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Petite coquine

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Je m’appel Paul, la trentaine, je suis marié depuis 10 ans à Christelle plus jeune de 2 ans, nous nous étions rencontrés lors de nos études et pour ainsi dire plus jamais quitter. Nous avons construit nos vies ensemble et développé une complicité sans faille. Grâce à cette complicité, notre vie sexuelle s’est bien épanouie, n’ayant aucun secret l’un pour l’autre, nous nous disions tout ou presque.
Les années de mariage n’avaient pas entamé notre désir de l’autre au contraire, mais nous pimentions nos joutes de petits scénarios ou parfois s’immisçaient des partenaires virtuels, jouant des rôles aussi fantasques que pervers, qui après coup nous faisaient bien rire.
Nous étions le lendemain de Nouvel An, nous avions bien fêté chez des amis, bus plus que de raison, la soirée avais été parfaite, nous avions revus a cette occasion de vielle connaissances et également rencontrés de nouvelles personnes. Il est déjà 14 h de l’après-midi lorsque je pose un pied hors du lit, ma femme dors encore et je décide de lui accorder encore quelques instants, c’est sans un bruit que je vais me faire un café. Christelle se lève alors que je suis sous la douche, et je la rejoins quelques minute plus tard.
Premier réflexe, regarder nos mobiles, pas mal de SMS pour la nouvelle année, rien d’exceptionnel sauf un sur le mobile de Christelle.— Tes courbes m’ont rendu fou hier soir, te frôler sans vraiment te toucher était un vrai supplice. Pierre.On se regarde, on rigole et on tente surtout de se rappeler qui est ce fameux Pierre, nous repassons la soirée en revue, ne trouvant pas de visage à mettre sur ce nom, nous concluons a une erreur. Cependant, d’humeur plutôt taquine, je prends son mobile et j’écris.— Merci pour les compliments, heureuses que mes courbes t’aies fait cet effet, la prochaine fois n’hésite pas.Christelle tente vainement de m’arracher le mobile en rigolant, trop tard le SMS est parti.Quelque instant plus tard, le mobile vibre signalant l’arrivée d’un nouveau message, tient, même numéro, ce Pierre était à l’affût.— Peut-être pourrions-nous provoquer cette prochaine fois, en toute discrétion bien entendue, j’ai vu, que tu n’es pas seule.
Il ne s’agissait donc pas d’une erreur.
Je ris un peu moins, malgré tout la situation me plait ou plutôt m’émoustille, je demande à Christelle de voir où cela va nous mener et de ce fait continuer ce petit jeu.
Elle répond donc :— pourquoi pas, mais avant je dois savoir qui tu es.
Pour le savoir, retrouve-moi sur MSN, voici mon adresse. Il ne perdait vraiment pas de temps le bougre.
Le temps d’allumer l’ordinateur et nous voila sur MSN, la discussion s’engage, rien d’exceptionnel jusqu’à ce qu’il lui demande si je suis présent et si elle a une webcam. Je lui dis de jouer de répondre que je suis parti et qu’elle peut brancher sa webcam, elle lui demande juste quelque instant afin de se refaire une beauté et être un peu plus présentable.Je lui cherche de quoi s’habiller ou plutôt de quoi bien suggérer, je choisis un chemisier blanc légèrement transparent, je lui demande de ne point mettre de soutiens-gorge, une petite culotte en micro fibre ne cachant quasiment rien de sa belle toison, à cela j’ajoute une petite jupe, ample et évidemment des bas autos fixant. En temps normal, je lui aurais déjà sauté dessus, vu les conditions je du me faire plus que violence afin de ne pas la prendre sur-le-champ et c’est avec grande peine que je contenais mon érection.
Elle s’installa et établit le contact, je m’efface du champ de vision de la caméra, mais reste à porter pour pouvoir lire sur l’écran le chat et également voir sa propre image.
