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Petite black, chantage et ballon rond

Chapitre 10

Divers
Michaël et Mathias avaient décidé d’aller dans une petite discothèque qu’ils connaissaient en proche banlieue. Ils pouvaient s’y rendre en métro et les garçons emmenèrent donc Maryline vers la station la plus proche. La jeune fille était contente d’être un peu plus habillée qu’auparavant. Cependant le froid s’était intensifié avec la nuit tombante, et même avec sa veste elle grelottait encore. Elle ressentait particulièrement le petit vent frais qui s’insinuait sous sa jupe et lui caressait les parties intimes. En descendant l’escalier du métro, un courant d’air plus violent que les autres souleva la robe jusqu’à ses hanches. Elle la rabattit immédiatement avec un petit cri de surprise. Heureusement personne n’avait pu la voir à ce moment-là, à part ses deux gardes du corps qui en furent ravis.
— J’ai vu la pleine lune! Fit Mathias en rigolant et en remontant ses lunettes sur son nez.
A partir de ce moment les deux garçons taquinèrent la petite black en faisant mine de faire voler sa jupe par des petites tapes de la main, spécialement quand ils croisaient du monde. Maryline leur fit des remontrances verbales, mais sans trop insister pour ne pas attiser la susceptibilité de Michaël, et les copains prirent ça à la rigolade et en firent un jeu. La jeune fille voulut tenir sa jupe baissée afin de les dissuader définitivement, mais Michaël le lui interdit fermement. Elle ne pouvait donc que tenter d’éviter de rester à portée des mains des garçons, ce qui s’avéra être mission impossible. Sur le quai en attendant la rame, certains voyageurs aperçurent ainsi fugitivement ses fesses, sans pouvoir déterminer si elle portait un string ou rien du tout. Elle en était toute honteuse. A quoi cela servait-il d’être plus habillée que dans le stade si c’était pour montrer son cul à tout le monde? Cependant le sentiment de honte était atténué par l’effet de l’alcool. Les deux ou trois verres de bières qu’elle avait absorbé dans la soirée l’aidaient à supporter le jeu pervers de ses compagnons et à ne pas s’enfuir à toutes jambes. L’arrivée de la rame de métro la sauva. Le train était relativement plein, samedi soir oblige, et le trio resta debout. Maryline fut serrée entre les deux garçons qui ne tentèrent plus de l’exhiber parmi cette foule. Michaël se permit juste de poser une main sur sa jupe pour lui caresser doucement les fesses. Un changement de métro et une demi-heure plus tard, les trois jeunes gens arrivèrent à destination. Maryline fit attention à monter les escaliers devant Mathias et Michaël. Elle préférait qu’eux seuls aient l’opportunité de voir sous sa robe.Lorsqu’ils arrivèrent devant la discothèque, il n’était pas encore minuit. Quelques personnes faisaient la queue à l’entrée, qui était filtrée par un videur. Le son des basses se faisait entendre depuis la rue. Maryline se sentit toute excitée, et alors qu’ils se mettaient au bout de la queue, elle commença à remuer timidement son corps en rythme pour combattre le froid. Ca faisait très longtemps qu’elle n’avait pas mis les pieds dans une boîte de nuit. Elle adorait ça, mais n’avait pas tellement les moyens ni les occasions d’y aller. Elle avait hâte de se retrouver sur la piste de danse. Heureusement ils n’eurent pas longtemps à attendre dehors. Le videur les examina, leur passa les mains sur les poches pour vérifier qu’ils ne portaient rien de dangereux, et demanda à Michaël d’ouvrir son sac de sport. Il n’y avait pas de problème mais il devrait le laisser au vestiaire. Maryline fut contente qu’ils retrouvent un peu de chaleur à l’intérieur. Les garçons payèrent les entrées, puis tous trois déposèrent leurs affaires au vestiaire. Michaël insista pour que Maryline y laisse sa veste, alors qu’elle aurait préféré la garder. Elle se sentit aussi dénudée qu’auparavant, avec juste sa robe pour la couvrir. Ses seins semblaient prêts à surgir du bustier, le voile transparent ne cachant rien de son décolleté. Et malgré sa démarche mal assurée, ses bottes à hauts talons accentuaient le galbe de ses jambes. Son entrée en boîte fut donc assurément remarquée par nombre d’hommes présents, même si elle n’était pas la seule fille sexy dans les parages. Mais la présence des deux gardes du corps à ses côtés en dégoûta plus d’un. Les garçons trouvèrent un petit canapé libre où ils purent s’asseoir, Maryline entre eux deux. Un regard appuyé de Michaël confirma à la jeune fille qu’il la surveillait et qu’elle avait intérêt à ne pas serrer les cuisses. Elle obéit donc, non sans jeter un coup d’oeil méfiant autour d’elle. Heureusement, avec la pénombre et la table basse qui se trouvait devant eux, il y avait peu de chances que quiconque puisse voir quelque chose sous sa jupe.
