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Petite black, chantage et ballon rond

Chapitre 8

Divers
Michaël emmena la petite black vers des rues commerçantes, où ils pourraient se promener de boutique en boutique. Maryline tenta d’interroger le jeune homme sur le programme de la soirée, mais il ne dit rien, voulant préserver la surprise. Ils marchaient main dans la main, et la jeune fille en était toute émue. Elle s’interrogea sur Michaël. Manifestement elle pouvait le considérer comme son petit copain, même si leur relation avait commencé de manière atypique, avec un chantage... chantage qui se poursuivait, puisque c’est par ce moyen que le garçon obtenait d’elle des choses qu’elle n’aurait jamais acceptées d’un petit copain banal. En y réfléchissant, tout le monde a des préférences sexuelles, des fantasmes qu’il cherche à assouvir avec son partenaire. Mais ceux de Michaël étaient carrément osés: exhiber la petite black et la partager avec son entourage. Est-ce qu’elle pouvait accepter ça ? Certainement pas, mais elle n’avait pas le choix. Donc, si par ailleurs elle pouvait partager de vrais bons moments avec lui, c’était un juste retour des choses, et ça compensait un peu les inconvénients, non ? C’est un peu pour ça que Maryline tenait à sortir ce soir avec celui qu’elle voulait appeler maintenant son petit ami, pour passer un vrai moment en couple... avec l’espoir que ça ne dégénère pas.Les deux lycéens s’arrêtèrent devant quelques vitrines de magasins de vêtements, commentant les modèles exposés. Michaël gardait toujours une main sur le corps de la petite black, l’autre tenant son sac de sport. Sa préférence était de glisser sous le sweat pour caresser la peau nue du dos ou du ventre, voire en remontant un peu pour attraper un sein et le pétrir doucement. Ce faisant, il remontait un peu trop le vêtement au goût de la jeune fille, qui passait la plupart de son temps à le redescendre pour éviter de se retrouver seins nus. Finalement après avoir léché plusieurs vitrines, Michaël fit son choix, sans vraiment tenir compte de l’avis de sa copine, et fit marche arrière pour entrer dans une boutique populaire où se pressaient les clients. Il était un peu déçu de voir que les collections hiver prenaient déjà presque la totalité de la place, mais même là-dedans, il y avait des petites tenues sexy qui lui plaisaient. Maryline, elle, repéra déjà des petits pantalons ou des chemisiers qui lui plaisaient, mais ce n’était visiblement pas ce sur quoi s’arrêtait le garçon. Il passa dans les rayons et prit quelques vêtements sur le bras, puis emmena la jeune fille vers les cabines d’essayage au fond du magasin. Il y avait tout un couloir bordé de cabines fermées par des rideaux, et une vendeuse en désigna une libre où Maryline pouvait se changer. Michaël l’y accompagna, et entra avec elle dans le réduit. Il posa son sac de sport à terre.
— Tiens, tu peux essayer déjà ça, dit-il en lui tendant un blazer à col large. Mais enlève d’abord ton sweat, ça va faire moche avec ça.— Heu... normalement une veste, on met quelque chose en dessous, osa avancer la petite black.— Je sais, je sais ! s’énerva un peu le garçon. Là c’est juste pour essayer, et je te dis que ton sweat sera moche en dessous. Alors, ne discute pas.
Maryline ne chercha pas à argumenter davantage, et enleva son sweat sans manches. La poitrine nue, elle enfila le blazer. Il n’avait même pas de bouton, il était fait pour rester négligemment ouvert. Elle le tint à peu près fermé pour voir dans le miroir si la coupe était bonne. Mais Michaël la fit se tourner vers lui.
— Lâche-la, ordonna-t-il.
Dès qu’elle lâcha le tissu, la veste s’ouvrit sur une large bande de peau de son ventre à son cou. Michaël l’examina d’un œil scrutateur, et écarta un pan de la veste pour dégager un sein.
— C’est pas mal du tout, fit-il.
Il tria dans les vêtements qu’il avait sélectionnés pour être essayés, et choisit une petite robe noire.
— Bon, enlève tout, maintenant, dit-il, même les chaussures. Tu vas mettre ça !
Maryline ôta ses chaussures et ses soquettes, puis le blazer et enfin sa jupe. Elle eut une sensation étrange de se retrouver juste en culotte dans cette boutique fréquentée. Elle entendait tout le brouhaha de la clientèle à quelques pas d’elle.
