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Petite cochonne lors d'un stage en enreprise

Chapitre 1

Hétéro
J’ai toujours été passionné d’astrophysique. C’est pour cela qu’après ma terminale, je fis un stage dans un Observatoire à quelques kilomètres de chez moi.L’emploi du temps n’était pas trop chargé. On avait des présentations et activités le matin et l’après-midi, nous laissant deux heures pour manger.
Le dernier jour du stage, je parlais avec une fille assez sympa. Pas forcément hyper jolie, mais le genre de fille hyper extravertie. Mon esprit se portant facilement sur les blagues de cul, et le sexe en général, le sien suivit la trame. Et nous commençâmes à discuter un peu de tout et de rien autour de la table, à rire sur tout et n’importe quoi, et surtout des blagues osées.
Elle me parlait à un moment de la série « True Blood » quand elle me dit d’un rire amusé :— A un moment, dans les premiers épisodes, t’as une meuf dans une voiture elle branle son copain qui est à côté d’elleJe rétorque alors :— Et toi t’as déjà branlé un mec ? Je ne me suis pas rendu compte sur le coup de ce que je venais de dire. C’était une question pour rire de base, mais je ne cache pas que j’avais envie de savoir. Mais par chance, elle réagit bien :— Non jamais.— Tu aimerai essayer ? dis-je avec un sourire qui cachait bien mon idée perverse. En posant cette question, je voulais juste aller plus loin dans l’humour, et je ne pensais pas que cela irai aussi loin.Elle me répondit :— Oui pourquoi pas. Malgré l’apparence d’un blague, je savais que ces mots cachaient un certain sérieux dans sa réponse.La discussion s’arrêta la pour le moment.
Quand nous sortîmes de la cantine, elle me dit avec un grand sourire jusqu’aux oreilles :— Alors on se met ou pour le faire ?— De quoi tu parles ?— Et bien tout à l’heure tu m’as demandé si je voulais essayer de branler un garçon.— Et donc ?— Bah je pensais que tu voulais qu’on le fasse.J’étais choqué. J’avais juste dis ça comme ça, pour rire, et la elle était carrément en train de me proposer une branlette.Je répondit en balbutiant :
— Bah euh... je sais pas trop... — Oh aller ! Ne me dis pas que tu es complexé ! Dit-elle avec un rire limite moqueur.— Non ! je suis pas complexé donc euh oui bah je suis d’accord... si tu veux oui ». Elle avait l’air toute contente... et moi aussi.
Le site de l’observatoire comprenait une forêt dont l’accès était privé aux employés, mais personne n’y allait. Par instinct nous nous dirigeâmes sur une des routes pour nous engouffrer dans les bois à l’abri des regards.
Au bout de quelques dizaines de mètres, nous nous arrêtâmes. Elle se jeta sur mon jean pour le déboutonner puis le baissa un peu pour sortir mon sexe demi-mou. Elle me jeta un regard gourmand puis saisit fermement « l’animal » pour entamer des mouvements de vas-et-viens dessus.
Le contacte de sa main douce et fraîche ne tarda pas à éveiller en moi une très forte excitation. Un sourire carnassier se dessina sur son visage quand mon sexe se raidit dans sa paume, dévoilant mes modestes dix-huit centimètres.— Ouaaaaah je pensais pas que tu en avais une si grosse.Elle le porta près de ces narines.— Hmmm en plus j’adore l’odeur.
Je tournai la tête sur ma gauche pour vérifier que personne n’arrivait. Malgré le fait d’être tapis dans la forêt, se faire potentiellement surprendre ajoutait encore de l’excitation à l’acte.
Le mouvement de son poignet accéléra de plus en plus sur mon chibre désormais gorgé de sang. Je baissa les yeux sur elle et croisa son regard pétillant qui voulait tout dire. Elle adorait ça. Cela se voyait. Cela se sentait. Si la vue sur sa culotte était dégagée, j’aurai parié qu’elle se trouvait toute humide, voir toute mouillée. Elle ne voulait pas lâcher ma queue, comme si sa vie en dépendait.
