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Petite black, chantage et ballon rond

Chapitre 7

Divers
Les trois pompom girls reprirent leurs exercices sous le commandement d’Alice. Celle-ci leur fit travailler plusieurs fois la roue, surtout à Laetitia qui la maîtrisait moins bien. La brunette montrait l’exemple puis sa copine répétait le mouvement. Maryline, qui avait fait une bonne première roue, dut elle aussi en refaire tout de même deux ou trois, pour confirmer. Elle mourait de honte à chaque fois, mais Alice semblait ne pas se préoccuper que sa jupe glisse en dévoilant son sexe, et la dirigeait de manière autoritaire. Maryline pensa que cela devait même l’amuser de l’humilier ainsi. Mais elle n’osait pas refuser ce qu’elle lui demandait, à cause de Michaël. Et puis, elles étaient loin des garçons et de Pierre, qui ne pouvaient rien voir de là où ils étaient.Alice remit ensuite la musique pour essayer de constituer une chorégraphie complète avec de la danse incluant des roues, et notamment un final avec une double roue. Le calvaire de Maryline était loin d’être terminé. Sous la direction de la brunette, les filles reprirent alors tout le travail avec énergie.
Allez les filles!... On y met tout son coeur!... Allez, du punch! On arrêtera que quand on maîtrisera ça au top!
Alice les motivait de tout son coeur. La blonde et la noire essayaient de suivre, mais elles n’avaient pas le même entraînement sportif et commençaient à haleter et à transpirer abondamment. Elles s’appliquaient malgré tout, dans l’espoir d’écourter la séance si leur coach était satisfaite. Elles répétèrent plusieurs fois une chorégraphie complète, et soudain Maryline vit avec angoisse que les garçons avaient cessé de s’entraîner et venaient vers elles. Immédiatement elle stoppa son effort, et les autres s’arrêtèrent à leur tour. Pierre entra lui aussi sur le terrain et s’approcha du groupe. Les trois hommes se postèrent à quelques mètres des filles, en spectateurs. Michaël portait un ballon sous le bras, et lui et son copain black étaient en sueur.
Ne vous arrêtez pas pour nous, dit Pierre en faisant un geste de la main aux filles. Continuez!
Alice regarda ses deux camarades d’un air confiant.
OK, les filles! Dit-elle. On reprend la choré depuis le début. On leur fait un vrai show!
Elle remit la musique au début, et se plaça entre Laetitia et Maryline, en ligne. La petite black était tétanisée, ne sachant pas comment elle pouvait éviter de s’exhiber. Pierre et son fils n’étaient pas un problème, après ce qu’ils avaient déjà vu et fait, mais il y avait le copain de Michaël, qu’on lui avait d’ailleurs présenté la veille mais dont elle avait oublié le prénom. Elle ne se rappelait même plus s’il se trouvait parmi ceux qui l’avaient vue se changer dans le vestiaire.Alice commença à danser et Laetitia la suivit, ainsi que Maryline. Elle n’eut pas le temps de réfléchir alors qu’elle essayait juste de bien enchaîner les mouvements dans le rythme. Les trois filles dansèrent en remuant les hanches et en agitant les pompoms sur la musique dance. Elles se penchèrent en avant et les garçons applaudirent. Alice comptait en rythme pour guider les filles et marquer les temps forts de la chorégraphie. Et ce fut la première roue. La tête vide, Maryline suivit le mouvement et un « hooo » émerveillé s’éleva du petit public masculin. La petite black sentit ses jambes flageoler comme si elle venait de faire un effort intense, mais la honte en était principalement responsable. Elle continua pourtant de suivre la brunette qui motivait ses troupes en comptant « et un, deux, trois, quatre!... » Puis vint rapidement une autre roue que Maryline enchaîna encore une fois sans réfléchir. Cette fois Michaël siffla et les autres applaudirent. Alice était aux anges, fière de faire réagir son public. Elle mit encore plus d’entrain à continuer le show jusqu’au final. Là les filles firent deux roues à la suite, et terminèrent debout jambes écartées en agitant leurs pompoms en l’air. Pierre, Michaël et son copain exultèrent, applaudissant, sifflant, et hurlant leur joie. On aurait dit qu’ils venaient de voir un groupe de rock en concert. Alice et les filles étaient impressionnées, toutes sourires, ne sachant plus où se mettre. Elles se congratulèrent, et la brunette félicita ses troupes.
Bravo! C’était pas mal. On commence à avoir quelque chose, là.
Même Maryline était assez émue par cette démonstration des garçons, se demandant tout de même s’ils avaient vraiment apprécié la chorégraphie où s’ils applaudissaient uniquement son cul. Quoi qu’il en soit, elle se sentait particulièrement visée par la joie des garçons et en ressentit une certaine fierté. Pierre approcha, suivi des garçons, et félicita ses pompom girls de vive voix.
