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Petite bite

Chapitre 2

Orgie / Partouze
On retrouve notre trio le samedi matin au réveil avec le téléphone portable de Mira déchainé. — Quel est le con qui nous réveille si tôt le matin ? Se plaint Emma.— Ce n’est jamais que mon mari, ton supérieur.— Allo, qu’est-ce que tu veux mon chéri. — Tu comptes rentrer quand ?— Pour une fois que j’ai rencontré un champion hors catégorie de lèche minou, tu ne vas pas me casser ce bon coup !— Mais j’ai vu qu’il avait une petite bite, tu ne dois pas le sentir.— Petite, mais je te jure qu’il sait s’en servir et elle est tellement mignonne et d’un goût très agréable. Tu pourrais prendre des leçons.— Mais tu es vraiment une trainée— Mais non mon chéri, simplement j’apprécie un homme qui m’apprécie sexuellement et ne m’impose rien, il arrive à jouir sans me traiter de salope ou de trainée. — En abrégé, tu rentres quand ? — Ce soir, je rentre te faire le souper, entre temps va au resto.— Donc à ce soir. Thierry à ce moment, propose : après le déjeuner, on passe sous la douche et on fait un petit footing, j’ai faim de mes belles chattes après l’effort. Je salive déjà à l’idée de savourer votre peau après l’effort. — Tu es quand même un cochon. Remarque Mira — Pas spécialement, mais si j’aime la transpiration fraiche, mais j’ai horreur de l’odeur rance de la vieille transpiration. On retrouve nos trois en survêtements sur la piste Vita se donnant à fond dans le parcours. Thierry voit devant lui deux paires de fesses délicieuses se ballottant au au rythme des pas. Il salive déjà en pensant au festin qu’il va avoir à l’arrivée. Arrivé à la buvette, l’équipe s’arrête pour se faire une petite bière. Thierry sent la douce transpiration fraiche de ses deux femelles et il passe sans arrêter de l’une à l’autre, les embrassant dans le cou, les humant et leurs glissant dans l’oreille :— Je suis impatient de pouvoir vous lécher en entier à la maison, on ne va pas trop s’attarder et laisser refroidir, mais la bière va encore augmenter le parfum. — On ne va pas trainer, je suis aussi impatiente de me faire apprécier, minaude Mira et surtout de déguster ton sexe si mignon, que l’on peut déguster sans se démonter les mandibules. — Moi aussi dit Emma et je me réjouis de gouter à nouveau ton coquillage. — On paie et on rentre ajoute Mira, je ne tiens plus. Arrivé à domicile, les trois se précipitent vers la chambre à coucher et les vêtements giclent de part et d’autres et ils se jettent les uns sur les autres comme des bêtes affamées de stupre. Surtout Thierry, il n’arrête pas de lécher à droite à gauche en bandant comme un tigre et ces deux coquines, quand une n’est pas directement l’objet des attentions de Thiery n’oublie pas de le tutluter. Sur excité, il a déjà lâché deux fois sa crème dessert. Lui-même a le menton plein de cyprine qui lui fait un bas du visage comme si il avait de la crème à rase autour de la bouche.
Une fois la folie libidineuse assouvie, les trois se retrouvent et commencent à discuter : Mira :
— Je me pose une question, parfois, je visite un club de lesbienne, est-ce que Thierry n’y ferait pas un malheur. — Ce serait une expérience à tenter, mais j’aimerai toujours y assister et que ce soit moi qui donne l’autorisation.— C’est évident, mais je te comprends, certaines sont de vrais ogresses. Qu’est-ce que tu en penses Thierry ?— Moi, j’aime tout ce qui plait à ma chérie, mais j’ai horreur de souffrir et je ne supporte pas l’humiliation. À part cela, si je peux trouver du plaisir réciproque j’en serais enchanté. — Je vais voir cela avec celle qui mène le club, est que vous seriez d’accord que je l’amène ici, Cela me gêne d’organiser etc chez moi, avec mon plantigrade de mari, c’est pas gagné. Dit-elle ne caressant le sexe de Thierry qui est tout recroqueviller. J’aime sentir ton sexe au repos, c’est doux, tendre, en manque total d’agressivité. J’adore !— Ne l’use pas trop, je veux bien te le prêter, mais j’aimerai toujours être présente. N’aie crainte, mais j’aime bien satisfaire mes fantasmes. J’ai pas eu de garçons à élever.