— Je vais chercher à boire. Qu’est-ce que vous prenez? Cria Mathias en se penchant pour pouvoir se faire entendre malgré la musique assourdissante.— Prends-nous de la vodka orange! Répondit Michaël pour lui et Maryline.
Elle n’eut évidemment pas son mot à dire. Elle en fut vexée un instant, puis se mit à écouter la musique les yeux mi-clos, l’esprit déjà embué par l’alcool.
— Hé! L’appela Michaël en lui secouant l’épaule.— Quoi? Répondit-elle en sursautant.— Tu peux aller danser, si tu en as envie.— Tu viens avec moi? Lui demanda-t-elle.— Non, pas maintenant, répondit-il en haussant les épaules.— Je veux pas y aller toute seule.— OK, attends un peu alors. Je t’accompagnerai après.
Mathias revint peu après avec leurs verres, et tous trois trinquèrent. Maryline goûta à sa boisson, et fit la grimace. Heureusement le jus d’orange aidait à faire passer la vodka. Les garçons rigolèrent de la petite nature de la jeune fille.
— Ha, ça ne passe pas aussi bien que le jus de la teub d’Alex, hein? Fit Mathias en riant.
Maryline faillit s’étouffer, et Michaël partit d’un fou rire. Celui-ci était communicatif, et finalement, l’alcool aidant, la petite black partit d’un grand rire nerveux elle aussi. Cela la détendit et elle but en compagnie des deux copains. Ils discutèrent de temps à autre, mais avec la musique assourdissante les conversations étaient limitées. La jeune fille regardait avec envie les corps qui se trémoussaient sur la piste de danse, mais elle se sentait un peu groggy et n’osait pas se lever. Subitement elle sentit quelque chose entre ses cuisses. Elle baissa le regard et vit la main de Mathias qui venait sans gêne sous sa jupe pour atteindre directement son sexe. Ce faisant il relevait le tissu de la robe, ne laissant aucun doute aux éventuels regards extérieurs sur ce qu’il était en train de faire. Reprenant légèrement ses esprits, Maryline regarda autour d’elle, mais apparemment personne n’avait remarqué ce qui se passait. Ils étaient à un endroit un peu excentré et moins en vue de la grande salle. Mathias explora du bout des doigts la fente humide.

— Il fallait que je vérifie que tu étais toujours aussi chaude que tout à l’heure! Fit-il en regardant la petite black d’au-dessus de ses lunettes.— Heuuuu oui... dit celle-ci d’un air gêné. Mais là, c’est pas le moment, j’ai vraiment envie d’aller aux toilettes!
Elle se leva sans ménagement, et le garçon retira sa main. La caresse lui avait fait prendre conscience qu’elle avait très envie d’uriner, et elle se précipita aux toilettes. Après s’être soulagée, elle en profita pour se passer de l’eau fraîche sur le visage, ce qui lui fit le plus grand bien. Elle se regarda un instant dans le miroir. Elle remarqua une pointe de rougeur sur ses joues, et dut se rendre à l’évidence. Elle avait une folle envie de sexe. Mathias avait raison, elle était toute humide. Et d’ailleurs elle l’avait constaté en s’essuyant l’entrejambe. Il n’y avait pas que de l’urine sur le papier. Elle aurait pu se faire jouir seule dans la cabine, mais elle s’était souvenue malgré les vapeurs d’alcool de ce que lui avait dit Michaël: ne pas se masturber sans son autorisation. Le garçon n’avait surement aucun moyen de savoir ce qu’elle faisait dans les toilettes, mais elle préféra éviter de lui désobéir quand même. Après tout, il lui offrait une soirée comme elle n’en avait pas eu depuis longtemps, et elle avait envie de lui faire plaisir.La jeune fille sortit donc des toilettes avec cette envie inassouvie. Et lorsqu’elle revint à leur table, les garçons n’y étaient plus. Elle jeta un oeil alentour, et aperçut Michaël qui lui faisait signe depuis la piste de danse. Les deux gaillards s’y trémoussaient de manière dégingandée. Le DJ diffusait de la musique hip hop, ce qui les avait attirés sur la piste. La jeune fille se faufila parmi les danseurs pour rejoindre les deux copains. Enfin elle pouvait se lâcher et elle se laissa complètement aller. Elle laissa parler ses origines africaines et ondula son corps comme elle savait si bien le faire. Les hauts talons qu’elle portait la gênaient un peu, mais elle commençait à s’y habituer. Un sourire se dessina sur ses lèvres et ne les quitta plus. Ca faisait longtemps qu’elle n’avait pas dansé ainsi de bon