Je suis impressionné! Dit-il. Un petit entraînement et on voit déjà qu’il y a beaucoup de potentiel. Vous êtes superbes, les filles! Alice, au top!... Laetitia, tu vois que tu as été largement à la hauteur... et la petite Maryline, délicieusement sensuelle!Merci, P’pa! fit Alice toute contente.Ouais, je trouve ça cool aussi ce que vous avez fait, dit Michaël en attrapant Maryline par la main. C’est vraiment une bonne idée ce groupe de pompoms.Merci! Dit à son tour Laetitia. Bon, je vais me changer parce que ça m’a crevé tout ça.Tu as raison, dit la brunette en soufflant. On en a assez fait pour aujourd’hui.

Alice ramassa sa minichaîne, et les deux copines prirent la direction de leur vestiaire. La petite black voulut les suivre, mais Michaël la retint par la main.
Attends un peu, lui dit-il.
Voyant qu’elle ne les suivait pas, Alice lui lança:
La prochaine répétition, on la fera mardi, parce que lundi je ne pourrai pas. Ca sera en même temps que l’entraînement des garçons, ok? Passe un bon week-end, Maryline!
Elle lui fit un signe de la main, et même Laetitia la salua discrètement. La petite black se retrouvait seule avec les trois hommes. Elle était toute petite au milieu d’eux, et ils tournèrent leurs regards vers elle en souriant.
Tu as été superbe, ma belle! Lui dit Michaël en lui caressant la joue. Hein, Alban? Ajouta-t-il à l’intention de son copain.Ho ouais, purée! Lâcha le black avec conviction maintenant qu’on lui demandait son avis. Je pensais pas que ta copine pouvait teaser comme ça. Elle est trop booooonne!Je t’avais dit que tu ferais une belle pompom girl, dit Pierre à la jeune fille. Tu es di-vine!
Maryline sentait le rouge lui monter aux joues. Elle était déjà fébrile après les efforts consentis et son exhibition impromptue, et ces compliments ajoutèrent à sa gêne. Elle ne savait pas quoi dire, et essuya du revers de la main une goutte de sueur sur son front.
Tiens, regarde, Alban, tu peux la voir de plus près, dit Michaël avec un sourire carnassier en soulevant la jupe de la petite black.Non! Lâcha-t-elle instinctivement en posant sa main sur celle du garçon.
Celui-ci interrompit son geste et la regarda simplement les yeux dans les yeux, fermement. Maryline se remémora ce qu’il avait dit auparavant: pas de résistance, pas d’opposition... En baissant les yeux, elle retira alors sa main. Michaël continua son geste, et leva la jupe sur le ventre de la jeune fille, dévoilant son pubis fendu d’un fin liseret de poils.
Ouèch! Trop bon! Fit Alban. Elle est rasée de près en plus. Je peux voir le reste? Demanda-t-il en approchant la main.
Michaël fit simplement oui de la tête, et le black souleva le t-shirt de la pompom girl pour dévoiler ses seins.
Elle a de beaux boobs, putain! Fit-il. Attends, on va enlever ça. Lève tes bras, p’tite!
Il fit mine de lui enlever le t-shirt, mais Michaël le retint.
Attends, elle va venir au vestiaire avec nous, dit-il. Elle pourra y prendre sa douche.OK, t’a raison, concéda Alban.
