Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 51 J'aime
  • 2 Commentaires

Petite black, chantage et ballon rond

Chapitre 5

Divers
Maryline attira beaucoup de regards des autres lycéens alors qu’elle entrait dans l’enceinte de l’établissement avec Michaël. Son décolleté en V et ses seins libres qui tressautaient à chacun de ses pas y étaient pour beaucoup.
Donne-moi mon sac s’il-te-plaît, demanda-t-elle à Michaël. Je dois quand même essayer de faire mes devoirs avant que les cours ne commencent.OK! Viens, je sais où on peut se mettre, répondit-il.
Il emmena la jeune fille près des terrains de sport. Il y avait peu de passage à cet endroit, et un muret qu’il désigna du doigt.
Tiens! On peut s’asseoir là, dit-il. C’est tranquille. Des fois, je viens fumer ici... ou alors faire des devoirs, comme toi, quand je suis à la bourre.Tu fumes, toi? S’interloqua la petite black en attrapant son sac que Michaël lui tendait. Je t’ai jamais vu avec une clope.Ca m’arrive de temps en temps quand je suis avec des potes qui fument aussi.
Il s’assit à califourchon sur le muret, et Maryline s’assit face à lui, gardant les deux jambes du même côté du mur. Elle sortit des affaires de son sac, et chercha dans son agenda ce qu’elle avait d’urgent à faire. Elle se mit au travail rapidement, griffonnant sur un cahier. Michaël la regarda quelques instants, puis lui dit en souriant:
Assis-toi comme moi. Mets tes jambes des deux côtés.
La jeune fille leva les yeux vers lui, soupira, mais ne rechigna pas. Elle jeta un coup d’oeil à gauche et à droite, puis leva une jambe pour la passer par-dessus le muret. Elle fit cela rapidement, et fit mine dans la foulée de rabaisser la robe qui était remontée sur ses cuisses. Mais le garçon la retint.
Non! Lui dit-il. Reste comme ça, tu es superbe.
Avec la robe remontée et les cuisses écartées pour laisser les jambes de part et d’autre du muret, il avait une vue imprenable sur la chatte de la petite black. Celle-ci eut du mal à se reconcentrer sur son travail alors que Michaël avait les yeux rivés sur son entrejambe. Depuis la séance de rasage dans la salle de bain et son exhibition forcée dans le bus, la tension sexuelle était à peine retombée. Le jeune homme remarqua avec délectation que les grandes lèvres s’entrouvraient encore légèrement sur un filet rose et humide. Il tendit la main, interrompant Maryline dans son travail, et la glissa sous la robe pour poser directement ses doigts sur la fente.
J’ai fait du bon travail, fit-il avec satisfaction. Tu as une jolie petite chatte.
La lycéenne aurait rougi si c’était possible. Elle se demandait comment elle devait prendre ce compliment, hésita à dire merci, et sourit simplement. Michaël, lui, tripotait la fente et y introduisit ses doigts, écartant les grandes lèvres pour jouer avec les petites. Il les chatouilla et la jeune fille reprit son souffle. L’excitation remontait à la surface, et elle se pencha en arrière en posant ses mains derrière elle. Elle vérifia que personne ne passait aux alentours, et se laissa aller sous les doigts agités de Michaël. Ceux-ci profitèrent de la lubrification grandissante de la fente pour s’introduire dans le trou qui les attirait. Deux doigts pénétrèrent jusqu’à la première phalange et caressèrent les bords du vagin. Puis le pouce vint se poser tout en haut des petites lèvres et massa à l’emplacement du clitoris. Maryline eut des spasmes dans le bas-ventre et se lécha les lèvres. Elle oublia l’endroit où elle se trouvait et voulait juste que ces doigts agiles l’amènent jusqu’à l’orgasme. Elle laissa échapper un gémissement au moment où la sonnerie de l’établissement scolaire retentit.
Ho noooooon! Geigna-t-elle alors. Pas maintenant!
Michaël retira pourtant ses doigts, et les amena à la bouche de la jeune fille.
Et si, ma belle! Fit-il d’un air faussement désolé. Tu ne jouiras pas encore maintenant. Tiens, lèche mes doigts.
Maryline eut un instant d’hésitation. Les doigts étaient humides de sa propre mouille, et jamais elle n’avait imaginé mettre ça à sa bouche. Elle ouvrit malgré tout les lèvres et le garçon introduisit alors directement ses doigts sur sa langue. Elle n’eut plus d’autre choix et les suça avec prudence.
Tu vas être très chaude en arrivant en cours, dis donc! S’exclama Michaël. Mais surtout je t’interdis de te masturber, hein! Pas sans mon autorisation... Tiens, d’ailleurs ça sera la prochaine règle. Tu ne dois jamais te masturber sans me demander l’autorisation d’abord. Même si je ne suis pas avec toi. Dans ce cas, tu me phones si c’est urgent.
Il retira ses doigts de la bouche de la petite black, et celle-ci acquiesça d’un hochement de tête.
Allez! Dépêche-toi, on va être en retard!