coeur. Il y avait bien eu l’entraînement de pom pom girls avec Alice et Laetitia, mais ça avait été une vraie séance de travail avec des chorégraphies imposées, et pas vraiment une partie de plaisir. Là au contraire, ce n’était que du plaisir. Les garçons la regardaient, et pas seulement Michaël et Mathias. Maryline attirait certains regards autour d’elle, mais elle n’en avait que faire. Elle était concentrée sur son corps et sur sa bulle, qui englobait ses deux gardes du corps. Elle leur lançait parfois un regard enjoué, avec un sourire éclatant.La musique changea alors de style, évoluant vers du raggamuffin, du reggae et autres musiques des tropiques. La petite black n’en fut que plus heureuse encore, et ondula davantage si c’était possible. Elle ne se préoccupait en aucune manière de sa robe qui virevoltait énergiquement, se disant qu’elle ne pouvait tout de même pas se retrouver dénudée rien qu’en dansant. Son esprit se trouvait dans un autre monde, et son jugement était totalement altéré. Car ses mouvements laissaient bel et bien la jupe voler parfois suffisamment haut pour que l’on aperçoive nettement le bas de ses fesses. Michaël et Mathias l’avaient bien remarqué, ainsi que plusieurs jeunes gens autour d’eux. Mais la robe capricieuse ne dévoilait pas tout et il était difficile de dire si la petite black portait un string ou pas. Il y avait beaucoup de monde à présent sur la piste, et les espaces s’étaient resserrés. Les deux copains de Maryline en profitaient et leurs corps se frottaient de temps en temps au sien. Leurs mains aussi s’activaient, se posant sur ses hanches, ses épaules, ou même descendant parfois sur ses fesses. Elle riait, heureuse des attentions prodiguées par ses deux gardes du corps, et souhaitant au fond d’elle que leurs caresses soient plus poussées pour l’amener à cet orgasme qu’elle voulait tant. Puis brusquement elle se rendit compte qu’elle sentait sur elle plus de mains que n’en comptaient ses compagnons. Elle fit un effort pour rassembler ses esprits et regarda autour d’elle. Sur ses arrières, deux autres garçons la collaient de la même manière que Michaël et Mathias. Il s’agissait d’un noir à la chemise blanche largement ouverte sur son torse où pendait une chaîne en or, et d’un blanc au t-shirt moulant et aux cheveux coiffés en crête. Ils dansaient de manière sensuelle en suivant le rythme des hanches de la jeune fille, et leurs mains se posaient sur son corps et le caressaient. Maryline fut un peu surprise, mais nullement choquée. Dans l’état d’esprit où elle se trouvait, elle appréciait plutôt la situation. Elle continua de danser comme si de rien n’était, de manière un peu plus provocante sans qu’elle ne s’en rendit compte elle-même. Michaël et Mathias se parlaient à l’oreille en la regardant, et le grand gaillard à lunettes se frotta l’entrejambe, visiblement mal à l’aise. Soudain une main venant de derrière se posa sur la cuisse nue de la jeune fille, à la limite de la robe. Constatant qu’elle ne provoquait aucune réaction, elle monta assez vite sous le tissu, atteignant la hanche. Mais son ascension fut interrompue. Mathias prit Maryline par les épaules et l’attira à lui, et la main baladeuse dut se retirer de sous la robe.
— Viens, on va un peu plus loin! Souffla assez fort Mathias dans l’oreille de la petite black.
Il l’emmena à travers la foule, Michaël sur leurs talons. Les deux autres garçons restèrent à danser, et firent un signe de la main à Maryline qui leur répondit en souriant. Elle fut emmenée hors de la piste de danse.
— Tu t’es fait des amis, ma belle! Lui dit Michaël qui s’était glissé à côté d’elle.
Elle ne répondit pas, traînée par la main par un Mathias qui avait l’air soudainement très pressé. Le garçon l’emmena dans les toilettes des hommes. Elle essaya de lui dire « non » alors que quelques regards surpris les virent s’enfermer dans une cabine. Michaël les avait suivis, et c’est lui qui verrouilla la porte. Mathias était déjà en train d’ouvrir sa braguette.
— Mais qu’est-ce que tu fais? Demanda bêtement Maryline qui était adossée au mur de séparation des cabines.— Je vais te baiser comme jamais t’as été baisée, ma pauvre! Répondit Mathias avec une respiration saccadée. Tu m’as chauffé, là, tu peux pas savoir!