Ils se rendirent tous au vestiaire des hommes, y compris Pierre qui n’avait pourtant rien à y faire. Là, Michaël et Alban déshabillèrent complètement Maryline. La jeune fille ne disait rien, se laissait faire. Les deux garçons se déshabillèrent à leur tour, et la petite black fut troublée devant la nudité d’Alban. Il n’était pas aussi grand que Michaël, mais plus musclé, et son sexe était circoncis. Ils emmenèrent la jeune fille dans les douches, et se mirent tous trois sous l’eau chaude. Pierre resta à l’entrée des douches, regardant ce qui se passait. Il jeta la bouteille de gel douche à son fils, et celui-ci s’en badigeonna. Puis il en mit sur la peau de Maryline, et lui appliqua la mousse à la main. Alban s’en mit à son tour, se badigeonna, puis prêta main forte à son copain pour s’occuper de la petite black. Ils s’appliquèrent à lui nettoyer chaque centimètre carré de peau, de la tête aux pieds. Puis tous trois se rincèrent longuement, abondamment. Michaël laissa faire son copain black, qui tenait à aider la mousse à évacuer le corps de Maryline. Il lui passa de nouveau la main partout, s’attardant sur ses seins et ses fesses. Lorsqu’il n’y eut plus de mousse, il approcha son visage et lui embrassa les seins. Il prit les tétons entre ses lèvres et les suçota. Avec toutes ces attentions et la relaxation de la douche, la petite black se sentait toute excitée. Elle appréciait que les garçons la chouchoutent ainsi, et acceptait maintenant les caresses d’Alban avec plaisir. Celui-ci descendit pour embrasser son ventre, glisser sa langue dans son nombril, tout en lui pétrissant les hanches. Puis il poussa la jeune fille contre le mur et lui écarta les cuisses pour accéder à son sexe. Celui-ci était tout mouillé, ouvert sur une fleur rose qui ne demandait qu’à être cueillie. Alban y plongea son visage et la bouffa goulûment. Il aspira et mordilla les lèvres, fourra sa langue aussi loin qu’il le pouvait, puis saisit le clitoris et le suça sans douceur. Maryline ouvrit la bouche et lâcha des cris de plaisir mêlés parfois à une certaine douleur. Le black n’y allait pas de main morte. Il mordit même franchement dans la cuisse de la jeune fille, avant de retourner fourrer sa langue dans son vagin. Maryline cria et sentit un flot de cyprine lui échapper. Ses jambes se dérobèrent et elle glissa à terre. Alban en profita et de ses bras musclés il la retourna sur le ventre sans ménagement. Puis il lui souleva les hanches et lui écarta les cuisses. L’eau chaude leur coulait toujours dessus. Le garçon s’installa devant le cul offert de la pompom girl. Il bandait comme un taureau. Il lui saisit les hanches brutalement, et la pénétra d’un coup en forçant son bassin vers l’avant et en tirant le corps de la fille à lui. Maryline laissa échapper un long râle, le sexe du black enfoncé en elle jusqu’à la garde.
— Hooo, c’est bon, salope!
Puis il se pencha sur elle, glissant un bras sous son ventre pour la maintenir contre lui, et l’autre main appuyée sur son visage écrasé par terre. La joue de la jeune fille ripa sur le carrelage de la douche lorsque le garçon commença ses va-et-vient. Il la baisait en ahanant, forçant pour la pénétrer profondément à chaque poussée. Elle criait au même rythme, douloureusement maintenue au sol.
Vas-y, prends ça!... Tu aimes, hein?... Ho ouais, c’est bon!...
Michaël souriait alors que son copain parlait en pilonnant brutalement la petite black. Pierre, lui, avait pris le téléphone portable de son fils pour immortaliser la scène. Il souriait aussi, excité par ce coït brutal. Maryline était écrasée sous le poids de son amant, et glissait sur le carrelage mouillé. Alban devait lui relever les hanches d’un mouvement du bras lorsqu’elle s’affaissait trop. L’orgasme que la jeune fille n’avait cessé d’espérer depuis le matin montait à chaque coup de boutoir du jeune black. Et soudain, il explosa et la lycéenne cria de plus belle. Elle était encore secouée par les spasmes quand son amant se retira et lâcha de longues giclées de sperme qui coulèrent avec l’eau de la douche entre les fesses de la jeune fille. Elle se laissa tomber sur le ventre, allongée dans l’eau qui ruisselait vers la bouche d’évacuation. Alban était au-dessus d’elle, appuyé sur les mains et reprenant son souffle.
Ho putain!... souffla-t-il. T’es trop bonne, petite! Comment tu t’appelles, déjà?Maryline, répondit-elle dans un souffle elle aussi.
Le black se leva et aida la jeune fille à faire de même. Elle profita de la douche pour évacuer les traces de sperme entre ses fesses. Pierre avait cessé de prendre des photos, et Michaël retourna dans le vestiaire pour se sécher et s’habiller. Les deux blacks le suivirent, et Michaël fit un grand sourire à Maryline. Il avait l’air content d’elle, et elle lui retourna un sourire plus timide. Il lui passa sa serviette pour qu’elle se sèche. Les garçons se rhabillèrent, et Pierre se proposa d’aller chercher les affaires de la petite black dans l’autre vestiaire.
Tu viens à l’entraînement demain, Micka? Demanda Alban.Ouais, bien sur! Répondit Michaël.Hé Maryline! Ajouta le black. Tu seras là aussi j’espère. Je serai trop content de te voir, ma parole!Je... je sais pas, fit la jeune fille complètement déstabilisée par tout ce qui lui arrivait.Mais oui, tu viendras, ma belle! Lui confirma Michaël. C’est à quinze heures, demain. Je t’y attendrai. Ce soir, tu ne peux pas venir à la maison parce qu’il y a ma soeur qui vient dormir. D’habitude elle habite chez ma mère, mais de temps en temps elle vient chez nous.D’accord, dit-elle sans émotion.Bon, moi je vous laisse, dit Alban qui avait fini de s’habiller. Micka, ciao!