Quelques jours plus tard, le trio se retrouve avec la directrice du club Martina, assez virile, une montagne de muscle, mais très gentille. Elle s’est musclée, dans la peur que se renouvelle un événement qui l’a marquée, un viol très violent.
— Ainsi, vous voudriez présenter Thierry dans mon club qui est réservé qu’aux femmes. — C’est mon idée, souligne Mira, il a certaine particularité qui pourrait plaire aux femmes de votre club. Il n’a pas un sexe agressif, au contraire et il est un maître, ceinture noir 8 ans de broute minou. — C’est vrai qu’il a l’air très doux, si il peut se déshabiller et faire une démonstration. Mais Thierry ne bouge pas, il reste à sa place immobile les yeux baissés. — Il est sourd ou il ne sait pas obéir ?Tonne Martina qui commençait déjà à retirer son body. Mira : — Qu’est qui se passe Thierry, elle te fait peur ?Thierry :— Non, mais j’attends la permission de Emma !Martina :— Ah ! C’est bien, j’aime mieux cela, Alors Emma ?Emma :— Qu’est-ce que tu en penses mon chéri, cela te plairait ? C’est une femme très forte, mais je crois très gentille. Thierry :— Si j’ai ton aval, je veux bien, mais comme tu l’as dit, je veux que tu contrôle toujours la situation. Là- dessus, il se déshabille en présentant ses attributs sexuels. — Intéressant, on dirait un très gros clito. Viens ici que je puisse voir si il a bon goût. ! Là dessus, elle l’attrape et le pose debout sur ses genoux musclés et la bistouquette de Thierry se trouve juste à hauteur de sa bouche. Elle le prend et commence à le pomper, pomper, pomper, elle lui presse les pruneaux délicatement. Mais rien n’y faitMartina : — Tu ne jouis jamais ? J’aimerai bien voir si ta crème est comestible pour une lesbienne !Thierry :— j’ai toujours de la peine si je ne peux pas au préalable faire plaisir à la dame en la léchant et j’attendais que vous me le demandiez.Voila et en quelques mouvements dans la bouche, sa purée de pruneau va recrépir les amygdales de Martina. Martina :C’est un phénomène, il se donne à la commande. C’est pas habituel, Je reconnais que ce petit sexe va faire des adeptes, toutes les femmes qui sont fatiguées de devoir absorber des pieds de biches sans délicatesses. Maintenant, tu m’as excité, tu veux bien t’occuper de ma moule, elle t’attend.Thierry :— Emma, je peux ?Emma : — Oui mon chéri, je suis sure que tu me feras honneur. Thierry plongeant entre les cuisses musclées a de la peine à atteindre la fleur de luxure de Martina :— Martina, tu n’écarterais pas un peu plus les cuisses, j’ai de la peine à y mettre ma têteMartina : — On va faire autrement si j’arrive encore, je vais en position dandayamana-bibhaktapada-paschimotthanasanComme cela cela devrait aller si je le fais étant sur le dos. Finalement elle se met sur le dos, écarte au max ses jambes et de fait ses jambons aussi, elle tire les jambes vers sa tête, malgré sa musculature elle est extrêmement souple, et finalement maintient la position en prenant ses chevilles avec ses mains. — Ouah ! Avec tout tes muscles, tu arrives encore à faire de telle position?S’exclament les trois spectateur.On voit bien se dessiner un beau sexe, sans poil qui inévitablement attire la langue de Thierry :— Ah ! Je sens que je vais me régaler, juste dommage que ce ne soit pas après une séance d’entrainement. Ce serait encore meilleur. Il