Il sortit son sexe qui était tendu comme une flèche. Puis il plaqua son corps sans ménagement contre celui de la jeune fille, qui lâcha un petit cri. Il attrapa ensuite sa cuisse gauche et la souleva le plus haut possible, afin de dévoiler sa chatte qui s’ouvrit, toute écartée. Immédiatement sa verge se colla à la vulve humide et gonflée. Il fit quelques mouvements de hanches qui firent se frotter les deux sexes l’un contre l’autre. Maryline se laissait faire, acceptant ce coït brutal tant son excitation était forte. Elle poussa un gémissement alors que la bite de son partenaire glissa comme par enchantement dans son vagin. Elle était déjà très lubrifiée et cela permit à Mathias d’aller et venir dès le début par petits coups rapides. Il tenait la cuisse de la petite black au creux de son coude, et avec la différence de taille Maryline ne tenait que sur la pointe de l’autre pied. Elle avait les jambes écartées au maximum et le garçon s’enfonçait en elle jusqu’à la garde, provoquant des claquements de chair à chacun de ses coups de boutoir. Il respirait difficilement, usant toute son énergie à tenir la jeune fille pour éviter qu’elle ne tombe et à la baiser aussi fort qu’il le lui avait promis. Sa jouissance vint rapidement, et son éjaculation fut minimale compte tenu que c’était la deuxième en seulement quelques heures. Il continua cependant à besogner vigoureusement sa partenaire tant que son sexe restait tendu. Il tenait à la faire jouir elle aussi. Il se serait senti honteux s’il n’arrivait pas à lui arracher ce plaisir alors qu’il le voulait tant. La petite black ne sentit même pas que Mathias avait joui, tellement il était crispé en la baisant, et tellement elle était elle-même au bord de l’orgasme. Elle haletait au rythme des va-et-vients du garçon, qui se mordait les lèvres en accentuant la force de ses pénétrations comme s’il voulait transpercer le corps qu’il serrait. Soudain Maryline fut traversée d’un tremblement, et retint un cri en gémissant sourdement. Elle s’accrocha au cou de son partenaire qui ralentit la cadence. L’orgasme qu’elle avait diminua d’intensité, et Mathias s’immobilisa complètement. Il arborait un sourire triomphateur, fier de lui. La jeune fille était pantelante dans ses bras, quelques gouttes de sueur perlaient sur son front. Il avait gagné. Il retira son sexe qui s’était déjà ramolli et reposa la jambe qu’il avait tenue au creux de son coude. La robe retomba dans sa position initiale et redonna à Maryline sa pudeur. Celle-ci reprit un moment son souffle et ses esprits, adossée au mur. Le garçon se rhabilla en adressant un sourire complice à Michaël.
— Ca y est? T’es soulagé? Demanda celui-ci.— Ha! Ha! Ha ouais, tu parles! Carrément! Répondit Mathias en rigolant.
Des rires se firent entendre derrière la porte de la cabine. Il semblait aux garçons que certaines personnes avaient du entendre ce qui se passait. Cela fit redescendre Maryline sur terre.
— Il faut que je me rafraîchisse un peu, dit-elle.
Michaël ouvrit la porte. Il y avait du monde dans les toilettes, que des hommes bien sur, mais la jeune fille s’en soucia peu, comme si elle évoluait dans un rêve. Elle attendit son tour pour accéder aux lavabos, alors que tout le monde la regardait perplexes. Elle se passa un peu d’eau sur le visage et se lava les mains, et Michaël et Mathias en profitèrent pour faire de même. Les trois se retrouvèrent à l’extérieur des toilettes.
— Je vais chercher à boire ! Dit Mathias en se dirigeant vers le bar.— OK, on se retrouve à notre table, répondit Michaël.
Joignant le geste à la parole, il poussa Maryline en direction de leur table en lui mettant la main au cul. Ce faisant, sa main descendit sous la robe et la releva d’un geste anodin. Ce n’est que quand ses fesses furent presque entièrement à l’air libre que la petite black s’en rendit compte.
— Mais arrête ! Fit-elle en rigolant et en rabattant sa jupe.
Le garçon la prit par les épaules et ils s’assirent à leur table. La jeune fille pensa à garder les cuisses ouvertes, ou du moins elle ne pensait plus à les resserrer. Mathias les rejoignit peu après avec une nouvelle tournée de vodka orange, que les trois amis sirotèrent avec beaucoup de rires. Même les garçons commençaient à être sérieusement éméchés. Et quand la musique vira à des morceaux de rock rétro très entraînants, Michaël n’hésita pas et se leva en tirant Maryline par la main.
— Ho, viens! J’adore ça! Lâcha-t-il.