Il fit un check d’au revoir avec Michaël, puis vint embrasser Maryline en lui attrapant une fesse. Il posa ses lèvres sur les siennes pour un baiser rapide.
A demain, p’tite! T’es super!
Il sortit au moment où Pierre revenait. Celui-ci donna à la jeune fille son sac, sa robe et ses chaussures. Michaël était habillé lui aussi.
Maryline, il faut que je te demande, dit Pierre alors qu’elle enfilait sa robe... est-ce que tu prends la pilule?Non! Répondit-elle surprise par cette question. Pourquoi?Hé! On a pris nos précautions jusqu’à maintenant, mais il y a des fois où on aura envie de jouir en toi, expliqua-t-il. Il faut que tu sois prête à assouvir les désirs de toutes les manières possibles, et s’il y a le risque que tu tombes enceinte ça gâche franchement le plaisir.Prête à...?
La petite black ouvrit des yeux comme des soucoupes, comprenant que ses problèmes étaient loin d’être terminés.
Mais vous venez déjà... de me donner à Alban! Qu’est-ce que vous voulez de moi encore?
Des larmes lui montaient aux yeux malgré elle, et pour éviter une effusion Michaël la prit dans ses bras.
On veut tout de toi, ma belle, lui expliqua-t-il d’une voix douce. Tu es à moi, et je veux disposer de toi comme je le veux. Ca signifie qu’il faut que tu prennes la pilule.Je peux arranger ça avec le docteur Muller, dit Pierre. Il me fera une ordonnance et elle pourra commencer le traitement tout de suite. Elle n’a qu’à venir avec moi, et comme ça après je la dépose en voiture chez elle.
Michaël caressa la joue de Maryline, et la regarda avec ses yeux bleus qui la faisaient fondre.
Tu as compris? Lui dit-il. Tu vas aller avec mon père. Tout va bien se passer.
Elle hocha la tête.
Est-ce que tu as un portable? Demanda-t-il.Non, répondit-elle. Je l’ai perdu il y a trois mois et je n’ai pas pu m’en racheter un.OK, fit le jeune homme. Il faudra remédier à ça. Allez, mets tes chaussures, on y va.
La lycéenne enfila ses escarpins plats et suivit les deux hommes. Ils quittèrent le stade et rejoignirent une voiture noire garée à proximité. Pierre monta à la place du conducteur, et Michaël ouvrit la portière passager pour Maryline. Elle déposa son sac à l’intérieur et s’assit, gardant les jambes serrées, mais regarda le jeune homme avant de les rabattre à l’intérieur du véhicule.
Tu ne viens pas avec nous? Demanda-t-elle d’un air triste.Non, dit le garçon. Je dois rejoindre Alice chez ma mère pour lui dire bonjour, puis on rentrera ensemble à la maison.
Il lui prit la jambe gauche et la rentra dans le véhicule, et les cuisses ainsi écartées la robe ne cachait rien de l’entrejambe de la petite black. Sa chatte était encore ouverte et luisante après la baise brutale d’Alban. Ils étaient dans la rue et n’importe qui pouvait passer à côté d’eux à tout moment. Maryline n’était pas rassurée. Michaël, lui, se passa la langue sur les lèvres.
Je veux que tu penses à la raser demain matin, dit-il à la jeune fille. Elle doit rester douce à tout moment. Je ne veux pas d’une chatte rapeuse, c’est compris?
La lycéenne hocha la tête affirmativement.
Ca fera une règle de plus à te rappeler, ajouta-t-il. Et n’oublie pas les autres non plus, d’accord? Tout oubli entraînera une punition.
Elle hocha la tête de nouveau, avec un air de chien battu. Michaël se pencha pour l’embrasser à pleine bouche.
Tu vas me manquer, ma belle! Lui dit-il.
Puis il lui rabattit son autre jambe à l’intérieur et ferma la portière. Elle lui fit signe au revoir quand Pierre démarra la voiture. Ils parlèrent peu. Pierre téléphona chez le médecin pour vérifier qu’il était chez lui et le prévenir de leur venue. Le docteur Muller était le médecin attitré du club de football, et le père de Michaël le connaissait très bien. Ils se rendirent dans l’un des quartiers chics de la capitale, et montèrent dans un appartement de standing. Le docteur Muller les reçut chez lui. Il était en famille et Pierre ne voulait pas le déranger. Ils ne s’attardèrent donc pas. Le médecin les fit entrer dans un petit bureau. Pierre expliqua que Maryline était l’une des filles qui créaient le groupe de pompom girls, et qu’elle lui avait fait part d’un problème car elle avait besoin de prendre la pilule. Il voulait que le docteur Muller lui rende ce service. Celui-ci posa quelques questions à Maryline pour lui faire la meilleure prescription possible, et rédigea son ordonnance. Il ajouta tout de même un petit mot gentil.