s’applique à bien lui lécher sa moule qui n’est pas encre ruisselante de cyprine et un peu emprunté, il se dirige vers la fève qui orne le haut de son sexe, après quelques bons coups de langue placés amoureusement, le miracle de la nature se produit et comme un diable au fond de sa boite, le clito s’est tenu caché, mais dès les premières léchouilles, il quitte son abri et se dresse fièrement en transmettant aux glandes adéquates qu’il serait temps de se réveiller. Mama mia ! Crient-elles on arrive. Thierry heureux voit le terrain quitter son statut de désert de Gobi pour se transformer en marécage des Everglades, Du coup, il abandonne la succion de ce monstrueux clito pour aller se délecter sur les grandes lèvres en passant et repassant sa langue, puis doucement en écartant un peu la viande, lèche avidement le fruit de corail qui s’en dégage, Il sort sa langue de genevois ou de parisien pour la planter le plus profond possible, un peu à la manière d’un colibri qui va butiner une fleur exotique.
Martina : — Effectivement, Médaille d’or du broute-minou. - Attends un peu, je n’ai pas traité l’entrée de service, il ne faut pas négliger le personnel et les livreurs. — Tu ne vas quand même pas m’enculer gronde Martina. — Oh ! Non, je n’oserai pas, surtout si tu es aussi musclée0 du cul que du reste, mais j’aime bien aussi ripoliner cette partie. — Fais, je te promets que je ne vais pas attraper ta langue avec les muscles de l’anneau culier. Dit-elle ne rigolant à l’image de Thierry devant la suivre, la langue coincée dans son cul. — Sais-tu que je suis impressionné par ta musculature et ton aspect viril, ce qui est un peu paradoxal pour une lesbienne. — Pourquoi, si je veux jouer le rôle de l’homme, il faut bien que mon allure s’apparente. Mais c’est sur d’autres critères que l’on devient lesbienne — Alors, sans vouloir te vexer, je comprends pourquoi c’est un peu moins gouteux que pour les autres femmes, tu prends de la testostérone pour augmenter la masse musculaire ? — Oui, si on veut avoir une « grosse » musculature, c’est indispensable. — Mais malgré tout, c’est quand même bien bon et cela change avec le goût féminin. J’espère pouvoir m’y habituer. — N’oublie pas mon chéri qu’il faut me demander toujours la permission. J’aime bien faire plaisir à mes amies, mais si il y en a une qui pense te chiper, ce ne sera plus mon amie. — J’oublie pas mon amour, c’est évident que ce que je dis, c’est en supposant que tu sois d’accord. Je proposerai un challenge, qu’elle gagne un concours (en un mot et pas en deux) de léchouille avec toi Martina. Répond Thierry— Que le meilleur gagne Qu’en penses-tu Mira ? Pour pas qu’il y ait de favoritisme, on tire les cartes. Roi rouge, roi noir vs dame rouge et dame noir, les couleurs vont ensemble. Les rois Martina et Thierry vont tirer leurs couleurs et nous avec Mira, on va choisir les nôtres à la cuisine. On se retrouve dans une minute dans le lit chacun avec sa carte. Point spécial du règlement, les mains des concurrents ne servent pas à exciter.
Ironie du sort, Martina se retrouve à devoir lécher Emma et Thierry se réjouit déjà de pouvoir à nouveau déguster la moule de Mira. À ce moment là, Martina pas trop contente, craignant une crampe à la mâchoire, propose que l’on fasse des manches aller retour. Et qu’on additionne les temps.