Elle rajouta sa deuxième main sur ma bite, l’enveloppant complètement entre ses petits doigts pour entreprendre un mouvement plus profond et plus passionné. Après quelques instants de rapides vas-et-viens, je sentais le plaisir monter dans mon sexe. Je n’eus pas besoin de lui dire que j’allais jouir, car elle sentait déjà de puissantes contractions entre ses mains.
Je pensais qu’elle allait accélérer pour me vider, mais ce ne fut pas le cas. Au contraire, elle ralentit soudainement le rythme. Je commençais à croire qu’elle m’avait menti, vu la dextérité de ses mains expertes. Ou alors, elle avait acquis ces compétences en regardant du porno.
Ses mains magnifiquement douces parcouraient mon sexe de haut en bas. Les lents glissements de mon prépuce sur mon gland devenu hyper sensible me rendaient fou, et en même temps j’en voulais encore. Chaque mouvement était un délicieux supplice. Je fermai alors les yeux pour savourer ce plaisir exquis.
Soudain je sentis les mouvements s’arrêter, et une étrange sensation sur mon gland. J’ouvris les yeux. A mon grand spectacle je la vis concentrée en pleine action. Elle donnait de délicats coups de langue sur le bout de mon pénis, parcourant chaque recoin et titillant mon frein.
Les coups de langue se faisaient plus insistants, étalant de la salive et goûtant au peu de liquide séminal qui perlait. Je sursautai quand elle prit tout mon gland en bouche, qu’elle suçota. J’appréciais ses lèvres chaudes et humides glissant le long de mon pilier.
A chaque mouvement, ma queue bien dure s’enfonçait plus profondément dans sa bouche. Enduite de salive, elle se frottait le long des parois en provoquant d’intenses spasmes musculaires le long de mon corps.
Elle s’aidait de ses deux mains pour enfoncer ma bite luisante dans sa bouche, la léchant, la gobant de côté, l’embrassant en provoquant de délicieux sons de succions qui me firent frissonner.
En serrant fort ses lèvres tout le long de ma hampe, elle retira mon gros chibre de sa cavité buccale, dans un immense filet de salive. Elle me regarda dans les yeux et sourit, puis fouetta frénétiquement sa joue droite avec mon sexe en érection. Elle s’amusait à le frotter partout sur son visage, puis sortit ses seins et répéta la même opération dessus. Comme un artiste utilise un pinceau sur une toile, elle utilisait ma queue sur son sein, caressant ses tétons.
Elle s’arrêta par un ultime coup de bite sur sa poitrine, puis se leva. Elle se plaça derrière moi, enlaça ma taille, puis saisit ma queue d’une main, et mes couilles chaudes de l’autre. Pendant qu’elle me branlait à toute vitesse, caressant mes boules, elle m’embrassait le cou en me chuchotant des cochonneries.
Je sentais la jouissance arriver, monter progressivement dans mon sexe, savourant chaque moment de plaisir infini. Au bout de cette intense course, j’explosai littéralement, projetant cinq longs jets de sperme partout dans les feuillages. Elle rit, surprise par la violence de l’éjaculation soudaine.
Elle ralentit le rythme et lâcha mon sexe qui commençait à dégonfler. Elle se lécha les doigts puis s’agenouilla pour nettoyer les quelques gouttes de sperme sur mon pénis. Elle se releva tout en me souriant. Je remettais mon pantalon pendant qu’elle replaçait son soutien-gorge, et nous nous dirigeâmes vers l’orée du bois, sans dire mot.
Nous nous quittâmes normalement, et finîmes la journée. Nous n’avons pas échangé nos numéros. De toute façon, nous ne nous serions sûrement jamais donné rendez-vous. Depuis, nous ne nous sommes jamais revu.
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