J’ai hâte de voir le numéro que vous allez nous préparer avec les pompom girls. Je te souhaite plein de bonnes choses, mademoiselle!
Il serra la main de la jeune fille, puis celle de Pierre, et ceux-ci le quittèrent. Il firent un détour par une pharmacie pour prendre le médicament, puis sur les instructions d’itinéraire de Maryline, Pierre la reconduisit jusque chez elle. Avant qu’elle ne sorte de la voiture, l’homme posa la main sur sa cuisse et remonta sa jupe. Il admira la chatte nue, et la caressa du bout des doigts.
Tu commences ton traitement dès ce soir, d’accord? Dit-il. Je ne sais pas encore si je serai au stade demain, mais on se verra bientôt. Allez, file!
Maryline ne demanda pas son reste et sortit de la voiture. Lorsqu’elle entra chez son cousin, François était dans le salon avec un ami blanc qu’elle ne connaissait pas. Ils discutaient en consultant un ordinateur portable.
Tiens! Fit François sur un ton ironique. Mais qui arrive là? Je croyais que tu étais morte, moi.Désolée, dit Maryline. J’ai pas pu te prévenir, j’ai passé la nuit chez une amie. Mais tout va bien, ne t’inquiète pas.Tu aurais pu téléphoner, quand même!Je sais, mais j’ai pas pu, je te jure.
La jeune fille alla déposer son sac dans un coin. Les deux hommes la déshabillaient du regard, attirés surtout par son décolleté en V. L’ami de François lui parla tout bas. Elle n’entendit pas bien, mais il sembla à Maryline qu’il essayait de calmer les choses, disant à son cousin qu’il s’expliquerait avec elle plus tard. François maugréa, mais ne rajouta rien sur le sujet.
Bon, on allait dîner là, tu manges avec nous? Demanda-t-il à la jeune fille.Heu... oui, je reste là de toute façon, répondit-elle.
Elle donna donc un coup de main à son cousin pour dresser la table. Pendant le repas, elle fit la connaissance de son ami qui s’appelait Cédric. C’était un collègue de travail. Il avait l’air ravi de la présence de Maryline, et voulut en savoir plus sur elle. Elle discuta avec plaisir, essayant de garder le plus possible ses bras devant elle pour dissimuler son décolleté, car elle voyait bien que cela attirait les regards. Mais c’était difficile alors qu’elle prenait son repas, et les deux hommes se régalèrent les pupilles. La jeune fille était fatiguée et aurait voulu se coucher tôt mais elle dormait dans le canapé-lit du salon, et devait donc attendre que Cédric parte. Ce qu’il ne fit qu’en fin de soirée, après avoir pris un café et discuté encore longuement avec François et sa jolie cousine. Enfin Maryline put se coucher, soulagée que son cousin soit fatigué lui aussi et qu’il remette leur discussion à plus tard. Elle pensa avant de s’endormir à prendre sa pilule, une habitude à laquelle elle devrait s’astreindre chaque soir.
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Samedi 12 septembre
La jeune fille avait besoin de récupérer et elle dormit profondément, heureuse d’être dans un lit. Son cousin la réveilla brièvement au petit matin pour lui dire qu’il partait pour la journée et lui rappeler qu’elle n’oublie pas de fermer la porte à clé si elle sortait. Elle se rendormit immédiatement après. Il était près de onze heures lorsqu’elle s’éveilla de nouveau. Elle se sentait ragaillardie et étrangement joyeuse. Elle prit son petit déjeuner puis un bon bain chaud. Elle passa du temps dans la salle de bain à prendre soin d’elle, pensant notamment à ce que lui avait dit Michaël. Elle passa un coup de rasoir sur son pubis et autour de son sexe, qui resta doux comme une peau de bébé. Seule dans l’appartement, elle n’avait soudainement pas envie de s’habiller, et resta nue. Cela lui rappela sa soirée chez Michaël et son père, et elle se sentait ainsi vaguement excitée. Elle se demanda pourquoi elle faisait ça alors que personne ne l’y obligeait. Ce n’était pas son habitude, mais elle en avait simplement envie. Soudain on sonna à la porte d’entrée, et Maryline ne trouva sous la main que son drap de lit pour se couvrir. Elle l’enroula autour de son corps et alla ouvrir. C’était un livreur qui délivrait un colis pour son cousin. Le jeune homme eut l’air un peu gêné, s’excusant de déranger la petite black. Elle le rassura en riant, il ne la dérangeait pas. Elle réceptionna le colis et eut tout le