La proposition est acceptée. La course est lancée, Martina d’une langue agile et puissante ramone la fleur de corail d’Emma qui sent le plaisir lui tordre le ventre, mais Thierry contre-attaque et se lance dans un léchage très technique qui fait décoller Mira de plaisir.Les deux concurrents sont vraiment aux coudes à coudes, Ils sont en vue de la dernière ligne droite, On sent que Martina dont le muscle le moins développé est la langue commence à fatiguer, elle s’essouffle, elle a beau tirer la langue au max, on voit que le professionnalisme de Thierry fait merveille.Les deux cobayes ont de plus en plus de peine à contenir les assauts linguaux des participants. Mira a le visage cripé par la jouissance, on sent qu’elle ne va pas tarder à rendre les armes. Ça y est le couple Thierry-mira vient de remporter la manche avec une bonne langue d’avance sur le couple suivant. A la deuxième manche, Thierry se met sur le dos et Mira attaque tout de suite l’ascension du petit Cervin, la voie est parsemée d’embuche et il faut pitonner dur pour ne pas dévisser, qu’est-ce que cela serait si c’était le grand Cervin. Elle se donne tant que l’avance de la première ronde n’est pas entamée, au contraire elle est bonifiée car Emma elle n’a pas à gravir mais à s’enfoncer dans les entrailles de la connasse géante de Martina. Pour descendre, c’est facile, mais la remontée est très laborieuse et surtout les jambons de part et d’autre de l’objet du con court désavantage singulièrement la concurrente. Finalement Thierry d’une secousse magistrale recrépit les amygdales de Mira, marquant par ce fait la victoire sans discussion de la première équipe et renforçant le titre de roi du broute-minou de Thierry. La deuxième équipe sportivement félicite la première qui lui a mis la branlée, elle confirme Emma dans son rôle de maîtresse de Thierry et pour obtenir ses faveurs, il sera utile de montrer patte blanche ou langue de velours.On retrouve le lendemain Emma et Martina dans le bureau de l’usine qui papotent un peu quand l’interphone sonne et Tom demande son assistante de venir dans son bureau. — Bonjour Emma, bien remise de cette fête ? — Je dois dire que de la suite, j’en garde pas un souvenir fabuleux— Pourrais-tu passer sous la table ? Il y a quelque chose qui t’attend !— tu t’es au moins lavé la zigounette ?— Il faut bien que tu t’habitues à ce délicat parfum !— Attends juste un peu, je vais dans mon bureau et je reviens. — Ne tarde pas trop !De retour dans son bureau, elle met au courant Martina du problème et lui dit qu’elle n’a vraiment pas envie de faire ses caprices. .— Laisse moi y aller, je vais remettre les pendules à l’heure, dit Martina. Il ne sera pas content, mais on va se marrer. Elle sort du bureau et frappe à la porte du bureau de Tom. - Entre et dépêche-toi! D’un geste décidé, elle pénètre dans le bureau et avant qu’il sorte un seul mot : — J’ai quelque chose à vous dire : je n’apprécie pas du tout que vous vous intéressiez à ma femme. Lui dit-elle en s’approchant menaçante vers le bureau. L’autre le super homme qu’il se croit se dit : je vais lui mettre une avoine et après elle la fermera. Manque de pot, Martina, suite à ses déboires n’a pas seulement seulement fait du body-building, mais est ceinture noir d’aïkido et il se trouve à ses pieds avec son poignet à la limite de la rupture. — Ainsi mon brave, vous vouliez me frapper. Moi je vais vous apprendre le respect et la soumission.
Sur ce elle lui descend le pantalon et le slip, lui attrape le sac avec les couilles, bien en main. Elle soulève sa jupe et enlève sa culotte en le tenant malgré tout par les couilles.