La camera ne filme que le haut de ma femme, de son coter il a élargi un peu l’angle on peut donc le voir jusqu’aux genoux.
Enfin, nous voyons qui se cache derrière le prénom de « Pierre ». Et nous nous souvenons de lui, il était plutôt discret a la soirée prenant des photos de ci de la, plutôt en retrait par rapport aux autres personnes présentes. Légèrement grassouillet, mais pas dénuer de charme, un bon vivant en somme.
Une chose attira le regard de ma femme, l’immense bosse qui déformait son pantalon, bandait-il déjà, je l’espérais, ce n’était pas humain ou alors une déformation de la webcam, toujours est-il que c’était impressionnant et visiblement cela plaisait à Christelle.
Lui :Tu es encore plus affolante qu’hier soir, serais-tu assez gentille pour te lever et te montrer ?
Elle sourit et acquiesça, se leva et lentement fit un tour sur elle-même puis se rasseyais.Lui :Vraiment magnifique, dommage que je ne sois pas juste à côté de toi.— Que portes-tu dessous ?— En haut absolument rien et en bas, une petite culotte sage et des bas— montre-moi.— Hum je ne sais pas si je devrais— mais si et tu ne risques rien de toute façon.Elle déboutonna un peu son chemisier et l’ouvrit juste assez pour montrer furtivement un téton, déjà érigé.
— Houa, superbe, tu me montres le deuxième ?Grisée, elle s’exécuta et lui dévoila les deux à la fois en serrant sa poitrine entre ces mains, les gonflant encore plus.
Je la regardais et je vis sur sa fenêtre qu’il se caressait négligemment
— Tu m’excites, si tu voyais dans quel état je suis.
Et là je fus moi-même surpris de la réponse de Christelle
— Montre-moi !
Pierre se soulève et fait glisser son pantalon et son caleçon, aucune illusion d’optique, il est effectivement bien monter ce qui cette fois-ci fait lâcher un « wouah » à ma femme.
Il faut dire, vu que nous nous étions marié jeune et fréquenter avant, elle n’avait pas connu beaucoup d’homme.
Tu es plutôt gâté par la nature et il semblerait en effet que je provoque chez toi un certain trouble, il s’ensuivit un gros éclat de rire, nerveux. Il tenait son membre bien en main et continuait à se caresser.
Tu me montres ce que tu portes dessous ? Je veux dire en bas. Elle n’avait pas reboutonné sa chemise et ces seins pointaient toujours dehors. Elle recula pour qu’il puisse voir le bas, son visage hors champ, elle me regarda, je fis un signe approbateur et je défis a mon tour mon pantalon, la situation devenait intenable.
Elle fit remonter sa petite jupe, ces bas scintillaient, puis elle dévoila le haut de ces cuisses, enfin apparue sa petite culotte, tout en dentelle. Je regardais tour à tour ma femme et la fenêtre de la vidéo, lui était quasiment hypnotisé par ce qu’il voyait et c’était plus que compréhensible. Un détail ne lui échappa pas, ma femme mouillait abondamment si bien que sa petite culotte déjà bien transparente collait littéralement a sa chatte et dévoilait de manière encore plus obscène ces charmes.
Tout en fixant la webcam, elle fit glisser le tissu entre les grandes lèvres. Pierre se masturbait de manière plus pressante.
Elle écarta ensuite sa culotte et lui montra sa chatte, offerte, impudique, il faillit défaillir et moi aussi par la même occasion. Il se masturbait plus rapidement, ma femme resta immobile, exhibant ces chairs les plus intimes, fixant la fenêtre de chat et vis Pierre gicler 3 longs jets de sperme qui vinrent maculer son ventre grassouillet.
Je te remercie pour cette séance, je n’en espérais pas tant
Tu es vraiment trop bonne, la prochaine fois, j’espère que ça sera sur toi que j’éjaculerais.
