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La petite culotte

Chapitre 1

Inceste
Je m’appelle Yoan, j’ai 19 ans, grand brun au physique athlétique. Je suis fils unique et me considère comme chanceux d’avoir une maman adorable, avec laquelle je vis des moments extraordinaires. Elle s’appelle Aurélie, elle a 43 ans, et vraiment très jolie. On dirait une petite poupée.  
Tout à commencé un jour où je sortais de la douche, et j’ai pu voir un morceau de tissu rouge qui dépassait à moitié du panier à linge sale. En ouvrant le couvercle pour le remettre à l’intérieur du panier, je me suis aperçu que c’était une petite culotte, appartenant à ma mère. Je n’ai pu résister à la tentation de la sentir, pour savoir s’il y avait une quelconque odeur. 
Effectivement en la reniflant, j’ai pu constater qu’il se dégageait une fragrance d’intimité féminine. Ce délicat parfum m’envoûtait totalement, et m’excitait bien évidemment. Sur le moment, je me trouvais un peu ridicule, voire pervers, parce-que je pensais que c’était le genre de choses que faisaient les adolescents boutonneux.
Je respirais alors à plusieurs reprises et à pleins poumons l’odeur de vulve imprégnée sur le string de ma mère. L’excitation était telle que ma verge se mit en érection sous mon peignoir. A ce moment il y avait des flashs dans mon esprit, des images de ma mère toute nue. Je me demandais ce qu’il était entrain de m’arriver. Mon rythme cardiaque s’accélérait, tout mon corps se mettait à vibrer de plaisir. 
Soudain ma mère entra dans la salle de bain, croyant que j’étais sorti depuis longtemps. Cela m’a fait peur, j’ai donc sursauté parce-que je ne m’y attendais pas. Quand elle vit que j’étais entrain de sentir sa petite culotte, elle fut choquée d’après l’expression de son visage, et referma la porte sans dire un mot.       

Plus tard dans la soirée, quand mon père était au lit, ma mère vint me rendre visite dans ma chambre vers 22 heures. Nous en avons parlé à voix basse afin que mon père n’entende rien. Au terme d’une longue discussion coquine, ma mère me fit un petit bisou sur la joue, en me disant que j’étais mignon. Visiblement elle n’était pas du tout fâchée contre moi. Selon ma mère, ce comportement est fréquent chez les garçons de mon âge, à cause de la montée phénoménale de leurs hormones masculines. 
Toute la nuit j’ai pensé à cette histoire, et il s’était vraisemblablement passé quelque chose durant mon sommeil. En effet, mes draps et mes sous-vêtements étaient tâchés. Sans vouloir rentrer dans les détails, c’était la première fois que cela arrivait et ça m’a marqué. Evidemment je n’ai rien dit à ma mère. 

Quelques années plus tard, mes parents divorcèrent. Je me suis donc retrouvé seul avec ma mère. Malheureusement sans emploi je ne pouvais pas quitter le cocon familial. Etant toujours célibataire à cause de ma timidité maladive, j’étais frustré de ne pas avoir de petite amie. Dans mon malheur je retrouvais du réconfort auprès de ma mère, sur laquelle je fantasmais depuis l’événement de la petite culotte. Il y a eut beaucoup de câlins, de bisous pendant ces années, qui prouvaient la solidité de nos liens affectifs.
J’ai commencé à avoir des rapports avec ma mère seulement à partir de 18 ans. Au début c’était juste pour m’aider à avoir plus confiance en moi, de manière à être moins anxieux pour aborder des filles de mon âge. C’était un grand honneur pour moi et un privilège que ma mère se charge de mon éducation intime. Nous passions régulièrement à l’acte, environ deux fois par semaine en moyenne. Parfois ma mère n’avait pas envie ou trop fatiguée à cause de son travail, alors on s’abstenait. Mais la plupart du temps cela ce passait très bien et on prenait beaucoup de plaisir à le faire. Etant expérimentée ma mère me faisait souvent découvrir de nouvelles choses, agréables et excitantes, afin de pimenter nos ébats. 
Nous étions totalement décomplexés, d’ailleurs nous parlions librement de sexe sans aucune honte. Nous abordions tous les sujets même les plus tabous comme la masturbation féminine par exemple. En effet j’étais loin de me douter que ma mère la pratiquait régulièrement même lorsqu’elle était encore avec mon père. Ce qui expliquerait pourquoi j’étais autant excité le jour où j’ai senti sa petite culotte dans la salle de bain. 
A l’époque ma mère n’était que rarement satisfaite avec mon père, qui finissait beaucoup trop vite le rapport en s’endormant comme une masse par la suite. Ma mère n’avait d’autre choix que de finir toute seule, si elle comptait avoir un peu de plaisir. En plus mon père l’avait trompée plus d’une fois, donc leur relation était quasiment vouée à l’échec. 
Aujourd’hui ma mère continue de se faire plaisir toute seule malgré nos rapports. J’ai compris que ce n’était pas de la frustration mais un acte compatible avec une vie de couple. Il arrive également qu’elle ait une envie pressante et que je ne sois pas à la maison. Rien que le fait de savoir que ma mère se caresse à la maison m’excite déjà beaucoup. En revanche elle ne me le dit pas forcément quand elle le fait, c’est tout naturel de garder un jardin secret. 
Il m’arrive à moi aussi d’avoir des envies pressantes quand ma mère est absente. Pour cela j’ai un bon aphrodisiaque, le panier à linge sale! Il y a toujours des sous-vêtements sexy à l’intérieur. Et avec un peu de chance, je peux trouver un string odorant, sur lequel ma mère a peut-être eut un orgasme.
Maintenant j’espère que cette relation avec ma mère durera aussi longtemps que possible. 

           
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