Il descendit du muret, et la jeune fille le suivit en récupérant ses affaires qu’elle bourra dans son sac. Puis ils se séparèrent pour rejoindre leurs salles de classe respectives. Maryline arriva juste à temps, avant que la prof ne referme la porte de la salle de cours. Elle se sentait encore toute oppressée par le désir d’orgasme. Elle aperçut les garçons au fond de la classe, Jérémy et Omar. Ils lui faisaient des signes de la main pour qu’elle vienne s’asseoir avec eux. Mais elle ne l’entendait pas de cette oreille. Dans l’état où elle était, elle préférait les éviter, d’autant plus qu’elle ne savait pas quelles étaient leurs intentions après la séance d’essayage au centre commercial. Elle alla s’asseoir à côté de sa meilleure copine Khedidja. Elles purent échanger tout bas quelques mots entre filles, mais rapidement les pensées de Maryline revinrent aux garçons. Elle n’avait pas oublié qu’Omar avait pris des photos, notamment quand elle était seins nus, et qu’il avait aussi gardé sa culotte rose. Michaël l’avait déjà piégée avec des photos telles que celles-là, et elle n’aimait pas l’idée que quelqu’un d’autre dispose aussi de photos d’elle à moitié nue. Jérémy était un garçon plutôt réservé et il pouvait sans doute garder un secret, mais Omar avait la tchatche, et la jeune fille se méfiait surtout de lui. Il faudrait donc qu’elle leur parle rapidement pour éviter tout malentendu.Cela arriva très vite, à la fin du premier cours, alors que les élèves transitaient d’une salle à l’autre. Les garçons, Omar et Jérémy, vinrent à la rencontre de Maryline, qui ne demandait pas mieux. Mais ils étaient accompagnés d’un troisième larron, Maxime, ce qui n’arrangeait pas la petite black. Elle ne pourrait pas parler librement devant lui. Jérémy et Omar lui firent la bise, et pour ne pas être en reste Maxime fit de même. Les trois garçons avaient l’air plutôt nerveux, trépignant sur leurs pieds. Ils emboîtèrent le pas à la jeune fille pour se rendre à leur prochaine salle de classe.
C’était génial cette balade au centre commercial hier, dit Omar avec les yeux pétillants. J’espère qu’on pourra s’en refaire une comme ça!Je ne crois pas, non! Répondit Maryline sèchement pour couper court sur le sujet. Je n’ai pas spécialement apprécié, en ce qui me concerne.Hoooo, allez! Ajouta Jérémy. C’était fun, quoi!Pas du tout! N’insistez pas, ça ne se reproduira pas, c’est tout.
Omar fouilla dans son sac, et en sortit un bout de tissu rose qu’il mit sous le nez de la lycéenne en riant.
Allez, fais-le pour Maxime, quoi! Fit-il. Il aimerait en avoir une comme ça lui aussi.Ho oui, s’te plaît! Lâcha l’intéressé. Ca serait trop cool!
Maryline, choquée qu’Omar sorte sa culotte dans les couloirs du lycée, essaya d’attraper le sous-vêtement mais le jeune beur la mit hors de portée. La jeune fille le prit alors par la manche pour l’attirer dans un couloir moins fréquenté. Les deux autres garçons les suivirent.
Ecoute! Fit la petite black face à Omar quand ils ne se retrouvèrent que tous les quatre. Rends-moi ça tout de suite. Michaël n’aurait jamais du te donner ça.Te donner quoi? Dit le jeune homme d’un air faussement innocent. Ta culotte?
Les trois garçons pouffèrent. Maryline n’avait pas osé dire le mot « culotte », s’imaginant que Maxime n’était pas vraiment au courant de la situation. Mais a priori, il en savait suffisamment et ça l’intéressait beaucoup. La jeune fille, entourée des trois garçons, se sentit soudain mal à l’aise, en infériorité, et le fait qu’elle se sentait encore toute chaude dans son entrejambe n’aidait pas à la décontracter.
Tu sais très bien de quoi je parle! Allez, s’il-te-plaît! Ajouta-t-elle d’un ton suppliant. Donne-la moi et oublie tout ça.Nan nan! Fit le beur. Je peux pas oublier ça, tu rigoles?Ecoute, dit Jérémy, on a promis à Maxime qu’il pourrait en avoir une lui aussi. Il rêve d’avoir une culotte... tu vois le truc, quoi, une culotte qu’une fille aurait portée et lui aurait donnée.Non je vois pas, non! Fit Maryline en fronçant les sourcils. C’est vraiment pervers ce truc!Tu m’avais dit qu’elle serait d’accord, Jérém’! Dit Maxime en écartant les mains, visiblement déçu.Mais bien sur qu’elle sera d’accord, le rassura Omar.
Puis il s’adressa de nouveau à la jeune fille.
Bon, voilà ce qu’on va faire: moi je suis d’accord pour te rendre ta culotte. Mais on a promis à Maxime, et une chose due est une chose due. Alors tu vas lui donner la culotte que tu portes aujourd’hui, et je te rends celle que j’ai. Ca me semble correct comme deal.
Il prit un air interrogateur, attendant la réponse de sa camarade de classe. Celle-ci entama un signe négatif de la tête, mais avant qu’elle ne parle Omar ajouta:
Réfléchis bien, parce que de toute façon j’ai des photos. Il préfèrerait la culotte, mais s’il ne peut pas l’avoir je lui enverrai les photos. Qu’est-ce que tu choisis?
