Bonjour. Chose promise, chose due. Nous nous sommes embrassés puis on sortit du cinéma avant la fin du film pour nous rendre chez elle où on a continué ce qu’on avait commencé. Arrivés chez ma chère et tendre cousine, nous nous sommes embrassés. Nos langues dansaient entre elles, pendant que nos mains enlevaient le superflu de nos vêtements. En peu de temps nous nous sommes retrouvés en sous-vêtements. Moi en boxer et elle en soutif et toujours pas de culotte. Je pus voir la magnifique petite chatte de ma cousine avec une toison bien taillée, ses lèvres intimes dessinant une fente rosée. Tout cela me donnait envie d’embrasser tous ça voir d’y enfoncer ma langue.Ma cousine me regardait avec envie, son regard ne se détachait pas de la bosse que formait mon sexe dans le boxer. C’est alors qu’elle me dit : — C’est moi qui te fais autant d’effets ?— Oui Laurence et je voudrais te manger ton minou.— Mais fais je suis toute à toi, en plus j’aime me faire bouffer la chatte.Je fus surpris d’entendre ma cousine parler comme cela, elle qui est si prude en temps normal. Mais comme elle me demandait si gentiment, je me suis mis à genoux devant et je me suis mis à lui embrasser sa chatte, puis ma langue s’est mis à longer cette délicieuse fente. Ma cousine a posé ses mains sur ma tête en soupirant de plaisir. D’une main je lui ai écarté les lèvres intimes, et je me suis mis à lui laper le sexe. Je sentais son doux nectar sur ma langue, et entendais de petits gémissements. — Comme tu suces bien Gilou me dit-elle en écartant le plus possible les jambes.Je sentais son bassin bouger en même temps que ma langue passait de son anus jusqu’à son clitoris. Ses mains me pressaient de plus en plus son sexe sur ma bouche, et elle soufflait et gémissait plus fort. Je décidais de lui enfoncer un doigt dans la chatte tout en lui suçant le clito. Ce qui a eu pour effet de la faire crier un OH OUIIIIIII. Vu que mon doigt était rentré facilement, je décidais d’en mettre un deuxième puis un troisième. — Vas-y Gilou suces-moi mon bouton et enfonces-moi le plus de doigts possible, c’est trop bon me dit elle.— Tu aimes ce que je te fais ma belle cousine ?— Oui j’aime, tu vas me faire jouir comme une cochonne.Je me suis mis à la sucer comme un fou tout en lui coulissant de plus en plus vite mes doigts dans sa vulve. Son corps venait au devant de me pénétration, je décidais de lui en mettre un quatrième ce qui lui déclencha au bout quelques secondes un orgasme. Je sentis sur mes doigts un flot de mouille couler.Je la laissais reprendre son souffle tranquillement tout en l’embrassant tendrement. Quand elle reprit ses esprits, elle me regardait avec une grand sourire. — Qui y a-t-il ? lui demandais-je.— Tu m’as donné beaucoup de plaisir, mais toi tu n’as rien eu me répondit-elle.— Et alors on a le temps non.— Tu as raison. Tu vas me trouver folle, mais je suis tellement en manque de sexe que je voudrais que tu me baises comme une grosse salope. Je veux m’offrir toute à toi.— Et comment tu vois cela ma chère cousine, car je te reconnais plus toi qui et si sage.— Ben cela fait des années que je fantasme sur toi, tu te rappelles la fois où tu es venu chez mes parents avec Christelle ? — Oui et alors je ne vois pas le rapport.— J’y viens, le samedi soir vous vous êtes couchés, mais votre porte était restée ouverte, je t’ai vu tout nu avec elle, tu bandais et tu lui as pris la tête et tu lui as dit « suces-moi salope ». je suis resté dans le noir pour te voir te faire sucer. Puis tu l’as mise à quatre pattes et j’ai vu ta queue la pénétrer d’un coup. Tu lui demandais si elle aimait se faire prendre comme chienne et elle couinait cette salope. Je t’avoue que j’aurais aimé être à sa place.— Tu m’as regardé baiser Christelle ?— Oui j’ai adoré, je voyais bien ta bite entrer et sortir de sa chatte, puis t’entendre lui parler comme une pute m’a excitée comme pas possible surtout quand tu lui as dit que tu allais lui défoncer sont petit cul. Alors je me suis avancée pour mieux voir.— Quoi tu es entré je ne t’ai pas remarqué.— Oui je me suis mise sur le côte de l’armoire j’étais sûr de bien voir sans que tu me repère, et j’ai vu ta bite lui élargir l’anus, puis tu lui as ramoné le cul à grand coups tout en lui claquant le fesses. Je peux te dire qu’elle te demandait d’aller plus fort que tu la défonçais bien et elle en a joui cette salope. Je t’ai vu te présenter devant elle et lui juter dessus. Je suis partie doucement dans ma chambre.— Tu as aimé me voir baiser, tu as du mouiller comme un cochonne ?— Oui je me suis masturbée ensuite en pensant que c’était moi à la place de Christelle.— Tu t’es souvent branlée comme ça ?— Je le faisais deux, trois fois par semaine, et même encore maintenant.La confidence de ma cousine m’a mis dans un état pas croyable, je bandais en pensant que si je l’avais vu ce jour-là je l’aurais pris aussi en même temps que Christelle. La suite la prochaine fois si vous en avez envie. Bye