— La culotte aussi ! dit Michaël en montrant le sous-vêtement du doigt. Tu vas quand même pas porter ça avec une robe aussi chic, non ?
La jeune fille regarda son slip blanc, interloquée, hésita, vit le regard du jeune homme qui attendait qu’elle réagisse, et finit par obtempérer. Elle enleva le dernier rempart à sa nudité. Son copain lui sourit et lui tendit la robe. C’était une robe bustier qui parut bien petite à Maryline. Elle se demanda si elle entrerait dedans. Et en effet, elle dut se tortiller pour l’enfiler. Ses hanches plutôt larges passèrent avec difficulté, et elle eut autant de mal à faire entrer ses seins dans le bustier. La robe était coupée pour arriver à mi-cuisses, mais elle était trop petite d’au moins une taille et s’arrêtait effectivement plus haut. Michaël admira le résultat: la petite black était extrêmement pulpeuse, ses chairs prêtes à surgir de la robe.
— Ca va pas, c’est pas possible, c’est trop court... dit-elle avec gêne.— Essaye avec ça, fit le garçon en lui redonnant le blazer.
Elle soupira et enfila la veste. Au moins si ses seins sortaient du bustier, ainsi ils resteraient quand même cachés.
— Tu es très chic ! fit Michaël sur un ton admiratif.— Merci ! répondit la jeune fille. C’est vrai que ça fait chic. Mais c’est pas un peu trop, justement ? C’est pour aller où ?— Ca, tu le verras le moment venu. Mais essaie quand même autre chose. Regarde cette robe, c’est le même genre de modèle.
Il tendit le vêtement à Maryline. C’était aussi une robe noire bustier. La lycéenne dut se déshabiller de nouveau, puis enfila la nouvelle robe. Elle eut autant de mal à faire entrer ses seins dans le bustier, mais au-dessus, sa poitrine était couverte jusqu’au cou d’un tissu-voile transparent. En bas, il n’y avait pas de problème. La robe était flottante et légère, recouverte de tulle, et à peine plus longue que l’autre.
— C’est pas mal ! dit Michaël en se léchant les babines. C’est plus pratique, regarde.
Et joignant le geste à la parole, il souleva la jupe flottante pour dévoiler le bas-ventre de la petite black.
— Ha oui, pas mal du tout ! ajouta-t-il. Tourne-toi !
Maryline se retourna. Le garçon tenait toujours le bas de la robe, et la souleva davantage pour voir tout le postérieur de la lycéenne. Soudain, il n’y tint plus. Il posa sur son sac de sport les vêtements qu’il tenait.
— Enlève la robe et penche-toi en avant ! ordonna-t-il tout excité à Maryline.
Elle tourna la tête vers lui, et vit qu’il ouvrait son pantalon.
— Non ! Pas ici, arrête ! lui chuchota-t-elle afin de ne pas attirer l’attention à l’extérieur de la cabine.— Fais-le, ne discute pas ! continua le jeune homme d’un ton plus ferme. Je t’ai dit n’importe où, n’importe quand, et c’est maintenant.
La petite black comprit qu’il ne fallait pas discuter. Et en fait, elle en avait plutôt envie elle aussi, depuis le temps qu’elle attendait que Michaël lui fasse de nouveau l’amour. Mais elle ne s’était certainement pas attendue à ce que ça se passe dans un endroit public. Elle fit glisser sa robe et la posa sur les autres vêtements. Puis elle se pencha en avant en posant les mains contre le mur en face.
— Ouvre ton cul ! ordonna le jeune homme.
Maryline se mordit les lèvres de honte, et d’une main, elle écarta une fesse, exposant outrageusement son anus et sa chatte. Michaël ne perdit pas de temps, il posa les mains sur ses hanches et enfonça d’un coup son sexe dans celui de la jeune fille. Elle se retint d’émettre le moindre son. Il y avait des gens juste derrière le rideau et elle préférait ne pas attirer l’attention. Son copain la baisa rapidement. Il était apparemment très excité, son membre bien dur. Il besogna sa copine à un rythme effréné, et elle dut s’appuyer fermement au mur pour ne pas tomber. Sa plus grande crainte était que quelqu’un n’entende ce qu’ils faisaient et ouvre le rideau. Elle respirait fortement, la bouche ouverte, luttant pour ne pas gémir, excitée à son tour par les va-et-vient rapides du jeune homme. A peine une poignée de minutes suffirent pour qu’il prenne son pied. Il resta collé au cul de la petite black, empalé jusqu’à la garde, et éjacula au fond de son vagin. Lorsqu’il eut déversé tout son sperme, il se retira doucement, la queue luisante. Maryline, elle, n’avait pas joui, et elle resta un moment dans la même position, toute pantelante.
