas les choses non plus.
— Ben oui, tu ferais pareil pour moi. Mais si tu n’as rien vu d’alarmant ce matin, ça veut dire que tout va bien. Inutile que je vérifie. — Je t’ai dit que j’étais pas certaine. J’ai pas un bon angle de vue, et même avec un miroir, c’est compliqué de bien voir. — D’accord, on vérifiera après si tu y tiens, mais d’abord laisse-moi émerger et prendre mon petit-déjeuner ; tu veux bien ?
Elle souffla ostensiblement, en levant les yeux au plafond. Elle savait s’y prendre pour me faire culpabiliser, mais j’avais besoin de gagner un peu de temps et de me préparer mentalement avant de me retrouver à nouveau devant son intimité.

En début d’après-midi, après avoir usé de nombreux stratagèmes pour retarder l’inévitable, Emma m’appela d’une voix forte du haut des escaliers afin que je la rejoigne dans sa chambre. Notre mère, qui se trouvait avec moi dans le salon, leva un sourcil interrogateur sans pour autant me questionner. Elle s’était presque aussitôt replongée dans le reportage diffusé par le journal télévisé. C’est donc résigné, et avec la boule au ventre que je montai à l’étage rejoindre ma sœur. Avant d’entrer dans sa chambre, j’eus une sorte de pressentiment. Bien que je n’envisageais rien de déplacé à l’égard d’Emma, j’avais le sentiment que la situation pourrait rapidement déraper. Plus ou moins consciemment, je craignais de franchir cette porte, au risque de me retrouver dans l’incapacité de réagir correctement et de contrôler la situation, et surtout de le regretter ensuite...
Lorsque j’eus finalement franchi la porte de sa chambre, mon excitation et une forme d’impatience prirent aussitôt le dessus sur mes ridicules états d’âme. Elle était si belle et si désirable. Elle portait son débardeur rose pastel ainsi qu’une jupe qui dévoilait ses délicats genoux. Elle m’attendait, sagement assise sur son lit, les bras croisés, en affichant un ennui un peu trop prononcé pour être crédible. Nous restâmes ainsi à nous fixer de longues secondes, le temps pour moi d’admirer quelques-uns de ses battements de paupières, et de prendre la mesure des battements de mon cœur qui s’emballait un peu plus à chaque seconde.
— Il était temps, dit-elle sèchement. — Je ne suis pas médecin je te rappelle, si tu n’es pas contente, on peut toujours appeler maman. — Non ça ira ! Désolée de te presser de la sorte depuis ce matin, mais j’aimerai vraiment avoir la certitude que je n’ai rien attrapé à cause de cette tique...
Elle semblait sincèrement inquiète, mais la connaissant bien, je lisais aussi de la malice sur son visage, et son intonation de voix n’était pas tout à fait habituelle. De mon côté, je ressentais la même émotion que la veille lorsqu’elle m’avait dévoilé pour la première fois son intimité, mais en plus intense. C’était probablement parce que je savais déjà à quoi m’attendre, et m’en réjouissais d’avance. D’ailleurs, mon érection ne s’était point fait attendre, et se trouvait heureusement masquée par mon jean. Étant donné que j’étais resté sans bouger à l’entrée de sa chambre, elle me fit signe d’approcher.
— J’ai mis une jupe, ce sera plus pratique, je n’aurai qu’à la relever pour que tu jettes un œil. — D’accord, comment procède-t-on ? Comme hier ? — Oui, ce sera plus confortable et tu auras le même angle de vue comme ça. Il ne me reste plus qu’à me débarrasser de ma culotte, susurra-t-elle.
Joignant son geste à la parole, elle se mit debout pour faire glisser sa petite culotte en coton blanc le long de ses jambes. Lorsque le sous-vêtement eut atterri à ses chevilles, elle l’envoya valser un peu plus loin sur le sol d’un habile mouvement de sa jambe. Cette scène aux accents érotiques réveilla en moi un instinct sauvage que je ne soupçonnais pas. Le temps d’une fraction de seconde, je m’imaginai la prendre sauvagement en levrette, sa culotte encore à ses chevilles. Je m’efforçais de reprendre mes esprits lorsqu’elle m’interpella.
— Ça va ? Tu as l’air ailleurs ? — Ça va, c’est juste que cette situation est gênante pour moi. — Arrête un peu de faire ta mijaurée !
Sans davantage de cérémonie, Emma releva sa jupe tout en écartant les cuisses et s’installa à demi allongée sur ses coudes. Mon regard fut immédiatement attiré vers l’intérieur de ses cuisses. Son sexe semblait humide, et ses petites lèvres étaient légèrement gonflées et semblaient plus foncées que la veille. Son clitoris, de la taille d’un petit pois, était facilement visible sous son capuchon. J’avais ainsi la certitude qu’elle était excitée au moins autant que moi. Lorsque je relevai la tête un instant, je vis qu’elle me fixait intensément, les lèvres légèrement retroussées et pincées. Son visage était clair, j’y déchiffrais de l’envie et de l’impatience. Il s’agissait soit d’un message délibéré, soit elle ne parvenait pas à le cacher, ce qui n’était pas pour me déplaire dans les deux cas. Je compris qu’elle n’interviendrait pas et j’avais désormais la ferme intention de prendre mon temps pour retrouver la zone à inspecter.