mal du monde à le déposer dans l’appartement tout en maintenant le drap de manière décente. Le livreur dut apercevoir une bonne partie de sa poitrine. Elle remonta le tissu pour se couvrir, puis dut signer sur un appareil électronique que tenait le jeune homme. Encore une fois le drap glissa, mais cette fois la petite black était juste face au livreur. Il eut une vision de ses tétons avant qu’elle ne put remettre de nouveau le tissu en place. Gêné mais souriant, le livreur la remercia et partit. Maryline souffla derrière la porte. Finalement elle n’avait pas besoin de Michaël pour se mettre dans des situations pareilles! Mais qu’est-ce qui lui arrivait? Elle décida de s’habiller à présent pour éviter de renouveler ce genre d’exhibition. Elle réfléchit sur ce qu’elle pouvait mettre. Les règles étaient qu’elle devait mettre une jupe, ou une robe, et pas de soutien-gorge. Elle avait déjà porté sa robe gris-violet deux jours de suite. Elle ne pouvait pas la remettre encore une fois. Il ne lui restait donc le choix qu’entre les deux jupes que lui avait achetées Michaël et qu’elle avait essayées devant Omar et Jérémy. Elle opta pour la jupe noire classique, la stretch beige étant trop moulante à son goût. Elle mit une culotte blanche simple et enfila donc la jupe, qui était coupé droit et lui arrivait un peu au-dessus du genou. Elle fouilla parmi sa petite garde-robe pour voir ce qui ferait l’affaire en haut. Elle voulait quelque chose de confortable et pas spécialement sexy. Elle choisit un sweat marine sans manches et à capuche, bien large. Le tissu était plutôt épais, et ses formes étaient invisibles. Il était impossible de dire qu’elle ne portait rien en-dessous. Elle se regarda dans un miroir et fut satisfaite. C’était tout sauf aguicheur.La jeune fille se réchauffa ensuite une boîte de ravioli qu’elle mangea devant la télé, assise avec ses jambes sur le canapé. Elle reçut un coup de téléphone d’une de ses copines, Carine, une black comme elle, avec qui elle discuta longuement. Elles parlèrent évidemment un peu garçons, et Maryline évoqua Michaël, mais sans entrer dans les détails. Lorsqu’elle raccrocha le téléphone, la petite black se rendit compte qu’il était déjà quatorze heures passées. Elle prit sa clé et de la monnaie qu’elle mit dans la poche ventrale de son sweat, puis enfila des soquettes et une paire de chaussures fermées. Elle ne retrouva pas sa parka et se souvint que Michaël avait du la garder. Elle le regretta parce qu’il ne faisait pas chaud pour la saison ce jour-là. Et il y avait un petit vent cinglant qui accentuait la sensation de froid. Maryline fut contente de rejoindre la chaleur du métro pour se rendre au stade. Sur le quai elle fut accostée par un jeune homme qui cherchait visiblement à la draguer. Elle n’entra pas dans son jeu et coupa court à la conversation. Elle n’avait pas besoin de ça maintenant!Elle arriva au stade alors que quelques joueurs s’échauffaient. Michaël discutait sur le bord du terrain avec un entraîneur. Il était encore en tenue de ville. Lorsqu’il vit arriver la petite black, il interrompit sa conversation en s’excusant et vint à sa rencontre.
Bonjour ma belle! Lui dit-il en l’embrassant. Je t’attendais. Viens, je vais me changer.
Il la prit par la main et l’emmena au vestiaire. Il y avait un autre garçon qui finissait de s’habiller et qui serra la main à Michaël. Puis il s’approcha tout naturellement de Maryline et lui fit la bise.
Bonjour... mademoiselle Maryline, c’est ça? Demanda-t-il tout souriant.Heu, oui... et toi? Demanda-t-elle. Excuse-moi mais je n’ai pas retenu les prénoms de tout le monde.Laurent! S’empressa-t-il de répondre. Moi c’est Laurent.Ok!
Elle sourit mais ne poursuivit pas la conversation et se tourna vers Michaël qui se changeait. Laurent, habillé, fila vers le terrain.
On dirait que tu viens de te réveiller et que tu t’es habillée trop speed, dit Michaël en rigolant à la jeune fille.Pourquoi tu dis ça? Fit-elle interloquée.J’sais pas. J’ai l’impression que tu as juste pris les fringues que tu avais sous la main.Ben!... J’ai quand même mis une de tes jupes, non?Oui, ça c’est bien, admit-il en posant la main sur la cuisse de Maryline et en glissant le bout des doigts sous la jupe. Tourne-toi!