— Tu as déjà fini ? gémit-elle, déçue.— Quoi, tu en veux encore ? fit Michaël avec un petit rire amusé.
Toujours dans la même position, la jeune fille remua doucement ses hanches avec une petite moue aguicheuse en guise de réponse.
— Si tu veux, je suis sûr que je peux trouver quelqu’un là dehors qui voudra bien assouvir ta soif de bite, ajouta le garçon en rangeant son sexe dans son boxer.— Non merci ! s’empressa de répondre la petite black en se retournant.
Elle craignait vraiment que son copain ne soit capable de le faire. Il remit son pantalon en place, et regarda le tas de vêtements d’un air dubitatif.
— Bon, je crois que c’est pas la peine de faire d’autres essais, dit-il. C’était concluant avec la dernière robe.— Je peux la remettre, alors ? demanda Maryline.— Non. C’est pas pour maintenant, tu risques de la salir. Tu la mettras plus tard. En attendant, remets ce que tu portais.
La jeune fille ne se le fit pas dire deux fois, pressée de se rhabiller. Elle ramassa en premier lieu sa culotte, mais Michaël la lui prit tout de suite des mains.
— Ha non ! fit-il avec un signe négatif de la main. Ca par contre, tu le remets pas. Je préfère encore que tu sois cul nu que de porter ce slip de fillette.— Mais... objecta Maryline, donne-moi au moins une autre culotte alors ! S’il te plaît !...— Tu discutes ? Je peux encore aller chercher quelqu’un dehors, tu sais.
La mine de la petite black se renfrogna et elle se rhabilla, jupe et sweat sans manches, sans sa culotte. Elle voulut ensuite remettre ses soquettes et ses chaussures, mais son copain l’en empêcha de nouveau.
— Pas la peine, on va chercher des chaussures justement. Reste pieds nus pour le moment.
Il ramassa le tas de vêtements et les chaussures de Maryline, la robe et le blazer choisis à part, ainsi que son sac de sport. Il tira ensuite le rideau et sortit, la petite black à sa suite. Il remit à la vendeuse en charge des essayages les vêtements qu’il ne gardait pas, puis se dirigea vers la partie chaussures du magasin. Personne ne semblait faire attention au fait que Maryline était pieds nus, ce qui la rassura. Michaël indiqua un tabouret à la jeune fille.
— Assis-toi là ! lui dit-il.
Elle obéit, gardant les genoux serrés.
— Non, pas comme ça ! Fit le garçon d’un air renfrogné. Ne serre pas les jambes quand tu t’assois.— Mais !... commença la petite black, puis elle baissa la voix en regardant autour d’elle. Tu sais bien que je n’ai rien en dessous. Ca risque de se voir !— Ca fait déjà au moins trois fois que tu me contredis depuis qu’on est là, dit simplement Michaël. Pour ça tu as déjà une punition en réserve.
Maryline ouvrit la bouche, ébahie, mais rien n’en sortit. Il y avait des clients dans tout le magasin. Elle desserra les cuisses, un petit peu. Son copain attrapa ses genoux et les écarta plus largement, de sorte que lui au moins, face à elle, voyait nettement sa chatte encore ouverte et mouillée.
— Tu ne bouges pas ! ordonna-t-il à la lycéenne.
Puis il lui demanda sa pointure et examina le rack de chaussures pour femmes afin de faire son choix. Maryline sentait la chaleur lui envahir les joues. Elle avait les jambes ouvertes, pieds nus, et même si sa jupe n’était pas trop courte, dans sa position quelqu’un de bien placé avait une vue directe sur son sexe. Ce qui ne manqua pas évidemment. Un duo d’adolescents, des garçons, passant dans l’allée d’en face, firent brusquement marche arrière pour regarder directement entre les cuisses de la jeune fille. Ils en eurent les yeux exorbités et parlèrent entre eux, tout excités. Maryline s’efforça de regarder Michaël, faisant comme si elle ne les voyait pas. Les garçons voulurent s’approcher pour voir de plus près cette petite chatte noire, mais à ce moment un grand gaillard qui devait être son petit copain la rejoignit. Ils firent demi-tour, dépités. Michaël avait à la main deux paires de bottes noires à hauts talons.
— Tiens, essaye ça ! Dit-il en posant les bottes au pied de la petite black.