— Tu vas me lécher le cul pour que je puisse m’enculer avec ton outil, il a l’air intéressant. — Mais je ne le fais jamais, je refuse !— Est-ce que je t’ai laissé une option ? tu sais ce que j’ai dans les mains, tu aimerais les garder intactes je suppose. Va est lèche bien que je puisse bien me sodomiser. — Si je peux te sodomiser, je veux bien faire un effort, c’est pas tous les jours qu’on peut se farcir une brouteuse de minous— Tu as mal compris, je vais t’utiliser pour me ramoner le cul, toi tu n’auras qu’à décharger, mais pas à participer. Allez au travail, dit-elle en lui tenant toujours les coucougnettes et ne joue pas l’enfoiré, car tu serais invalide à vie.
Obligé, Tom avec une mine dégoutée commence à lui lécher le trou de balle.
— Applique toi un peu plus, je veux que je puisse t’introduire sans douleur. Sinon, je fais de la purée de pruneau ! Voila, maintenant, tu couches sur le dos en présentant ton outil. Branle-toi un peu, j’aimerai bien avoir autre chose qu’une nouille molle. Bon, j’essaye.Toujours tenant d’une main les couilles, elle descend sur la bite de Tom qui malgré tout, enchanté de la tournure présente une belle érection. Une fois arrivée au fond, elle cale confortablement ses fesses et son cul sur le bas ventre. — Ce que je ne t’ai pas dit, c’est que j’ai suffisamment de force dans le trou du cul pour te bloquer la bite, tu verras au début c’est très agréable, mais plus tu vas en avant plus c’est douloureux car le sang s’accumule dans les corps creux. Si tu essayes de la retirer, ne pense pas que je perdrais, tu risques d’avoir la bite sectionnée. — Non, je ne m’oppose pas, je ne suis pas fou. — Emma ! Viens lui masser la prostate qu’il lâche sa purée. — C’est pas facile comme vous êtes placés. — Je vais lui tirer les jambes en avant, cela devrait aller. Suite au traitement de ces deux tigresses, Tom est obligé de rendre les armes et part dans une éjaculation abondante dans le cul de Martina. — C’est bien, j’ai presque eu du plaisir explique Martina, maintenant, vient me nettoyer avec ta langue que tu aies un aperçu de ce que tu demandes aux autres. — Mais...— Il n’y a pas de mais, c’est ça ou de tes couilles j’en fais un collier. Péniblement, vaincu, (pas trente) Tom se résigne de nettoyer le fion de cette folle, il n’a pas envie de perdre ses précieuses noisettes. — Pouah, c’est vraiment crade. La crème de rupettes au chocolat digéré. — Continue, je suis sure qu’il y a encore à nettoyer et surtout, j’aime bien sentir ta langue sur mon fion, Si tu t’encourages, tu pourrais éventuellement arriver à me donner un orgasme. Après, je te laisserai tranquille si tu me promets qu’Emma n’aura plus à se plaindre de ta conduite. Tu lui augmenteras substantiellement son salaire par la même occasion. — Emma, tu as bien tout filmé au cas qu’il ne tiendrait pas ses engagements. — Oui, une super vidéo, je suis sure qu’on en obtiendrait un bon prix sur un site spécialisé. — Salope, vous me tenez doublement par les couilles. Mais il faut dire que j’ai pris un magnifique pieds, ce que vous n’aviez pas prévu. — j’en suis flattée, par compensation, tu accordes un congé pour cet après-midi, elle m’a promis de me faire goûter son saint Emilion personnel, qui je suppose sera nettement plus goûteux que le fruit de mes intestins arrosé de ton sperme. Les deux copines partent en riant comme des folles. — On l’a bien eu ! Dit Emma, j’espère qu’il n’aura pas de mauvaises idées. — Qu’est-ce que tu veux qu’il fasse, avec l’enregistrement que tu as fait lors de ton appel, au pire, il va se payer une belle correction pour harcèlement. Sans penser aux réactions qu’on peut avoir. Mais tout cela est bien beau, tu ne veux pas passer chez moi, il me semble que tu me dois un petit Saint Emilion personnel à déguster. — Tu ne veux pas plutôt qu’on se fasse une petite soirée avec mon chéri.
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