Elle se tordit une cheville et faillit tomber alors qu’il la traîna sur la piste au milieu de la foule des danseurs, et il commença à se dandiner et à sauter comme un fou au son des guitares électriques. La petite black essaya de le suivre, ne sachant pas danser là-dessus, et elle fit comme lui, sautillant dans tous les sens. Au début, Mathias les regardait assis depuis leur table, puis il ne tarda pas à les rejoindre. Il se pencha à l’oreille de Maryline.
— Tout le monde voit ton cul quand tu sautes comme ça, j’adore! Lui cria-t-il pour surmonter le son de la musique.
Immédiatement la jeune fille s’immobilisa, et les garçons partirent d’un éclat de rire. Elle se mit à rire elle aussi et reprit sa danse, de manière moins énergique tout de même. L’alcool l’avait désinhibée, mais il lui restait quand même un peu de pudeur. Cependant, à faire attention de ne pas dévoiler ses fesses, elle en oublia ses seins, qui eux aussi avaient bougé en dansant. Son bustier était descendu, et un téton s’en était extrait. Il ne restait couvert que par le tissu transparent qui couvrait la poitrine de la jeune fille jusqu’au cou. Les garçons qui la côtoyaient l’avaient bien remarqué, ainsi que le fait qu’elle ne portait pas grand chose sous sa robe. Son show avait de nouveau attiré l’attention des deux danseurs qui l’avaient collée auparavant, le grand noir à la chemise blanche ouverte et le blanc au t-shirt moulant. Ils se rapprochèrent d’elle, et la petite black, avec Michaël et Mathias, se retrouva donc entourée de quatre jeune gens qui dansaient comme s’ils la vénéraient. La musique revint à des rythmes plus dancefloor. Michaël montra la voie aux autres en posant de temps en temps sa main sur le corps de Maryline, parfois sur ses hanches, parfois sur ses cuisses, glissant même occasionnellement sous la limite de la robe. Les deux inconnus en profitèrent, caressant aussi à leur manière la jeune fille. Le black posait parfois la main sur son flanc ou son épaule, alors que le blanc s’attardait plutôt sur ses hanches. La lycéenne riait, vaguement gênée mais en même temps très fière d’être au centre de toutes les attentions. La lumière diminua sur la piste quand la musique prit un virage techno aux rythmes trance. Seuls les stroboscopes éclairaient par intermittence les corps des danseurs. Les esprits déjà embrumés par l’alcool furent anesthésiés par les mélodies lancinantes. Les garçons se firent alors plus audacieux. Maryline sentit les mains qui caressaient ses flancs venir se poser sur ses seins, les pétrir, et pincer le téton qui s’était libéré du bustier. Les mains qui étaient elles auparavant sur ses hanches glissèrent vers ses fesses qu’elles pétrirent à travers la robe, et vers son bas-ventre. Elles n’osèrent pas dans un premier temps explorer plus avant, mais les mouvements de la jeune fille aidant la robe à se soulever, et sous couvert de la pénombre, les mains atteignirent la chair nue. La petite black sentit ses fesses se faire malaxer et une main se glisser sur son pubis puis le long de sa fente. Son esprit était complètement ailleurs et elle n’opposa aucune résistance, plus du tout consciente de l’endroit où elle se trouvait. Elle continuait de danser en ondulant son corps, alors que les mains de devant et de derrière se touchaient parfois du bout des doigts au niveau de son périnée. Elle-même frôlait souvent les garçons qui étaient tout près d’elle, et elle caressait parfois leurs corps du bout des doigts. Elle sentit même un doigt s’infiltrer à l’entrée de son vagin, mais les mouvements de la danse l’empêchèrent d’aller bien loin. La libido de la jeune fille fut cependant ravivée par ces caresses explicites,et elle gémit de manière inaudible en dansant. Lorsque la lumière fut quelque peu ravivée et que la musique revint à quelque chose de plus classique, les garçons cessèrent leurs caresses. Michaël parla avec les deux inconnus, les invitant à sa table. Ils acceptèrent, et les quatre garçons retournèrent s’asseoir en emmenant Maryline avec eux. Elle se retrouva entre les deux nouveaux.
— Vous nous offrez à boire? Leur demanda Michaël. Et nous on vous offre la fille.
Maryline n’avait pas bien compris ce qu’il avait dit, l’esprit encore monopolisé par la musique, et ne réagit pas. Les deux inconnus, eux, se regardèrent un instant.
— Ouais! Ca roule! Firent-ils en même temps avec un grand sourire aux lèvres.
Ils prirent les commandes, et Maryline demanda un coca. Mais Michaël ajouta avec un clin d’oeil à l’attention des nouveaux:
— Un coca-whisky alors!