Celle-ci prit la première paire et chercha comment enfiler ces bottes sans s’exposer immodérément. Mais c’était peine perdue. Elle était obligée de lever le pied et de tendre la jambe pour tirer sur la botte de cuir. Son entrejambe était offert à la vue, et Michaël était le premier à en profiter, mais il n’était pas le seul. Le duo d’adolescents s’était posté un peu plus loin pour observer la scène. Ils se régalèrent eux aussi. La première paire enfilée, Maryline eut un peu de mal à marcher. Elle n’avait jamais porté ce genre de choses et manquait de grâce et d’équilibre, ce que son copain lui fit d’ailleurs remarquer.
— Il faudra t’y habituer, lui dit-il, parce que je te ferai porter des talons plus souvent maintenant. Allez, essaye l’autre paire !
La jeune fille dut se rasseoir et enlever ses bottes, mais elle ne put le faire seule. Elles serraient son pied et Michaël dut l’aider. Mais en fait d’aide, le garçon la força à lever la jambe plus haut qu’auparavant afin qu’il puisse tirer la botte. Il tira fort, par à-coups, et la petite black se retrouva avec les fesses au bord du tabouret, une jambe en l’air, la jupe relevée sur ses cuisses. Elle aperçut les deux adolescents qui ne manquaient pas une miette du spectacle en la montrant du doigt. Elle était morte de honte, mais elle sentait également que son sexe, objet de toutes les attentions, suintait d’humidité. Elle craignait que le sperme de Michaël ne coule sur ses cuisses. Elle resta exposée en enfilant la deuxième paire de bottes, puis fut soulagée de pouvoir se lever pour marcher un peu avec. Ce fut toujours aussi difficile, mais elle fit durer le plaisir pour éviter d’avoir à se rasseoir.
— Je les garde sur moi ? demanda-t-elle à Michaël.— C’est ces bottes que tu préfères ? OK, dit-il. Mais tu ne les gardes pas, non. Tu les mettras plus tard, avec la robe. Là tu peux remettre tes chaussures.
Maryline fit la moue, comprenant qu’elle devait se montrer encore une fois. Les deux adolescents étaient restés postés au même endroit, et attendirent avec impatience jusqu’au moment où la jeune fille s’assit. Elle croisa leurs regards à ce moment-là et elle y vit un désir brut qui la perturba. Elle eut encore plus de difficulté à ôter les bottes, faisant malgré elle durer le spectacle pour les petits voyeurs. Elle mit ensuite rapidement ses soquettes et ses chaussures que Michaël lui rendit, et se leva avec un soupir de soulagement. Elle pensait que son calvaire était terminé.
— Tu as vu que tu as des admirateurs ? Lui souffla alors Michaël avec un sourire pervers.— Oui... je les ai vus, avoua Maryline dans un souffle elle aussi.— Ils aiment te voir, il ne faut pas les décevoir. Tourne-toi ! ordonna-t-il.
La jeune fille se demanda avec angoisse ce qu’il comptait faire, mais n’osa pas faire d’objection encore une fois. Elle se tourna, dos aux deux adolescents. Michaël leur adressa alors un regard complice, et souleva la jupe de la petite black pour leur montrer son cul rebondi. Elle sursauta et eut un geste pour se retourner et rabaisser sa jupe, mais d’une main de fer, son copain l’en empêcha. Il garda la jupe levée quelques instants, puis la rabaissa sous les yeux ébahis des deux garçons. Il emmena ensuite la jeune fille par la main en rigolant. Maryline était effarée qu’il ait osé faire ça en plein magasin. Et si quelqu’un d’autre l’avait vue ? Et si les deux adolescents essayaient de la suivre ? Elle regarda autour d’elle avec anxiété alors que Michaël passait à la caisse pour payer les vêtements et la paire de bottes. Il les rangea dans son sac de sport puis quitta la boutique avec Maryline.
— Maintenant on va à Charléty pour le match de l’équipe première, dit Michaël. C’est là que j’ai rendez-vous avec mon pote.
Maryline n’osa pas parler de ce qui venait de se passer dans le magasin.
— Qui c’est ? demanda-t-elle.— Mathias.— Ha, fit simplement la jeune fille. Je pensais que ce serait peut-être Alban.— Non, je lui ai proposé, mais il sortait avec sa copine. Pourquoi ? T’as aimé quand il t’a prise dans la douche ? demanda le jeune homme amusé.— Hein ? Heu, non, enfin oui... fit sa copine toute gênée par cette question. Nan, c’est pas ce que je veux dire ! C’est que, je l’ai pas voulu, mais...