Elle lui tourna le dos dans un soupir et le jeune homme souleva complètement la jupe pour voir ses fesses couvertes de son slip blanc.
Ha ouais, c’est ce que je disais! Fit-il moqueur. T’as pas fait dans le sexy aujourd’hui.Mais je n’ai plus la culotte que tu m’as achetée! Se défendit la petite black. Sinon je l’aurais bien mise.
Michaël lâcha la jupe qui retomba en place et continua de se changer.
Voyons si tu respectes bien les règles, dit-il. Tu as quoi sous ton sweat?Rien, avoua Maryline en lui faisant face à nouveau.Quand tu me dis quelque chose comme ça, il faut le prouver, tu sais bien!
La petite black fit une mine contrite et souleva son sweat sans manches au-dessus de ses seins nus.
C’est un bon point, fit Michaël.
Il enfila ses chaussures de foot alors que Maryline rabaissait son vêtement, puis ajouta:
N’empêche que ta tenue ne va pas du tout. Moi je sors ce soir avec un pote. Je pensais t’emmener, mais fringuée comme ça y a pas moyen.
La jeune fille eut les yeux pétillants à l’idée de sortir le soir avec Michaël, et essaya de lui faire changer d’avis.
Sortir ce soir? Ho mince! J’aurais vraiment voulu! S’il-te-plaît... j’irai me changer, c’est tout!Retourner chez toi pour te changer? Non, je te préviens, je t’attendrai pas.S’il-te-plaît! Insista-t-elle avec son regard le plus suppliant possible.
Michaël soupira.
Bon, je crois qu’on peut faire quelque chose. Après l’entraînement, on ira faire les boutiques pour te trouver une tenue correcte. Mais il faudra absolument que tu m’obéisses au doigt et à l’oeil, hein? Au moindre écart, je te virerai pour passer la soirée seul avec mon pote. Et puis, je balancerai aussi tout ce que j’ai à tout le monde: les photos, les vidéos. Tu comprends ça?
Maryline fit oui de la tête, retenant un sourire de joie. Pourquoi avait-il besoin de la menacer? Elle avait trop envie de cette soirée de toute façon. Peut-être voulait-il seulement lui rappeler qu’il la tenait au cas où l’envie lui prendrait de se rebeller? Ou alors est-ce qu’il préparait quelque chose de pire que ce qu’il lui avait déjà imposé? La jeune fille en doutait. Elle avait déjà été obligée de baiser avec son père et avec son copain Alban. Mais avec qui sortait-il ce soir? Est-ce qu’il allait obliger la petite black à se donner à lui aussi? Elle n’eut plus envie de sourire, à cette idée, car ça lui paraissait fortement possible avec Michaël. Elle se demanda finalement si elle avait bien fait d’insister pour cette soirée.Le jeune homme sortit Maryline de ses pensées en l’emmenant par la main hors du vestiaire. Il portait sa tenue de football, haut de survêtement à cause du temps frais, short, chaussettes et chaussures. Il abandonna la jeune fille au bord du terrain en lui disant de rester là, puis rejoignit ses camarades à l’entraînement. La petite black avait froid. Quelle idée elle avait eu de mettre un vêtement sans manches! Elle alla s’asseoir sur un banc utilisé par le coach et les remplaçants en match, et serra ses bras contre elle. Elle suivait les exercices des garçons de loin, encourageant parfois Michaël d’un geste de la main. Elle vit aussi qu’ Alban était là. Il lui fit un signe amical. Lorsque l’entraîneur fit une pause, la plupart des joueurs allèrent se désaltérer. Michaël vint voir la jeune fille, et lui demanda si elle n’avait pas trop froid.
Non, ça peut aller, mentit-elle.
Le garçon était debout devant elle, et approcha entre ses genoux, la forçant à écarter les cuisses.
Fais voir ta chatte, lui ordonna-t-il.
Il voyait déjà sa culotte blanche. Maryline était cachée du terrain par la large silhouette du jeune homme. Sans broncher, elle écarta donc le devant de son sous-vêtement, dévoilant sa chatte rasée.
Tu l’as rasée ce matin? Demanda Michaël.
La petite black acquiesça.
C’est bien, fit le garçon en souriant.
Sur ce, Laurent, le garçon qu’elle venait de rencontrer dans le vestiaire, vint la voir à son tour. Elle eut à peine le temps de remettre sa culotte en place et de resserrer les cuisses au maximum.
Pas la peine de cacher ta culotte, tu sais, lui fit Laurent en rigolant. Je t’ai vu te changer dans les vestiaires jeudi, alors ça...Hé! Il a raison, ajouta Michaël. Alors pas la peine de faire ta pudique!