Maryline sentit l’air lui manquer. La meilleure solution était sans doute d’accepter de lui donner cette foutue culotte et de récupérer l’autre. La situation resterait sensiblement la même, et Omar garderait ses photos. Mais il y avait un gros problème...
Heu... Bon, écoute, c’est pas que je veux pas hein, balbutia-t-elle. Mais j’ai un souci, là!...Dépêche-toi! La poussa Jérémy. On va être en retard en cours, putain! Allez, c’est pas grand chose, donne cette culotte, on te rend l’autre, et basta.
Les garçons voyaient bien que Maryline n’était plus aussi vindicative à présent, et cela leur donnait une assurance accrue. Jérémy surtout se découvrait une autorité qu’il ne connaissait pas. La lycéenne geignit et capitula.
C’est que... je ne peux pas... vraiment... j’en ai pas!Quoi?? firent en choeur les garçons.
Ils tendirent leurs visages vers la jeune fille qui répéta plus bas:
J’en... j’en ai pas.
Omar leva les yeux au ciel.
Ha, c’est un peu facile comme excuse. Moi je demande à voir.Ouais ouais, on demande à voir, ajoutèrent les autres.
Les trois garçons se rapprochèrent de Maryline qui, cernée, aurait voulu se fondre dans le mur derrière elle. Tous trois étaient plus grands qu’elle et elle avait peur à présent. Ils l’encerclaient complètement, collés à elle, et ils avaient une curiosité lubrique peinte sur le visage. La jeune fille se sentit oppressée, et pour échapper à ça, elle commença à lever le tissu de la robe devant elle, doucement. Les mains des garçons l’aidèrent pour aller plus vite et sa jupe fut carrément soulevée, dévoilant son pubis rasé. Elle sursauta.
Wouaaaa! C’est vrai dis donc!Ho la salooooope!Pis elle est rasée, regarde!
Les garçons s’extasiaient. Ils n’avaient pas du voir ça souvent. Maryline tenta de rabaisser sa robe, trouvant qu’ils en avaient déjà assez vu, mais ils retenaient le vêtement au niveau de son ventre. Omar tira même la lycéenne pour la décoller d’un pas du mur, et souleva le tissu dans son dos pour dévoiler ses fesses charnues.
Putain! Elle est cul nu!C’est bon, les mecs, ça suffit maintenant, on va être en retard! tenta Maryline pour arrêter cette humiliation.
Elle était complètement nue en-dessous de la ceinture, et trépignait sur place. Des mains vinrent se poser sur ses fesses et son bas-ventre et elle essayait de les en empêcher en vain. Contre toute attente, c’est Jérémy qui regarda sa montre et mit fin à la séance.
Merde! Il faut qu’on y aille, les gars, fit-il manifestement déçu. Je peux pas être envoyé en colle, mes parents me tueraient.
Les deux autres se regardèrent, puis hochèrent la tête et laissèrent Maryline abaisser sa robe. Ils étaient dépités de devoir interrompre ce moment magique, mais souriaient de satisfaction. La jeune fille redevenue décente se râcla la gorge, puis tous reprirent le chemin de leur salle de classe. Ils n’ajoutèrent pas un mot, mais les garçons arboraient un sourire béat.Ils arrivèrent en cours deux minutes en retard, mais le professeur ne leur fit qu’une remarque verbale. Maryline n’eut pas d’autre choix que de s’asseoir avec les garçons sur le devant de la salle, c’étaient les seules places qui restaient. Il lui fut impossible de suivre le cours avec ce qui venait de se passer. Elle ressassait la scène, n’arrivant pas à croire qu’elle venait de montrer aux garçons sa chatte rasée et son cul nu. Elle soupira en réalisant avec soulagement qu’ils n’avaient même pas remarqué qu’elle était encore humide depuis qu’elle avait quitté Michaël. Ceux-là semblaient ne pas avoir autant d’expérience en matière de sexe, heureusement pour elle. Mais penser à tout ça n’aidait pas à ce que la tension retombe, et elle sentait un besoin terrible de revoir Michaël. Elle se surprit à rêvasser en repensant à leurs séances de baise de la veille. Elle avait tellement envie qu’il la pénètre maintenant, et qu’il la fasse jouir!A côté d’elle, les garçons n’étaient pas plus concentrés sur le cours. A sa droite, elle vit avec horreur qu’Omar et Maxime jouaient avec sa culotte sous la table en rigolant. Omar s’amusait même à la lever à son nez pour la renifler quand le prof avait le dos tourné. Maxime, qui était juste à côté de la jeune fille, commença à poser ses mains sur son bras, sur sa cuisse, sur sa hanche, puis il n’arrêta plus même si Maryline persistait à le repousser. De l’autre côté, Jérémy avait la main sur son entrejambe et caressait la bosse que formait son sexe visiblement tendu.A la fin du cours, profitant de la débandade pour aller en pause récréation, la petite black faussa compagnie aux trois garçons. Elle retrouva Khedidja et put passer un moment tranquille avec elle et d’autres copines. De