Lui :Alors maintenant que nous nous sommes vus, enfin maintenant que tu vois qui je suis, peut-être aurais-je le privilège de t’inviter à boire un verre ou autre chose…
Elle rit devant ces avances si directes.

Plusieurs semaines s’écoulent sans que ma femme ne se connecte sur MSN, et l’épisode avec Pierre était presque un vieux souvenir.
J’allume le pc et MSN se lance automatiquement, par curiosité, je regarde la liste de contacts et ouvre celui de Pierre, je vois une discussion qui date de quelques jours… tient bizarre il me semblait que Christelle ne c’était pas connecté depuis un moment me dis-je.
Surpris, par cette découverte je me décide à regarder l’historique, je découvre des phrases pas anodines et vois que la séance qu’avait offerte Christelle à ma demande s’est poursuivie, mais sans ma présence, aucun doute sur la nature des échanges.
Une phrase reteint mon attention, elle parlait de moi et de son amour, ce qui me rassura avant de m’achever, en effet, elle aborda la question de la taille du sexe et également de mon endurance qui selon elle la laissait parfois sur sa faim, la nouvelle fût comme un coup de poignard. Évidemment, Pierre lui proposait d’essayer « d’autres choses » sous-entendues lui…
J’éteignis l’ordinateur, je ne savais que penser, autant l’idée d’un deuxième homme dans nos ébats m’avait toujours séduit et avais alimenté nos joutes ce qui avais pour effet de vraiment l’excitée. L’avais je pousser un peu loin en acceptant qu’elle se dévoile ainsi ? Toujours est-il que secrètement, elle parlait ouvertement de ces besoins avec un presque inconnu, décidément que de doutes et d’excitation en perspective.

En rentrant, Christelle me tira de mes pensées, souriantes, fraîches comme d’habitude, je l’embrassais longuement.
Je la regarde, mais sans l’observer, je me remémore ce que je viens de lire, perplexe. La soirée se passe normalement, je me fais violence pour ne pas parler de mes découvertes.
Ce matin, je décide de rester à la maison travailler, il se trouve que Christelle à pris congé ce jour la également et généralement qui dit jour de congé, dit coiffeur, shopping, etc.
Elle s’habille, jupe plissée au dessus du genou, un débardeur noir qui moule joliment sa poitrine, des escarpins et des collants couleur chair claire. Sans être provocante, sa tenue est sexy et fera sans doute tourner bien des têtes en ville. Elle est sur le point de partir, on s’embrasse et c’est presque instinctivement que je glisse une main sous sa jupe et apprécie le galbe de ses fesses.
La voir ainsi me trouble, m’excite, elle le voit dans mes yeux et le sens à mes mains fébriles, c’est sans un mot qu’elle s’agenouille, pose son sac et ses clés puis déboutonne mon jeans, tout en se passant la langue sur ses lèvres, elle extrait ma queue fièrement dressée, enrobant avec sa bouche mon gland, elle imprime des vas et viens sur ma tige, serrant juste comme il faut. Enfin, elle fait glisser toute ma queue entre ses lèvres pour la ressortir luisante de sa salive, sa langue parcours mon sexe, ces doigts s’activent autour, à ce rythme, comment résister.
Elle sent ma main qui se crispe derrière sa nuque, signe pour elle que je vais jouir, ses doigts accélèrent, sa bouche suit le rythme, ma verge gonfle et se tend plus encore. Comme une symphonie parfaitement orchestrée, mon premier jet vient maculer sa langue tendue en avant, bouche grande ouverte, les suivants prennent le même chemin, mes doigts crocher dans ces cheveux, je la regarde récolter les dernières gouttes de mon sperme.
C’est sur un tendre baiser qu’elle me laisse, mes jeans sur les chevilles...