Elle hésita, soupirant, puis avoua:
— Bon d’accord, c’était pas désagréable. Mais j’ai été prise par surprise !— Je sais, dit Michaël. C’était un peu fait exprès. J’aime te faire des surprises. Et t’en auras encore beaucoup d’autres.
Ils étaient en avance et prirent donc le temps d’aller à pied jusqu’au stade. Maryline avait toujours froid et le garçon lui proposa son propre blouson pour la réchauffer. En chemin, il reçut un appel sur son téléphone portable. C’était son copain Mathias, et Michaël lui dit qu’il ferait d’abord un saut à la boutique du club et qu’ils pouvaient se retrouver là-bas.La boutique était petite et peu fréquentée, mais il s’y trouvait quand même deux ou trois clients qui flânaient là avant le match. Michaël et Maryline y retrouvèrent Mathias à l’intérieur. Les deux garçons se saluèrent juste d’un mot. Ils s’étaient vus peu avant à l’entraînement, et Maryline se souvint que Mathias lui avait fait la bise dans le vestiaire. C’était un garçon plutôt grand et mince, et il portait des lunettes quand il ne faisait pas de sport.
— Tu veux te racheter une écharpe ? demanda-t-il à Michaël.— Non, répondit celui-ci. C’est pour Maryline, je veux lui offrir un maillot floqué à son nom.
La jeune fille fut surprise et ouvrit de grands yeux.
— Ho, c’est pas la peine, tu sais ! exprima-t-elle.
Elle n’avait jamais porté de maillot de football, et ne se voyait pas avec ça sur le dos.
— Si si, j’insiste ! ajouta Michaël. Attends, on va assister à un match, et je veux que tu sois une supportrice modèle ! La plus sexy des supportrices ! Viens !
Il prit sa copine par la main et l’emmena voir les maillots. Mathias les suivit. Michaël prit les deux plus petites tailles, et posa les maillots un à un devant la poitrine de la jeune fille pour voir ce qui irait le mieux.
— Hum ! Vu ton petit gabarit, c’est un de ces deux-là qu’il te faudrait, mais je n’arrive pas à voir lequel, dit-il. Il faut les essayer.
Maryline soupira en regardant autour d’elle.
— Je ne vois pas de cabine d’essayage, dit-elle.— Je sais, il n’y en a pas, confirma son copain. On va demander à Alex si tu peux quand même essayer.
La jeune fille eut un frisson qui n’était pas dû qu’à sa frilosité. Elle craignait, à juste titre, que Michaël ne cherche de nouveau à l’exhiber. Ils allèrent à la caisse où un jeune homme attendait le client.
— Salut, Alex ! Lui dit Michaël en lui serrant la main.— Ho, Mike ! Ca va ? répondit-il. Et toi, Mathias ?— Ca roule, fit celui-ci en lui serrant la main à son tour.— Dis, Alex, demanda Michaël, ma copine Maryline veut un maillot, mais elle ne sait pas quelle taille prendre. Ca te dérange pas si elle essaye ici ?
Il montra les deux maillots et la fille à son côté pour appuyer sa demande.
— Nan, pas de souci ! fit Alex en haussant les épaules.— OK, merci ! Bon, alors enlève ça, ma belle, dit-il en se tournant vers la petite black.
Joignant le geste à la parole, il attrapa le bas du sweat de Maryline et le souleva. La jeune fille le retint de la main, surprise, mais n’osa pas dire un mot pour le contrarier. Elle lui jeta juste un regard implorant afin de lui faire comprendre que ce n’était pas le moment ni l’endroit, mais le jeune homme semblait décidé. Il ne lâcha pas le sweat et ses yeux ne montraient que son inflexibilité. Les deux autres garçons les observaient, nonchalamment intrigués. Maryline comprit qu’elle n’avait de nouveau pas le choix. Elle jeta un œil autour d’elle. Il n’y avait aucun client aux alentours. La honte lui envahit les joues alors qu’elle ôta elle-même son sweat d’un geste rapide, le faisant passer par-dessus sa tête. Michaël prit son vêtement, et elle se retrouva torse nu devant Alex et Mathias, qui ouvrirent toutes grandes leurs bouches.
— Whooooo ! fit Alex dans un cri assourdi en gesticulant des bras. Stop ! Je vois, je vois, vous allez pas faire ça ici, attendez ! Je vous emmène à l’arrière-boutique !— T’es sur ? demanda Michaël. Moi ça me dérange pas, hein ?— Moi non plus, répondit Alex, mais si un client se plaint, là j’aurai des problèmes. Venez par ici !