La jeune fille ne releva pas, et c’est le jeune blanc aux cheveux en crête qui partit au bar. En l’attendant, Michaël se pencha sur sa copine pour l’embrasser. Celle-ci ferma les yeux pour recevoir son baiser. Le jeune homme en profita et glissa la main entre ses cuisses, relevant ostensiblement sa robe pour dévoiler son entrejambe. Ce faisant, il jeta un regard complice au grand noir pour l’inviter à le rejoindre. C’est ainsi que lorsque l’autre revint avec un plateau de boissons, Maryline avait les mains des deux garçons qui l’entouraient fourrées entre ses cuisses, la robe largement relevée. Mathias regardait sans participer, amusé. Il avait déjà donné et ne se sentait pas d’attaque pour un nouveau round. La petite black, elle, était surexcitée par les caresses que lui prodiguaient les doigts de ses compagnons. Elle n’avait plus conscience de l’endroit où elle se trouvait. Le nouveau venu posa le plateau sur la petite table et les garçons interrompirent leur exploration.
— Tu me laisses la place alors? Demanda le barman improvisé à Michaël.
Le copain de Maryline sourit et libéra le siège, laissant le jeune homme s’y asseoir. Chacun prit un verre et tous trinquèrent, trop heureux de ce qui leur arrivait. Maryline trinqua elle aussi sans vraiment prendre conscience que c’était en son honneur. Et rapidement, après s’être désaltérés, les deux garçons qui l’entouraient prirent possession de son corps. Le black laissa son camarade infiltrer sa main directement entre les cuisses de la jeune fille, alors que lui-même lui pelotta les seins à travers le tissu translucide du haut de la robe. Le jeune blanc ne tergiversa pas et frotta directement ses doigts contre la vulve. Il poussa une exclamation de joie en voyant à quel point la chatte était déjà humide, prête à l’amour. Mathias et Michaël riaient et trinquaient en voyant l’incrédulité et l’enthousiasme des deux inconnus. Ce n’est pas tous les jours qu’on tombe sur une aubaine comme celle-là. Ils le savaient bien et voulaient en profiter au maximum. Maryline n’était plus qu’un jouet entre leurs mains. Elle était saoûle et surexcitée, avide de sexe, et s’offrait volontiers aux caresses des garçons. Elle sentit le blanc lui pénétrer le vagin avec trois doigts et poussa un cri aigü couvert par la musique. Le black prit le relais quand son copain but une gorgée d’alcool, et ils la doigtèrent ainsi à tour de rôle sous les regards incrédules de quelques clients de la boîte qui les voyaient et comprenaient ce qui se passait. Lorsqu’ils eurent terminé leurs verres, le blanc parla à Michaël:
— On est venus en voiture, on est garés sur le parking, dit-il. Ca vous dirait qu’on y aille? J’ai grave envie de la baiser, là!— Vous ne voulez pas faire ça ici? Fit Michaël en rigolant. Nan, je plaisante! Bien sur on peut aller à votre caisse.
Il expliqua à Mathias qui n’avait rien entendu ce qu’avait proposé l’inconnu, puis les garçons se levèrent. Maryline avait les yeux à demi-fermés, les cuisses indécemment ouvertes. Elle fut relevée par des mains costaudes qui la prirent sous les bras, et sa robe retomba en place pour la couvrir. Ses seins étaient complètement sortis du bustier, juste couverts par le voile transparent. Lorsqu’elle fut debout, elle fut capable de marcher, mais par précaution Michaël la prit par la taille pour l’accompagner. Le petit groupe passa au vestiaire, où chacun récupéra ses affaires: Michaël son sac de sport et Maryline sa veste qu’on lui posa sur les épaules. Les deux inconnus ouvrirent la marche vers le parking. L’air froid prit tout le monde par surprise, et notamment Maryline qui grelotta. La voiture n’était pas garée très loin, au milieu d’autres véhicules. Le jeune blanc déverrouilla les serrures, et entra à l’arrière. Michaël laissa le noir prendre Maryline par la main et la faire monter à son tour, puis la suivre. Mathias et Michaël s’installèrent à l’avant. Derrière, les garçons ne perdirent pas de temps. Ils se mirent à caresser la jeune fille, à l’embrasser à tour de rôle, et lui enlevèrent sa veste.
— On va bien te réchauffer, ne t’inquiète pas! Lui dit le black en lui massant énergiquement la hanche.
Le jeune blanc dégraffa son pantalon et l’ôta complètement, puis baissa son boxer pour laisser surgir un sexe très pâle mais tendu comme une flèche.
— Tiens! Lui aussi il a froid, dit-il. Tu peux le réchauffer dans ta bouche.
Joignant le geste à la parole, il appuya sur la nuque de la petite black, qui baissa la tête. Sans réfléchir, elle ouvrit la bouche et la verge y disparut à moitié. Elle attrapa d’une main la partie qui dépassait et commença des allers et venues en aspirant doucement mais vigoureusement. Le jeune homme mince lâcha une exclamation d’agréable surprise.