Je reprends tant bien que mal mes esprits, me réajuste pour m’atteler à mon travail, je commence par trier quelques documents tout en allumant le pc. Je me remémorais les discussions découvertes sur MSN et je ne sus pas vraiment pourquoi, le doute, la jalousie vinrent me titiller... en avoir le cœur net, mais le cœur de quoi finalement.
Ces pensées pernicieuses finirent vraiment par me détourner de mon travail, je savais qu’elle commençait par le coiffeur et vu le temps que cela lui prend à chaque fois, elle devait y être encore.Je pris ma voiture et parti, durant le trajet je me demandais ce que j’étais en train de faire, de mari confiant, j’étais devenu un mari méfiant.
Une dizaine de minutes plus tard, je me gare discrètement près de son coiffeur et me laissant un champ de vision assez large pour ne pas la louper, ce n’est qu’au bout de 20min que je l’aperçois, les cheveux impeccables, elle est belle, rayonnante. Mon mobile sonne, c’est elle— Coucou, je viens de sortir du coiffeur et une copine m’invite à manger en ville, si ça t’embête pas trop, je te retrouve ce soir-Pas de soucis mon amour, j’ai pas mal de travail, profite bien, bye, bise.
Jusque-là rien de bizarre et en effet en poursuivant ma surveillance dont j’avais de plus en plus honte, je la vis retrouver effectivement une de ses copines et elles mangèrent ensemble sur une terrasse, j’observais, amusé, les hommes autour qui la reluquait plus ou moins discrètement.
Bref, j’étais la comme un gros plouc à surveiller ma douce moitié et la seule chose qu’elle s’envoyait, c’était une belle salade verte.Vers la fin du repas, je la vis répondre à son mobile puis visiblement chercher quelqu’un autour d’elle. Elle raccrocha et dis quelques mots à sa copine qui sans se précipiter, pris congé d’elle.
Un peu perplexe, je continuais à observer, je vis arriver le fameux Pierre et ma femme se lever, il se firent la bises puis quittèrent la terrasse en direction d’une voiture, sans doute la sienne. Je mis en route la mienne et les suivis le plus discrètement possible, le trafic assez dense m’y aidant, je devais toutefois faire gaffe, à ne pas me faire distancer.
Nous roulions ainsi depuis une bonne demi-heure, lorsqu’il prit un petit chemin qui menait à une vieille grange, je décidais de planquer ma voiture et de continuer à pied, certain qu’il s’arrêterait là-bas.
Je m’approchais à pas de loup et entendit ma femme rire, ils étaient bien là, je me demandais ce qu’il avait pu motiver ma femme à accepter de le suivre ici.
Elle était assise sur une vieille planche, lui debout en face, appuyer contre un poteau, il tenait entre ses mains, une longue et fine cravache qu’il faisait virevolter et claquer. Elle suivait des yeux, ce ballet, presque hypnotiser un peu comme un papillon de nuit sur le point de se brûler les ailes... Elle qui en temps normal sait prendre les devants, je la voyais là, comme une pucelle ne sachant que faire.
Lui -dis-moi, que penserait ton mari s’il savait que tu es ici, juste avec moi?Elle — je suppose que ça passerait assez malLui- et que crois-tu qu’il va se passer maintenant?Elle- à vrai dire, je ne sais pas trop, mais j’imagine que tu as sans doute quelques idées
Pendant qu’il lui parlait, il la frôlait du bout de la cravache, faisait crisser ces collants.

-Alors tu me montres ce que tu caches sous ta petite jupe-hum si tu me montres ce que toi tu caches dans ton pantalon
Je le vois se relever, défaire sa ceinture, ouvrir sa braguette et en sortir une queue à demi bander et déjà de belle taille, finalement tel que nous l’avions vu à la webcam. Pendant ce temps, ma femme, toujours sur la couverture, écarta ses cuisses et glissant une main sous son collant, écarta sa petite culotte, l’effet fut immédiat, Pierre eu une trique d’enfer, ce qui je m’en doute devais faire saliver ma femme…
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