retour en cours, elle évita encore les garçons et s’installa dans un coin de la classe avec sa copine. A côté d’elle s’installa également Frédéric, un garçon discret mais plutôt beau gosse qu’elle connaissait peu. Cette fois il voulut faire connaissance et bavarda longuement, interrompu plusieurs fois par le professeur qui leur demandait de se taire. Mais la petite black remarqua bien que Fred (c’est ainsi qu’il voulait qu’elle l’appelle) avait les yeux rivés sur son décolleté, d’où sans doute son soudain intérêt pour elle. Cela dit il était sympa et resta correct, et donc elle ne refusa pas qu’il reste avec elle et Khedidja au cours suivant. En plus la présence du garçon semblait dissuader Omar et ses copains de venir la voir, ce qui la satisfaisait. Khedidja était aussi plus que satisfaite et s’assit cette fois à côté de Fred, essayant de rattraper l’avance que sa copine avait pris dans ses faveurs. Maryline le lui laissa volontiers, ravie de pouvoir suivre enfin un cours tranquillement.A midi, Fred proposa aux filles de déjeûner avec lui, ce que Maryline allait accepter avec plaisir, mais à ce moment Omar et sa bande intervinrent. Ils étaient quatre cette fois, Thomas, le cancre de la classe, étant venu s’ajouter à Jérémy et Maxime. Omar décréta que c’était avec eux que Maryline déjeûnerait, et devant l’insistance du jeune beur et la force du nombre personne ne s’y opposa. De plus, Khedidja était trop heureuse de garder Fred pour elle seule. Elle adressa quand même un sourire encourageant à sa copine qui s’éloignait au milieu des quatre garçons. Maryline n’en menait pas large. Elle était sur le qui-vive, se demandant à tout instant si les garçons n’allaient pas profiter de la situation. Mais dans le réfectoire, au milieu de la foule, aucun ne fit allusion à la scène du matin, ce qui la rassura. Bien sur, elle sentait que les garçons étaient à présent plus familiers avec elle, n’hésitant pas à la toucher à chaque fois qu’ils lui parlaient, sur les épaules, les cuisses, les joues, etc... Même Thomas, le nouveau venu, faisait de même. Il faut dire que lui était naturellement extraverti, mais la jeune fille ne l’avait jamais particulièrement fréquenté. Elle se demanda s’il était au courant de « certaines choses », et, repensant à l’exemple de Maxime, elle se dit avec désespoir qu’Omar n’avait surement pas pu tenir sa langue. Elle chercha du regard Michaël, un peu comme une bouée de sauvetage qui aurait pu la sortir de là, mais elle ne le trouva pas au milieu de la foule des élèves.Le repas terminé, les garçons l’emmenèrent s’asseoir sur un coin d’herbe à côté du parking de l’établissement. Deux d’entre eux lui tenaient la main, plutôt fermement, de manière à lui faire comprendre qu’elle n’avait pas le choix. Elle s’assit avec les jambes repliées sur le côté, sure de ne rien divulguer de ses charmes. Les trois garçons s’assirent face à elle, la dissimulant presque totalement aux éventuels passants. Thomas sortit un paquet de tabac et roula une cigarette pour chacun, mais Maryline refusa poliment. Le garçon n’insista pas et rangea la cigarette restante dans sa poche. Puis il sortit un briquet et alluma celles de ses copains.
Faites gaffe hein, les mecs! Fit-il en tirant sa première taf. Si quelqu’un arrive, on planque ça vite fait. Je tiens pas à aller encore voir c’t’enculé de proviseur.
Chacun sirota ses bouffées de fumée comme du bon vin, et quand leurs cigarettes furent entièrement consumées Thomas ajouta:
Bon, j’ai fourni le matos. Maintenant j’attends ce que vous m’avez dit.
Il regarda tour à tour Omar et ses copains, puis Maryline. Celle-ci fronça les sourcils, ne comprenant pas.
Bon, ma chérie, fit Omar en s’adressant à elle sur un ton condescendant, en fait c’est grâce à toi si Tom nous file des clopes. On lui a dit qu’en échange, et ben... tu lui montrerais tes nichons.Quoi?
La jeune fille faillit bondir sur ses pieds.
Tu... tu marchandes... mon corps comme ça! Bafouilla-t-elle, rageuse et incrédule. Tu m’en parles même pas avant!Je t’avais dit que ça serait pas un problème, dit le jeune beur à Tom d’un air assuré.Pas un problème? Enragea de plus belle Maryline. Tu rigoles? Je montre pas mes nichons comme ça, tu me prends pour qui?Ben ce matin, t’as bien montré ta chatte, ajouta Maxime d’un air benêt, et ton cul aussi. Et tes nichons, j’aimerais bien les voir aussi. Je les ai pas vus non plus, moi... enfin si, en photo, mais c’est pas pareil.Tu lui as montré les photos?
Maryline allait de surprise en surprise.
Ben oui, dit Omar comme si c’était naturel. Après ce qu’il a vu ce matin, je me suis dit que t’étais plus à ça près.C’est trop, là, je me casse!