— Ho putain! Oui! Ho tu suces bien! Continue!— Hé! fit le black. On dirait qu’on est tombés sur un super coup, enfoiré!— Ho oui, tu peux le dire! C’est trop bon!
Il poussa un petit gémissement qui fit rigoler son camarade.
— Profitez-en! Leur dit Michaël en souriant. Elle est toute chaude et je crois qu’elle en a aussi envie que vous. Et de toute façon si elle fait quelque chose qui ne vous plaît pas, il faut me le dire et elle méritera une punition.
Lui et Mathias observaient la scène depuis les sièges avant. La bouche pleine, Maryline ne put que gémir de désapprobation à l’évocation d’une punition, et continua sa fellation avec d’autant plus de ferveur. Dans son dos, le black souleva sa robe jusque sous ses seins.
— Attends! Ordonna-t-il en lui relevant le buste, l’obligeant à s’interrompre.
Elle abandonna le sexe luisant de salive, et le black souleva davantage la robe avec l’intention de la lui ôter. La jeune fille leva les bras pour l’aider, et la robe passa au-dessus de sa tête. Elle se retrouva seulement vêtue de ses bottes.
— Viens! Fit le jeune blanc en la guidant de nouveau par la nuque.
Elle obéit et le reprit immédiatement en bouche. Derrière elle, le noir la souleva par les hanches afin de la positionner comme il le souhaitait, le cul relevé devant lui.
— Quel cul! Fit-il. Putain, t’es trop bonne, toi!
Il lui donna une claque sur les fesses, et elle sursauta sans cesser pour autant de sucer le blanc avec vigueur. Puis le black ouvrit son pantalon et sortit à son tour son sexe. Celui-ci était d’une longueur respectable, mais surtout il était très large, et évidemment tendu à l’extrême. Le jeune homme guida son membre vers la chatte qui était déjà toute ouverte pour l’accueillir. Il frotta son gland deux ou trois fois sur toute la longueur de la vulve pour l’enduire de mouille. Puis il se positionna à l’entrée du vagin et y pénétra lentement mais surement, provoquant un gémissement rauque chez sa partenaire. Lorsqu’il fut entré jusqu’à la garde, il ressortit presqu’entièrement puis s’activa en entrant à nouveau. Il continua en va-et-vients rapides, faisant claquer les fesses de la petite black à chacune de ses pénétrations. A l’avant, Mathias avait sorti sa bite et se masturbait en regardant, mais il eut quelques difficultés à obtenir une nouvelle érection. Il avait déjà joui deux fois dans la soirée, et était trop alcoolisé pour avoir encore toutes ses facultés. Michaël, lui, eut encore la présence d’esprit de sortir son téléphone portable pour prendre quelques photos, et les flashs firent lever les yeux de Maryline qui fronça les sourcils mais n’interrompit pas son activité. Elle continuait de pomper le jeune blanc qui semblait apprécier, respirant doucement, et elle se faisait baiser par derrière par le black et son sexe volumineux. Celui-ci accéléra la cadence, faisant trembler tout le corps de la jeune fille. Elle eut un haut-le-coeur en prenant subitement la bite du blanc au fond de la gorge, et toussa un instant en la recrachant. Elle gémit sous les coups de boutoir du black, et enfouit son visage dans l’aîne du jeune blanc, son sexe contre sa joue. Soudain le membre fiché au fond de son vagin s’immobilisa et un jet de sperme chaud fusa accompagné d’un « hooooo! » de bonheur. Le black reprit mollement quelques va-et-vients, puis se retira.
— A ton tour! Lança-t-il à l’adresse de son copain avec un clin d’oeil.— OK! Tourne-toi, toi! Ordonna le blanc à Maryline.
Celle-ci se sentait soudain vidée alors que le sexe volumineux du black avait quitté son ventre. Il l’avait fortement stimulée mais elle n’avait pas joui. Elle se retourna sans broncher, espérant que le jeune blanc saurait lui donner l’orgasme qui la satisferait. Elle se retrouva nez à nez avec la bite du noir, maculée de sperme et de cyprine. Derrière, sans préambule, le blanc la pénétra directement. Déjà surexcité par la fellation qu’il venait de recevoir, il baisa la chatte noire à petits coups rapides. Devant, le black attrapa Maryline par les cheveux.
— Ben qu’est-ce que t’attends? Lui demanda-t-il en pressant son gland contre les lèvres de la jeune fille. Suce-moi!