Il ouvrit un portillon pour que Maryline, Michaël et Mathias le suivent derrière la caisse, où il ouvrit ensuite une porte. La petite black ne disait rien, à moitié nue, se laissant guider. Tous entrèrent dans une pièce qui servait entre autres pour le stockage. Alex referma derrière eux.
— Voilà, ici elle peut se changer, j’en ai rien à foutre, dit-il.— OK, fit Michaël en posant son sac de sport dans un coin. Alors Maryline, tu peux continuer. Enlève ta jupe !
La jeune fille eut un sursaut de surprise, regarda alternativement les trois garçons, et se résigna à obéir. Alex et Mathias n’en crurent pas leurs oreilles.
— Elle va vraiment le faire ? demanda ce dernier.— Bien sûr ! certifia Michaël. Elle fait tout ce que je lui demande. Allez vas-y, ma belle !
Maryline baissa les yeux, déboutonna sa jupe, puis la descendit lentement jusqu’à ses chevilles, dévoilant sa nudité petit à petit. Elle leva les pieds l’un après l’autre pour se débarrasser de son vêtement, que Michaël ramassa. Elle ne portait plus que ses chaussures et soquettes.
— Eh ben ! s’exclama Alex. Elle n’a pas froid aux yeux, ta copine !— Si, des fois ça arrive, malheureusement, dit Michaël. Mais quand elle n’est pas obéissante, je lui donne une correction. Là, justement, elle doit en recevoir une. Tu le sais, hein, Maryline ?— Heu, oui, oui... mais...
Elle était sur le point de faire une objection, puis se ravisa. Le jeune homme semblait envisager de lui administrer la punition qu’il lui avait promise sur-le-champ. Sans doute ne valait-il mieux pas l’alourdir en lui tenant tête. La jeune fille frissonna. Elle était déjà totalement humiliée d’avoir dû se déshabiller devant deux garçons qu’elle venait tout juste de rencontrer, et elle n’imaginait pas devoir recevoir une correction en plus. Mais peut-être que si elle y mettait de la bonne volonté, elle pourrait éviter le pire. Michaël la scruta un instant pour voir si elle allait poursuivre sa phrase, mais comme elle ne continuait pas, il poursuivit.
— Sa punition c’est une fessée... à cul nu bien sûr ! C’est pour ça que je lui ai fait enlever sa jupe. Et comme la coquine n’a pas de culotte, ça facilite les choses.
Les trois garçons rirent des bêtises de Michaël, et l’on voyait bien qu’Alex et Mathias étaient alléchés par le programme. Michaël posa la main sur le cul de la petite black, le caressant fermement, et regarda autour de lui.
— Tiens ! Tu vas te pencher sur la table là, ce sera le mieux, dit-il à Maryline en lui indiquant la grande table du local.
Alex s’empressa de pousser quelques affaires qui se trouvaient sur cette table afin de dégager de la place. Encouragée par son copain qui la poussait par les fesses, Maryline approcha du bord de table et se pencha dessus. Mais elle était trop petite et elle dut se hisser sur la pointe des pieds pour pouvoir allonger son ventre sur le meuble. Michaël s’était glissé de l’autre côté de la table.
— Donne-moi tes mains, je vais t’aider, lui dit-il.
La jeune fille allongea ses bras vers l’avant, et le grand gaillard lui attrapa les poignets et la maintint dans cette position. Maryline ne touchait terre que du bout des orteils. Elle se mordit les lèvres, consciente alors de la vision qu’elle devait offrir aux deux autres garçons, le cul ainsi offert avec sa chatte encore humide. Elle craignait que suite à la baise avec Michaël dans le magasin de vêtements, son vagin n’ait des pertes et que cela se voie. Mais ce qui la terrifiait, c’est qu’à ce moment précis, elle se sentait excitée, et qu’elle se surprit à vouloir que Michaël la prenne de nouveau là, sur la table.
— Qu’un de vous deux vienne lui tenir les pieds ! lança-t-il à l’intention de ses deux copains.— Mais pourquoi ? demanda Maryline soudain sérieusement angoissée.
Alex et Mathias se regardèrent, interrogatifs, puis ce dernier vint s’accroupir aux pieds de la petite black et lui serra une cheville dans chaque main. Dans cette position, il avait les yeux au niveau des fesses charnues et de la fente humide qui s’offrait en dessous.