Le garçon n’avait pas tort, elle le savait. Maxime avait de toute façon vu pire que ses photos seins nus. Mais c’était la goutte qui faisait déborder le vase, et elle refusait de se laisser faire encore une fois. Elle posa une main à terre pour s’aider à se lever, mais les mains plus fortes de Maxime et Omar lui attrapèrent les bras et la forcèrent à rester assise.
On ne bouge pas! Fit Maxime. Tu ne voudrais quand même pas que Tom dise qu’on est des arnaqueurs, non? Il doit avoir son du.Mais allez vous faire foutre! Éructa Maryline.
Elle se débattit mais c’était vain. A deux, les garçons n’avaient aucun mal à la tenir.
Arrête tes conneries, ma chérie, lui dit Omar en la poussant vers le sol.
Elle se retrouva allongée sur le dos, Omar et Maxime de chaque côté lui maintenant un bras à terre.
Fais ce qu’on te dit, ajouta-t-il. C’est juste Tom. Si j’avais voulu, c’est toute la classe que j’aurais invité. Tu t’en sors bien. Alors calme-toi, et ça va aller vite.
Maryline eut envie d’appeler au secours, et ça aurait sans doute été la bonne solution. Mais elle se demandait si on la prendrait vraiment au sérieux habillée comme elle l’était, et qui plus est sans culotte et à présent toute mouillée. En effet, son bas-ventre réagissait étrangement à la situation dans laquelle elle se trouvait. Toute la tension sexuelle retenue depuis le matin ressurgissait d’un coup brutalement. Elle préféra donc ne rien faire. Elle se débattit encore mollement pour montrer qu’elle n’était pas consentante. Omar fit signe à Tom d’approcher.
Vas-y, fais le toi-même, on la tient, lui dit-il.
Puis il s’adressa à Jérémy:
Jérém’, surveille bien que personne ne vient.
Jérémy acquiesça et resta en retrait, gardant un oeil vers l’établissement. Mais il regardait surtout la jeune fille, ne voulant rien rater du spectacle. Tom s’approcha, et Maxime se décala pour lui laisser de la place tout en tenant toujours le bras de Maryline. Le garçon se pencha au-dessus de la lycéenne qui tourna son visage pour ne pas avoir à le regarder. Ensuite Tom attrapa un pan du décolleté et l’écarta, dégageant un sein. Puis il fit de même avec l’autre. Les quatre garçons affichèrent un sourire lubrique, les yeux fixés sur la poitrine dénudée et les tétons saillants. Mais Tom n’était pas tout à fait satisfait. Il voulut écarter davantage les pans du décolleté qui se resserraient trop à son goût. Alors il dégagea la robe des épaules de Maryline, et la descendit le long de ses bras. Il put ainsi dénuder la petite black jusqu’au nombril. Celle-ci resta stoïque. Elle n’avait de toute façon pas le choix, maintenue comme elle l’était. Et elle ne réagit que par une brusque inspiration lorsque Tom posa les deux mains sur ses seins voluptueux et les caressa. Il les attrapa et les malaxa, puis il remonta jusqu’aux pointes qu’il serra entre ses doigts, avant de recommencer comme s’il cherchait à traire la jeune fille. Il refit ces gestes plusieurs fois, puis il lâcha l’une des mamelles et fit signe à Maxime d’y poser sa main. Celui-ci réagit immédiatement, trop heureux, et pelotta le sein. Tom fit signe à Omar qu’il pouvait s’attaquer au deuxième, et le beur se mit à l’ouvrage avec délectation. Tom les observa un moment avec satisfaction, puis se joignit à eux. Maryline se faisait maintenant pelotter par les trois garçons en même temps, et ses seins, ses mamelons, étaient triturés de tous côtés. Ils lui faisaient un peu mal par moment, mais cette douce torture raviva son désir et elle le sentit dans son bas-ventre. Elle sentait ses seins étirés, écrasés, ses tétons sucés... car les garçons utilisèrent ensuite autant leurs bouches que leurs mains.Puis tout à coup une main se posa à l’intérieur de sa cuisse, et elle les resserra vivement. Mais on les lui écarta de force.
Nooooon! Fit-elle mollement, mais son excitation se lisait dans sa voix.
La main se posa de nouveau sur sa cuisse, puis glissa immédiatement sous la robe qu’elle remonta dans le même mouvement, pour se poser directement sur sa chatte.
Ho putain! Elle n’a pas de culotte! Lâcha spontanément Tom, à qui appartenait la main.
Les autres rigolèrent. Ils le savaient, eux. Tom en profita et glissa la main tout le long de la fente de la jeune fille.
Ouais, puis elle est mouillée, la vache! Ajouta-t-il. T’aimes ça, ma salope!