Tressautant sous le coup des pénétrations du jeune blanc, elle ouvrit la bouche et prit précautionneusement le gland épais sur sa langue. Le garçon, lui, ne chercha pas à faire dans la finesse et s’enfonça avec autorité. Heureusement son sexe commençait déjà à ramollir et à perdre de son volume. Mais c’était tout de même un gros morceau et la petite black dut ouvrir toute grande sa bouche. Elle sentit le goût de leurs fluides mélangés, et commença à suçoter le sexe noir. Soudain le jeune blanc poussa un petit ululement, et sortit sa bite précipitamment pour éjaculer sur les fesses de sa partenaire avec un soupir de soulagement. Puis il attrapa la robe qui avait glissé à terre et s’essuya le gland avec. Maryline ne le vit pas faire, trop occupée à lécher la queue de son camarade. Lorsqu’elle eut terminé de nettoyer son sexe, le black le rangea dans son pantalon.
— Allez ça suffit! Dit-il d’un air faussement sévère. T’es une bonne suceuse de bites mais faut pas abuser. T’en auras encore si t’es sage!
Il partit d’un éclat de rire, et son copain rit avec lui. Il était en train de se rhabiller lui aussi.
— Je serais bien retourné danser, je me sens mieux, là! ajouta le black. Mais le videur ne voudra pas nous laisser rentrer.— On n’a qu’à rentrer chez moi, je suis crevé là! Fit le blanc.— Ouais, ok!
Maryline s’était rassise et ramassa sa robe, mais le black la lui prit des mains.
— Hé! Attends, toi! Lui dit-il. Je t’ai pas dit de te rhabiller.
Il allongea la jeune fille sur ses cuisses et lui attrapa un sein qu’il malaxa et dont il tritura le téton. Son camarade, lui, glissa une main à l’intérieur des cuisses et caressa la chatte toute poisseuse.
— Il faut me donner ton numéro de téléphone, chérie! Ajouta le noir pour Maryline. Il faut qu’on puisse se revoir.
C’est Michaël qui répondit.
— Elle n’a pas de portable. Mais je vais te donner le mien. N’hésite pas à appeler, y a pas de souci.
Le black n’eut pas l’air très satisfait de cette proposition, mais il sortit quand même son téléphone et y entra le numéro que lui dicta Michaël. Pendant ce temps le jeune blanc avait glissé deux doigts dans le vagin de la petite black et lui stimulait le clitoris avec son pouce. Il se mordait les lèvres comme s’il était concentré sur un jeu vidéo. Maryline haletait et ondulait des hanches. Elle n’avait toujours pas joui et sentait que la caresse précise du jeune homme n’allait pas tarder à la faire exploser. Elle gémit, trépigna, et les trois autres garçons l’observèrent avec intérêt. Mathias avait toujours son sexe à la main et le masturbait doucement, toujours sans résultat. On n’entendait plus que les gémissements de la jeune fille et les garçons étaient suspendus à ses lèvres. Son bassin se souleva soudainement dans un petit cri aigü, puis elle retomba apaisée. Les garçons respirèrent à nouveau et souriaient béatement comme s’ils venaient eux-même d’avoir cet orgasme. Le jeune blanc essuya ses doigts de nouveau sur la robe, puis sortit de sa poche un paquet de cigarettes. Il en proposa à tout le monde. Seuls Mathias et Maryline, qui resta allongée les yeux à demi fermés, n’en prirent pas. Le black continuait de tripoter doucement un sein de la belle qui était sur ses genoux.
— Et vous, vous faites quoi, maintenant? Demanda le jeune blanc à Michaël et Mathias.— Je pense qu’on va se rentrer aussi, répondit Michaël en demandant d’un regard l’approbation de son copain.— Vous êtes en voiture? Redemanda le jeune homme.— Non, on est venus en métro.— Ha? Vous êtes coincés, alors. Y en a plus, à c’t’heure-ci! Vous voulez qu’on vous ramène?
Michaël et Mathias se regardèrent un instant, intéressés.
— Ha ouais, cool! OK! Fit Mathias.
Le jeune blanc sortit de la voiture et se mit au volant à l’avant, et Michaël prit sa place à l’arrière. Maryline était toujours allongée à demi sur les cuisses du grand noir, et son copain constata qu’elle avait cédé au sommeil, s’endormant ainsi. La voiture démarra, et Michaël expliqua au conducteur l’itinéraire pour aller chez lui. En cours de route, les garçons firent connaissance et échangèrent leurs prénoms. Le black s’appelait Julien et le blanc Kevin.
— Et mon bébé, là, c’est Maryline! Ajouta Michaël.— C’est ta copine? Demanda Kevin.
Michaël hésita un instant, hochant la tête.
— Mmmm... C’est la fille que je partage avec les autres, dit-il finalement.
A suivre...
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