Il écarta de nouveau les cuisses de la jeune fille avec ses jambes. Elle fut complètement ouverte, sa culotte indécemment exposée. Encore une fois Michaël l’obligeait à s’exhiber à quelqu’un qu’elle connaissait à peine. Elle se mordit les lèvres, morte de honte. Elle fut sauvée par l’entraîneur qui sonna la reprise des exercices. Les garçons repartis sur le terrain, elle put refermer les cuisses. Elle frissonna.Pendant le reste de la séance, l’un des entraîneurs, Jean, vint à ses côtés. C’était un monsieur qui devait approcher la cinquantaine. Il lui demanda si c’était elle qui faisait partie des pom pom girls, et lui dit que Pierre lui avait parlé de ce projet. Il était gentil et ils discutèrent un moment, jusqu’à la fin de l’entraînement. Là, il rejoignit le terrain pour aider au rangement. Maryline s’étonna un peu qu’Alban ne vienne pas lui dire bonjour, lui qui avait l’air si pressé de la revoir la veille. Mais elle en comprit la raison quand elle le vit rejoindre une autre fille de l’autre côté du terrain. Il l’embrassa... sans doute sa petite copine, et il voulait éviter de provoquer de la jalousie. Michaël emmena la petite black dans le vestiaire pendant qu’il se changeait.
Viens, il fait plus chaud à l’intérieur, prétexta-t-il.
C’est là qu’Alban profita de l’absence de sa copine qui l’attendait à l’extérieur pour venir embrasser Maryline, directement sur la bouche. La plupart des autres garçons qui se changeaient en même temps l’avaient saluée en lui faisant la bise. Le black n’était pas gêné par la présence de Michaël, qui au contraire se réjouissait de voir la jeune fille attirer toutes les attentions. Celle-ci, au contraire, était toute intimidée de cette familiarité dans le vestiaire rempli de monde. Elle n’était pas au bout de ses surprises!
Alors, t’es toujours sans culotte aujourd’hui, p’tite? Demanda Alban en souriant à la petite black.
Il avait dit ça sans aucune discrétion, et plusieurs regards se tournèrent brusquement vers eux. Maryline aurait voulu s’enfoncer dans le sol et disparaître.
Ben réponds-lui! Fit Michaël alors qu’il se déshabillait pour aller à la douche.N... non, j’en ai une bien sur! Répondit-elle avec hésitation.J’aimerais bien voir ça, dit Alban à moitié sur le ton de la plaisanterie.
Mais Michaël ne le prit pas comme une plaisanterie, et fit un petit signe du menton à Maryline l’air de dire « Allez, montre-lui! ». Elle savait qu’elle ne devait pas discuter, mais faire ça dans le vestiaire rempli de garçons plus ou moins nus... L’angoisse la saisit à la gorge. Et pourtant, l’esprit dans le vague, elle fit ce que le garçon attendait d’elle. Debout face à Alban, elle souleva juste un instant le devant de sa jupe pour lui montrer sa culotte blanche. Instantanément des cris et des sifflets retentirent dans le vestiaire. Les garçons applaudissaient.
Wouaaaa! J’y crois pas! Fit Alban. Toi t’as peur de rien, Maryline!
Et il tapa dans la main de Michaël en rigolant. Celui-ci alla sous la douche, et Alban s’assit pour se déshabiller et aller se doucher à son tour. La jeune fille s’assit, les genoux serrés, le regard vers ses pieds. Heureusement les garçons n’en demandèrent pas plus, et quand Michaël fut séché et habillé il salua ses amis et sortit en emmenant Maryline.
Je crois que tu leur a fait de l’effet, dit le jeune homme en arrivant dans la rue.Et toi? Demanda Maryline. Je t’en ai fait de l’effet?
Michaël s’arrêta devant la petite black et la prit dans ses bras.
Héééé! Ne crois pas que tu me fais rien, la rassura-t-il. J’ai terriblement envie de te sauter, même dans tes fringues de racaille.
Il rigola, et cela fit rire Maryline aussi.
Mais là on va faire les boutiques. On verra, si on a le temps... peut-être que je te prendrai dans un coin.Dans un coin? S’inquiéta la jeune fille. Mais on ne peut pas faire ça n’importe où?Et si, bien sur! N’importe où, n’importe quand, c’est ma devise. Qu’est-ce qui nous en empêche?Mais... et si quelqu’un nous voit?Ben il se rincera l’oeil. T’es quand même pas moche à voir, surtout quand tu baises.
Il rit de nouveau et repartit en tirant Maryline par la main. Elle le suivit sans rien ajouter, se demandant s’il était sérieux. Elle avait quand même une ride d’inquiétude sur le front.
A suivre...
Cette histoire a son blog : petiteblack.eklablog.com
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