Maryline gémit et serra un instant la main du garçon entre ses cuisses, histoire de ne pas se laisser faire si facilement. Mais quand il lui écarta de nouveau les cuisses, elle offrit peu de résistance. Omar et Maxime continuaient de lui pelotter et lui sucer les seins. Jérémy faisait le guet tout en regardant la scène et en se frottant l’entrejambe. Tom s’agenouilla entre les cuisses de la petite black et approcha le visage de son sexe. Il enfonça sa bouche contre la fente mouillée et entreprit de la bouffer copieusement. Il embrassa et mordilla chaque partie du sexe de la jeune fille, puis enfonça sa langue pour lécher avidement avec des bruits de succion exagérés et des gémissements de satisfaction. Maryline ne peut empêcher son bassin de se soulever du sol dans un spasme orgasmique. Les autres garçons avaient arrêté ce qu’ils faisaient, fascinés par le cunnilingus que prodiguait leur camarade. Soudain Omar eut une idée et sortit son téléphone portable pour prendre des photos. Maryline voulut protester mais à ce moment Tom enfonça sa langue aussi loin qu’il le pouvait dans son vagin. Le contact délicat de cet organe arracha un petit ululement de plaisir à la lycéenne. Son partenaire continua de lui lécher l’intérieur un moment puis il reprit son souffle avant de plonger sur son clitoris. Il l’aspira et le suça, faisant danser malgré elle les hanches de la jeune fille. Pendant ce temps-là Omar mitraillait avec des « ha! » et des « ho! », n’arrivant pas à croire ce qu’il était en train de photographier. Maxime était hypnotisé, les yeux ébahis, et Jérémy avait enfoncé sa main dans son pantalon pour se masturber furieusement.
Stop! Fit-il soudain dans un cri étouffé. Quelqu’un arrive! Arrêtez!
Les garçons mirent à peine une seconde à se remettre d’aplomb, Tom s’essuyant la bouche d’un revers de manche. Mais Maryline paniqua en essayant de remettre rapidement sa robe qui se retrouvait roulée autour de ses hanches. Elle ajustait son décolleté et lissait le tissu du vêtement quand un professeur apparut, qui allait vers un véhicule dans le parking non loin du petit groupe. L’homme lui jeta un regard interrogateur et la détailla des pieds à la tête. Puis il regarda ses camarades avec méfiance. Ceux-ci, afin de ne pas attirer davantage l’attention, se dirigèrent vers les bâtiments du lycée, Omar prenant Maryline par la main au passage. Ils arrivèrent dans la zone plus fréquentée de la cour et se posèrent à un endroit, s’asseyant au bord d’une sorte de trottoir où ils tentèrent de revenir à la réalité du lycée et discutèrent de choses et d’autres. Visiblement les garçons étaient aux anges et voulaient garder Maryline pour eux. Lorsqu’elle suggéra qu’elle allait retrouver sa copine Khedidja, ils l’en dissuadèrent, Tom allant jusqu’à lui tordre un téton. Elle poussa un petit cri.
Tu restes avec nous tant qu’on te le dit, lui intima-t-il.
Son geste se mua en caresse, qu’il interrompit rapidement car ils étaient visibles de la foule des élèves dans la cour. Maxime posa sa main sur la cuisse de la jeune fille et la tint fermement pour appuyer les propos de son camarade. Jérémy, lui, se tenait toujours l’entrejambe, pas très discrètement mais ça ne semblait pas le gêner. Maxime chercha à passer sa main sous la robe pour remonter le long de la cuisse.
Non, pas ici s’il-te-plaît! Lui dit Maryline, suppliante, en retenant sa main.
Elle fut soulagée que le garçon n’insiste pas. Omar regardait son téléphone portable, sans doute les photos qu’il venait de prendre, et faisait des mimiques expressives pour montrer qu’il en était content. Il les montra aux autres garçons, puis à Maryline. Elle porta la main à sa bouche, morte de honte. Certaines photos étaient prises en gros plan, et sur d’autres cadrées plus large on voyait son visage. Elle sut à ce moment-là que ces garçons la tenaient et qu’elle ne pourrait absolument rien leur refuser. Elle se demanda ce qu’ils voudraient d’elle, jusqu’où ils iraient. Omar, Jérémy, et même Maxime étaient encore de grands enfants et cherchaient à s’amuser avant tout, ils n’étaient pas méchants ni dangereux. Mais Tom lui faisait peur. On racontait des choses sur lui, qu’il avait déjà eu affaire à la police, qu’il fréquentait des gens louches. Elle n’osait pas imaginer ce qu’il pourrait lui faire. Une boule se forma dans sa gorge mais elle la réprima. Il était inutile de pleurer.Lorsqu’il fut l’heure de retourner en cours, le petit groupe récupéra ses sacs dans les casiers où l’on pouvait les déposer pendant la pause méridienne. Ensuite ils se rendirent au gymnase. Ils avaient cours de sport pendant deux heures cet après-midi, puis la semaine serait terminée. Maryline se rappela qu’elle n’avait pas sa tenue pour le sport. Ils devaient faire du volley-ball à l’intérieur du gymnase. La lycéenne se décida à demander aux garçons avant qu’ils ne se séparent pour aller dans leurs vestiaires respectifs.
Heu, les gars... J’ai un problème, j’ai oublié mes affaires de sport. Est-ce... vous auriez quelque chose à me prêter?
Les trois se regardèrent en réfléchissant, puis agitèrent la tête négativement.
T’as qu’à faire le volley à poil, je suis sur que t’aurais du succès! Fit Maxime ironiquement.