— Alex ! appela Michaël. A toi l’honneur donc ! C’est toi qui donnes la fessée.— Moi ? Hem, okaaayyyy ! Fit le vendeur avec un sourire carnassier qui montrait qu’il se prenait au jeu.
Il approcha à côté du cul de la jeune fille, avec Mathias à ses pieds. Il posa une main sur les fesses et les caressa doucement.
— Elle a été vraiment vilaine ? demanda-t-il sur un ton théâtral. Il lui faut une grosse fessée ?— Non, s’il te plaît, c’est pas la peine, le supplia la petite black. C’était pour rigoler, hein Michaël ? Tu vas pas lui faire faire ça ?— Bien sûr que si ! confirma Michaël. Tu mérites ta punition. Alex, il faut que la fessée soit une vraie leçon dont elle se souvienne. Donc ne te retiens pas, et frappe-la autant de fois que tu l’estimes nécessaire.
Maryline avait voulu se montrer coopérative, mais n’avait pas imaginé que Michaël demande à quelqu’un d’autre de la fesser. C’était trop et elle ne voulait pas laisser faire ça. Elle essaya d’agiter les pieds, mais elle touchait à peine le sol et Mathias la tenait fermement. Elle gémit, puis cria. Alex lui plaqua immédiatement une main sur la bouche.
— Arrête ! dit-il, angoissé. Il faut surtout pas attirer quelqu’un !— Mets-lui quelque chose dans la bouche ! Lui dit Michaël.— Tu as raison.
Le vendeur regarda autour de lui, et attrapa parmi les étagères des stocks un foulard aux couleurs du club de football. Il le roula en boule et l’enfourna de force dans la bouche de la petite black qui gémit et se tendait de toutes ses forces, mais en vain. Puis sans tarder, il lui appliqua une première tape qui claqua dans la petite pièce. Les fesses tressautèrent et il recommença immédiatement, plus fort. Maryline gémit. Il la frappa de nouveau, puis encore une fois, et accéléra le rythme en y mettant toute sa force. Les claquements retentissaient fortement dans la petite pièce. La bouche pleine, gémissante, Maryline se mit rapidement à pleurer, les fesses en feu. Alex ne se laissa pas attendrir et continua de frapper sur chacune des fesses alternativement, sous le regard ébahi de Mathias qui devait écarter un peu son visage, mais restait tout de même tout près du derrière de la jeune fille. La peau prenait une coloration brun-rouge. Le vendeur fit une pause pour masser sa paume endolorie, et interrogea Michaël du regard.
— Je continue ?— Je sais pas, répondit Michaël. D’après toi, c’est suffisant ?
Le vendeur passa la main sur toute la surface des fesses comme une caresse. Maryline sanglotait.
— Elle a le cul tout chaud, dis donc ! s’exclama-t-il.
Puis sa main glissa plus bas, sur la vulve ouverte. Il la parcourut de ses doigts.
— Putain ! Là aussi elle est bien chaude ! fit-il. Et toute gluante... Est-ce qu’elle aimerait ça, la cochonne ? Ben je vais lui en donner encore alors !
La petite black gémit plus fort pour signifier son désaccord, mais Alex prit plaisir à lui donner de nouveau de grandes claques. Il en administra encore une douzaine, avec autant de forces que les précédentes. Puis il soupira, visiblement essoufflé par l’effort.
— Voilà ! Dit-il satisfait. Je crois qu’elle a eu son compte là.— Oui, elle est calmée, concéda Michaël.
Effectivement, Maryline ne luttait plus depuis un moment, inerte et sanglotante.
— Est-ce qu’elle suce ? demanda Alex.— Bien sûr ! Dit fièrement Michaël. Je l’entraîne pour ça, même. Tu peux me dire ce que tu en penses.
Il retira le foulard de la bouche de la petite black. Soudain une voix se fit entendre de l’autre côté de la porte.
— Merde ! Un client ! Fit le vendeur. Garde-la-moi au chaud, je reviens tout de suite.
Il sortit en coup de vent. Mathias en profita pour se lever. Il lâcha les chevilles de Maryline, qui n’avait plus la force de se débattre. Michaël la tenait toujours malgré tout. Mathias, lui, posa la main sur les fesses qui s’offraient à lui pour les palper avec envie. Il donna une petite tape pour s’amuser, ce qui fit sursauter la jeune fille. Il rit en regardant Michaël, et celui-ci lui sourit en retour. Puis Mathias glissa ses doigts sur le sexe de Maryline, explorant toute la longueur de la fente mouillée. L’endroit était si glissant que son majeur s’y enfonça tout seul, et le garçon émit une petite interjection de surprise.