Une fois accroupi entre ses jambes, je posai l’extrémité de mes doigts de part et d’autre de sa vulve et j’entrepris d’écarter délicatement les grandes lèvres. J’en profitais pour apprécier la douceur et la chaleur de sa peau à cet endroit, tout en admirant son intimité parfaitement ouverte et exposée. Je retrouvais également l’odeur intime de ma jumelle, pour mon plus grand plaisir. Je constatai plus clairement la présence d’une quantité appréciable de cyprine, particulièrement entre ses petites lèvres, ainsi qu’à l’entrée du vagin. Tel un explorateur découvrant un trésor, j’avais très envie d’en profiter, et dans le cas présent, d’y goûter. Je poursuivis donc mon exploration en m’approchant de son intérieur, sans me priver de tâtonner autant que possible la chair sensible sous mes doigts.
Afin de vérifier tout de même l’absence de trace suspecte à l’endroit de la morsure, j’écartai davantage sa grande lèvre gauche tout en maintenant sa petite lèvre gauche avec deux doigts pour bien dégager le sillon qui les sépare. Pour faire bonne mesure, je massai doucement sa petite lèvre gonflée de désir de haut en bas, jusqu’à effleurer son petit bouton. À cet instant précis, Emma écarta encore un peu plus les cuisses et laissa échapper un soupir à peine retenu. Encouragé par les effets qu’avait mon traitement sur elle, je fis de même pour son autre petite lèvre, bien que je n’avais rien à y vérifier. Emma n’eut rien à y redire, elle s’abandonnait complètement. L’examen venait de se transformer en une masturbation en règle. Je pratiquais mes caresses sur la totalité de son sexe, en insistant autour du clitoris avec des mouvements circulaires, tout en variant la pression. Je descendais régulièrement jusqu’à l’entrée du vagin, sans y aventurer plus qu’une demi-phalange.
Ses gémissements s’accentuaient progressivement, bien qu’elle faisait de son mieux pour les étouffer. Son bassin remuait au rythme de mes attouchements, et elle le soulevait un peu plus à chaque fois que mes doigts approchaient son puits d’amour. Répondant à l’invitation, je la pénétrai de deux doigts, profitant de sa lubrification abondante. J’appliquai de lents, mais profonds va-et-vient, appréciant la délicieuse sensation des parois vaginales sur mes doigts. Dans le même temps, mon autre main s’activait toujours sur son clitoris, le triturant efficacement jusqu’au moment critique du trop-plein de jouissance. Son corps se tendit soudainement, et son sexe se contracta à plusieurs reprises autour mes doigts avant que la force des contractions ne les y expulse. Elle retint un profond gémissement, et malgré ses yeux fermés, ses pommettes écarlates et son visage crispé par la jouissance, je n’avais jamais trouvé ma jumelle aussi sublime qu’à cet instant.
— MATHIEU ! C’est pour toi à la porte d’entrée, dépêche-toi !
Je sursautai en entendant la voix de notre mère provenant du bas des escaliers. La montée d’adrénaline me ramena brusquement à la raison, et je sautai sur mes pieds. Emma referma instantanément les cuisses et se redressa. L’espace d’une seconde, mon prénom scandé de la sorte retentit en moi telle une remontrance, avant de laisser place à une vague de soulagement en comprenant qu’elle m’appelait simplement. L’excitation retombée, j’étais envahi par le remords, mais en même temps déçu d’avoir été interrompu en cet instant d’intense volupté. Avant de quitter la pièce, je lançai un dernier regard en direction d’Emma, qui paraissait également secouée par ce soudain retour sur terre, mais qui trouva la force de m’adresser un timide sourire.
Il s’avérait que l’impromptu visiteur requérant ma présence à la porte d’entrée était mon meilleur ami, venu me déposer des affaires oubliées chez lui. Il avait beau être mon ami, je le maudissais intérieurement pour son intervention, et le congédiai aussi vite que la politesse et la bienséance le permettaient.
Plus tard dans l’après-midi, je croisai Emma qui portait toujours sa jupe. Je n’avais pas eu le courage de retourner à l’étage, préférant rester dans le salon avec ma mère à ruminer sur ce qui s’était passé avec ma propre sœur jumelle. Je réfléchissais à ce qui aurait pu se produire si nous n’avions pas été interrompus, mais difficile de prédire jusqu’où la magie du moment nous aurait amenés. Peut-être valait-il mieux ne jamais le savoir. Emma ne fit que passer chercher un encas à grignoter dans la cuisine avant de disparaître. L’un comme l’autre fîmes comme si de rien n’était, surtout en présence de notre mère, par crainte qu’un simple regard innocent ne trahisse tout l’inverse. Mes pensées se bousculaient, si bien que j’étais terriblement partagé entre le remords et le désir qu’elle m’inspirait désormais. Je ne pus m’empêcher de me demander si elle avait enfilé sa culotte sous sa jupe.
Bien sûr, au fond de moi j’espérais que non, et je fantasmais volontiers sur le sujet tout en l’imaginant assez précisément.
Diffuse en direct !
Regarder son live