Et les trois éclatèrent de rire. Tom lui donna une tape sur les fesses, puis ils la quittèrent. La petite black retrouva les autres filles au vestiaire, et leur demanda aussi si on pouvait lui prêter une tenue. Mais aucune n’avait de vêtement adapté en rab. On lui proposa juste une paire de baskets une pointure trop grande. Ca fairait déjà l’affaire. Elle savait que Michaël lui avait mis sa tenue de pom pom girl dans son sac, mais elle se refusait à la mettre. D’une elle aurait l’air ridicule, et de deux il lui serait impossible de jouer au volley sans culotte sous la minijupe. Et même le haut était trop sexy. Le t-shirt était bien court et dévoilait tout son ventre. Elle décida donc d’aller voir la prof. Elle savait que celle-ci avait quelques vêtements de côté à prêter dans des cas comme le sien. C’étaient des fringues oubliés parfois dans le vestiaire et jamais réclamés. La prof la réprimanda gentiment pour son oubli, et amena la jeune fille dans un réduit où se trouvaient les quelques vêtements disponibles: quelques t-shirts, sweats, shorts, chaussettes et pantalons. Maryline n’eut que l’embarras du choix, la seule difficulté étant de trouver la bonne taille. Avec son petit gabarit, tout était trop grand pour elle. Elle finit par prendre un t-shirt et un pantalon de survêtement en espérant que ça irait, et retourna au vestiaire. Elle était la dernière à se changer, ce qui l’arrangea. Aucune fille ne verrait qu’elle était nue sous sa robe. Elle enfila le t-shirt et le pantalon, et sa crainte se confirma. C’était grand. Pour le t-shirt, ce n’était pas un problème, il était large et cela dissimulerait sans doute mieux sa poitrine libre que s’il était serré. Mais le pantalon ne tenait pas à la taille, et ce d’autant plus que le lacet qui devait permettre de le serrer avait disparu. Heureusement Maryline avait les hanches assez larges et des fesses bien en chair, et le vêtement ne descendait pas trop bas. Il faisait comme un pantalon taille basse, s’arrêtant à la limite de la raie des fesses. Si elle portait un string, il aurait dépassé largement. Elle n’avait plus le temps d’aller chercher autre chose qui ne lui irait pas forcément mieux, et elle rejoignit les autres élèves sur les terrains de volley. En trottinant et en s’échauffant, elle se rendit compte que non seulement son pantalon glissait vers le bas et qu’elle devrait le remonter toutes les trente secondes, mais aussi que ses seins bougeaient dans tous les sens. On voyait bien malgré l’ampleur du t-shirt qu’ils n’étaient pas maintenus. Les garçons n’arrêtaient pas de poser leurs regards sur elle; Omar, Tom, Jérémy et Maxime, bien sur, mais aussi Fred et tous les autres. Khedidja, en amie, lui demanda ce qu’elle avait fait avec ses fringues, et Maryline lui expliqua qu’elle avait oublié ses affaires de sport. Elle omit cependant de dire pourquoi ses seins étaient libres, et Khedidja ne le lui demanda pas. Enfin la prof constitua des équipes pour jouer des matches. La petite black se retrouva avec Khedidja et Fred, qui ne se quittaient déjà plus, ainsi qu’une autre fille, Sandra. Le reste de l’équipe était constitué de Jérémy et Tom. C’étaient des équipes de six, il y aurait donc cinq joueurs sur le terrain et un remplaçant qui tournerait à chaque point. Il y avait plusieurs terrains, et les équipes changeraient de terrain à chaque manche, de sorte que toutes joueraient au moins une fois l’une contre l’autre.Maryline essaya de jouer doucement. Elle voulait éviter de trop bouger, limiter ses mouvements de sorte que son pantalon ne risque pas de se retrouver à ses chevilles. Elle devait quand même le remonter régulièrement, et ses coéquipiers la regardaient souvent. Ses seins tressautaient à chacun de ses gestes, même les plus minimes. Jérémy ne pouvait pas s’empêcher de se toucher régulièrement l’entrejambe. Fred la regardait avec un sourire amusé, et Khedidja lui jetait plutôt des regards désapprobateurs. Tom, lui, profitait de chaque instant où il croisait la petite black pour lui pincer discrètement un téton ou lui donner moins discrètement une tape sur les fesses. Les autres remarquèrent au moins ce dernier geste et pour certains s’étonnèrent de la soudaine familiarité de Tom envers Maryline. Mais il le faisait avec un petit sourire mi sadique, mi moqueur qui faisait que cela pouvait passer pour de la taquinerie.Lors d’une pause entre deux manches où chacun allait aux toilettes se désaltérer ou faire ses besoins, Tom attrapa la jeune fille et s’adossa à un mur, la plaçant devant lui dos tourné.
Ne bouge pas! Lui souffla-t-il à l’oreille.