— Ca rentre tout seul, on dirait qu’elle m’aspire, dis donc ! dit-il hilare.
Il remua son doigt dans le vagin, et Maryline commença à ressentir le plaisir au-delà de la douleur. Bientôt un deuxième doigt rejoignit son camarade dans l’antre humide, et Mathias les bougea d’avant en arrière. Il baisa la petite black avec ses doigts, faisant parfois un bruit de succion. Soudain il donna en même temps une nouvelle tape sur les fesses, et Maryline lâcha un petit cri aigu dont on n’aurait pu dire s’il était plus de douleur ou de jouissance. Elle remuait malgré elle ses hanches pour suivre le rythme du garçon et accentuer les sensations. Mathias lui donna de nouveau une tape sur les fesses, et s’amusa de voir la petite black réagir en criant encore.
— Doucement ! fit Michaël en rigolant aussi. On va finir par l’entendre dans la boutique.
Mathias hocha la tête et continua de doigter Maryline, plus vigoureusement cette fois. La jeune fille gémissait à présent en continu, proche de l’orgasme. Elle essayait de bouger davantage les fesses, mais perchée sur la pointe des pieds, elle ne pouvait faire mieux. C’est à ce moment que la porte du réduit s’ouvrit sur Alex.
— Soyez plus discrets ! fit-il en refermant rapidement la porte. Je vous entendais depuis le comptoir. Heureusement que mon client n’a rien dit. Je pense qu’il n’a pas fait attention, avec la musique d’ambiance.
Il défit sa ceinture et ouvrit son pantalon.
— Allez, mettez-la à genoux ! dit-il en le baissant sur ses cuisses. Je bande trop, il faut qu’elle me pompe, là !

Il baissa ensuite son caleçon, dévoilant en effet un membre bien tendu. Mathias retira ses doigts du sexe de la jeune fille, et la soutenant sous le bras, aida Michaël à l’amener devant le jeune vendeur. Elle s’agenouilla sans rechigner. Michaël lui tint les poignets derrière le dos au cas où. Alex appuya sans tarder son sexe contre la bouche de Maryline, qui ouvrit les lèvres. Le membre s’y enfonça en partie, puis ressortit avant de s’y enfoncer de nouveau. Alex fit des allées et venues en douceur, baisant lentement la petite black par la bouche. Mathias, lui, s’était agenouillé à côté de Michaël et fourra la main sous les fesses de la jeune fille pour atteindre sa vulve et continuer ce qu’il avait commencé. Il y enfonça deux doigts et lui baisa ainsi le vagin. Maryline ferma à demi les yeux, se concentrant sur cet orgasme qu’elle voulait avoir à présent. Sa bouche s’ouvrit malgré elle davantage, acceptant la queue du vendeur plus profondément. Celui-ci le ressentit et fit des pénétrations plus intenses et vigoureuses. Il attrapa la tête de la petite black des deux mains pour éviter qu’elle ne parte en arrière, et la baisa comme s’il s’agissait de son cul. Maryline toussa, pas encore prête à accueillir le sexe au fond de sa gorge. Alex se retint alors de ne pas aller trop loin, mais il accéléra le rythme à coups de reins rapides. La jeune fille sentit alors les doigts de Mathias lui donner enfin ce qu’elle désirait, et une vague de plaisir l’envahit. Elle voulut gémir, mais le membre d’Alex profita de l’instant pour s’engouffrer dans sa gorge ouverte. Les spasmes de l’orgasme mêlés à la réaction naturelle des muqueuses qui pressèrent le gland du jeune homme l’amenèrent lui aussi à l’extase. Il éjacula à ce moment-là, envoyant des jets directement au fond de la bouche de la jeune fille, qui ne put qu’avaler. Une gorgée passa de travers et elle eut un hoquet, laissant échapper quelques gouttes à la commissure de ses lèvres. Alex laissa son sexe encore un instant dans la bouche et le pressa afin d’en extirper les dernières gouttes, puis il se retira et se rhabilla rapidement. Mathias sortit ses doigts et les passa sous son nez pour humer la forte odeur, puis il les essuya sur les fesses de la petite black. Celle-ci toussa encore un peu, le dos appuyé contre Michaël qui lui libéra les poignets. Il l’enlaça et elle laissa aller sa tête en arrière contre son épaule.
À suivre...
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