Elle faisait face au gymnase, et le garçon put poser une main sur le bas de son dos à l’insu de tout le monde. Il voyait la naissance de la raie des fesses de la petite black, et y engagea sa main, se glissant sous le pantalon. Il s’insinua entre les deux globes de chair et les pétrit fortement tour à tour. Puis il continua plus bas, frôla son anus et continua encore pour se glisser entre les cuisses que Maryline dut écarter légèrement sous la pression du garçon. Celui-ci put ainsi accéder où il le voulait, c’est-à-dire directement à la chatte. Il la caressa avec le bout du majeur et s’y introduisit d’un coup. Il la doigta discrètement mais rapidement jusqu’à ce qu’elle soit de nouveau toute mouillée. C’est alors que leur équipe revint sur le terrain, et Tom dut s’interrompre. Il retira promptement sa main et rejoignit les autres. Maryline soupira, remonta son pantalon et retourna sur le terrain d’un pas mal assuré. Tom avait de nouveau ravivé son désir, et elle ressentait une fois de plus une folle envie de jouir, ce qui lui avait été impossible depuis le matin.La partie qu’ils reprirent était plus disputée que les précédentes, et la petite black qui ménageait toujours ses efforts se fit blâmer par ses partenaires qui lui reprochaient son manque d’engagement. Il est vrai qu’elle transpirait peu par rapport aux autres, et elle dut mettre un peu plus de punch dans son jeu. Elle courut davantage pour attraper la balle, dut sauter parfois, et du coup sa poitrine dansait comme jamais. Ses coéquipiers l’encourageaient, d’abord pour gagner ce match, mais pour les garçons c’était autant pour le spectacle qu’elle leur offrait.
Allez Maryline!... Vas-y, c’est bien!... Plus vite!
En plus son pantalon ne tenait plus en place. Après chaque course de quelques pas elle devait le remonter, et quand elle sautait c’était pire. A la retombée, c’est le haut de ses fesses qui surgissait, et si elle n’avait pas été rasée on aurait sans doute vu apparaître des poils en bas de son ventre. Khedidja lui jetait des regards de plus en plus noirs alors que Fred avait plus d’yeux pour sa copine black que pour elle. Certains joueurs des terrains adjacents étaient plus concentrés sur ce que faisait Maryline que sur leur propre match. Soudain elle dut sauter le plus haut qu’elle put pour contrer un smash au filet. Elle réussit à renvoyer le ballon dans le terrain adverse, mais en retombant son pantalon tomba à mi-fesses et elle perdit l’équilibre. En essayant de rester debout, elle marcha sur le bas du vêtement qui traînait par terre et tomba lourdement à plat ventre. Elle amortit sa chute avec ses bras mais le mal était fait. Cette fois le pantalon avait passé la partie la plus charnue de son postérieur et glissé dessous. Elle avait complètement le cul à l’air!Des sifflets et des cris fusèrent, et il fallut une seconde à Maryline pour qu’elle récupère ses esprits et se rende compte de la situation. Elle remonta alors son pantalon le plus rapidement possible, avant de se relever. Les rires et les remarques moqueuses pleuvaient de tous côtés, mais seuls les élèves les plus proches avaient eu le temps de voir quelque chose. Les autres se renseignaient pour savoir quelle était la cause de ces effusions, impatients de pouvoir en rire à leur tour. Même la prof tourna son regard vers Maryline, mais voyant que celle-ci était debout et qu’il n’y avait rien, elle ne s’en préoccupa pas. Le jeu reprit, mais le mot se répandit sur ce qui s’était passé, et beaucoup d’élèves pouffaient en en parlant. La petite black, échaudée par cet incident, reprit un rythme de jeu plus doux, au désarroi de ses coéquipiers.Quand les deux heures de sport furent passées et que chacun retourna aux vestiaires, Maryline ne fut pas pressée de se changer. Elle préférait que personne ne la voie se rhabiller. Elle profita donc d’un moment où aucune fille ne regardait ce qu’elle faisait pour se déshabiller et filer sous la douche. Elle n’eut même pas l’occasion de discuter avec Khedidja car celle-ci lui jeta un regard froid et quitta les douches au même moment. Maryline haussa tristement le épaules et passa un long moment sous le jet d’eau chaude réparateur. Elle n’en ressortit que lorsqu’elle fut sure que toutes les autres filles étaient déjà parties. Elle s’essuya avec le t-shirt prêté par la prof, puisqu’elle n’avait pas de serviette. Puis elle enfila sa robe et ses chaussures. Elle alla remettre sa tenue de sport dans le réduit d’où elle venait, puis quitta le gymnase avec son sac sur l’épaule.A l’extérieur, sur le chemin qui reliait le bâtiment au corps principal du lycée, Michaël l’attendait. Sans qu’elle comprenne pourquoi, elle eut les larmes aux yeux. Jamais elle n’avait été aussi heureuse de le voir. Elle courut se jeter dans ses bras. Il eut un rire de surprise.
Et ben! Fit-il. Moi aussi tu m’as manqué, ma belle! J’avais une furieuse envie de te baiser toute la journée.Tu ne peux pas savoir ce qui m’est arrivé, dit-elle en sanglotant. Reste avec moi, s’il-te-plaît.Ne t’inquiète pas, je suis là. Tu me raconteras plus tard. Tu as fini les cours?
Elle hocha la tête.
Bien! Moi aussi, dit le grand gaillard. Viens, partons d’ici.
A suivre...
Cette histoire a son blog : petiteblack.eklablog.com
Diffuse en direct !
Regarder son live